J’ai eu la veine d’être plutôt épargnée : j’ai été en forme tout au long de ma grossesse, je n’ai pas gardé de séquelles physiques inesthétiques (du type vergetures ou ventre qui pendouille) et les dix-sept kilos pris (oui, quand même) sont tous repartis en quatre mois.
Ce que je n’avais pas vu venir, c’est que mon corps n’allait plus m’appartenir.
Quand on aborde le corps dans la grossesse, on évoque souvent les désagréments esthétiques, les douleurs, la fatigue, la baisse de libido, l’effet « culbuto »... Ce sont des réalités (ou pas, selon) et je m’y...