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On vous a posé huit petites questions sur la culture porn pour vous faire gagner des sessions de porno VR au bureau en pensant que vous alliez faire un sans faute les doigts dans le pif, et bien pas vraiment. Avec un taux de seulement 19,87 % de réussite au questionnaire, on peut clairement l’annoncer : vous êtes des quiches. Un smiley triste se lit sur nos visages mais on a aussi conscience que certaines questions étaient un peu vaches pour ceux qui ne suivraient pas l’actualité du porno immersif d’aussi près que nous.
Pour que vous puissiez briller en société, voici le corrigé du questionnaire, en espérant que vous ne ferez plus jamais la faute sur la définition du porno gonzo ! Notez que tous ceux qui ont 8 sur 8 seront contactés cette semaine pour des sessions de porno VR de mars à avril dans nos bureaux (par groupes de 3-4). Si vous êtes un professionnel du secteur ou de la presse, on peut peut-être également s’arranger sans passer par le questionnaire, contactez-nous.
En quelle année a été lancé Le Tag Parfait ?
En mars 2010 sous la forme d’un blog qui ressemblait à ça.
Qui a inventé le casque Oculus Rift ?
C’est Palmer Luckey qui a remis au goût du jour les casques de réalité virtuelle en 2012. Certains ont répondu John Carmack, c’était un piège. Si le programmateur du moteur graphique Quake a bien aidé Palmer Luckey a ses débuts, il n’est pas l’inventeur du casque. Tout comme Mark Zuckerberg qui a seulement racheté la societé de Palmer Oculus VR pour 2 milliards de dollars en 2014.
Qui est la directrice de production du studio Virtual Real Porn ?
C’est bien l’espagnole Amarna Miller qui aide la société pionnière dans le contenu porno en réalité virtuelle Virtual Real Porn à tourner. Peut-être l’occasion de relire son interview chez nous.
Lequel de ces studios n’a pas encore tourné de porno pour les casques de réalité virtuelle ?
Cette question vous a posé pas mal de problèmes, vous êtes plus de la moitié à vous êtes trompés. C’est bien Evil Angel qui n’a pas encore tourné de contenu pour les casques de réalité virtuelle et c’est bien dommage quand on connaît leur perversité. Vous avez été 35,9 % à penser que Jacquie et Michel n’avait pas encore passé le pas. Et pourtant c’est bien le cas !
Qu’est-ce que le porno gonzo ?
Seulement 61,6 % ont bien répondu à cette question. C’est donc le moment de redonner une définition claire. Le porno gonzo s’oppose au film scénarisé (featured film). Son inventeur est John Stagliano qui a eu la riche idée dans les années 80 de prendre sa caméra à l’épaule et de filmer à la première personne ses pornos qui n’avaient pas de réels scénarios (on était plus dans un registre de faux reportage ou de sextape, la fameuse série Buttman). S’il invente en même temps le concept de POV et apporte une image presque amateur, le porno gonzo n’est ni la définition d’un POV (car il peut très bien être filmé de manière classique), ni la traduction d’une scène amateur (une production esthétisante peut être sans scénario, comme chez X-Art par exemple).
Qu’est-ce que la réalité augmentée ?
Une erreur qu’on lit souvent dans la presse, la réalité virtuelle n’est PAS de la réalité augmentée. Dans la réalité virtuelle, vous êtes immergé dans une autre réalité. La réalité augmentée apporte seulement une couche virtuelle sur votre réalité. C’est le cas du projet avorté des Google Glass ou du projet HoloSens chez Microsoft.
En quelle année a été lancé Chaturbate ?
En 2011 ! Vous voulez en savoir plus sur leur modèle économique ? Cette conférence est faite pour vous.
Existe-t-il une option pour regarder des cams en réalité virtuelle sur Chaturbate ?
Pas encore, mais c’est clairement dans les projets de la plateforme. Il va falloir attendre quelques années avant que les connexions et le matériel deviennent accessible pour tous. Ceci dit, c’est déjà techniquement possible.
Au mois de novembre prochain, les électeurs californiens seront appelés à voter pour ou contre une mesure qui imposerait le port systématique du préservatif sur les plateaux de tournage pornographiques de leur Etat. L’industrie s’est farouchement opposée à cette proposition de loi. Pour convaincre la population de dire “non” lors du référendum, ses membres sont en train de mettre en place une vaste campagne de communication, rapporte l’International Business Times.
Le mois dernier, l’industrie du X a remporté une première victoire en convainquant l’Occupational Safety and Health Administration de Californie de ne pas apporter son soutien au projet de loi. La décision des sept représentants de cet organisme gouvernemental chargé de protéger la santé publique a sans nul doute été influencée par les interventions de nombreux professionnels de la pornographie. Leur principal argument voulait qu’imposer le port du préservatif sur les tournages ne mette l’industrie face à un choix dangereux : mourir en emportant avec elle les milliard de dollars qu’elle génère ou se cacher, une option qui ferait nécessairement empirer les conditions de travail de ses membres.
Eric Paul Leue
Pour s’assurer que cette réussite ne sera pas balayée par le vote du mois de novembre, l’industrie va faire appel à ses pouvoirs d’empire médiatique. C’est en tout cas ce qu’affirme Eric Paul Leue : “Nous avons des millions de followers sur Twitter, a expliqué le directeur exécutif de la Free Speech Coalition (FSC) à l’International Business Times. Nous avons des millions de clics et de liens sur nos sites web. Nous pouvons capter l’attention du public relativement vite.” L’actrice Chanel Preston, l’une des principales représentantes de la FSC, est suivie par près de 150 000 personnes sur les réseaux sociaux. Certains de ces abonnés sont nécessairement des électeurs californiens. “Nous n’avons pas les moyens de diffuser des publicités à la télévision, (…) mais nous avons beaucoup de solutions créatives” a-t-elle expliqué.
Toucher large, c’est bien ; toucher juste, c’est mieux. Convaincre les internautes de s’intéresser au texte de loi ne sera pas aisé. Eric Paul Leue a déjà un plan de bataille : pour que le message passe efficacement, il faut avant tout qu’il soit maîtrisé par ses émetteurs. “La première chose que nous allons faire, c’est éduquer les performeurs à propos de cette initiative, a poursuivi le cadre de la FSC. Le problème du préservatif est toujours difficile à comprendre pour ceux qui évoluent en dehors de l’industrie. Certains électeurs ne veulent pas avoir à faire à quoi que ce soit de pornographique. Le mieux que nous puissions faire est d’éduquer ceux qui vont voter.”
Chanel Preston
L’autre partie du plan de l’industrie consiste à s’attirer le soutien des politiques. Une tâche ardue mais potentiellement fructueuse : “Nous avons eu à faire à des législateurs conservateurs qui ne voulaient pas s’impliquer parce que cette histoire a trait au sexe, explique le porte-parole des professionnels de la pornographie Mark Stabile. Mais certains membres de ce bord politique se sont aussi exprimés pour dire que c’était une mesure incroyablement intrusive et coûteuse.” Au moins de janvier, le parti démocratique de San Francisco s’est officiellement opposé au projet de loi.
Si la mobilisation orchestrée par les professionnels du X ne portait pas ses fruits, la loi pourrait imposer bien plus que des préservatifs sur les plateaux californiens. Les acteurs et actrices pourraient se retrouver contraints d’enfiler des lunettes de protection et des digues dentaires pour se prémunir contre tout agent pathogène transmis par le sang. Elle viendrait également achever le travail entamé en 2012 par la Mesure B, une loi qui force tous les performeurs du conté de Los Angeles à enfiler une capote pour chaque scène. Une fois adopté, ce texte a forcé les producteurs à l’exode.
Le libertinage est plus un état d’esprit qui permet d’aller vers une liberté des moeurs plutôt que le contraire. J’ai déjà parlé de la philosophie et des valeurs dans le premier article mais, assez peu de cette liberté des moeurs. Dans cet article, je vais donc revenir sur la liberté des moeurs et ses implications…
Cet article Le libertinage, pourquoi ? Pour qui ? – Partie 2 est apparu en premier sur NXPL.
Photo: Real-life lovers Jess-Louse & Stefania Ferrario on Sticks & Stones.
“Since the 1970s, the hills above Hollywood have played host to a booming pornography industry. A majority of American sex films are shot there in warehouses and private homes — helping the San Fernando Valley rake in $4 billion in annual sales in its ’90s heyday. How did an out-of-the-way desert suburb become the porn capital of the world? Location, location, location.”
How LA’s ‘Porn Valley’ became the adult entertainment capital of the world (Tech Insider)
“Allen, who is Canada research chair in queer theory and assistant professor of gender and women’s studies at Brandon University, is a serious scholar, someone who feels passionately that all too often, in literary criticism and contemporary life, the anus gets a bum rap. Is he right?”
Reading from Behind: A Cultural Analysis of the Anus review – getting to the bottom of ‘anal theory’ (Guardian)
“A new study led by a University of Massachusetts Amherst sociologist finds that sexually active teenage girls who took a pledge of abstinence were at a higher risk of contracting human papillomavirus (HPV) and having non-marital pregnancies than those who did not take such a pledge.”
Sociologist Finds Abstinence ‘Pledgers’ Have Higher Risk of HPV, Non-Marital Pregnancies (UMass Amherst)
“Lisa (a pseudonym), 34, has been with her husband for half of her life, and says being polyamorous has strengthened her marriage. Their relationship has been almost entirely open, albeit with differing rules and structures as they’ve figured out the type of setup that works for them. Currently she has four additional partners; two of those relationships are ones she shares with her husband.”
I’m in a Relationship With Four People. Just One Is My Husband. (ELLE)
“When you say it as baldly as that it appears an even worse idea than at first glance. For police to use intrusive surveillance, to observe the payment being made, they will need to know who to target. That means that, even thought they are not committing a criminal offence, sex workers will have to be on police intelligence databases. How will those databases be compiled?”
Enforcing asymmetric criminalization (Sometimes It’s Just A Cigar)
“Of course, the most paradoxical thing about Samuel Delany is that he’s done some of his deepest thinking within the genre conventions of science fiction, a genre not known, when he published his first novel (The Jewels of Aptor, in 1962), for its hospitality to black men, let alone gay ones. Undaunted, he pushed the envelope of speculative fiction and fantasy, improvising on the identity politics of race, ethnicity, sex, gender, and class in sprawling, richly imagined novels that are as sensual as they are philosophical.”
Sci-Fi Hero Samuel Delany’s Outsider Art (Daily Beast)
CNN had an internal editorial debate over whether they can put "penis" in a headline—eventually deciding "yes" pic.twitter.com/vN43IahnZY
— Timothy Burke (@bubbaprog) March 4, 2016
“We’re generally handed about 20 sheets of paper, a big contract that says, ‘Here’s payment info. Here’s what you’re doing. Do you consent to this?’ many times,” porn performer Mercedes Carrera told an audience gathered for a recent panel discussion called “Consent in Porn: Debunking Myths & Managing Realities” held in Los Angeles. “People try to interlay their personal understanding…of what they think consent is, with this very cut and dry legal understanding of consent.”
What Does Consent on a Porn Set Look Like? (Broadly/Vice)
“According to data provided by Uber to BuzzFeed News, the company received five claims of rape, and “fewer than” 170 claims of sexual assault directly related to an Uber ride as inbound tickets to its customer service database between December 2012 and August 2015. Uber provided these numbers as a rebuttal to screenshots obtained by BuzzFeed News. ”
Internal Data Offers Glimpse At Uber Sex Assault Complaints (Buzzfeed)
“The onset of dementia does not have to signal the end of a healthy sex life. All relationships experience change over time. … Some people find that when they – or their partner – are diagnosed with dementia, this raises some questions about puzzling changes in their sex lives…”
Alzheimer’s and Sex/Intimate Relationships (Dementia Today)
“It’s no surprise to anyone to hear that there is a lot of porn on the Web. OK, perhaps not as much as some studies make out, but there’s still plenty of naked bodies out there if you want to find them. Behind those most popular sites are tough to track corporations – and behind most of them is just one. Here are the companies and people behind some of the most biggest porn sites in the world.”
The (almost) invisible men and women behind the world’s largest porn sites (TNW)
“(…) But the manner in which OneTaste has commercialized the clitoris massage rubs some people the wrong way. It’s not the product — it’s the marketing. Throw in the motivational speeches, expensive retreats, and the focus on the charismatic personality of Daedone, and accusations of “cult” inevitably appear. …”
Is Orgasmic Meditation a Cult? (Daily Beast)
“This morning, Kesha fans took to the streets to protest Sony’s apparent inability to free Kesha Sebert (known to fans as Kesha or Ke$ha) from a contract which binds her to her producer and alleged abuser, Lukasz “Dr. Luke” Gottwald.”
We Asked An Actual Entertainment Lawyer: Why Can’t Sony Help Kesha? (Autostraddle)
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La pratique de la masturbation va t-elle prendre de plus en plus d’ampleur dans le futur ? L’étau de la religion se desserre, les...
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Créée par Christel Le Coq, B-Sensory est une application qui vous permet de ressentir des sensations physiques en lisant un roman érotique. Comment ? Grâce à un sextoy connecté à vos lectures ! L’idée est vraiment innovante et ne devrait pas manquer de nous faire (re)découvrir le plaisir de la lecture érotique.
B-Sensory ou la technologie au service du plaisirPour profiter de l’expérience B-Sensory, il vous faut télécharger l’application de lecture et vous procurer le sextoy connecté Little Bird. Le Little Bird est le premier sextoy synchronisé via Bluetooth pour adapter les sensations ressenties en fonction du moment où vous en êtes dans votre lecture.… Lire la suite
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Période énergique au Tag, on a envie de revenir et d’être léger, de poster sans trop réfléchir. Comme Decordoue est partie et en attendant l’arrivée prochaine d’un nouveau stagiaire qui pourra mettre ses mains habiles dans notre Tumblr, je me colle aux Gifs de la semaine. Pour cette sélection que vous lirez pendant que je serai sur l’île de Sein à ne regarder rien d’autre que la mer et les rochers, je vous ai préparé un dimanche spécial crush : le top 5 de mon historique, celles qui font faire des huit à mes neurones.
Ariana Marie se lance dans sa première scène anal chez Tushy en compagnie de Mick Blue. Quand la rédaction a appris ça, tout le monde a quitté le bureau pour aller fapper au chaud. Si j’aime Ariana c’est qu’il se passe toujours un truc étonnant au niveau du haut de son visage, un petit gimmick chelou qui me rend accro. Difficile à expliquer.
Ariana Marie & Mick Blue – Tushy
Krissy Lynn concentre tout le vice que j’aime dans le porn. Complètement possédée par une force mystérieuse qui l’amène à magnétiser toutes ses scènes, elle est la révélation de mon historique en 2016, soit 9 ans après sa première scène. Le premier qui dit que je suis « old » se fait assommer par ses énormes seins. Le fap est un outil intemporel, comme le marteau ou la roue. Respectez-le.
Quand j’ai appris que Yhivi était en train de tourner du porno en réalité virtuelle pour HoloGirls VR, il a fallu me réanimer en me mettant des petites gifles comme dans ce gif. L’imaginer à 20cm de ma tête en train de me raconter des cochonneries et remuer son bouli-boule était trop pour moi, j’ai tourné de l’oeil la seconde d’après.
Yhivi – ManyVids
Je vous présente mon crush étrange du moment : Mercy West. Découverte en plein digging sur Pornhub, sa mini scène de soumission avec option pipi semble vous avoir plu autant que moi. Et c’est tant mieux. Androgyne, perverse et naviguant dans les eaux troubles des fétichismes pointus, Merry est arrivé à moi par une porte dérobée. Depuis, je ne sais toujours pas si elle incarne mon double féminin ou simplement l’incarnation d’un tag parfait. Troublant.
Mercy West – Strapon & Dirty Talk
Ana Foxxx n’a jamais eu un charisme incroyable mais sa beauté est tellement parfaite qu’elle submerge tout. Je ne sais pas trop quoi vous dire de plus, tellement ce gif parle de lui même. Par contre, je ne sais pas d’où il est tiré à part de cette vidéo volée. Vous avez une idée.
C’est l’heure du quatrième Apéro Sexo Virtuel ! Ce dimanche 06 mars 2016, sur Twitter ça va être sextoys à gogo ! On va aborder votre utilisation des sextoys à travers 5 questions posées en direct. Je vous le dis, ça va vibrer… Tenez-vous prêts et venez prendre l’apéro Twitter avec nous !
