Dès le matin j’ai plutôt une mauvaise journée. Je me réveille avec un léger mal à la gorge, et en plus, les disputes d’hier soir avec Junior continuent. Je lui avais reproché de ne rien faire de ces journées de congé. Comme par exemple aujourd’hui, où il n’a pas d’école à cause du marché des oignons à Berne, il ne fait que trainer à la maison et on a des discussions toute la journée à cause de ça.
En principe cette semaine je devais avoir deux rendez-vous, un demain soir et un samedi sur Montbéliard. Vincent a eu l’idée spontanée de se faire aujourd’hui un petit six à huit. Un apéro coquin pour le début de semaine avec une personne que l’on apprécie beaucoup pour sa spontanéité et sa créativité. C’est une valeur sûre. J’ai dit à Vincent que ça va nous faire peut-être un peu trop, mais il tenait à son idée.
Au cours de l’après-midi, je ne me sens vraiment pas dans mon assiette. J’ai la tête remplie par les soucis avec Junior. Mais comme mon hôte a organisé et réservé le lieu de la rencontre, je ne vais pas annuler, même si j’en aurais envie.
J’ai rendez-vous vers 18 heures, mais je dois partir déjà à 16 heures 50 pour aller chercher Vincent au travail et me rendre à l’autre bout de la ville. Je suis beaucoup trop tôt sur place, et je dois attendre une demi-heure dans la voiture sur un parking. C’est horrible. Cela casse vraiment l’ambiance et je me sens de plus en plus démotivée. Le pire est quand je commence à chercher l’adresse, un appartement dans un grand immeuble. Je tourne en rond. J’ai du mal à trouver. Cela m’agace. Enfin dans le bon immeuble, je dois monter en ascenseur jusqu’au 13ème étage, en compagnie de deux mamans avec leurs enfants. Mon excitation est à moins zéro, et je me demande ce que je fais ici. Je regrette de n’avoir pas écouté mon ventre.
Quand enfin je me retrouve devant mon hôte, je me sens beaucoup mieux. J’ai vraiment du plaisir à le revoir et tous mes soucis sont vite oubliés. Je me sens bien. J’ai envie de m’amuser. J’ai envie qu’il s’occupe bien de moi. Comme ça fait plus d’une heure que je suis en route, je dois repasser aux toilettes en arrivant. Je ressors, et Vincent demande si on veut filmer une petite intro. Je n’ai pas envie maintenant, je préfère le faire à la fin. J’ai déjà fait l’expérience que c’est mieux de filmer les interviews à la fin, quand tout le monde est détendu. Je suis nerveuse comme d’habitude, et quand je le suis, il faut que je commence tout de suite de m’occuper des « choses sérieuses" pour me calmer.
C’est vraiment un bon sentiment de me retrouver en train de caresser un corps, de me mettre sur les genoux pour m’occuper du mec. Je suis tout de suite dans mon élément, et tous les soucis de la journée sont loin derrière moi. J’adore sentir la belle érection de mon hôte. J’adore le déguster, le lécher, le sucer profondément. Nous sommes excités et impatients les deux.
Il me fait remettre sur mes pieds et je me tourne contre le mur pour lui offrir ma croupe. J’écarte bien les cuisses, et je suis déjà toute mouillé et chaude. Il ne me laisse pas attendre longtemps et me pénètre d’un coup fort le cul. Le coquin. Je gémis de plaisir. C’est trop bon. J’ai envie de le sentir bouger en moi, qu’il me remplisse, me dilate. Il prend le gode que j’ai amené et me le met dans le cul. Il me baise ensuite la chatte, et je sens mes deux trous bien remplis. Après quelques mouvements en double, le mec sort de ma chatte pour me baiser le cul en double avec le gode. Il m’ouvre avec le doigt pour se faire une place et glisse sa queue à côté du jouet dans mon petit trou. C’est vraiment trop excitant. Je sens la peau se dilater, mon petit trou s’ouvrir pour laisser la place au gode et à la queue. C’est très fort comme sensation. Après seulement quelques minutes, je me fais baiser et dilater le cul intensivement.
Mon hôte s’occupe avec sa main de mon cul et me fait jouir ainsi. Je suis au bord de gicler, mais cela n’arrive pas encore. Je sens comme ça monte, mais avant que je me lâche, il arrête de me baiser le cul avec sa main.
On se déplace sur le divan. Je le suce encore, et il me baise à quatre pattes mon cul et ma chatte. C’est délicieux de sentir sa belle queue à tour de rôle dans ma chatte et mon cul, et ainsi stimuler mes deux trous. Je mouille de tout partout. Je suis ouverte. Je cherche la queue. J’adore, et j’ai envie qu’il continue encore longtemps.
Il sort de moi et je me retourne pour le sucer encore. Je sens l’odeur de ma chatte et mon cul sur sa queue, et en le suçant j’ai ma propre mouille dans ma bouche. Je me couche sur le dos et je prends les jambes vers ma tête pour lui offrir ainsi ma chatte et mon cul, qu’il n’hésite pas à baiser à nouveau à tour de rôle. C’est trop excitant. Je suis chaude et j’adore. Il me fait jouir encore, avant de me remplir le cul avec son sperme. Il jouit tellement profondément dans mon trou que le sperme ne sort pas. Il ne va sortir que plus tard dans la soirée, comme beau souvenir blanchâtre de mon hôte.
J’ai envie de continuer à m’amuser encore, et j’ai soudainement une idée folle. J’ai vu que mon hôte a bu une bière quand je suis arrivée. Je lui demande d’aller encore en chercher une, mais pas pour la boire. Je lui demande de me baiser le cul avec. J’ai déjà introduit des bouteilles dans mon cul (bouteille de bière, bouteille d’eau, etc), et je ne pense pas une minute que ça ne pourrait pas être une bonne idée. Je suis tellement excitée et j’ai envie d’un final un peu fou.
Je sens que la canette est très froide, mais elle rentre bien. Il la bouge et j’adore le froid et ce sentiment de la dilatation extrême.
Quand il sort la canette, Vincent dit tout de suite que je saigne un peu, et je me sauve dans la salle de bain. Là je découvre que je saigne vraiment beaucoup, ce qui me semble étrange, parce que je ne ressens pas de douleurs. Sous la douche, ça ne s’arrête pas. C’est un vrai ruisseau rouge, et toute la baignoire se colore. En voyant ça, ma circulation me lâche. Je ne supporte pas la vue de sang. Je m’écroule, je fais une sorte de syncope. Je suis vraiment dans un état pitoyable. Quelle chance, mon hôte est … médecin. Il sait alors quoi faire, et m’aide à me remettre sur pied.
On finit la soirée en discutant autour d’un verre. Ça me fait du bien, et il me conseille de rester tranquille pendant quelques jours.
C’est un sacré final turbulent de cette rencontre. Mais voilà, j’ai appris une chose … les canettes de bières ne sont pas un gode idéal. Pfff