« Une semaine par mois, je perds mon libre arbitre », dit Estelle.
« Ça m’a pris dix ans pour faire le lien »« Pour ne rien dire à personne que je puisse regretter plus tard, j’envoie tout par texto à ma meilleure amie. Quand j’ai enfin mes règles, je commence à faire le tri. Enfin, c’était avant. Maintenant, je n’ai plus que les sueurs nocturnes. Mais c’est déjà mieux. »
80%. C’est le nombre de femmes réglées qui sont affectées par le syndrome prémenstruel (SPM) selon le docteur Francesco Bianchi-Demicheli, du département de gynécologie obstétrique des hôpitaux...