Comment utilisez-vous vos sextoys ? A quelle fréquence ? Quels sont les types de sextoys que vous préférez et pourquoi ? Est-ce mieux à deux ou à plusieurs ?… Lire la suite
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Je continue mon exploration des godemichets en verre avec le modèle Fantasy de GlassVibrations. Il s’agit d’un modèle sublime de godemichet en verre dédié au plaisir vaginal mais aussi anal. Voyons voir ensemble à quoi il ressemble et s’il tient ses promesses. Présentation du godemichet GlassVibrations Fantasy Tout comme le Purple Love (dont le test…
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Une fois tous les quinze jours, les gifs gay viennent s’ajouter à la sélection du dimanche. Deux fois plus de douceur, deux fois plus de pénétration, deux fois plus de corps entremêlés. Cette semaine ne fait pas exception aux autres. Encore et toujours un régal.
On se met en jambe correctement avec une orgie des plus distinguées. Tout le gratin est présent : Jed Athens, Rafael Carreras, Shane Frost, Marcus Isaacs, Draven Torres se mettent en quatre pour le kiff des kiffs. Il faut savoir se satisfaire des choses simples, et quoi de plus facile lorsque le bonheur n’est qu’à portée de bites ?
Jed Athens, Rafael Carreras, Shane Frost, Marcus Isaacs & Draven Torres – Lucas Entertainment
Tic, toc, tic, toc, telle une pendule, la teub d’Andy Taylor rappelle qu’il est l’heure de profiter du temps disponible avec Justin. Être ponctuel c’est important dans la vie, avec ce genre de réveil on est sûr de ne jamais louper le rendez-vous du love. Merci Andy !
Justin Owen &Andy Taylor- Encyclopedia Pound – Helix Studios
Mieux que le miroir et plus sexy que le lac, je vous présente Messieurs la porte vitrée. Optimale pour s’observer sous toutes les coutures, toujours là pour être votre appui, elle ne vous lâchera jamais et donnera à vos sodomies une allure romantique. N’hésitez plus !
Jarec Wentworth & Justin Owen – Randy Blue
Le petit câlinou du matin qui fait du bien, lorsqu’on va s’attaquer à une dure journée il vaut mieux la commencer dans l’amour et la paix. Quoi de mieux, du coup, que de s’offrir un moment de douceur aux côtés de Brent Corrigan et Theo Ford ? Ils ont l’air si bien qu’on n’a presque pas envie de les déranger. Mais si quand même, allez faites une petite place les gars.
Brent Corrigan & Theo Ford – Moving Up – Falcon Studios
Qu’on se le dise : les plus beaux mecs de la planète Porn sont sous vos yeux. Entre Jack Harrer et Joel Birkin, mon coeur balance, surtout lorsqu’ils se mettent dans ces états-là. Leurs corps ne font quasiment plus qu’un et ça me fait dire que si c’était le cas nous aurions affaire au plus bel être du monde. Chauffez-vous les copains !
Jack Harrer et Joel Birkin – BelAmiOnline
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Tendresse et chocolats
Image à la Une : Kevin Warhol et Jonathan (?) je connais pas son nom
Le jour du face à face entre Hulk Hogan et Gawker approche doucement, mais sûrement. Mardi 1er mars, le tribunal de la ville de St. Petersburg, en Floride, a convoqué 500 personnes dans ses locaux ; douze d’entre elles seront bientôt sélectionnées comme membre du jury. Elles auront à juger de la culpabilité du magazine en ligne, poursuivi par le catcheur superstar pour avoir diffusé sa sextape en 2012.
Dans la vidéo incriminée, Hulk Hogan – de son vrai nom Terry Bollea – peut être vu en compagnie de Heather Clem, l’ex-femme de son ancien meilleur ami Bubba the Love Sponge. Le catcheur affirme que ces images ont été tournées à son insu et qu’en les diffusant, Gawker a violé sa vie privée. Il réclame 100 millions de dollars de dommages et intérêts au titre numérique.
Nick Denton
Le site People rapporte que les avocats de Gawker ont largement fondé leur argumentaire sur le Premier amendement de la Constitution des Etats-Unis, un texte qui garantit la liberté d’expression et de religion. Nick Denton, le fondateur du magazine, soutient que Gawker était dans son droit en révélant la sextape. A l’en croire, la diffusion de ces images était justifiée par l’attitude de Hulk Hogan, réputé pour avoir déjà évoqué sa vie sexuelle en public. “Je veux que les lecteurs aient accès aux deux facettes de l’histoire”, a-t-il expliqué à l’agence Associated Press.
Le processus de sélection des jurés s’est poursuivi dans la journée du mercredi 2 mars. Le procès est imminent ; selon les représentants du tribunal de St. Petersburg, il pourrait durer entre trois semaines et un mois. Hulk Hogan est apparu déterminé à faire condamner Gawker : “Je vais aller jusqu’au bout, a-t-il affirmé à People. Malgré toutes leurs menaces, je ne battrai pas en retraite face à ce genre de cruauté.”
Mercredi 9 mars, les Fils de Vénus et le magazine Under The Influence investissent le Badaboum bras dessus, bras dessous pour vous présenter la jeune et talentueuse ABRA. Ce soir-là, à partir de 20 heures, la rappeuse originaire des Etats-Unis donnera son tout premier concert parisien. Elle sera accompagnée de Claude Violante, une Française qui concocte des mélanges de pop, de house et de R’n’B infusés à la nostalgie des 90’s. Une belle équipe qui ne manquera pas de vous faire onduler.
Pour assister à ce concert, pas le choix : vous devez acquérir vous billets à l’avance. Il vous en coûtera 11 euros sur Digitick. Bien sûr, il reste toujours l’option Tag Parfait. Pour tenter de gagner l’une des deux paires de places que nous mettons en jeu, faites nous parvenir un e-mail gentil à concours@letagparfait.com. Le gagnants seront tirés au sort et contactés par le patron lui-même ! Bonne chance.
« Comment devenir libertin ou libertine ? » Telle est la question récurrente que me posent des lecteurs ou lectrices, ainsi que les couples qui lisent les articles sur les sorties en clubs libertins racontées sur ce site. Je vais donc vous donner mon point de vue et quelques conseils sur le sujet dans une série d’articles…
Cet article Le libertinage, pourquoi ? pour qui ? – Partie 1 est apparu en premier sur NXPL.
Comment comprendre Adolf Hitler ? Il semble impossible qu’un être humain sain d’esprit puisse décider de l’extermination de six millions de personnes. Il avait forcément un problème, cet Autrichien moustachu, une blessure profonde et putride qui explique à elle seule le génocide : est-ce parce qu’il a été refoulé de l’école d’art qu’il convoitait ? Parce qu’il a été traumatisé par la Grande Guerre ? Pourquoi pas. Mais n’oublions pas l’explication la plus en vogue : la haine des Juifs, les camps, les chambres à gaz, tout ça, c’est parce qu’Hitler avait un problème de zigounette.
Qu’elle est confortable, l’idée qu’un sexe déformé puisse suffire à créer un dictateur génocidaire. On a tout entendu sur l’appareil génital et la sexualité d’Hitler : il n’avait qu’un seul testicule, il avait un petit pénis, il était asexuel. Les Britanniques ont même inventé une comptine sur le sujet. Il y a quelques jours, ces thèses ont pris un nouvel envol quand quelques sites Internet ont déterré un ouvrage publié au milieu de l’année dernière. Dans Hitler’s Last Day : Minute by Minute, Jonathan Mayo et Emma Craigie affirment que l’instigateur de la Seconde guerre mondiale était atteint d’hypospadias, une malformation qui fait s’ouvrir l’urètre sur la face intérieure de la verge.
Les deux historiens auraient fait cette découverte en épluchant des rapports médicaux inédits. Il y a tout juste deux mois, le professeur Peter Fleischmann de l’Université d’Erlangen-Nuremberg a invoqué des documents similaires pour prouver que le dictateur était également propriétaire d’un testicule non descendu, une anomalie connue sous le nom de cryptorchidie. Auparavant, on pensait que la couille dictatoriale avait été emportée par un shrapnel au cours de la Première guerre mondiale. Décidément, il s’en est passé des choses dans le slip d’Adolf. Un slip très opaque et sujet à controverses : d’après le médecin d’enfance du nazi, l’appareil génital du futur führer était tout à fait normal.
Réfléchissons un peu. Somme toute, le coup du zizi mal fichu qui rend les gens méchants, n’est-ce pas un peu ridicule ? Dans les colonnes du Daily Dot, la bioéthicienne Alice Dreger l’affirme tout de go : “C’est un élément indissociable d’Hitler, on en revient toujours à son système génital. Au fil des années, l’idée qu’il soit devenu un meurtrier sanguinaire parce qu’il était atteint d’une quelconque malformation revient sans cesse. Je pense qu’on ne peut pas expliquer la violence et le génocide avec ça.” A l’en croire, notre obsession pour le pénis prétendument mal formé du dictateur serait la manifestation d’une “tendance historique” qui fait rimer différence sexuelle et comportements antisociaux.
Alice Dreger
“Ce n’est pas une bonne idée de dire que les différences génitales ont des conséquences terribles, continue Alice Dreger. Je pense que cela pousse à croire que nous devrions discriminer les gens selon leur appareil génital, que nous pouvons lire dans leur cerveau ou leurs préceptes moraux en regardant leur sexe, ce qui est faux.” Du fait de ce fantasme, les parents des enfants victimes de malformations génitales sont mis sous pression. Beaucoup font “corriger” l’anatomie de leur progéniture en vitesse par intervention chirurgicale. Le problème, c’est que ces coups de bistouris ont parfois de lourdes conséquences sur le bien-être physique et mental de l’opéré. Pour le Daily Dot, mieux vaut attendre que l’individu mal formé soit assez grand pour choisir de passer ou non sur le billard.
A l’heure où les mouvements d’acceptation du corps séduisent de plus en plus, force est de constater que notre rapport aux parties génitales stagne. L’histoire sans fin des attributs d’Hitler le prouve ; l’apparence de notre bas-ventre suscite toujours moqueries et interprétations délirantes. Mal formé ou petit, un pénis différent ferait un loser, voire un dictateur enragé. Ca semble quand même un peu léger.
Il paraît normal chez nous (en Occident) que des animaux de compagnie soient considérés comme des personnes. Mais des objets ? «Foutaises». Un concombre ne va tout de même pas porter plainte pour viol. Pas plus qu’un godemiché. Ou bien !?
Lorsque des humains engagent une relation intime avec un objet, leur mépris affiché des choses soi-disant «inertes» et «insensibles» laisse place à de troublantes rêveries. Dans cette publicité réalisée par la boutique de sextoys Sara’s Secret, par exemple, que voyez-vous ? Un concombre fuit le lit d’une femme et court se réfugier au frigidaire. Traumatisé.
«Des milliers de concombres sont maltraités chaque jour. Mettons fin aux abus sexuels de légumes», propose Sara’s Secret qui suggère une solution : un godemiché. Mais a-t-on demandé son avis au godemiché ? Après tout, les sextoys pourraient très bien porter plainte, à leur tour, pour sévices.
Vous trouvez cela risible ?
En Occident, on a tendance à se moquer des personnes qui chantent pour encourager l’éclosion des fleurs. Les adultes incapables de jeter leurs vieilles peluches sont soupçonnés d’immaturité. Les hommes qui s’attachent à une poupée ? Des pervers. Suivant un préjugé encore très courant de nos jours, seuls les enfants – et les primitifs – sont capables d’imputer une vie aux objets. Mais le vernis de ce préjugé se fissure dès qu’il est question de sexe.
Un lobby anglais pour interdire l’usage sexuel des robots
La preuve : en septembre 2015, des chercheurs en éthique, en anthropologie et en robotique, issus de la communauté scientifique britannique lancent une campagne contre les robots sexuels parce que, disent-ils, les clients pourraient entretenir avec les robots des rapports de domination et, par association d’idées, réduire les prostituées humaines «à l’état de choses (comme les robots).» Il est curieux de voir comment ces chercheurs fantasment la relation à l’objet, imaginant que les robots sexuels seraient forcément des victimes (1). Pourquoi craignent-ils tant que le robot se fasse maltraiter, exploiter ou violer ?
Peut-on parler de maltraitance pour des objets ?
Le 29 février sur RTL, dans l’émission On est fait pour s’entendre, consacrée aux robots sexuels, une auditrice intervient : «Moi, ce qui me fait peur, c’est l’idée qu’on profite d’un objet sans volonté. Si la machine accepte tout… Moi je vois le côté dérangeant d’un comportement presque de viol». Flavie répond : «Mais utiliser un sextoy, en revanche, ça ne vous gêne pas ?». L’auditrice réplique : «Le robot c’est un visage humain, c’est un corps humain». Flavie enchaîne : «Je comprends, cette idée de la maltraitance, est-ce que ça ne pourrait pas réveiller aussi chez nous des pulsions… une sorte de violence ?».
Serge Tisseron à qui elle pose la question, psychiatre et auteur d’un livre intitulé Le jour où mon robot m’aimera, répond avec philosophie : «Vous savez, le robot sera un peu comme les jeux vidéo aujourd’hui, c’est-à-dire plus ou moins faciles. Vous pourrez le programmer pour qu’il soit moins complaisant, et puis selon les conditions dans lesquelles vous le branchez, il pourra être parfois plus réticent que ce que vous souhaiteriez. Si les machines étaient complètement esclaves, nous nous en lasserions très vite».
Vous préférez Carmen ou Cosette ?
Un objet qui résiste ou qu’il faut séduire est certainement plus excitant qu’un exutoire inerte. C’est ce que montre l’exposition Persona, étrangement humain au Musée du Quai Branly. Mettant côte à côte des fétiches africains et des œuvres d’art contemporaines, l’exposition dévoile, au fil d’une splendide et troublante démonstration, à quel point nous, les «modernes» sommes sensibles aux émotions, souvent complexes, que nous projetons sur les machines. Il est tellement plus intéressant d’imaginer que l’ordinateur fait un caprice quand il bugge. Que le frigo ronronne quand vous rentrez du travail. Que la voiture réclame votre attention. Les objets qui donnent l’impression de manifester des émotions contradictoires ou qui exigent de l’amour sont les plus séduisants.
Petite expérience de psychologie
En 1944, les psychologues Fritz Heider et Marianne Simmel font une expérience pour le prouver. Cette expérience, vous pouvez à votre tour la faire au Musée du Quai Branly. Elle est très simple. Il s’agit de regarder un petit film d’animation très court, «dans lequel deux triangles et un disque bougent à l’intérieur et à l’extérieur d’un carré qui s’ouvre et se referme». Chaque fois que Heider et Simmel montrent cette séquence, le public réagit pareillement. A la question «qu’avez-vous vu ?», les spectateurs répondent qu’un des triangles était particulièrement «excité», «agressif» et que le rond était «hésitant» ou «fragile». Ce ne sont plus de simples figures géométriques, mais les héros d’une saynète romantique. Le triangle 1 est un mâle en rut qui poursuit le rond de ses assiduités. Le triangle 2 vole au secours du rond. Le carré protège les amants en fuite…
Nous, les cartésiens. Eux, les animistes ?
Tout imbus de notre pseudo-supériorité sur ceux que nous appelons négligemment des «animistes» (autant dire des sauvages), nous sommes pourtant incapables de regarder un agencement de formes symétriques pour ce qu’il est. Nous l’interprétons comme une histoire d’amour et de guerre. Notre cerveau projette du sentiment. Nous peuplons les nuages de chimères qui s’enlacent et se battent. Nous prêtons des pensées à des cellules vues au microscope. Nous regardons dans les étoiles des histoires de déesses jalouses et de maris adultères. Peu importe que les choses soient infiniment petites ou grandes, nous avons l’illusion qu’elles désirent comme nous. Faut-il avoir honte ou peur de cette tendance quasi-instinctive à entrer en empathie avec des choses qui, pourtant n’ont rien d’humain ? A cette question, l’exposition Persona apporte une réponse lumineuse.
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EXPOSITION : Persona. Etrangement humain : jusqu’au 13 novembre 2016, au Musée du Quai Branly. Exposition coorganisée par Emmanuel Grimaud, Anne-Christine Taylor-Descola, Thierry Dufrêne et Denis Vidal.
A LIRE : Le jour où mon robot m’aimera, de Serge Tisseron, Albin Michel.
Persona. Etrangement humain, codirigée par Emmanuel Grimaud, Anne-Christine Taylor-Descola, Thierry Dufrêne et Denis Vidal. Éditions Actes Sud.
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NOTE 1 : cet article ne défend pas l’idée qu’il est nécessaire de défendre les droits des robots. Il serait absurde de prendre nos fantasmes pour des réalités. D’abord parce que les robots n’existent pas encore. Nous n’en sommes qu’au stade du pantin mécanique. Ensuite parce que si jamais un jour nous étions capables de créer des robots, il est probable que nous entretiendrons avec eux des relations bien plus complexes que celles qui consistent à «abuser» d’une faible créature : notre libido est riche de scénarios bien différents et nos besoins affectifs sont immenses. Un robot passif, soumis, docile n’aurait aucun intérêt sur le plan marketing.
