Dans Mort à crédit, l’écrivain Céline, évoquait déjà ce fantasme en mentionnant des hommes qui laissaient imbiber des morceaux de pain toute la journée dans les pissotières publiques, avant de s’en délecter. Ce fantasme ne date pas des révolutions en tout genre, nées au cours des années 70.
Les fantasmes autour de l’urine sont nombreux et s’assouvissent de différentes manières, aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Qu’on joue avec, qu’on la boive, qu’on s’en serve pour imbiber nos vêtements (ou de la nourriture), s’arroser, on peut y trouver un réel plaisir sexuel. Souvent taxée comme une pratique déviante, marginale, pointée du doigt, elle diffère des pratiques sexuelles plus courantes, dites normales.
Contrairement à ce que l’on peut croire, ce fantasme autour de l’urine trouve de nombreux adeptes. En témoignent les sites et forums dédiés à cet effet (qui sont majoritairement gays). Les rencontres s’articulent entre les principes des donneurs et des receveurs.
Au-delà de ces sites, des clubs proposent des soirées autour du thème, comme en témoigne l’article de Rue89Lyon : « Les sexclubs de Lyon, d’Hambourg, de Barcelone ou d’ailleurs, adeptes de soirées à thème et soucieux de nos envies,...Lire la suite sur Union Cet article L’urophilie : le fantasme doré est apparu en premier sur Union.