Venir à l'Existrans, c'est soutenir les droits des personnes trans et intersexes, et c'est aussi montrer son opposition à la «Manif pour tous» qui défilera dimanche.
L’article L’Existrans 2016, c’est demain! est apparu en premier sur Yagg.
33919 éléments (2299 non lus) dans 75 canaux
Venir à l'Existrans, c'est soutenir les droits des personnes trans et intersexes, et c'est aussi montrer son opposition à la «Manif pour tous» qui défilera dimanche.
L’article L’Existrans 2016, c’est demain! est apparu en premier sur Yagg.
Le procès en appel qui oppose l’Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (Agrif) à plusieurs militantes et anciennes militantes du groupe Femen, a eu lieu hier jeudi 13 octobre. L’Agrif, une association qui milite contre le «racisme anti-chrétien» (sic) et le «racisme anti-français» (re-sic), avait porté plainte contre elles pour «injure en raison de l’appartenance à la religion catholique». Après la relaxe des militantes prononcée par le TGI en février 2016, l’association avait fait appel.
L’affaire remonte à l’une des premières manifestations anti-mariage pour tous: Le dimanche 18 novembre 2012, à l’appel de Civitas plusieurs milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris. C’est là que plusieurs militantes Femen ont mené une action qui a marqué les débats sur le mariage pour tous: elles s’étaient opposées aux manifestant.e.s seins nus, la poitrine marquée d’inscriptions telles que «In gay we trust», «Occupez-vous de votre cul» ou «Fuck church», et les avaient arrosés de «saint sperme». Les militantes avaient été par la suite très violemment agressées.
Verdict le 8 décembre.
Le procès en appel qui oppose l’Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (Agrif) à plusieurs militantes et anciennes militantes du groupe Femen, a eu lieu hier jeudi 13 octobre. L’Agrif, une association qui milite contre le «racisme anti-chrétien» (sic) et le «racisme anti-français» (re-sic), avait porté plainte contre elles pour «injure en raison de l’appartenance à la religion catholique». Après la relaxe des militantes prononcée par le TGI en février 2016, l’association avait fait appel.
L’affaire remonte à l’une des premières manifestations anti-mariage pour tous: Le dimanche 18 novembre 2012, à l’appel de Civitas plusieurs milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris. C’est là que plusieurs militantes Femen ont mené une action qui a marqué les débats sur le mariage pour tous: elles s’étaient opposées aux manifestant.e.s seins nus, la poitrine marquée d’inscriptions telles que «In gay we trust», «Occupez-vous de votre cul» ou «Fuck church», et les avaient arrosés de «saint sperme». Les militantes avaient été par la suite très violemment agressées.
Verdict le 8 décembre.