C’est un peu mal parti pour ce week-end qui aurait dû être extraordinaire. Je me suis réjouis tellement fort, mais mon fils se réveille malade, et je me sens très mal à l’aise de le confier à ma mère, qui déteste le garder en petite forme. Elle a toujours peur de se faire contaminer, et elle est très compliquée concernant ce sujet. Bref, je fais semblant de ne pas remarquer l’état de Junior et je lui dis même de se ressaisir. J’ai une mauvaise conscience en faisant ça pour aller faire la fête, car j’ai toujours besoin que tout joue à 200% pour pouvoir me vider la tête et laisser tout derrière moi. Comme j’ai déjà annulé plusieurs fois mes week-ends sur Montbéliard à cause de Junior, je n’ai pas envie de le refaire une fois de plus.
En route, on se prend un peu la tête avec Vincent, car il n’était tout à coup plus non plus très motivé pour partir. Parfois c’est dur de faire 3 heures de route après une semaine de travail. On discute alors lors du trajet de notre mode de vie, de nos déplacements et notre emploi de temps durant notre temps libre qu’il faudra repenser sérieusement.
Arrivés sur place, on dépose juste la valise à l’hôtel pour ensuite nous installer sur une terrasse avec une bouteille de rosé. On avait besoin de décompresser, et il nous faut un peu de temps pour arriver sur place et se détendre. On continue de discuter, de repenser notre emploi du temps, de discuter de tout et de rien, et quand Attila nous rejoint spontanément avec un ami, on se sent déjà mille fois mieux. Ça fait plaisir de le revoir, et nous donne le sourire. On boit encore un petit verre avec les deux.
En principe, Attila avait prévu de me rendre visite dans la chambre d’hôtel. Mais tout à coup, les mecs parlent de s’amuser dans la camionnette. C’est qui qui a eu cette idée folle ? Je crois c’est Vincent qui a commencé à en parler. Il est fou ! Mes deux complices sont tout de suite partants et on monte alors tous dans la camionnette d’Attila, qui est garée juste à côté de la place. C’est sa voiture de travail. Oh là là, si les gens qui nous voient monter dedans savaient ce qui va se passer …
Après un court trajet, il se gare sur un parking public, en plein centre de la ville. Il y a des gens tout partout, le parking est bien fréquenté. On monte tous ensemble derrière dans la camionnette vide et on ferme la porte coulissante. Elle n’a pas de vitres, et il fait tout noir. Vincent sort son portable, qui est équipé d’une bonne lampe-torche. La lumière éclaircit tout et permet même de filmer avec une qualité incroyable. Parce que même que ce n’était pas prévu et qu’il n’a pas sa caméra sur lui, c’est hors de question de perdre une miette de l’aventure. Tu verras bientôt les images, et là crois-moi, on ne remarque pas que c’est filmé avec un portable.
Je ne suis pas dans une tenue sexy, mais en robe et leggings, mais qu’est-ce qu’on s’en fout. De toute façon, je me retrouve toute nue en quelques secondes. Je commence à m’occuper des deux mecs. Attila bande tout de suite comme un taureau, et il s’amuse à me faire des gorges profondes. Des gorges très très profondes, qui me font couler et qui me coupe la respiration. Heureusement que je n’ai rien mangé à midi. Dès la première seconde, Attila prend les choses en main et se montre hard, force sa queue jusqu’au fond de ma gorge et me retient quand je veux me sauver. Il me fait fantasmer et m’excite à mourir avec son comportement. Je suis folle de ça. Les soucis de ce matin sont oubliés, à des milliers de kilomètres derrière moi. J’oublie tout autour de moi. Je ne suis qu’à lui. Mon corps et mon âme lui appartiennent.
Son copain me doigte pendant qu’Attila me baise la gorge, et bientôt je gicle pour la première fois. Je me lève pour sucer l’autre pendant qu’Attila me défonce. Il va directement dans le cul et me prend bien fort, profondément et sauvagement, sans pitié comme j’adore. J’essaie de ne pas faire trop de bruit, mais c’est difficile. Je me fais baiser aussi la chatte, et je continue de sucer l’ami d’Attila. Celui-ci me fait gicler par le cul. Il a un peu de peine à bander assez durement pour me baiser aussi, mais il compense avec sa main et me fait jouir à tour de rôle avec Attila. Je suis trempée. Mes deux trous mouillent de plaisir.
Attila commence aussi à me baiser le cul avec ses doigts. Je suis très ouverte et déjà bien dilatée. Ainsi il ne s’arrête pas, et pousse la main, m’ouvre encore plus, et me glisse son poing dans mon cul. J’ai envie de ça, et je m’ouvre donc très facilement. J’explose de sensations fortes. Ce sentiment de dilatation extrême me fait monter au plafond. Je dois me mordre pour ne pas crier trop, et ce n’est pas encore tout … la main entière dans mon cul, il me baise la chatte avec sa queue. J’ai un poing dans le cul et une queue dans la chatte. Quelle folie. Comment il arrive à me faire ça ? C’est incroyable. Je suis remplie de tout partout, mes orifices sont dilatés et utilisés. C’est trop excitant. Je coule. Je jouis. Je suis aux anges.
Je m’écroule carrément par terre quand il se retire. Devant les deux mecs, à genoux, j’accueille encore leur sperme sur ma langue. Les deux jouissent dans ma bouche, sur ma langue tendue, avant qu’Attila m’offre encore son jus doré et m’asperge de son urine. Je suis souillée de la tête aux pieds.
Nous sommes vidés et satisfaits les trois. On éclate de rire de mon état, et aussi de l’état des deux mecs, qui ont bien transpirés. En plus dans cette camionnette, il n’y a aucune serviette ni lingette en vue. On s’essuie comme on peut, avec une couverture très sale et horrible, qui a dû être depuis un siècle dans cette camionnette pour servir de ‘je-ne-sais-pas-quoi’, hihihi. Bon j’ai dans mon sac une moitié d’un paquet de mouchoirs … Bref, il faudra que je rentre dans cet état à l’hôtel, aïe aïe aïe.
Je n’avais pas remarqué que Vincent est sorti plusieurs fois de la camionnette pour s’assurer que personne n’a appelé la police. Il y avait quand même des gens qui ont trainé autour de la camionnette, et qui se sentaient peut-être dérangé. On a eu de la chance. Quelle aventure ! Une fois de nouveau je pense que j’ai vraiment une vie de dingue. C’était superbe et m’a bien aidé à oublier les soucis du matin. Je me sens légère et bien dans ma tête.
Je vais prendre une douche à l’hôtel et je me refais en vitesse une beauté, plutôt mal que bien, car comme je n’ai rien mangé depuis ce matin, je veux quand même me faire un petit resto en vitesse avant la soirée de 22 heures. J’aurais mieux fait de ne pas prendre cette décision, mais c’est une autre histoire… à suivre !