Plutôt que de vouloir légiférer en matière de fantasme, il est en revanche bien plus intéressant d’étudier les relations affectives que l’humain entretient avec les objets (que ces objets aient une apparence humaine ou pas), et de les étudier «sérieusement», car elles sont extrêmement révélatrices de ce qu’est l’humain. Pour le dire plus clairement : la relation aux objets est révélatrice de ce que nous sommes. Révélatrice aussi de notre besoin d’émotions. Nier aux humains ce droit, les empêcher d’utiliser des objets comme supports affectifs/sexuels, c’est empêcher l’humain de déployer ses pouvoirs. En cela, je trouve parfaitement aburde de vouloir interdire les usages sexuels des objets.
Shirley Lara a 31 ans et est la directrice des opérations du plus gros site de live cam du monde, l’incontournable Chaturbate. Femme d’affaires dans un monde typiquement masculin, elle affiche ouvertement ses valeurs féministes et voit dans la sexcam un modèle d’empowerment pour les femmes du monde entier. Elle a accepté de répondre à nos questions dans un style américain et une communication très contrôlée. Le cul, c’est avant tout une histoire d’argent.
Bonjour Shirley, qu’est-ce que ça fait d’être à la tête d’un site aussi important à seulement 31 ans ?
C’est énormément de responsabilités ! Beaucoup de gens dépendent financièrement de nous. Nous avons créé une plateforme qui propose la meilleure façon de gagner de l’argent pour les diffuseurs [modèles, ndlr] tout en amenant la meilleure expérience utilisateur possible. Nous avons changé la vie de tellement de personnes, ça me fait toujours chaud au coeur de l’entendre.
Comment êtes-vous devenue directrice des opérations de Chaturbate ?
Je le suis devenue en abattant des tonnes de boulot et en ne comptant pas mes heures. On a lancé le site en 2011 et on a bossé dur pour créer une plateforme qui donne le pouvoir aux modèles.
Depuis son lancement, le site a rencontré un succès assez dingue et a écrasé ses concurrents. Comment expliquez-vous cette réussite alors que vos services sont assez similaires aux autres ?
Chaturbate a changé la façon de gagner de l’argent dans la sexcam en amenant beaucoup d’interactivité entre les modèles et leurs fans grâce à tout un tas de fonctionnalités automatisées. Ça leur permet de rester focus à 100 % sur leur show et aux fans sur la chatroom.
La France est le 3e pays à visiter le site, mais assez peu de Français diffusent. Pourquoi une telle différence entre l’offre et la demande ?
Nous avons quand même pas mal de Français qui diffusent sur notre plateforme. Beaucoup de diffuseurs sont billingues, voire trilingues. C’est vraiment impressionnant. En fait, une de nos meilleures modèles s’appelle Melody Kush, elle est francophone et diffuse depuis le Québec.
Melody Kush © Vice
Dans une interview pour TheNextWeb, vous semblez être très excitée à propos de l’arrivée de la réalité virtuelle. Est-ce que vous pensez offrir du streaming VR bientôt ?
Tout à fait, la réalité virtuelle est dans les tuyaux. Nous sommes encore à un niveau d’interaction où le live et les sextoys connectés sont en plein essor. La barrière de la réalité virtuelle est due au fait que la plupart des foyers n’ont pas une connexion suffisante pour supporter cette technologique. Les casques sont également chers, plus de 600$.
Quelles sont les fonctionnalités à venir pour le site ?
Nous développons en permanence de nouvelles fonctionnalités pour les utilisateurs et les diffuseurs. Du côté de la diffusion, nous avons lancé le « Daily Pay » récemment qui permet aux diffuseurs de convertir leurs tokens et de recevoir leur virement le même jour. Cette fonctionnalité est encore en beta test sur le marché américain mais elle devrait être disponible à l’international très prochainement.
Quand est-ce que vous allez lancer une vraie version mobile ?
Bien qu’une bonne partie de nos membres regardent le site depuis leur téléphone, nous travaillons actuellement à l’amélioration de notre version mobile. On vous tient au courant !
L’application OhMiBod est un énorme succès depuis son lancement. Pouvez-vous nous raconter son histoire ? Qui a eu l’idée ?
En fait, le club OhMiBod est ouvert depuis des années ! Ce sont quelques diffuseurs malins qui ont eu l’idée de l’utiliser comme ça dans leurs shows. Ce sont eux qui ont attiré l’attention du public sur son existence. L’application a été créée par un membre de notre communauté et a aidé au succès de OhMiBod sur la plateforme.
Est-ce que vous considérez les sites de VOD spécialisés, type ManyVids ou ExtraLunchMoney, comme des concurrents ?
Sur Chaturbate, si une personne s’offre un show privé et si le diffuseur les y autorise, elle a la possibilité de l’enregistrer pour le regarder plus tard. Grâce à cette fonctionnalité, les fans peuvent être les casteurs et les metteurs en scène de leurs propres films porno. Les sites comme ManyVids n’offrent pas cette possibilité ; ils vendent des vidéos préfabriquées. Du coup, nous ne les percevons pas comme des concurrents.
Est-ce que vous pensez que la cam peut-être un outil d’empowerment pour les femmes ?
La cam est un grand moteur d’empowerment pour les femmes comme pour les hommes. Chaturbate est une entreprise créative qui permet aux diffuseurs d’être leurs propres patrons. Nous sommes très fiers de leur permettre de travailler dans le confort de leur maison, d’exprimer leur créativité et de gagner leur vie tout en distrayant leur communauté.
Shirley en Colombie entourée de Millie Martins et Molly Brooke © Fusion
Le marché sud-américain semble être un gros secteur et beaucoup de studios [société qui prend une commission sur le travail des performeurs contre un espace qui leur permet de travailler, ndlr] font du business là-bas. Pourquoi, d’après vous ?
Je pense que ces studios ont permis à de nombreux diffuseurs de se lancer. Sans eux, ils n’auraient pas pu le faire pour tout un tas de raison : absence d’accès à Internet, à un ordinateur ou à un environnement propice à la diffusion
Quelles relations entretenez-vous eux ?
Nous nous entendons très bien avec les studios. J’ai eu la chance de pouvoir en visiter et j’ai été impressionnée par les conditions de travail et les petits à-côtés qu’ils offrent.
On entend souvent dire que l’industrie est un milieu très masculin. Qu’en pensez-vous ? Ca cadre avec votre expérience ?
Comme disait Sheryl Sandberg [directrice des opérations de Facebook, ndlr], l’une de mes femmes d’affaires préférées : “Nous ne pouvons pas changer ce dont nous n’avons pas conscience, mais une fois que nous en avons pris conscience, nous ne pouvons faire autrement que le changer.”
Qu’est-ce qu’on peut vous souhaiter pour les prochaines années ?
La paix dans le monde.
Concept S est une de mes marques préférées pour les huiles de massage (et encore plus pour les lubrifiants à base de silicone). Les huiles de massage de Concept S sont justes parfaites, elles sentent bon, la texture de l’huile est ni trop épaisse ni trop fluide, l’huile dure super longtemps, si on a envie de continuer…
Cet article Test de l’huile de massage Concept S Orchidée Blanche est apparu en premier sur NXPL.
Cybercrime and passion: Wetware: Cyberpunk Erotica (ebook, $3.89)
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Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
"Emma Watson calls for feminist alternatives to pornography" translation: "Woman who knows nothing about porn critiques it because sex."
— Hella Dee (@Hella_Dee) February 28, 2016
Thank you to our sponsor in Holland, Abby Winters.
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
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Ruslan Schedrin a 16 ans. A la fin de la semaine dernière, cet adolescent russe a fait le tour du monde quand il a appris qu’il avait remporté un mois dans un hôtel en compagnie de l’actrice porno Ekaterina Makarova. Un prix pour le moins inhabituel, qu’il a décroché en devenant le 100 000e visiteur d’un site web dédié à la vente d’armes virtuelles pour le jeu vidéo Counter Strike : Global Offensive.
“Au début, je n’y ai pas cru, a-t-il expliqué à la chaîne russe Life News. Mais quand j’ai compris que c’était bien vrai, j’étais fou de joie !” Un sentiment que le la famille Schedrin ne partage pas vraiment. La mère de Ruslan s’est déclarée “choquée” : “Je suis tout à fait contre. Il a des examens à préparer, il étudie. (…) Ils devraient nous donner 100 000 roubles (environ 1 200€, ndlr) à la place, nous serions contents avec ça.” Diana, la soeur aînée de l’adolescent, n’a pas très emballée non plus : “Ce prix est une très mauvaise idée”, a-t-elle lancé.
Ekaterina Makarova, elle, ne voit pas le problème. Lorsque Life News lui a demandé si elle envisageait de coucher avec Ruslan, elle a répondu tout naturellement : “Les choses ne sont pas censées se passer comme ça, mais c’est la vie. Il n’est pas inhabituel pour les garçons inexpérimentés de chercher des copines qui s’y connaissent. Je ne sais pas. Au moins, nous serons amis. Je l’ai bien aimé sur les photos.” Ensemble, ils auraient d’ores et déjà prévu de sortir au musée et au cinéma.
Ruslan Schedrin et Ekaterina Makarova
Toute cette histoire vous semble douteuse ? Gawker partage votre sentiment. Vendredi dernier, le site web d’information a publié les résultats de sa petite enquête sur l’histoire de Ruslan Schedrin. Premier détail qui gratte : l’adolescent est acteur, tout comme sa soeur Diana. Le titre russe TJournal en a apporté la preuve indéniable en inventoriant leurs différents profils sur des sites de jeunes talents.
La crédibilité de Life News a également été attaquée par Gawker. La chaîne qui a révélé l’affaire est réputée pour ses positions pro-Poutine aussi assises qu’assumées, son goût immodéré pour les scoops et ses tendances conspirationnistes : en janvier dernier, un “analyste politique” a déclaré sur ses ondes que l’attaque de la rédaction de Charlie Hebdo avait été organisée par la CIA.
Dmitry Besda
L’autre problème, c’est que les règles complètes du concours n’ont pas été dévoilées par son organisateur, un certain Dmitry Beseda. Au yeux de la loi russe, l’opération est donc illégale. Confronté à ce sujet par TJournal, M. Beseda ne s’est pas démonté : “Hé bien, si les autorités ont l’intention de faire quoi que soit à ce sujet, nous allons avoir droit à encore plus d’attention médiatique.” Pour ne rien arranger, aucun détail concernant les aspects techniques du mois que sont censés passer Ruslan et Ekaterina n’ont été révélés au public.
Toute cette histoire fait beaucoup de bruit en Russie. Follement stimulés par la perspective d’une rencontre entre un adolescent et une actrice porno, les internautes ont créé une grande quantités de mèmes qui ont achevé de propager la nouvelle aux quatre coins de l’Internet russophone. La sensation médiatique est telle que plusieurs responsables politiques se sont exprimés à propos de l’affaire. Gawker rapporte que la commissaire aux droits de l’homme de la région moscovite Ekaterina Semenova a évoqué de possibles poursuites judiciaires à l’encontre du site organisateur du concours pour “corruption de mineurs”.
Ekaterina Makarova
Du côté du Tag, on doit bien vous dire que cette histoire nous semble particulièrement fumeuse. Rappelons d’abord que le pays du caviar et des dashcams n’aime pas beaucoup le porno : depuis le mois de septembre dernier, Pornhub et dix autres hébergeurs de vidéos pour adultes y sont considérés comme illégaux et inaccessibles. La police russe chasse avec un zèle tout particulier les fappeurs qui partagent leurs découvertes sur le réseau social VK. On peine à croire que des autorités aussi sensibles à la question du X ne réagissent pas à la possibilité d’une rencontre entre un adolescent et une actrice porno.
L’autre détail qui nous chiffonne, c’est que l’histoire de Ruslan Schedrin a tout d’une blague qui dégénère en information. C’est la magie de la news « insolite » que personne ne prend le temps de vérifier de peur de se faire doubler dans la course à l’audience. Dans le domaine de la pornographie, ce phénomène est particulièrement courant ; il y a un peu plus de quatre ans, le patron Gonzo avait disséqué le problème dans un long article qui n’a malheureusement rien perdu de son sens. Comme cet acteur nain qui a été dévoré par des blaireaux, comme ce type qui est mort de s’être trop masturbé, comme cette femme qui est tombée enceinte en regardant un porno en 3D, Ruslan et son prix invraisemblable ne sont sans doute que des chimères engendrées par notre soif de buzz. On reste à l’affût du démenti de Dmitry Besda.
Le futur du porno sera immersif. Nous en sommes persuadés depuis que nous avons posé un casque de réalité virtuelle sur nos yeux il y a déjà plus de deux ans. Malheureusement, très peu de gens sont encore équipés et encore moins ont accès à du porno compatible. Pour remédier à ce problème et vous entrouvrir les portes de ce que sera votre fap de demain, on vous propose un petit jeu concours pour vous faire gagner plusieurs séances de tests de porno VR au bureau. Le tout adapté à vos goûts et vos envies, car on vous aime.
Comment faire ? Répondez correctement à ces questions sur la culture porn et Maître Ceuvi piochera parmi les bonnes réponses les candidat-e-s au futur.
Bonne chance à tous.
Chaque jour, nous sommes des millions à nous connecter sur les différents sites de webcam live. Pourquoi ? Pour voir des personnes de tout genre et de tout âge se déshabiller et se donner du plaisir devant leur ordinateur, puis faire de même de notre côté. Mais plus mon expérience de la webcam grandit, et plus je m’aperçois que le sexe n’est pas au premier plan dans un live show. J’ai voulu savoir si j’étais la seule à penser cela ou si c’était une caractéristique réelle de ce milieu. Voici les résultats de ma petite enquête.
Sexcam et porno, même combat ?Je suis repartie loin jusqu’aux origines du mot porno afin d’essayer de comprendre si la webcam pouvait être classée dans cette catégorie. La définition de « pornographie » du CNRTL est la suivante : « Représentation (sous forme d’écrits, de dessins, de peintures, de photos, de spectacles, etc.) de choses obscènes, sans préoccupation artistique et avec l’intention délibérée de provoquer l’excitation sexuelle du public auquel elles sont destinées. » En acceptant que la webcam est un spectacle, et que les modèles sont là pour exciter les spectateurs : il semble que la définition s’applique parfaitement. Les show webcam sont donc bien du porno.
Nuançons tout de suite ces propos, en rappelant que certaines camgirls se donnent beaucoup de mal pour donner une dimension artistique à leur shows. Que ce soit par de simples effets visuels (paillettes, lumières ou jeux d’ombres avec les stores)…
Glitter Oil + Coffee Creamer = A Cum Bomb!! pic.twitter.com/Dh87l1adK2
— Reni (@ReniBuni_mfc) February 28, 2016
Good morning twitterites pic.twitter.com/ytd3I3fEwq
— SweaterPixie (@MissAsheGrey) February 26, 2016
Ou bien en sortant complètement du classique comme Veronica Chaos, qui propose des contenus pour le moins originaux, différents et clairement artistiques.
NEW VIDEO! Pinocchio's Growth Spurt! Stream on https://t.co/fxBL4BPtbg or download for 400 MFC tokens! pic.twitter.com/ecRvutxvgN
— Veronica Chaos (@VeronicaChaos) February 2, 2016
En ce qui concerne la ligne directrice des sites de liveshows, Cam4 annonce la couleur dès la recherche Google où on peut lire la phrase suivante : « Plus gros site de porno live ! » Cela pourrait sembler normal, mais tous les sites de sexcam ne sont pas aussi directs. Il est même plutôt rare qu’on associe clairement la webcam au porn. De l’avis de plusieurs camgirls, il y a une réelle différence entre le porno classique et les live show. Récemment, Penelope Sweetheart me disait même que la barrière entre camgirl et actrice était difficile à franchir pour qui le souhaite. Et on a parfois vu les actrices porno les plus douées galérer pendant leur premier liveshow, réalisant que ce n’est définitivement pas le même métier. Alice Leroy, nous expliquait d’ailleurs très bien qu’être à la cam et faire du porno n’était pas du tout la même chose : face à la première on interagit avec le public et on lui offre quelque chose de personnel, dans l’autre on joue un rôle, on est dirigé.
Pourtant, ce qu’on aime dans les shows, c’est bien le spectacle et la mise en scène. La façon qu’a la modèle de nous emmener dans son monde. Ainsi, les cams hommes sont souvent boudées car trop axées sur le plaisir sexuel. C’est en tout cas l’avis de plusieurs camgirls avec qui je me suis entretenue. Axhell me le confirme : « ça m’arrive de regarder des shows, mais uniquement des femmes, car les mecs sont trop standard, banals dans leur façon de faire : gros plan sur leur queue et uniquement masturbation. Je regarde pour l’échange, le feeling et le soutien. »
On en revient à l’essence de la sexcam, ce que vous avez tous déjà remarqué et plébiscité : l’interaction. On discute avec les modèles, on peut les suivre après le show, faire connaissance dans une certaine limite, découvrir une partie de leur vie et oui, on a envie de les retrouver au prochain épisode.
