Ces deux hashtags (mots-clés) sur Twitter résument la guerre culturelle qui se déroule depuis quelques jours au Kenya, après un incident violent au cours duquel une femme considérée comme vêtue de manière « indécente » a été déshabillée de force par un groupe d’hommes à Nairobi.
Après s’être opposés sur les réseaux sociaux, environ 200 femmes et quelques hommes défendant le premier point de vue – « My-Dress-My-Choice » – ont fait ce lundi une mini-manif en...
Ces deux hashtags (mots-clés) sur Twitter résument la guerre culturelle qui se déroule depuis quelques jours au Kenya, après un incident violent au cours duquel une femme considérée comme vêtue de manière « indécente » a été déshabillée de force par un groupe d’hommes à Nairobi.
Après s’être opposés sur les réseaux sociaux, environ 200 femmes et quelques hommes défendant le premier point de vue – « My-Dress-My-Choice » – ont fait ce lundi une mini-manif en...
(De Mexico) La vie de Yakiri Rubi Rubio a basculé le 9 décembre 2013. Alors qu’elle rejoint une amie en début de soirée, la jeune Mexicaine de 21 ans qui vit à Tepito – l’un des quartiers les plus dangereux de la capitale Mexico –, est agressée. Sous la menace d’un couteau, des hommes la forcent à les suivre dans une chambre d’hôtel, où ils la battent avant que l’un d’eux, Miguel Angel Anaya, un colosse de 37 ans avoisinant les 100 kg, la viole.
Toujours selon la jeune femme, son frère et complice, Luis Omar Anaya, est sorti à ce moment-là fumer une cigarette.
Ménie Grégoire, la femme qui a « confessé » la France durant des années sur l’antenne de RTL puis à la télévision, est morte samedi à l’age de 95 ans.
Des dizaines de milliers de personnes l’appelaient ou lui écrivaient pour parler couple, sexualité, relations intimes. Entre le confessionnal et le divan du psychanalyste, mais à sa manière, Ménie Grégoire était devenue une institution.
Une institution à l’image de son époque, très contestée, comme le montre cette émission de télévision de 1976, au cours de laquelle elle se trouve confrontée à plusieurs...
Trouver une Indienne ayant réussi à éviter d’être harcelée dans la rue est un défi. Elsa Marie D’Silva est l’un de membres fondateurs de Safecity, un outil de cartographie participative pour « épingler les sales types ».
Quand on lui demande si elle a déjà été victime de harcèlement de rue, elle répond :
« Je n’ai jamais rencontré une femme indienne qui n’a jamais été victime de harcèlement de rue. »
La plupart des femmes sont conditionnées pour s’enfuir discrètement sans faire de scène. Plusieurs organisations sont nées pour lutter contre ce phénomène, à l’image de
En tant que représentants de la société civile congolaise, du Gouvernement de la République Démocratique du Congo et de l’Organisation des Nations Unies en RDC, nous tenons à montrer notre engagement et notre solidarité dans l’élimination de toutes les formes de violences à l’égard des femmes.
Les violences physiques, et en particulier les violences sexuelles dont sont victimes un trop grand nombre de femmes, sont les plus visibles et les plus marquantes.
Dans les pays en conflit, le corps des femmes devient une arme de guerre et la République Démocratique du Congo n’a...
Un baiser fougueux échangé par deux jeunes filles lors d'un rassemblement d'une église évangélique sur la place publique au Brésil s'est terminé par l'intervention de la police, et une vive polémique sur les limites de la tolérance.
Une fatwa contre une déclaration des Nations unies ? C’est sans doute une première et on a la doit au Grand Mufti de Libye, cheikh Sadek Al-Ghariani. L’objet de la colère du plus haut dignitaire musulman libyen : les femmes, évidemment.
Le Grand Mufti s’insurge contre un projet de déclaration en discussion à une réunion de la commission de la Condition de la femme qui se tient actuellement au siège de l’ONU, à New York, et à l’issue de laquelle les représentants de 190 gouvernements doivent en principe adopter vendredi une déclaration sur « l’élimination et la prévention de...