Vu sur Le Péché de chair, Esparbec
« Nous entrons dans une ère de commercialisation générale du cul, accompagné d’un discours « déculpabilisant » centré sur la notion du « plaisir ». Le sexe a été transformé en marchandise ou, pour citer Adorno et Debord : en spectacle. L’image (la mode à a remplacé la chose. » Je ne donne pas tort à Esparbec, et son introduction m’a plu. […]
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