Fappeur ou voyeur ?Pour en avoir le cœur net, on a décidé de vous poser la question, d’abord par un sondage, ensuite en privé. D’après les réponses de ce petit panel de nos lecteurs, un tiers des fappeurs va voir un show webcam uniquement pour fapper (cqfd). Et les autres ?
Vous faites quoi devant un show en webcam (Chaturbate, Cam4, MFC…) ? #fappysondage
— Le Tag Parfait (@letagparfait) February 16, 2016
Une jeune femme m’a confié ceci : « Devant les cams, mon attention est trop éparpillée entre la vidéo, les tips, le tchat…« . Il est vrai que l’univers est assez particulier, et qu’il peut sembler un peu décalé surtout pour les néophytes. Que l’on soit devant la webcam ou derrière, beaucoup de choses se passent en même temps. Les spectateurs posent des questions, échangent avec la modèle ou parfois entre eux, plaisantent, réclament, complimentent. Quant à elle, sollicitée de partout, elle répond à tout le monde à voix haute, ou à ses DM au clavier. On discute, on rit, puis quelqu’un tippe et le sexe reprend ses droits… jusqu’à la prochaine vanne. Chaturbate porte donc bien son nom : « tchatter en se masturbant » semble bien définir l’ambiance d’un show. Un habitué du site m’a confié se laisser prendre au jeu :« J’y vais pour me toucher, mais je me retrouve souvent à suivre les conversations ou à rester devant même quand il ne se passe rien [de sexuel] ». Un autre me confirme cette idée : « La plupart du temps c’est pour me toucher mais j’ai tendance à juste rester regarder si je suis sous le charme du modèle. »
Bonjour et bon weekend mes petits loups :))#bluehair #cheveuxbleu #smile #france #francaise #bonweekend pic.twitter.com/zsl8JbywPh
— Victoria Alouqua (@VicAlouqua) February 27, 2016
Et tous les témoignages que j’ai reçus vont dans la même direction. Lexi m’a confié ceci : « Je ne me touche pas devant une cam, même si certaines sont terriblement sexy et me donnent très envie. En fait j’y vais surtout pour contempler le charme d’une personne. » C’est bien résumé : on vient pour le sexe, mais on reste pour ce qu’il y a autour, et surtout pour la personne qui diffuse comme me le dit un voyeur avec qui je me suis entretenue : « Je ne vais plus sur la page d’accueil, je me contente de taper les pseudos qui m’intéressent. Et si aucune n’est connectée il m’arrive de passer à autre chose, de mater une série… » Et en effet, les habitués des sites de sexcam vous le diront, ils ont souvent leur préférée et ne s’en cachent pas. J’ai personnellement lu une fois sur ma room : « Je venais pour [une autre camgirl] mais comme elle n’est pas là je passe dire bonjour et je vais me coucher. » Bon.
Ce coup de cœur pour un modèle, qui donne envie de lui faire plaisir , et de revenir dans sa tchatroom est sans doute une des raisons qui font tipper les spectateurs. Un gros tippeur croisé sur Cam4 dit avoir « dépassé le stade du fap. » Il estime même que « la cam permet d’avoir un rapport amical et humain avec les modèles (qui sont pour certaines devenues des amies). » Ce sentiment est encore plus poussé chez Hecate Moon autre camgirl avec qui j’ai discuté, et qui m’a dit aimer les sites de cam, parce qu’on a « vraiment l’impression d’appartenir à une communauté, c’est super convivial. »
true love is pink
pic.twitter.com/SrdSsO8v3b— Taylor (@housewifeswag) February 27, 2016
Méthylène, jeune camgirl, participe aussi à des shows en tant que spectatrice « J’aime bien passer brièvement, jauger l’atmosphère, (…) discuter un peu avec tout le monde et tipper quand je peux pour faire plaisir et parce que ça me fait plaisir. Je passe la plupart du temps plutôt pour échanger, rigoler un peu, parce que j’aime bien les personnes qui diffusent. Le coté cul est pas prédominant. J’ai plus l’impression de passer faire coucou à des « potes ». Bon à des potes qui se touchent… » Elle va plus loin : « Je n’ai jamais suivi une cam du début à la fin je crois. Ce n’est pas mon support de fap principal. J’aime bien me chauffer un peu devant certaines, ça arrive que ça m’excite vraiment énormément, je peux commencer à me toucher mais une fois que j’ai vraiment envie d’accélérer je coupe. » La webcam comme source d’inspiration pour fapper ? Pourquoi pas.
J’ai l’impression que le verdict est sans appel, les spectateurs des webcams sont avant tout des personnes venues passer un bon moment ensemble, presque comme on le ferait dans la vie, entre amis. Bien sûr on pense au sexe, on s’excite et parfois on se masturbe. Mais avant tout : on échange ! Que l’on soit modèle ou voyeur, on s’enrichit d’une manière ou d’une autre : socialement, sexuellement, ou esthétiquement. À vous de venir chercher le petit quelque chose qui vous fera revenir, mais attention on devient vite accro…
Un essai de 170 pages vient d’être publié sur le «câlin». Ce mot méritait-il tant ? Surprise : le traité se lit en une heure… et on en redemande, surpris d’apprendre qu’à l’origine le «câlin» était tout sauf gentil.
Il y a des mots qui sont maudits. «Câlin», par exemple. Jean-Luc Benoziglio dans son roman La Voix des mauvais jours et des chagrins rentrés (2004) le conspue : «Dire baiser à la place de faire l’amour, d’accord, c’est peut-être grossier. Mais employer à la place l’expression : Faire un câlin, alors ça, je trouve ça de la plus obscène des vulgarités.» Il y a cependant pire : «calinou», «calinette»… Mélanges sournois d’hypocrisie vicelarde et de sentimentalisme mielleux, ces mots suggèrent si puissamment l’égrillarde mièvrerie qu’il est devenu presque impossible en France d’entendre l’expression «faire un câlin» sans penser à mal. On a beau se morigéner, non décidément, impossible de faire un «gros câlin» à une petite fille : trop honte. Mais pourquoi ce mot fait-il rougir ?
Qui trop câline, mal pine
C’est ici qu’il faut saluer la parution d’un [Court] traité des (gros) câlins, livre en apparence léger dont on n’entame la lecture qu’avec méfiance. On se dit d’abord, tiens, c’est drôle. «Ce livre est né du constat que sur le câlin, la documentation disponible était rare, fragmentaire […] qui irait s’encombrer d’un Manuel du câlin ? Vous n’y pensez pas sérieusement, j’espère ?». Puis l’auteur attaque : «ce traité des câlins sera court, car sur ce thème, une seule chose est à peu près établie : qui trop embrasse, mal étreint.» Lui non plus n’aime pas les câlins, ce qui fait tout l’intérêt de sa recherche : il essaye de savoir pourquoi. Il s’appelle Patrice Salsa. Il est DSI (Directeur des systèmes d’information) et diplômé de linguistique, passionné de langue française. «Câlin» l’intrigue : pourquoi ce mot est-il si détestable ?
Pourquoi ce mot est obscène. Réponse 1
Première réponse. Parce sa dimension érotique est «bien encombrante, surtout quand la situation implique des enfants», se moque Salsa, pointant du doigt les efforts désespérés que font les adultes pour parler du «câlin» en tout bien tout honneur. Le câlin, en principe, ne concerne que les parties supérieures du corps. C’est l’équivalent du hug, une accolade, joue contre joue, une parole tendre, un geste affectueux. Il faudrait vraiment être pervers pour y voir autre chose. N’est-ce pas ? «L’embêtant», souligne Patrice Salsa : «L’embêtant, avec le refoulé»… On a beau faire, il vous pollue l’esprit. C’est ce que le psychologue social Daniel Wegner appelle «l’effet de l’ours blanc» : plus on refoule, plus on est obsédé. Plus on force une personne à réprimer des pensées spécifiques, plus elles envahissent sa conscience.
L’effet de l’«ours blanc»
Quoi que vous fassiez, ne pensez pas, je répète, ne pensez pas à un ours blanc durant les trente prochaines secondes. Même chose pour «câlin». Ainsi que le souligne Salsa, ce mot est trop évocateur. Il rime trop avec «Nuits de Chine»… «Aussi ne faut-il pas avoir l’esprit si mal tourné que Ça pour entendre, dans cet argumentaire de livre pour enfant, une promesse alléchante : Câlinou Câlinette, du matin au coucher, sur la main ou le nez/ Câlinou Câlinette, les bisous, c’est la fête.» Et «que dire de la chanson enfantine de l’auteur-compositeur-interprète Pierre Chêne créée en 2006 qui contient les paroles suivantes ? Câlinou câlinette / Si tu le veux bien […] Où est ma culotte/ Elle s’est envolée». Aie, aie. Il n’y a pas d’innocence possible au paradis des «câlins». Reste à savoir si le refoulé ne vient pas de beaucoup plus loin en arrière dans notre inconscient collectif.
Pourquoi ce mot est louche. Réponse 2
C’est en allant chercher les définitions du mot dans les tout premiers dictionnaires de la langue française que Patrice Salsa fait sa découverte la plus intéressante. A l’origine, les mots «câlin» ou «câliner» n’ont rien à voir avec la tendresse. Surprise. «Ces termes font leur entrée, entre califourchon et calleville (une variété de pomme), dans la 3e édition du Dictionnaire de L’Académie française, en 1740» : «calin : Niais & indolent. «C’est un calin». «Il fait le calin». Caliner : se tenir dans l’inaction, dans l’indolence. «Il passe son temps à se caliner dans un fauteuil».» Le mot désigne clairement la sottise et la paresse. Patrice Salsa commente : «C’est bref. C’est concis. C’est surtout très éloigné des sens actuels. Il s’agit de significations qui ont complètement disparu des acceptions contemporaines».
Un gros calin : un gros gueux, un gros fainéant
Le Dictionnaire de Trévoux donne peu ou prou la même définition. «Calin, ine : Mot bas & populaire, qui signifie Paysan, fainéant, gueux. Un gros calin, une grosse caline, c’est-à-dire, un gros gueux, une grosse gueuse ; de ces fainéants qui courent le pays en demandant l’aumône ? Que fais-tu là calin ? Veux-tu travailler ? Il signifie là fainéant, vaurien.» Jusqu’au XIXe siècle, ainsi que le révèle Patrice Salsa, le mot «calin» (sans accent circonflexe) s’emploie donc principalement comme une injure, pour désigner «Celui, celle qui n’a ni activité, ni intelligence.» (Littré, édition de 1872-1877). Pourquoi ? C’est lié aux pèlerinages, semble-t-il.
Caliner : mendier, mentir et glander
A l’origine, les calins sont des mendiants. Pire encore : des gens qui «mendient sans besoin», c’est-à-dire qu’ils pourraient très bien travailler, mais qu’ils préfèrent tendre la main plutôt que retrousser leurs manches. Afin d’émouvoir les bonnes âmes, ils font semblant d’être malades. Pire : ils font semblant d’être des pèlerins, en route vers des lieux saints pour obtenir une guérison miraculeuse. A quoi les reconnait-on ? A la coquille de Saint Jacques qu’on nomme alors la «cale». «Câlin» viendrait donc de «coquille» ? C’est la théorie que Pierre Guiraud avance dans son Dictionnaire des étymologies obscures (1982) : pour lui, le sens de «calin» (sans accent) comme «gueux, mendiant», puis «niais, indolent» est peut-être issu de la parenté avec «cale» au sens de «coquille». «Sans être indiscutable, c’est une théorie recevable», commente Patrice Salsa qui cite fort à propos ce terme de jargon ancien : «coquillards» pour désigner ceux qui trichent (qui mendient).
Les coquillards : underground au temps des pèlerinages
«La Coquille était le nom d’une association de malfaiteurs du XVe siècle dont les membres, les Coquillards, avaient pris ce nom soit à partir de l’expression «vendre ses coquilles» (tromper) soit parce qu’ils se faisaient parfois passer pour des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle.» Voilà que tout s’éclaire. Ou presque. Car il existe une autre étymologie possible de «câlin», liée non pas à la «cale» (coquille) mais au latin populaire calere («être chaud»). Ça se complique.
Câlin : un dérivé du mot «chaleur» ?
S’il faut en croire les étymologies courantes, le mot «câlin» serait «probablement emprunté du normand caliner, «se reposer à l’ombre», dérivé de caline [ou chaline], «chaleur lourde, étouffante». En été, à midi, impossible de rester au soleil sans risquer une insolation. Les animaux et les humains «calinent», c’est-à-dire font la sieste et paressent, en attendant que la canicule passe. Cette origine du mot «câlin» ne semble, a priori, avoir rien en commun avec celle proposée par Pierre Guiraud. Qui croire, alors ? C’est là que Patrice Salsa avance sa théorie : les deux étymologies sont justes, dit-il, car elles concernent un mot qui, à l’origine, était en réalité deux mots différents.
De l’importance de l’accent circonflexe
Imaginons que les mots «calin» et «câlin» n’aient, au départ, rien à voir. Il se pourrait fort bien qu’ils aient cohabité pendant un ou deux siècles dans la langue française… avant de fusionner. L’hypothèse se tient : en plus d’être homophones, «calin» et «câlin» évoquent l’idée commune de l’oisiveté. Patrice Salsa suggère : la «notion d’indolence –comment travailler par de grosses chaleurs étouffantes?– [n’aurait-elle pas] facilité la fusion» ? Son idée est séduisante. le mot «câlin» peut très bien être le résultat d’une rencontre entre les «chaleurs» de l’été normand et les mendiants montrant leur «cale» pour obtenir l’aumône… Bien sûr, tout cela ne repose sur aucune preuve. Ce qui fait du «câlin» un mot singulièrement opaque, voire louche.
Des cuddle parties réservées aux initiés ?
Les origines du mot «câlin» restent douteuses. Nul doute que le mot lui-même n’en ait gardé la trace : il flotte autour de lui un parfum coupable d’incertitude. Le fait même de serrer quelqu’un dans ses bras met mal à l’aise : cette accolade qu’on appelle hug, par exemple, quoi de plus fallacieux ? Si l’expression «faire un câlin» vous paraît d’une épouvantable vulgarité, il y a pire encore : c’est cette démonstration d’amitié avec de parfaits inconnus armés de leur pancarte «free hug». Patrice Salsa, à ce sujet, dévoile d’autres étonnantes informations. Saviez-vous qu’il existe des forums uniquement dédiés au sens des câlins qui excèdent 5 secondes ? Des soirées du style sociétés secrètes (cuddle party) aux Etats-Unis ? Et des listes des positions authentifiées pour faire des câlins ? Son [Court] Traité des (gros) câlins est une mine. Il faudra y revenir. Il faut le lire.
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A LIRE : [Court] traité des (gros) câlins, Patrice Salsa, éditions Book on Demand, 2015.
POUR EN SAVOIR PLUS : «L’influence du ciel sur nos câlins»
Decordoue s’en est allée. Je quitte le navire avec une pointe de tristesse, tant je m’étais dévouée à mes tâches. Bon délire que de chaque semaine chercher les gifs les plus cool pour une assemblée de pornophiles passionnés. Une de mes dernières sélections, faite avec émotion. I’ll be back.
Deux copines à la peau douce et un tapis en poils de mouton, qui dit mieux ? En termes de tendresse, personne n’est à la hauteur. Dani Daniels et Skin Diamond, pour cause, se connaissent comme personne. Ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, alors on ne va pas se mettre à raisonner les deux mignonnes.
Dani Daniels & Skin Diamond – Club 59 – Elegant Angel
Un méli-mélo de corps, de mouvements saccadés, de résines et de contractions musculaires, c’est ainsi qu’on les aime nos gifs. Une orgie parlante pour un résultat parfait, et puis de quoi mater sous tous les angles. Si c’est Asa Akira qui se taille une bonne part du gâteau, Katsuni n’est pas en reste. Un dimanche comme on les envie.
Il s’en passe des choses dans les vestiaires des pom-pom girls ! Qui l’eut cru, que dans ces petits casiers innocents se cachaient des godes ceintures de la taille de la bite de Danny D. En même temps quelque part ce n’est pas entièrement dénué de logique, le matin on fait des pyramides avec les copines, le soir on s’entraîne plus profondément pour être bien sûres de maîtriser. Normal.
