La charte olympique pose comme principe fondamental que « tout individu doit avoir la possibilité de pratiquer un sport, sans discrimination d'aucune sorte ».
« Je suis heureux que le tribunal ait admis la bonne foi d'Act Up-Paris et relevé que cette campagne s'inscrivait réellement dans un débat d'intérêt général », a réagi l'avocat de l'association.