Un couple de femmes, l'une originaire de Bulgarie, l'autre de Gibraltar, a saisi la justice européenne pour contester le refus de Sofia d'accorder la nationalité à leur bébé apatride.
Son témoignage sur Twitter accusant de viol un élu parisien et son compagnon avait, il y a deux semaines, déclenché le mouvement #MeTooGay. Les raisons du suicide restent à ce jour inconnues.