Lacey Duvalle & Madison Luv – Loveable Lacey #1
Ce gif nous a fait penser à un personnage de dessin animé. Des « Zébulon » à ma droite, des « Lumière » à ma gauche, le seul indice que nous avions était « personnage sans pied »… et qui culbute. Beaucoup trop facile une fois qu’on a dit ça, la bonne réponse était évidemment « Culbuto », un poto de Oui-oui le garçon au beau taxi. Haaaa l’enfance. Merci Jennifer White pour cet instant nostalgie.
Oui, le côté artistique de nos frasques sexuelles manque à cette sélection. En voilà une : ici on a carrément l’impression de se trouver dans un Dolan. Une branlette espagnole à quatre mains, doublée d’un regard pétrifiant sur fond de film vidéoprojeté. Une mise en abyme comme on n’en fait plus.
Emmanuelle London & Danni Cole – Orifice Space – Big Tits At Work
A l’adolescence, Maman peut clairement aller se faire foutre. Qu’à cela ne tienne, Brazzers en a fait une série de films. Quand sa fille écoute attentivement ses conseils en matière de rapport bucogénital, la reine mère se met à la pratique. On ne dévoile pas le reste de ce porn mais on ne niera pas l’adage qui associe âge et expérience.
Janice Griffith & Eva Notty – It’s Too Big – Brazzers
« Au revoir »
Image à la Une: Anna Polina
Pour ce troisième tweetchat, on va pousser des cris, perdre la tête et se détendre. Le coït, c’est tout simplement l’acte sexuel. Et si on peut grimper aux rideaux pendant, eh bien c’est encore mieux ! Ca fait partie de ce qu’on aime dans le repas nocturne ! Je vous propose donc de débattre à ce sujet durant l’Apéro Sexo Virtuel, ce dimanche 28 février à 18h !
Comment participer au tweetchat sur le coït ?– Connectez-vous sur Twitter dimanche 28 février à 18h
– Suivez le hashtag #ASV en le tapant dans la barre de recherche Twitter et/ou suivez mon compte @LadyShagass
– Répondez aux 5 questions posées en mentionnant le hashtag #ASV + le numéro de la question à laquelle vous répondez.… Lire la suite
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Ce soir tu rentres exténué chez nous. Il faut dire que tu n’arrêtes jamais: salsa, guitare, concert, petites amies, sorties, boulot… Par chance j’habite un petit studio proche de chez toi depuis que j’ai quitté le père de mes enfants. On aime l’appeler notre « chez nous » alors que tu n’y vis pas. Un « chez nous » que…
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Le 18 février dernier, l’hébergeur de vidéos pour adultes PornTube a dévoilé les dix premiers épisodes de Porn Soup, une série comique articulée autour des expérience pornographiques d’un couple d’acteurs que nous connaissons bien : Manuel Ferrara et Kayden Kross. Assis sur leur canapé, les fiancés tirent sur leur narguilé en évoquant tout ce que l’industrie peut avoir d’amusant. On passe du dirty talk aux safe words, des présentations avec les nouveaux collègues à la rencontre avec les voisins fraîchement installés, du squirt au massage… C’est léger, bien fait et vraiment drôle.
Porn Soup est né à l’initiative de Kayden Kross : “Quand Kayden a lancé l’idée, nous étions pressés de voir ce que ça donnerait face à la caméra, a affirmé Mike Miller, l’un des employés de PornTube. Nous savions qu’une série centrée sur l’industrie aurait beaucoup de potentiel.” Depuis le tournage du premier épisode, l’actrice et son fiancé sont en recherche permanente de nouveaux sujets à traiter. “Nous nous baladons continuellement avec un cahier et nous enregistrons tout qui nous arrive”, a-t-elle expliqué à Xbiz.
En plus d’être très divertissant, Porn Soup attire l’attention sur PornTube. On pourrait être surpris que Manuel Ferrara et Kayden Kross, deux professionnels sous contrat, acceptent de faire équipe avec un tube. En temps normal, YouPorn et consorts sont perçus comme des voleurs par les grands noms de l’industrie. PornTube est différent : il fait partie de ces nouveaux hébergeurs qui misent sur les partenariats avec les studios plutôt que sur la concurrence débridée. Presque toutes les vidéos que vous y trouverez ont été mises en ligne avec l’accord de leurs créateurs. PornTube s’est engagé sur cette route après avoir fait appel à Jonathan “JT” Todd, l’architecte-pionnier de ces tubes “légaux”.
Sachant que PornTube a eu les moyens de faire appel à une équipe de tournage venue de grands studios mainstream, on imagine que les méthodes de JT donnent de bons résultats financiers. Pourvu que ça continue : le onzième épisode de Porn Soup a été mis en ligne hier et il est aussi bon que ses prédécesseurs.
Les membres de Reddit débordent de questions intéressantes, au point que le site communautaire géant dispose d’une catégorie spécialement dédiée aux interrogations des Redditors, /r/askreddit. Avec plus de dix millions de membres, il est même le plus populaire de tous les subreddits, ces sous-divisions qui composent la galaxie Reddit. A titre de comparaison, sachez que la Suède compte 9,5 millions d’habitants.
Lundi 22 février, l’utilisateur notashleyjudd a posé une question croustillante au grand peuple de /r/askreddit : “Quel est le truc le plus étrange auquel tu aies jamais pensé pendant une partie de sexe oral ?”
Pour peu que vous ayez déjà pris part à une fellation ou un cunnilingus, vous connaissez sans aucun doute ces pensées qui s’immiscent dans votre crâne malgré l’action. Parfois incongrues, d’autres fois bien naturelles au vu des événements, elles font partie intégrante du décorum sexuel. Petit florilège des réponses adressées à la question de notashleyjudd.
La contribution la plus appréciée est signée blueflameangel : “Je peux voir son triple menton en ce moment-même, et si je n’avais pas de bite dans la bouche je serais sûrement en train de mourir de rire.” Relativisons : la contre-plongée ne réussit pas à grand-monde.
La palme de la délicatesse est attribuée ex-aequo à Silver_Dynamo et malleus__maleficarum. Le premier lance : “Qu’est ce qui se passerait si j’osais lui pisser dans la bouche ?” On ne lui en veut pas vraiment, parce qu’il est difficile de n’avoir jamais envisagé cette possibilité. Le second s’étonne, non moins classe : “Elle peut parler sans s’arrêter pendant deux heures, mais elle a mal à la mâchoire après une minute de pipe ?!!”
D’autres, comme Mario_Maker_Rookie, font étalage d’un esprit pratique qui confine au cliché : “Parfois, j’épèle ma liste de courses avec ma langue quand je suis au pris dans l’action. De nombreux dîners ont été planifiés dans ma tête pendant l’acte.”
Autre dilemme du sexe oral : l’éjaculation. « Comment lui dire que je suis sur le point de jouir… Je devrais peut-être lui dire… Merde, trop tard. » La contribution de thenetkraken sent le vécu. Tout comme celle de marmiteNcrackers : « C’est quoi dans son nombril ? Est-ce que je dois l’attraper ? Non non concentre-toi sur la mission, nom d’un chien. »
On vous le concède volontiers, tout ceci est fort grivois. Cependant, c’est un fait : le sexe est rarement pur et raffiné, sur les corps comme dans la tête. Si vous y croyez encore après avoir lu tout ça…
A compter du week-end prochain, la société de production BluMedia commencera la diffusion gratuite de son émission de télé-réalité Broke Straight Boys (« Hétéros fauchés ») sur Internet. La premier épisode sera rendu disponible ce samedi 27 février, le deuxième la semaine prochaine, et ainsi de suite. A raison d’un épisode hebdomadaire, le dernier des huit volets de la série sera dévoilé le 16 avril prochain.
Broke Straight Boys raconte l’histoire de ces hommes hétérosexuels qui décident de se lancer dans le porno gay par appât du gain. Dans l’industrie, on appelle cela le gay-for-pay. Pour réaliser la série mi-télé-réalité, mi-documentaire qu’elle a décidé de consacrer à ce phénomène, BluMedia n’a pas eu à chercher bien loin : le domaine d’activité principal de cette société de production est justement le gay-for-pay.
La série de BluMedia fait la part belle aux individus qui évoluent dans cet univers hautement controversé, des acteurs aux équipes techniques. Elle nous permet également de découvrir les méthodes généreuses du patron de la société de production. Chaque mois, Mark Erickson sélectionne quelques hommes qui ont fait part de leur volonté d’intégrer le monde du gay-for-pay sur le site officiel de BluMedia et les héberge dans sa très coûteuse villa pour toute la durée des tournages. C’est là que Broke Straight Boys a été enregistré.
Avant d’être proposé gratuitement aux internautes, Broke Straight Boys a été diffusé sur la chaîne privée américaine Here TV. La série a rencontré un grand succès sur ce canal destiné aux téléspectateurs LGBT, dont les programmes sont également accessibles par le biais d’une chaîne YouTube payante.
De temps en temps, je tombe sur de vraies surprises au coin d’un site web. Aujourd’hui, je vous fais découvrir une de mes dernières trouvailles, l’artiste Québécois François Dubeau. François Dubeau est spécialiste de la simplicité avec des dessins érotiques au pinceau très proches dans l’esprit de la calligraphie japonaise, tout en finesse et délicatesse. Je…
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A l’aube de la premier guerre mondiale, Alma Mahler (AM) et Oskar Kokoschka (OK) vivent une passion folle dont l’opéra AMOK reconstitue la trajectoire agitée. Au moment où l’Europe traverse de nouveaux bouleversements… leur histoire fascine.
Vers 1830, une maladie mentale d’origine malaisienne (l’amuk, ou «fureur incontrôlable») fait son apparition en Occident sous le nom d’amok. L’amok est accès de rage suicidaire qui saisit certains hommes et les contraint à courir droit devant eux en tuant tout ce qu’ils rencontrent sur leur chemin. Vers 1909, un jeune peintre autrichien exécute un tableau intitulé Amokläufer («Coureur d’amok») qui préfigure la folie dans laquelle sa vie va sombrer.
Il s’appelle Oskar Kokoschka. Son histoire avec Alma Mahler donne AMOK, un opéra expressionniste, représenté les 25 et 26 février à la Chaux de Fond, en Suisse. Pour en construire la trame, Orianne Moretti, auteure et metteure en scène, s’est basée en partie sur les centaines de lettres échangées entre les amants, mais aussi sur l’histoire disséquée par Alfreid Weidinger (conservateur au Musée du Belvédère, à Vienne) et sur un passionnant décryptage de la chercheuse française Bénédicte Abraham. Sous ses airs de fresque hallucinée, l’opéra se base donc sur des faits réels. Les voici.
Alma Mahler naît le 31 août 1879 dans la Vienne fin de siècle et le contexte décadent de l’«Apocalypse joyeuse». Son père, Emil Schindler, est l’un des plus célèbres peintres paysagistes de l’Empire. Elle l’idôlatre. Quand il disparaît, l’année de ses 13 ans, Alma reste inconsolable. Sa mère se remarie avec un élève du «maître» : Alma devient la belle-fille de Carl Moll, un des chefs de file de la Sécession Viennoise. Elle a beau le haïr, c’est grâce à lui qu’elle fréquente l’avant-garde, dont elle devient rapidement une des diva. Elle est belle. Elle échange son premier baiser avec Klimt, dont elle est follement amoureuse. Elle flirte avec le compositeur Zemlinsky, le co-fondateur de la Sécession Olbrich, le peintre symboliste Khnopff, avant d’épouser Gustav Mahler qui, exige au préalable, qu’elle renonce à composer : il veut une vestale.
Par ailleurs, il est inhibé. Epouse chaste et dévouée ? Mère extasiée de deux beaux enfants ? Alma s’éteint, s’ennuie, devient alcoolique et finit par tromper Malher avec un jeune architecte allemand appelé Walter Gropius, rencontré en été 1910. Catastrophe : Walter Gropius «adresse à Monsieur Gustav Mahler une lettre enflammée qu’il destine à Alma et dans laquelle il lui propose de l’épouser», raconte Bénédicte Abraham.
«Cet acte manqué qui dévoile à Mahler toute la vérité sur leur relation» met le feu aux poudres dans le couple. Gustav songe au divorce, puis en parle à Freud qui le rassure et le réconforte. Après quoi, Malher tente de reconquérir sa jeune épouse, mais trop tard. Il meurt d’une infection généralisée, le 18 mai 1911, à l’âge de 50 ans. Voilà Alma veuve. Certains biographes (notamment Henri Louis de La Grange, chez Fayard) désignent du doigt la coupable : c’est elle qui l’a tué. De fait, celle que l’on nomme le Sphynx (mi-bête fauve, mi-femme), devient l’assistante et l’amante (?) d’un chercheur qui s’intéresse aux… mantes religieuses. «On a beaucoup dit qu’Alma «dévorait“ les hommes, explique Orianne Moretti. Il s’avère qu’un célèbre biologiste viennois –Paul Kammerer– lui fait faire des expériences avec des mantes religieuses, pour se distraire de son récent deuil ! Alma devait nourrir ces mantes avec des vers de farine». Onze mois après la mort de son mari, Alma, toujours vêtue de noir, en voilette de grand deuil, rencontre… Oskar Kokoschka.
OK est né dans une petite bourgade autrichienne sur le Danube. Voici une photo de lui, à l’âge de 5 ans.
Ses études artistiques, il les fait à l’École des Arts appliqués à Vienne. Il expose avec la Sécession viennoise pendant l’été 1908 et sa petite salle est qualifiée de «cabinet des horreurs». Il y montre, en autres choses, ses premiers autoportraits.
Le 4 juillet 1909 – lors de l’exposition du Wiener Werkstätte –, il présente dans le jardin un drame baptisé Meurtrier, espoir des femmes, qui met en scène le conflit ambigu entre Eros et Thanatos. C’est le premier drame de l’histoire de l’expressionnisme. «Ce spectacle a quelque chose de terrible, avec les Amazones brandissant des torches et la scène sanglante du meurtre, avec l’homme vêtu de rouge sang et la femme toute habillée de blanc. La pièce choque et l’affiche fait scandale. La représentation se termine en échauffourée. Il faut que Karl Kraus et Adolf Loos téléphonent au préfet de police pour qu’on puisse rétablir le calme.» (Source : Giorgio Podesta, L’Humanité).
Face à ce tollé général, OK en rajoute. Ainsi qu’Orianne le souligne : «Il se rase le crâne en protestation du scandale que fait sa pièce à Vienne et qui lui vaut dans un journal (bien avant l’arrivée des nazis au pouvoir), la qualification d'entartete kunstler : “artiste dégénéré“.»
Affichant sa tête de bagnard, tel Caïn porteur du stigmate qui le désigne comme assassin, OK nargue les bien-pensants. Adolf Loos l’encourage à quitter l’atelier du Wiener Werstätte, à se lancer dans le monde. «Il commence alors à peindre une importante série de portraits de grandes figures de la vie intellectuelle et artistique de la Vienne d’alors». Parmi ses modèles : Carl Moll.
Le 12 avril 1912, Alma Mahler rencontre OK dans la maison de famille, lors d’un dîner organisé par Carl Moll. Elle a bien évidemment entendu parler de ce jeune loup de l’art. La description la plus précise de leur rencontre, c’est celle que le photographe français Brassai recueille de la bouche d’Oskar lui-même, lors de leurs rencontres entre 1930 et 1931. Kokoschka lui aurait confié ceci : «Elle était si belle et si séduisante sous son voile de deuil ! Elle m’a enchanté ! J’avais l’impression qu’elle n’était pas indifférente non plus. De fait, après le dîner, elle m’a pris par le bras et conduit dans une pièce attenante, où elle s’est assise et a joué le Liebestod au piano pour moi…».
Liebestod (1865) signifie littéralement «la mort de l’amour». C’est le titre donné par Richard Wagner au Prélude de son opéra Tristan et Iseult. Rapidement, c’est le nom qu’on donne à tous les morceaux chantés racontant la mort des amants, par meurtre, désespoir ou suicide. Impossible pour OK de résister à une telle déclaration. Pour celui qui considère l’amour comme une guerre, mêlant pulsion de vie et de mort, rien de plus enivrant que le Liebestodt. «J’étais ébloui par elle, écrit-il dans son autobiographie. Elle me perturbait. Après cette soirée, nous sommes devenus inséparables».
Alma trouve en lui un amant fiévreux, celui peut-être qu’elle attendait de tous ses voeux. Mais elle refuse de s’engager. Il est «violent», écrit-elle dans son journal. Et surtout jaloux, possessif, obsessionnel. «Il vole les papiers d’Alma pour publier une annonce de mariage sans son accord, et refuse de se vêtir d’autre chose que du pyjama qu’il lui a subtilisé. Un peu effrayée par ces bizarreries, Alma prend ses distances, sans doute aidée par le fait que la mère d’Oskar l’attende devant chez elle avec un revolver, pour l’empêcher de revoir son fils» (Source : Pandora).
