Notre sexothérapeute, Frédérique Hédon, apporte sa réponse.
Une pyélonéphrite étant, je suppose que vous l’avez compris, une maladie infectieuse du rein, il est possible que votre façon de pratiquer la sodomie y soit pour quelque chose.
En effet, il est vivement déconseillé, et ce pour des raisons d’hygiène, de procéder à une pénétration vaginale à la suite d’une pénétration anale, sans qu’il y ait de toilette intermédiaire. Le tube digestif contient des germes, en particulier des colibacilles, qui ne présentent aucun risque pour lui, mais qui sont nocifs pour les organes génitaux et aussi urinaires. Lorsqu’un rapport vaginal fait suite a un rapport rectal, le pénis, qui est recouvert de sécrétions post-digestives, introduit ainsi des germes indésirables. C’est la raison pour laquelle il est recommandé de bien laver le sexe de l’homme, ou le godemichet, entre les deux pénétrations.
Pour éviter d’autres épisodes d’infection rénale, il faudrait vraiment respecter cette consigne, en y associant une mesure complémentaire qui consiste à boire au moins un litre et demi, voire deux litres d’eau par jour, pour éviter la stagnation de l’urine dans les reins, facteur favorisant du développement microbien.
La fellation, en revanche ne présente...Lire la suite sur Union
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