Un jour, en conférence de rédaction, alors que nous parlions de fantasmes érotiques originaux, que nos propos voguaient entre le « hentaï » et les « furs » (une communauté de passionnés de peluches, pour résumer grossièrement, au risque de déplaire à l’un de nos riverains lui même furry, pardon, pardon), l’une de mes collègues (qui s’occupe de sujets très sérieux) a pensé tout naturellement... aux enfants.
« Tu ne voudrais pas faire un article un jour sur les fantasmes érotico-amoureux bizarres des enfants ? Quand ils trippent sur des dessins animés ou des livres pas du tout...