Opposant à OK qui désigne l’amour comme «chaos», AM joue les muses. Elle pose ses exigences à Kokoschka et réclame un chef-d’oeuvre en échange du mariage. De fait, il se met à produire frénétiquement. AM devient la femme sans laquelle il est impossible à l’artiste de vivre ni de créer. Mais la veut à lui tout seul. Il la veut vierge. Il la représente en Madonne, en mère immaculée, ce qu’Alma, trop longtemps tenue sous la coupe de Mahler, ne veut plus. Elle sort et s’amuse, entourée de ses prétendants, qui sont «nombreux», ainsi que l’explique Orianne Moretti : Walter Gropius, Hans Pfitzner, Siegfred Ochs, Bruno Walter, son amie lesbienne Lilie Leiser, etc.
Parmi les «rivaux» de Kokoschka, le plus grand est d’ailleurs un mort : Gustav Mahler, dont Alma se présente comme l’épouse à jamais éplorée. Elle fait installer le masque mortuaire de son défunt époux (masque réalisé par Carl Moll) dans le hall de sa maison à Vienne, Orthof, Semmering où OK s’est installé en concubinage. Ce jour-là, il «rentre dans une jalousie folle». La souffrance pour lui est déjà trop grande. Dès 1913, il exécute une gravure intitulée Marguerite au rouet, par allusion à la Marguerite de Faust, qui montre Alma sous les traits d’une jeune femme embobinant les intestins d’un homme éventré devant elle.
«Alma filant les intestins de Kokoschka, c’est le signe qu’OK est complètement «malade» de sa relation, explique Orianne Moretti. Sa jalousie le rend malade. Cette jalousie est présente dans quasi toutes ses oeuvres. Il est totalement «possédé» par cette femme qui en a fait sa victime. Mais comme il le montre dans d’autres oeuvres, il accepte (certes avec douleur) cette soumission et cette relation nourrit son inspiration et sa création «Une nuit avec toi Alma et je peux créer des jours entiers» (voir sa gravure Aristotle and Phyllis). Elle est la femme toute puissante, il se soumet à sa volonté, «idolâtrée» pour la puissance de sa beauté, de son intelligence» et en même temps…
Il ne le supporte pas. Il ne supporte pas non plus qu’Alma, enceinte de lui, avorte à deux reprises. La guerre vient d’éclater. Il décide de s’engager. «OK dans sa biographie, écrit qu’avant de s’engager volontaire dans l’armée autrichienne le 3 janvier 1915, il donna à sa mère un collier de perles rouges ayant appartenu à Alma comme gage de revenir vivant et comme témoignage de son amour pour Alma. Sa mère le conserva dans un pot de de fleur mais il finit par tomber par terre et se brisa. Dans mon opéra, je fais dire à Oskar, quand il donne ce collier à sa mère, que chaque perle est une goutte de son sang, un battement de son coeur».
Kokoschka s’engage. Alors qu’il attend son ordre de départ au front, Alma Mahler écrit dans son journal : «Oskar Kokoschka s’est échappé de moi. Il n’est plus en moi. Il est devenu un étranger non-désiré»… Bon cavalier, OK est versé dans les dragons puis envoyé sur le front russe en Galicie où il se fait percer le poumon d’un coup de baïonnette. Il reçoit aussi une balle en pleine tête. A peine rétabli, il demande à retourner au combat. «Le front lui paraît plus doux que la vie aux côtés d’Alma», explique Bénédicte Abraham. Les psychiatres parle d’amok concernant ces soldats qui, jaillissant des tranchées, se précipitent parfois en hurlant à travers les barbelés, dans une course folle vers les lignes ennemis… OK est KO. Alma lui apparaît tout le temps en songe. Mais elle n’est plus à lui, depuis déjà longtemps.
A la fin de février 1915, Alma Mahler voyage en effet à Berlin pour voir Gropius, lui aussi en mobilisé service actif : il a demandé une permission pour la retrouver. Leur passion renaît de ses cendres. Alma tombe enceinte et propose qu’il l’épouse. Ils se marient, lors d’une autre permission, le 18 août 1915, «en secret», souligne Orianne. «Sans nouvelles d’OK qui a été grièvement blessé le 29 août 1915, Alma se rend dans son atelier à Vienne, récupère toutes les lettres qu’elle lui a envoyées pour les brûler et s’empare également d’oeuvres d’Oskar Kokoschka… pensant qu’il ne reviendra peut-être pas vivant de la guerre».
Avide de guerre, Kokoschka parvient à se faire envoyer comme officier de liaison sur le front italien en juillet 1916. Il est de nouveau blessé sur l’Isonzo. Sur cette photo on le voit, avec son frère Bohuslav et sa soeur Berta. En uniforme, médaillé.
«De 1912 à 1915, Oskar a écrit 400 lettres à Alma jamais traduites en français», dit Orianne Moretti. Même après leur rupture, OK continue de lui écrire et de l’aimer. Il la supplie de lui pardonner. Qu’elle revienne. En vain. En 1918, pour remplacer Alma, il commande une poupée à une des fabricantes de marionnettes les plus connues de l’époque : Hermine Moos (ici sur la photo).
«Il lui avait décrit exactement comment il la voulait et fut très déçu à sa livraison. Il la menait partout et lui achetait des sous-vêtement à Paris, elle terminera décapitée dans une fin de party.» Un soir d’alcool, en 1922, Kokoschka «tue» la poupée puis jette son corps du premier étage. Les voisins appellent la police, croyant voir un cadavre dans le jardin. La même année, Stefan Zweig, ami de Freud, publie dans le grand quotidien viennois Neue Freie Presse (4 juin 1922) une histoire d’amour à mort intitulée Der Amokläufer (Le Coureur d’Amok). La boucle est bouclée.
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OPERA «AMOK» librement inspiré de la relation entre Alma Mahler et Oskar Kokoschka.
Musique de François Cattin / Livret et mise en scène d'Orianne Moretti / Décor de Adoka Niitsu. Création le 6 février 2016 à l’Opéra de Reims.
Coproduction Jeune Opéra Compagnie, Opéra de Reims, Correspondances compagnie
PROCHAINES DATES, en Suisse : 25 et 26 février 2016 au TPR de la Chaux-de-Fonds
A LIRE :
Kokoschka and Alma Mahler: Testimony to a Passionate Relationship, d’Alfred Weidinger, Prestel, 1996.
La vie d’Alma Mahler-Werfel ou la fascination réciproque du mythe et de l’oeuvre d’art, de Bénédicte Abraham. Cahiers d’études germaniques, 2006.
Double Rainbow Infinite raconte l’histoire de Barbara, une jeune femme amnésique qui découvre qu’elle est l’avatar d’une licorne mystique privée de son précieux appendice frontal. Pour retrouver sa corne chérie, recouvrer la mémoire et accéder à l’intégralité de ses pouvoirs de créature magique, elle va devoir réunir sept artefacts. Dans sa quête, elle va parcourir l’espace, le temps, affronter Jésus et déclencher la plus grande des guerres de religions.
Pour raconter cette histoire abracadabrantesque nourrie aux références geek, l’équipe du collectif normand Off-Courts a décidé de réaliser une saga en sept volets. Chacun de ces sept films durera une cinquantaine de minutes et sera diffusé gratuitement sur Internet. A en croire Thomas Lesourd, l’auteur et réalisateur de Double Rainbow Infinite, le premier volet est actuellement en cours de post-production. Il sera diffusé dans le courant de l’année 2016.
Double Rainbow Infinite est un projet de passionnés. La trentaine de personnes qui a “joué, filmé, aidé d’une manière ou d’une autre” à la réalisation du premier long-métrage n’a reçu aucun salaire. Le projet n’a ni producteur, ni budget. “On le fait parce que ça nous plaît. Parce qu’on a envie de voir ça. Et puis c’est tout” tonne-t-on sur la page de la Rainbow Team.
Ce côté DIY/DIE a évidemment été transposé dans le domaine de la communication. Pour faire sa publicité, Double Rainbow Infinite a organisé le festival Niquons. Le concept de ce jeu-concours est on ne peut plus simple : tournez votre sex-tape, réelle ou simulée, mettez-là en ligne sur Vimeo (en n’oubliant pas de signaler la vidéo comme contenu pour adulte) et faites-là parvenir à l’équipe du film par message privé sur Facebook.
En visionnant votre vidéo, l’équipe du site fera une petite capture d’écran qui servira à la représenter face aux autres concurrents. Toutes ces images seront réunies dans un album Facebook et soumises aux votes des fans. Les auteurs de la plus aimée seront couverts de cadeaux : ils recevront un godemiché en forme de Licorne signé par Barbara, leur film sera intégré dans une scène du premier long-métrage Double Rainbow Infinite et les noms sous lesquels ils souhaitent apparaître seront mentionnés dans les crédits.
Ce n’est pas toujours drôle d’avoir une énorme teub, elle traîne par terre, on se prend les pieds dedans, elle ramasse la poussière… Mais ça a aussi ses avantages, on peut la serrer la fort dans ses bras quand on est triste, elle peut servir de balai ou d’épouvantail contre les oiseaux.
Ce mal moderne a bien été cerné par la version non-anime du Futanari (ces hermaphrodites aux sexes géants) et Efukt s’en fait l’écho avec la Grosse Bertha, sympathique surnom donné à cette femme qui explique ses difficultés à vivre avec un énorme mandrin.
Mais même la plus grande des bites s’astique et au bout d’un certain moment envoie dans les cieux sa divine semence, sans vouloir trop spoiler cette vidéo, c’est bien ce qui arrive à la fin. Un sacré happy end.
Clique sur ma teub pour voir la vidéo
Le 15 février dernier, le site porno Adult Empire a révélé le nouveau film de Riley Reid pour Jay’s POV. Dans ce qui ressemble à une timide tentative de promotion, ils ont accompagné cette sortie d’un tout petit clip dans lequel l’actrice de 24 ans fait étalage de ses qualités de rappeuse. Au fil de la grosse minute que dure 8 Ball Shawty, Riley Reid ne parle que de deux choses face au micro : l’argent et le cul. Et pour faire bonne mesure, elle les assaisonne même de quelques n-word.
8 Ball Shawty n’est pas vraiment une nouveauté, le morceau est disponible sur Soundcloud depuis déjà quatre ans. Dans la version proposée par la plate-forme de diffusion audio, Riley Reid débite ses lyrics en compagnie du rappeur anglais Chalk et de Ruben Slikk, l’un des quatre membres du groupe Metro Zu. En 2013, le morceau s’est même doté d’un proto-clip dans lequel l’actrice rappe et danse au milieu d’un bureau hostile.
La sortie de la version 2016 de 8 Ball Shawty a été justifiée ainsi par Adult Empire : “Riley Reid est plus excitante que jamais et Jay (le réalisateur et acteur de Jay’s POV, ndlr) a eu l’opportunité de capturer ses meilleurs atouts pour nos caméras, a expliqué Megan Wozniak, directrice marketing des films Adult Empire. Nous voulions aussi montrer au monde qu’elle a d’autres talents que ceux qu’elle déploie face à la caméra !”
Malheureusement, à en juger par les commentaires laissés sous la vidéo de 8 Ball Shawty, les internautes n’ont pas vraiment été sensibles au flow de Riley Reid. “Iggy Azalea a engendré un nouveau genre musical, le rap de salope blanche attardée” observe joliment BootlegFightVideo. “Elle a le droit de dire “nigga” ? demande TheSmlaxer. Parce que c’est une porn star ?” Sans oublier la contribution la plus appréciée jusqu’ici : “Reste sur les bites… Ce truc est un putain de déchet”. On vous laisse découvrir le reste des réflexions sexistes des internautes par vous même.
“A tous les médias qui nous gavent du plaisir des bites : quand vous intéresserez-vous à mon coït ?”* Cet extrait du prologue de Sexe Cité de Stella Tanagra reflète à mes yeux le coeur de l’ouvrage : un cri littéraire poétique et sensuel pour donner voix au désir féminin, le vrai, le brut !
“La libido des filles est souvent mutilée comme si le sexe était affaire d’hommes”*Sexe Cité se compose de dix nouvelles érotiques ou dix formes de rébellion contre la mutilation du désir féminin.… Lire la suite
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The gorgeous new Bordelle Spring/Summer 2016 luxury lingerie line inspired by Frida Kahlo at babylikestopony is everything I ever wanted (and wished I could afford). Go look at it in all its gloriousness! Found via Sex in Art.
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Voici un godemichet de la marque GlassVibrations qui fait de très beaux sextoys en verre, j’ai nommé le godemichet Purple Love. Présentation du GlassVibrations Purple Love Le GlassVibrations Purple Love est donc un godemichet en verre livré dans une boite en carton disposant d’une fenêtre transparente. La boite s’ouvre grâce à un système d’aimant je pense.…
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Discovered via favorite site Twitch Film: NSFW Trailer For BELLADONNA OF SADNESS Is An Erotic, Candy-Colored Fever Dream. Contributing Writer Charlie Hobbs writes, “Rather than gender equality, Belladonna shows a world of overwhelming oppression of women and the ends to which they’ll go to overcome. It’s a remarkable piece of feminist fantasy horror that must be seen to be believed.”
He adds,
Cinelicious Pics have gone out of their way to properly restore and market the film, and this beautiful trailer is only the beginning. In addition to the theatrical release, they’ve partnered with Hat & Beard Press to put together a limited edition 220 page book commemorating the film and the astonishing art within. Believe me, once you see the film, you’ll want to know more. I cannot say enough good things about Belladonna of Sadness and the miraculous 4k restoration; you’re going to lose your mind when you see it.
Wow, I’m sold — and as a fellow appreciator of Giallo, Hobbs hasn’t steered me wrong yet. The trailer description explains,
BELLADONNA OF SADNESS (KANASHIMI NO BELLADONNA) – Animation, 1973, Cinelicious Pics, 89 min., Japan. One of the great lost masterpieces of Japanese animation, never before officially released in the U.S., BELLADONNA OF SADNESS is a mad, swirling, psychedelic light-show of medieval tarot-card imagery with horned demons, haunted forests and La Belle Dame Sans Merci, equal parts J.R.R. Tolkien and gorgeous, explicit Gustav Klimt-influenced eroticism. (…)
Extremely transgressive and not for the easily offended, BELLADONNA is fueled by a mindblowing Japanese psych rock soundtrack by noted avant-garde jazz composer Masahiko Satoh. The film has been newly restored by Cinelicious Pics using the original 35mm camera negative and sound elements – and including over 8 minutes of surreal and explicit footage cut from the negative. On par with Rene Laloux’s FANTASTIC PLANET and Ralph Bakshi’s WIZARDS as an LSD-stoked 1970s head trip, BELLADONNA marks a major rediscovery for animation fans.
That description is especially compelling to me because what emerged as the single-most pivotal and favorite films from my childhood (seen against my mother’s wishes, at one of her friend’s houses she’d unceremoniously dumped me at for a weekend) was Ralph Bakshi’s Wizards. I’m still deeply and personally moved by it, so I look forward to seeing Belladonna, for sure. I’ll add this caution for some of my dear readers: It sounds like Belladonna isn’t going to be a film for some survivors of sexual assault and trauma, so do proceed accordingly.
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Dans Osez parler de sexe avec vos enfants, Sandra Franrenet aborde la question ô combien difficile, de savoir quoi dire, comment, à quel moment… tout en respectant la règle d’or : ne jamais en faire trop. Sept principes à respecter quand on est un parent.
Ce n’est pas forcément aux parents d’expliquer «la chose», explique la journaliste Sandra Franrenet. Dans un ouvrage tout juste publié à La Musardine, elle insiste sur l’idée que les parents ne sont pas là pour expliquer mais surtout pour rassurer. Son travail s’appuie sur des années d’enquêtes menées auprès de différents spécialistes du dialogue enfant-parent : sage-femme, gynéco, psychologue, psychiatre… «Aucun n’a cherché à me donner une recette et ce pour une raison simple : il n’en existe pas. La maturité et la sensibilité des enfants interdit de délivrer des conseils «prêts à consommer». Ils m’ont expliqué que les enfants n’ont surtout pas envie d’entendre parler de «technique». Finalement, ce qui les intéressent (surtout les petits) ce sont les histoires : comment papa et maman se sont rencontrés ? Il ne faut pas les heurter en leur donnant des détails dont ils ne sauront pas quoi faire».
D’innombrables expériences de terrain sont exposées. La petite de 6 ans se plaint qu’un camarade lui «fait mal au kiki» à chaque récré ? Votre garçon de 14 ans salit ses draps à répétition (bonjour les lessives) ? Votre fille, à peine 12 ans, demande si elle peut avoir la pilule ? «Globalement, les avis des experts que j’ai interrogés étaient plus complémentaires que contradictoires et ce quelle que soit leur spécialité (1). C’est, je pense, ce qui fait la richesse de cet ouvrage. Les lecteurs devraient y trouver une multitude de clés. Et il y en aura pour tous les profils, les téméraires comme les timides !».
