J’ai de la peine à rester tranquille, et pendant les deux heures de route mon ventre tourne dans tous les sens. Je suis un peu à l’avance sur place et je vais donc boire encore un café. Mais je suis comme une toupie. Je vais deux fois aux toilettes, et j’ai envie de mourir de nervosité. Je suis dans mon état normale avant une rencontre.
En arrivant sur place et en montant dans l’appartement, j’ai le sentiment que ça sera sûrement très bien, mais que je ne dois pas m’attendre au même délire comme les deux dernières fois quand j’ai vu mon hôte d’aujourd’hui. C’était les deux fois avec Attila et ses potes, et j’ai l’impression que c’est impossible de reproduire un événement de la même façon. Mais ça m’est égal en fait, car le mec est trop beau et bien fait, et surtout trop sympa, quoi qu’il se passe. Le long chemin vaut la peine.
Il m’offre à boire, et les choses commencent doucement, ou presque. Mais encore pendant que je commence à le sucer j’ai une pensée qui me traverse l’esprit. Cela sera sûrement plus tranquille qu’avec Attila. Qu’est-ce que je me suis trompée ! Je crois que jamais encore je ne me suis trompée sur ce point sur une rencontre, mais dans le côté positif.
Le mec baise ma bouche toujours plus profondément et plus fortement. Il bande tellement que je pense que sa queue est encore plus grosse et dure que les dernières fois. Quelle queue il a. Elle n’a pas assez de place dans ma gorge, mais il essaie de la mettre jusqu’au bout, jusqu’au fond, me force à l’avaler jusqu’à ce que mes yeux pleurent. Mon nez coule. Ma bouche bave. En quelques minutes je suis déjà dans un état pitoyable, ma coiffure est partie, le maquillage aussi. Il m’étrangle et n’arrête pas de me baiser ma bouche. Je sais que j’ai la tête rouge et que je ne ressemble plus à rien, sauf à une chienne baveuse. Il me demande si je suis sa chienne, et je lui répète que oui, sa chienne, sa salope, sa pute. Il aime m’entendre parler. Moi je n’aime pas du tout le faire, mais il insiste encore et encore, et je me force à lui faire plaisir. Mon cerveau s’est arrêté après seulement quelques instants, et je ne suis qu’à lui.
Il me tire sur le sol et s’apprête à me baiser. Sans m’avoir dilaté au moins avec un doigt, il m’enfonce d’un seul coup sec sa grosse queue dans ma chatte. J’ai l’impression qu’il s’agit d’un bâton en fer brûlant qui me déchire le vagin. Ma petite chatte serrée ne s’était pas encore assez ouverte pour accueillir un tel calibre. Je crie, pas de plaisir, mais de douleur. J’ai vraiment très mal, J’ai l’impression qu’on me déchire mon entre-jambes, qu’il m’ouvre tout le ventre. Je sursaute sur les pieds, avec une jambe j’essaie de l’empêcher de me pénétrer trop profondément. J’essaie carrément de fuir en avançant, mais il ne me lâche pas, me suit et reste profondément en moi. Il me presse sur le lit et se lance sur moi par devant, me pénètre à nouveau ma chatte et n’arrête pas de me violonter. J’hurle. Je souffre. J’essaie de l’éloigner de moi, mais il n’arrête pas. Quand enfin il me lâche, je m’écroule. J’ai aussi un peu honte d’avoir crié à ce point. Je me sens minable, mais j’ai vraiment souffert. Le pire c’est qu’il l’a fait exprès. Il savait des deux dernières rencontres que ma chatte a de la peine à supporter des grosses queues comme la sienne. Et il s’est fait un plaisir d’en profiter.
Quelle situation follement excitante. En me traitant ainsi, sans pitié, avec un tel sadisme, il me rend dingue, je suis folle de lui. J’ai envie qu’il fasse tout ce qu’il veut avec moi. C’est ce qui me fait quitter la terre ferme, un mec pareil sans limites et sans pitié. L’extase totale. Là, ce n’est pas une jouissance corporelle, mais une jouissance mentale.
Il me baise maintenant le cul, qui supporte beaucoup mieux sa grosse queue. Il me tire les cheveux, me claque les fesses. Je suis tellement excitée que quand il me doigte le cul, je me lâche immédiatement, et je coule. Il m’ordonne de me mettre à quatre pattes dans la flaque, dans mon jus. Il me presse mon visage dans le liquide, me traine dedans, m’étale le jus sur mon visage pendant qu’il me baise le cul.
Il me traine dans les toilettes, me presse la tête dans la cuvette, me mouille la tête. Je me fais enculer et baiser la bouche. Ensuite je me retrouve la tête dans l’évier avec l’eau qui coule sur ma tête. Cela me coupe le souffle. C’est un peu comme se faire noyer. Être noyer dans l’évier et se faire enculer en même temps. Quel délire.Le mec me retire la tête et me demande qui je suis. Je lui répète, sa chienne, sa salope, sa chose. Qu’est-ce qu’il m’excite.
Il me tire à nouveau sur le lit, me baise encore. Ensuite, il va chercher quelque chose à la cuisine. Je n’ai pas le droit de regarder. C’est froid, gelé … un plug glacé qui me refroidit la chatte et le cul. Surtout la chatte encore gonflée et sensible du traitement brut. Ça fait un bien de fou. Je le remercie, même si au départ je pense qu’il a envie que le glacé du plug me fasse plutôt souffrir.
On s’amuse encore, et à la fin je le suce et le branle longtemps jusqu’à la jouissance, pour accueillir son sperme chaud sur ma langue. J’avale tout et je lèche chaque goutte perdue sur son ventre. Mmmh, c’est bon et chaud.
Je suis ko et je reste sans mots.
Mon hôte m’invite encore à manger. Il cuisine pour moi et me fait découvrir la surprise préparée déjà la veille. Un gâteau à la viande avec une grande écriture en pâte sur le dessus mentionnant « Lafouine ». Je suis très touchée par cette idée et cette attention. C’est trop mignon. Merci mille fois. Tu es un vrai amour. Je reste bouche bée et pour les prochains jours encore longtemps sur mon nuage. En plus j’ai mal partout et quelques bleus qui me procurent un sentiment de souvenirs délicieux. J’adore :-)