Le solstice d’hiver approche à grands pas ! Et bientôt, ce 21 décembre, la journée la plus courte de l’année, nombreux se glisseront sous la couette, histoire de rattraper leurs innombrables insomnies. Tandis que d’autres se donneront à coeur joie pour y faire des galipettes en l’honneur de la journée mondiale de l’orgasme !
Créée à l’origine pour la paix dans le monde, elle dénonce également les difficultés des femmes à atteindre l’orgasme : 84 % des femmes, entre 18 et 49 ans, avoueraient avoir du mal à y parvenir. Un phénomène bien féminin, à tel point que la docteure Laurie Mintz invente le terme « fossé orgasmique » (traduit de l’anglicisme « gap orgasm ») : le fait que les femmes connaissent moins l’orgasme que les hommes.
Un fossé dû à une méconnaissance du corps féminin ?
Une meilleure compréhension de l’orgasme fémininDepuis quelques années, l’orgasme féminin s’invite dans les discussions, dans les médias et dans les tendances de mots clés sur Google. Et pour cause ! Des anciennes recherches resurgissent, en particulier l’étude réalisée en 2015 et publiée dans Clinical Anatomy. La conclusion était cinglante : il faut arrêter de parler d’orgasme vaginal. D’après les scientifiques italiens, le seul orgasme qui existe est celui lié à la stimulation clitoridienne puisque les bulbes rachidiens du clitoris entourent le vagin.
Mais c’est en 2017 qu’on l’admet réellement, grâce à une autre grande avancée dans la sexualité féminine : la chercheuse...Lire la suite sur Union
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