«Personne n’a envie d’entendre sa mère expliquer la fellation !»
Au-delà d’exposer des cas de figure, l’ouvrage de Sandra Franrenet présente surtout un avantage : il insiste clairement sur le fait que les parents ne doivent pas «en faire trop» : mieux vaut offrir un livre à l’enfant avec des schémas de corps qui s’emboîtent qu’en parler soi-même. «Il ne faut surtout pas que la maman rentre dans les détails, encore moins qu’elle ne se mette à mimer la scène ! Mieux vaut qu’elle se contente de répondre quelque chose du type : “C’est un truc sexuel que les adultes font entre eux.“ La plupart du temps, ce genre de réponse suffit à l’enfant qui tournera aussitôt les talons. Je conseille vivement au parent de s’arrêter là si son petit ne se montre pas plus curieux, au risque sinon de le choquer. À mesure qu’il grandira, ses questionnements seront plus précis et délicats, mais, j’insiste, chaque chose en son temps ! Au bout d’un moment, il ira s’informer ailleurs et cessera toute sollicitation parentale. On a rarement vu un ado demander à papa-maman comment on fait l’amour» (2).
Règle 1. Ne jamais parler de sexe le premier
«La parole est d’argent, mais le silence est d’or», explique Sandra Franrenet : ce n’est pas aux parents de prendre l’initiative. Il faut toujours attendre que l’enfant pose une question et se contenter d’y répondre sans partir dans un discours. Pour le Dr Didier Lauru, directeur du centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) à Étienne-Marcel (Paris) : «Si on les abreuve trop tôt d’informations qu’ils ne sont pas prêts à entendre, l’adulte risque de provoquer un trauma d’intrusion dans leur psychisme.»
Règle 2. Répondre à une question par une question
«Selon les situations, les informations données par les parents ne seront pas les mêmes. Mais l’essentiel devra toujours tenir en quelques mots», affirme Anne Bacus (psychologue, sexologue, psychothérapeute et auteur de 100 réponses de psy aux questions des parents) qui suggère de toujours retourner la question à l’enfant. «Je crois qu’il faut faire simple, c’est-à-dire partir de ce que l’enfant sait (en matière de sexualité, ils ont toujours un pas d’avance sur les adultes !) ou de ce qu’il croit savoir, en lui retournant sa question : “Et toi, qu’est-ce que tu en comprends ?“, sans chercher à biaiser».
Règle 3. Aller à l’essentiel (le sexe, c’est avant tout du bonheur)
La sexualité est avant tout le fruit d’une rencontre. Plutôt que parler technique, mieux vaut parler du bonheur qui pousse deux personnes à «s’embrasser très fort» ou à «se serrer très fort l’un contre l’autre». «Un enfant n’est jamais seulement le fruit d’un acte sexuel, résume Anne Bacus. Il est né d’un projet commun. Au fil du temps, l’enfant posera des questions plus précises. Il voudra savoir “comment on fait les bébés“. Il conviendra alors de lui parler d’amour, de désir, de tendresse, d’appel des sexes, de rencontre des corps, d’accouchement, de respect de soi et de l’autre…».
Règle 4. Répondre court
Mais attention, gare aux bavardages ! Ainsi que le remarque Anne Bacus : «Le mieux est souvent l’ennemi du bien. Il est des réponses que les enfants n’ont pas envie d’entendre. Certes, la sexualité ne doit pas être taboue, mais elle relève du domaine de l’intime et du privé. La pudeur est un sentiment nécessaire et respectable. Ces deux points sont cruciaux, encore plus dans le creuset familial.» Ne forcez pas un enfant à se mettre nu, sous prétexte que vous êtes vous-même parfaitement à l’aise avec votre corps. Ne vous moquez pas s’il ferme la porte de la salle de bain à clé.
Règle 5. Rassurer plutôt qu’expliquer
Quand l’enfant interroge, c’est moins pour s’instruire que pour se rassurer. La peur motive beaucoup de ses questions (3). «Inutile d’abreuver vos enfants d’informations sur le sexe. Faites en sorte d’instaurer un climat de confiance, montrez-vous ouverts et tolérants et faites-leur comprendre qu’aucun sujet n’est tabou. C’est comme cela et seulement comme cela qu’en grandissant, vos rejetons sauront qu’ils trouveront en vous des personnes ressources pour répondre à leurs doutes et calmer leurs angoisses».
Règle 6. Nommer un chat un chat
Pour Sandra Franrenet, il est important que l’enfant, dès le plus jeune âge, sache qu’il peut désigner les parties de son corps sans honte : ceci est mon sexe. S’il parle de ses «fesses» pour parler d’autre chose, il faut le corriger. S’il demande comment on nomme ceci ou cela, lui donner le terme anatomique. «Appeler un chat, un chat, n’interdit pas d’utiliser des petits mots au quotidien. Il suffit juste de dire «tu sais, en vrai, ton zizi, ça s’appelle un pénis» et Basta.» Quand aux tristes sires qui pourraient trouver choquant qu’un enfant parle de ses testicules ou de son clitoris : «Tant pis pour eux ! Plus on osera nommer, moins les mots anatomiques seront tabous et moins ils choqueront les soit-disantes chastes oreilles !».
Règle 6. Ne jamais parler de soi, ni donner de détail intime
Ce qui se passe dans la chambre des parents doit impérativement rester dans le domaine de la sphère privée. Sandra Franrenet explique : «Si Junior s’enhardit à poser la question du “mais vous, vous le faites aussi ?“, ne bottez pas en touche. Répondez simplement que cela ne le regarde pas. La seule chose qu’il doit savoir, c’est que ses parents ne font que des “choses“ qui leur plaisent à tous les deux».
Règle 7. Garder la distance
Psychiatre spécialisé dans la prise en charge des enfants et des adolescents, Mickaël Larrar confirme : «La sexualité parentale écoeure les enfants dans la mesure où elle apporte une dimension incestueuse. Le parent doit être un “filtrant”, c’est-à-dire garder une distance constante avec la dimension sexuelle. Malgré le discours ambiant qui incite à parler librement de sexe avec sa marmaille, la gêne naturelle qui existe n’est pas une mauvaise chose».
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A LIRE : Osez parler de sexe avec vos enfants. Paroles d’experts, de parents et d’enfants, de Sandra Franrenet, La Musardine.
NOTE
(1) «Sauf erreur de ma part, il n’y a globalement qu’une pierre d’achoppement : les capotes en libre-service à la maison. L’un de mes experts y est farouchement opposé alors que l’autre estime que ce peut être une bonne idée... à condition bien sûr que les parents n’érigent pas cette liberté en stratagème pour garder un oeil sur la sexualité de leurs enfants.» (Sandra Franrenet, entretien par courriel, 28 janvier 2016).
«Si le parent est vraiment mal à l’aise ou que la réponse ne lui “vient pas“, pas de panique ! Il n’est pas obligatoire de répondre tout de suite. Il est tout à fait permis de se documenter et/ou de revenir avec un support (un livre par exemple). L’essentiel, c’est que l’enfant, puis l’adolescent, sachent qu’il n’est jamais vain de se tourner vers les adultes. Qu’il ait un questionnement, une inquiétude, un souci, il doit savoir qu’il peut s’en ouvrir à son parent, sans craindre le jugement, la moquerie ou la fuite. En résumé, parler sexualité avec ses enfants est une tâche parentale plus essentielle que jamais… Mais toujours aussi délicate.» (Anne Bacus, introduction au livre Osez parler de sexe avec vos enfants)
(2) Entretien avec le Dr Didier Lauru, directeur du centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) à Étienne-Marcel (Paris)
(3) «Pour les ados, la “première fois” ne se résume pas à la pénétration sexuelle, raccourci que font trop souvent les adultes. Pour les jeunes, c’est tout ce qui englobe la relation avant, c’est-à-dire le premier baiser (faut-il mettre la langue ? Dans quel sens la tourner ?) puis la douleur potentielle (est-ce que ça fait mal ? Cette question est d’autant plus prégnante que beaucoup ont vu des films porno où la fille crie… de douleur ?), la fille est-elle obligée de saigner ?.... » (Caroline Rebhi, chargée de la commission éducation à la sexualité du Planning Familial. Source : Osez parler de sexe avec vos enfants).
ILLUSTRATION : Mirka Lugosi, fée de l’illustration enchantée
Cette semaine, ça y est, il a neigé ! Maintenant qu’on a eu notre hiver il serait peut-être temps de passer à une saison plus douce et plus chaude, une de celle qui nous permet de nous balader nus et de ne pas avoir froid, qui nous oblige à mêler nos transpirations, etc etc. On y est presque : pour patienter encore un peu, les gifs nous donnent quelques leçons. Prenez-en de la graine.
Tel un papillon effrayé, Katsuni nous fait ses yeux de biche. Pour nous séduire ? Que nenni ! Il s’agit bien là d’une technique imparable pour s’éviter une conjonctivite. Pas bête la guêpe. En même temps on la comprend, cette éjaculation est aussi imprévisible que le rebond d’un ballon de rugby. Quelle tannée.
Fans de la pratique du tittfucking, on s’avoue également vaincu lorsqu’il s’agit de l’embrasser goulument. Prendre à pleine bouche un téton aguicheur et y mettre tout son coeur c’est vraiment quelque chose qu’on apprécie à sa juste valeur, celle de la tendresse et de la douceur. Oui, après Stacy Silver et Valentina Rossini n’en restent pas là, s’embrassent et se caressent de partout, puisqu’elles ont si bien compris la technique.
Stacy Silver & Valentina Rossini – PremiumHDV
C’est qu’on en fait plus des coquines comme celle-là. A trop faire la maligne avec son regard audacieux, Cassidy Banks ne cherche qu’à recevoir la fessée qu’elle mérite. A savoir que ce sur quoi je craque le plus, c’est cette petite langue effrontée qui fait coucou sans savoir ce qui va lui arriver. Impossible néanmoins de trouver la ref de ce gif insolent, mille excuses.
Brigitte Lahaie dans toute sa splendeur. On avait parlé plus tôt d’un projet souhaitant lui rendre hommage, alors bien sur nous aussi on s’y met corps et âme. Dans Parties Fines, un film de 1977, Brigitte dévoile tous ses talents de comédienne et ne se prive évidemment pas non plus de livrer aux yeux de tous son corps excessivement enjôleur. Des boobs comme ça, franchement, si c’est pas beau.
Brigitte Lahaie – Parties Fines (1977)
Quand Dani Daniels invite Tia Layne au théâtre, il ne fait pas les choses à moitié : en loge et catégorie 1 s’il vous plaît Messieurs Dames. C’est moins pour bien voir le spectacle que pour être sur d’avoir une certaine tranquillité au moment de baisser les rideaux. Une fois que les trois coups ont été battus, il est impossible de revenir en arrière, Dani est lancé.
Tia Layne et Danny D. – The Whore of the Opera – Brazzers
Les fesses de Cindy Dollar vous envoient plein de petits bisous tout doux
Image à la Une: Tia Tanaka
C’est parti pour la deuxième édition de l’Apéro Sexo Virtuel sur Twitter ! Pour ce deuxième tweetchat, je vous propose de parler de l’amour dans les lieux insolites.
L’Apéro Sexo Virtuel ou #ASV est un rendez-vous que je vous propose chaque dimanche pour nous amuser sur Twitter. On échange pendant 30 minutes sur un sujet sexo, le tout dans la bonne humeur !
Comment participer au tweetchat ?– Connectez-vous sur Twitter dimanche 21 février à 18h
– Suivez le hashtag #ASV en le tapant dans la barre de recherche Twitter et/ou suivez mon compte @LadyShagass
– Répondez aux questions posées en mentionnant le hashtag #ASV + le numéro de la question à laquelle vous répondez.… Lire la suite
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Alors que le sexe est très souvent décrit comme tendre, un peu de sauvagerie voire de violence peut faire exploser le plaisir pour la femme et l’homme. L’agressivité s’exprime alors dans un désir primal, l’énergie vitale transmute les amants en du désir pur et le résultat est souvent jouissif. Une recette à utiliser de temps en temps pour s’assumer…
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- Il était une fois le slut-shaming…
– Mais grand-mère, c’est quoi le slut-shaming ?
– C’est un homme, et parfois une femme, qui décide que tu es une « pute » (sans pour autant que tu gagnes de l’argent avec ta sexualité) ou « une fille facile » ou « une salope » et que pour cette raison, tu ne mérites pas son respect et tu devrais en avoir honte.
Toi, en règle générale, tu es plutôt une jeune femme et l’écrasante majorité de tes relations sexuelles ont été consenties dans les deux sens, et se sont déroulées dans le respect de tes partenaires ainsi que de tes propres envies. Ce qui devrait suffire à faire de toi quelqu’un de respectable sur ce point là.
Mais parfois, certaines choses annexes que tu fais – tu as « trop » eu de partenaires, tu couches « trop » rapidement, tu te mets « trop » en valeur – éveillent chez les autres le mythe de « la pute ».
– C’est quoi une pute, grand-mère ? Ca ne donne pas très envie de le devenir…
– Il n’y a pas de raison ma chérie. Les putes et les salopes, c’est comme les fées et les dragons, ça n’existe que dans les contes pour enfants. Le Petit Chaperon Rouge par exemple, raconte l’histoire d’une jeune fille qui se promène seule dans la forêt et qui rencontre un loup. Tu sais ce qu’il lui arrive ? Elle se fait manger par la bestiole parce qu’elle ne s’est pas assez méfiée et qu’elle était trop apétissante. La morale de l’histoire dit que c’est de sa faute, quelque part, elle l’a bien mérité.
Dans La Belle Au Bois Dormant ? Elle se pique le doigt à la pointe d’une queue-nouille à l’aube de ses 16 ans sans avoir attendu le prince. Quelle bêtasse, elle est condamnée à un sommeil très long ! Mais elle l’a bien cherché quand même, quelle idée d’aller foutre ses petites mimines n’importe où.
Blanche-Neige ? Elle n’a pas pu s’empêcher de croquer dans la pomme rouge avant de rencontrer le prince… t’imagines un peu ? -Hop- Rupture d’anévrisme sévère pour Madame afin qu’elle comprenne la leçon. « On ne croque pas dans la première pomme qui tombe de l’arbre ! » Non mais.
Et si tu es dans un pays où ces contes de fées n’existent pas, la religion est parfois un parfait substitut.
– On est forcément puni quand on a une relation sexuelle « trop » rapidement dans la vie ?
– Eh bien non ma chérie, tout simplement parce qu’il n’y a pas de « trop ». Le bon tempo, c’est le tien. Mais parfois, certaines personnes croient tellement aux contes de fées qu’elles s’imaginent que les femmes sont des princesses, un petit être fragile en haut d’une tour à conquérir. Si la conquête n’est pas assez longue et assez difficile, alors elles perdent leur valeur et deviennent « une fille facile ». C’est une façon un peu bébête de voir le monde à travers des mythes archaïques.
Sais-tu qu’au Moyen-Âge, on brûlait les femmes parce que c’était des sorcières ?
– C’est pas très gentil. Les sorcières, ça n’existe pas !
– Eh bien ça n’existe pas non plus les putes, les filles faciles et les salopes.
Pourtant, plus de cinq siècles après, on les montre encore du doigt sur la place publique.
******************************************************************
Je tiens encore une fois à préciser que dans ce post que le mot « pute » est employé comme une insulte qui va bien au delà de la prostitution, c’est pourquoi il est assimilé à « fille facile » et à « salope ».
Les travailleurs du sexe existent bien évidemment dans la vraie vie et… heureusement !
– Il était une fois le slut-shaming…
– Mais grand-mère, c’est quoi le slut-shaming ?
– C’est un homme, et parfois une femme, qui décide que tu es une « pute » (sans pour autant que tu gagnes de l’argent avec ta sexualité) ou « une fille facile » ou « une salope » et que pour cette raison, tu ne mérites pas son respect et tu devrais en avoir honte.
Toi, en règle générale, tu es plutôt une jeune femme et l’écrasante majorité de tes relations sexuelles ont été consenties dans les deux sens, et se sont déroulées dans le respect de tes partenaires ainsi que de tes propres envies. Ce qui devrait suffire à faire de toi quelqu’un de respectable sur ce point là.
Mais parfois, certaines choses annexes que tu fais – tu as « trop » eu de partenaires, tu couches « trop » rapidement, tu te mets « trop » en valeur – éveillent chez les autres le mythe de « la pute ».
– C’est quoi une pute, grand-mère ? Ca ne donne pas très envie de le devenir…
– Il n’y a pas de raison ma chérie. Les putes et les salopes, c’est comme les fées et les dragons, ça n’existe que dans les contes pour enfants. Le Petit Chaperon Rouge par exemple, raconte l’histoire d’une jeune fille qui se promène seule dans la forêt et qui rencontre un loup. Tu sais ce qu’il lui arrive ? Elle se fait manger par la bestiole parce qu’elle ne s’est pas assez méfiée et qu’elle était trop apétissante. La morale de l’histoire dit que c’est de sa faute, quelque part, elle l’a bien mérité.
Dans La Belle Au Bois Dormant ? Elle se pique le doigt à la pointe d’une queue-nouille à l’aube de ses 16 ans sans avoir attendu le prince. Quelle bêtasse, elle est condamnée à un sommeil très long ! Mais elle l’a bien cherché quand même, quelle idée d’aller foutre ses petites mimines n’importe où.
Blanche-Neige ? Elle n’a pas pu s’empêcher de croquer dans la pomme rouge avant de rencontrer le prince… t’imagines un peu ? -Hop- Rupture d’anévrisme sévère pour Madame afin qu’elle comprenne la leçon. « On ne croque pas dans la première pomme qui tombe de l’arbre ! » Non mais.
Et si tu es dans un pays où ces contes de fées n’existent pas, la religion est parfois un parfait substitut.
– On est forcément puni quand on a une relation sexuelle « trop » rapidement dans la vie ?
– Eh bien non ma chérie, tout simplement parce qu’il n’y a pas de « trop ». Le bon tempo, c’est le tien. Mais parfois, certaines personnes croient tellement aux contes de fées qu’elles s’imaginent que les femmes sont des princesses, un petit être fragile en haut d’une tour à conquérir. Si la conquête n’est pas assez longue et assez difficile, alors elles perdent leur valeur et deviennent « une fille facile ». C’est une façon un peu bébête de voir le monde à travers des mythes archaïques.
Sais-tu qu’au Moyen-Âge, on brûlait les femmes parce que c’était des sorcières ?
– C’est pas très gentil. Les sorcières, ça n’existe pas !
– Eh bien ça n’existe pas non plus les putes, les filles faciles et les salopes.
Pourtant, plus de cinq siècles après, on les montre encore du doigt sur la place publique.
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Je tiens encore une fois à préciser que dans ce post que le mot « pute » est employé comme une insulte qui va bien au delà de la prostitution, c’est pourquoi il est assimilé à « fille facile » et à « salope ».
Les travailleurs du sexe existent bien évidemment dans la vraie vie et… heureusement !
J’me baladais où l’web est nu
La flûte au vent
(Quoi qu’sans zikmu)
Quand soudain blonde aux yeux sang pur
(Pas bien mon style et pourtant l’ins-
tru ne ment jamais !), de la mollesse
Au lieu des eins,
Un regard à cramer.
Elle arrive, Alli Rae !
Et jouant de sa flûte les serpents fait danser,
Exploser les calbuts, son programme et
Moi j’ai voté !
J’m’étais paumé où l’web est cure
J’suis retrouvé !
Alli Rae mon amuuuur
M’a,
Comme un serpent tout dur,
Hiroshimé.
Le mois de février est toujours le plus court de l’année. Une fois tous les quatre ans, cependant, il s’invite un peu plus longuement à la table du calendrier annuel. 2016 fait partie de ces années qu’on aime au Tag : un jour en plus, bien calé où il faut dans la semaine, ça nous donne une semaine de gifs gay en plus et ça c’est le plus beau des cadeaux. Enjoy !
Des muscles travaillés, des peaux tanées et des tatouages qui invitent à s’approcher un peu plus pour les comprendre : voilà comment se résume le couple que forment Topher DiMaggio et Levi Karter. Entre toutes ces tablettes, on ne sait plus où se foutre, heureusement lui (le foutre) parvient toujours à s’y frayer un chemin (sur les tablettes). Pornophiles oui mais poètes avant tout.
Topher DiMaggio & Levi Karter – Cocky Boys
A la maison on est très fan de toutes les bizarreries anatomiques qu’on trouve dans le corps humain. Alors autant dire que celle qui permet aux testicules de se mouvoir comme bon leur semble a fait un véritable tabac. En même temps, affublé en policier Connor Kline est dans son rôle de tout contrôler. Ce rimjob professionnel, pas de doute, c’est de lui.
Liam Magnuson & Connor Kline – Men in Blue – Men.com
Quel plus doux dimanche que celui qui se termine par une fellation amourachée ? La semaine dernière, on ne l’a pas mentionnée, mais c’était la Saint-Valentin, cette fête où tous les couples se retrouvent pour se faire des gâteries – c’est bien à ça qu’elle sert. Colby et Léo n’ont pas dérogé à la règle et se sont prouvés mutuellement leur amour (et plus si affinités).
Colby Keller & Leo Giamani – Randyblue
Lumière tamisée, sodomie violente et corps d’athlètes : encore un beau combo. Mais ici, il y a ce petit truc en plus que d’autres n’ont pas. Serait-ce l’adorable bouille de Bruno Bernal ? La transpiration excessivement excitante de Paddy O’Brian ? Nous n’avons pas pu nous décider tellement les deux ne fonctionnent à merveille qu’ensemble. « Peu importe la bouteille pourvu qu’on ait l’ivresse », dit-on.
Bruno Bernal & Paddy O’Brian – Hard Knox – Men of UK
Dans la famille « espiègle » je demande : Austin Wilde. Un brin coquin, toujours rieur, il n’hésite pas à se jouer de ses petits camarades et détient plus d’un tour dans son sac. Dans la famille « béat » je demande : Andrew Collins. Quasiment enfant de choeur, presque naïf, il se complaît dans toutes les situations et y trouve toujours son compte. Un duo de choc.
Austin Wilde & Andrew Collins – Guys In Sweatpants – Waybig
Image à la une: Topher Dimaggio
Bisous
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Quand il était adolescent, Jim McBride s’amusait à enregistrer les scènes de nu de ses films préférés. À force de dégainer ses Betamax à chaque fois qu’une actrice dévoilait la moindre partie de son anatomie, l’américain a développé une connaissance encyclopédique de ces scènes olé-olé que nous avons tous tant aimé quand nous débordions d’hormones. Cette habitude aurait pu rester un hobby, mais il en a fait un métier. En 1996, alors qu’il faisait étalage de sa cinéphilie dans une soirée à Chicago, il a tapé dans l’oreille de l’animateur radio Harry Teinowitz. C’est comme ça que sa carrière d’expert des actrices nues à réellement pris son envol.
Sur les ondes de WMVP, Jim McBride a répondu aux questions libidineuses des auditeurs pendant quelques années avant qu’un fan ne lui suggère d’ouvrir un site Internet. Séduit par l’idée, notre homme a emprunté 70 000 dollars et s’est lancé. Entre mars et août 1999, il a lui même créé les fiches de 1 000 actrices dans la base de données de son futur site. Chacune contenait un nom, une photographie, un lieu de naissance, une petite biographie et surtout une liste détaillant tous les films dans lesquels la comédienne se dénude. Puis, le 10 août, l’entrepreneur audacieux a ouvert les portes de MrSkin.com.
Carton plein pour actrices nuesAujourd’hui, Mr. Skin compte plus de 10 millions de visiteurs uniques mensuels. Jim McBride emploie 35 personnes à plein temps et plusieurs “Skin Scouts” chargés d’écumer les festivals à la recherche de bobines dans lesquels les comédiennes se dénudent. L’entrepreneur fait même travailler sa mère. Bombardée “Skintern”, c’est elle qui saisit les nouvelles données dans le catalogue du site. Environ 25 000 actrices y sont désormais répertoriées, agrémentées de 200 000 photos et vidéos. L’entrepreneur se refuse à dévoiler le montant exact de ses bénéfices, mais il est catégorique : Mr. Skin rapporte “beaucoup d’argent”.
Cette situation agréable ne semble pas menacée à court terme. S’ils abandonnent peu à peu le simple appareil sur grand écran, les acteurs n’en finissent plus de se déshabiller à la télévision. Contacté par le Tag Parfait, Jim McBride s’en frotte les mains : “Sachant que les cinémas privilégient de plus en plus les superproductions grand public, (…) nous sommes entrés dans l’âge d’or des célébrités nues à la télévision. Nous pensons que le prochain gros changement sera enclenché par les services de streaming et de VOD. Avec Orange Is The New Black et Narcos sur Netflix, Transparent et Hand Of God sur Amazon, les entreprises numériques prouvent qu’elles peuvent produire de très bons programmes pour adultes.”
Hollywood aime Mr. SkinBonne situation et bonnes perspectives : dans le domaine du divertissement pour adulte, l’assise confortable de Mr. Skin est remarquable. Pour en arriver là, Jim McBride a fait preuve d’astuce et provoqué la chance dès que possible. Sa première pirouette remonte à 1999, quand il a consulté un avocat pour s’assurer que son projet était légal. Celui-ci lui a conseillé de présenter Mr. Skin comme un site de critique cinématographique. Grâce à ce statut, il est libre de diffuser des images protégées par le droit d’auteur au nom du Fair use. Ainsi, en seize ans d’existence, il n’a jamais fait face à la moindre plainte.
Ce calme judiciaire est moins lié à un statut judicieux qu’au formidable potentiel promotionnel de Mr Skin. Les grands d’Hollywood adorent le site de Jim McBride car il leur permet d’attiser l’intérêt du public en lui faisant miroiter une scène de nu dans un film à venir. C’est la raison pour laquelle Universal, Fox, Paramount, Lionsgate et plus de 70 autres sociétés de production font régulièrement parvenir les DVD exclusifs de longs-métrages pas encore projetés en salles. “C’est pour ça que les scènes de sexe existent, parce qu’elles font vendre”, arguait crânement Jim McBride dans le New York Times il y a presque dix ans.
L’histoire d’amour qui unit Mr. Skin a Hollywood n’est pas unilatérale. En 2007, le réalisateur Judd Apatow a rendu hommage à la création de Jim McBride en la faisant mentionner par Seth Rogen et Paul Rudd dans son film En cloque, mode d’emploi. Ce juteux caméo avait été proposé à l’entrepreneur par la société de production Paramount un an plus tôt. Bien sûr, il avait immédiatement accepté. Une décision qu’il considère toujours comme “l’une de ses plus judicieuses”. On peut le comprendre : le nombre de visiteurs mensuels enregistrés par le site a gonflé de 35% le mois de la sortie du long-métrage.
Le très médiatique Mr. SkinLe succès de Mr. Skin tient aussi au fait que Jim McBride est très médiatique et indissociable de son site. Mr. Skin, c’est lui ; ce surnom lui a été attribué par l’animateur radio qui lui a permis de faire ses premiers pas sur les ondes. C’est aussi sous ce pseudonyme qu’il a intégré l’équipe du célèbre Howard Stern Show en 2000. Après une seule apparition au micro, Jim McBride est devenu un intervenant régulier. C’est ce poste qui lui a ouvert les portes de la célébrité : Judd Apatow a découvert l’expert des actrices nues en écoutant le Howard Stern Show. L’entrepreneur y tient toujours sa Mr. Skin Minute. Chaque semaine, il donne également de la voix tous les jeudis dans Playboy Morning Show et le Rude Awakening Show de la station locale WOCM.
Si sa présence radiophonique et ses bonnes relations avec l’industrie cinématographique l’ont sans aucun doute aidé à s’imposer, Mr. Skin a aussi triomphé grâce à sa réactivité. En 2004, le site a su tirer parti du Nipplegate mieux que personne. En étant le premier à proposer des images du téton orné de Janet Jackson quelques heures seulement après son irruption télévisée, Jim McBride a attiré un très grand nombre d’internautes sur son site. Réactif, donc, mais pas opportuniste : en 2014, Mr. Skin a refusé de diffuser les clichés de célébrités révélés par le fappening. “Nous ne diffusons que des images dans lesquelles des acteurs et actrices ont accepté d’apparaître, tout en sachant qu’elles seraient vues par le monde entier”, avait-il alors expliqué au Telegraph.
Prétentions mainstreamCe mélange de malice, de bonne image publique et de pratiques convenables a beaucoup réussi à la petite entreprise de Jim McBridge. Tant et si bien qu’au début des années 2010, l’entrepreneur a décidé d’étendre les limites de son domaine. La variante masculine de Mr. Skin, Mr. Man, a ouvert ses portes au mois d’octobre 2013. En février 2014, Jim McBride s’est offert le site d’information pornographique Fleshbot par le biais de sa société SK Intertainement. Jusqu’alors, le site appartenait au groupe de médias Gawker (Kotaku, Gizmodo…). L’entrepreneur explique : “Sous la coupe de Gawker, Fleshbot a été un très bon site pendant de nombreuses années. C’était aussi un bon partenaire commercial. Nous avons très mal vécu la décrépitude du site (sic), nous savions que nous pouvions lui rendre son éclat, alors nous avons fait une offre.”
Les projets de croissance de Jim McBride ne se sont pas arrêtés là. Au mois de janvier dernier, il a fait l’acquisition de deux sites de divertissement semblables à Mr. Skin : WWTDD et Last Men on Earth. Quelques jours après, il s’est offert la marque Egotastic, une autorité du web pour amateur de ragots sexy et de célébrités dénudés. Il affirme : “Nous avons acheté ces sites pour les mêmes raisons que Fleshbot. Nous étions fans à l’origine, et la plupart d’entre eux faisaient déjà partie de notre programme d’affiliation (une technique de marketing digital qui permet de faire la promotion d’un site chez l’un de ses partenaires, ndlr).”
Ces acquisitions vont permettre à Mr. Skin de poursuivre un nouvel objectif : “Nous voulions vraiment élargir notre réseau dans une direction plus “grand public” tout en restant fidèles à notre expertise originale : les célébrités, Hollywood et le pop culture pour hommes” explique Jim McBride. “Chaque site va être re-dessiné et importé sur notre plate-forme. D’autres acquisitions sont à prévoir. Nous prévoyons également de collaborer avec de grands éditeurs dont les contenus cadrent avec notre ligne éditoriale. Nous les hébergerons, les développerons et les monétiserons.” Mr. Skin voit loin : “Notre objectif est de devenir le leader du divertissement pour hommes sur Internet et le premier choix des annonceurs.” Jim McBride a fait beaucoup de chemin depuis ses cassettes Betamax. Preuve est faite qu’il faut parfois se laisser porter par l’adolescent excité qui sommeille en chacun de nous.
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Connaissez-vous la «machine à accoucher» ? Cette invention qui date de 1759 est mise au point par une sage-femme, Angélique du Coudray. Jusque fin mars 2016, l’artiste Zaven Paré expose une version «sans sexe» de cette étonnante mécanique, au Centre des arts d’Enghien Les Bains.
Au 18e siècle, dans les villages, c’est la matrone qui préside à l’accouchement. Elle a de l’expérience, mais quand des complications surviennent… Vers 1759, une sage-femme appelée Angélique du Coudray –décidée à former des personnes qui ne savent ni lire ni écrire– a l’idée d’utiliser ce qu’on appelle à l’époque un «fantôme obstétrique» : un mannequin souple limité au bas-ventre, reproduisant à l’identique le bassin d’une femme enceinte, ses organes reproducteurs et son foetus.
Le «fantôme obstétrique» d’Angélique
«L’ensemble est fait en toile couleur chair, rembourré de coton, explique Zaven Paré. L’exemplaire conservé au Musée Flaubert et d’histoire de la médecine de Rouen est très bien conservé. A la radiographie, la structure du mannequin révèle la présence d’un véritable bassin osseux (comprenant le sacrum, les os iliaques, une partie des fémurs…) avec un cerclage au fil de fer des trois articulations.» La machine est stupéfiante de réalisme. Angélique du Coudray s’en sert pour montrer aux élèves comment «délivrer» le foetus, dont elle a fait faire des reproductions de 7 et 9 mois, ainsi que des versions «enfants jumeaux». Tous les cas de figure sont possibles avec cette «machine» (1). Que le bébé se présente par le siège, qu’il soit mort ou qu’il ait le cordon enroulé en double noeud autour du cou, Angélique peut le mettre en scène.
Une version «mécatronic» de parturiente
Arrive le XXIe siècle. De cet outil pédagogique pour enseigner l’accouchement, l’artiste Zaven Paré donne une version de rêve : plus d’organes, ni de foetus. Le bassin grandeur nature de la femme, en plastique thermoformé, ressemble à la coquille d’un oeuf. Entre les cuisses immaculées, rien. La surface est lisse comme celle d’un écran de cinéma. Le moulage creux, arachnéen, est fixé par des tiges à un petit projecteur de diapositives qui projette alternativement l’image d’un oeil ouvert, puis d’un oeil fermé à l’endroit de la vulve absente. Dépourvue de matrice et de sexe, cette machine-là n’accouche plus que d’illusions. Zaven Paré dit qu’elle «est une projection, une lumière projetée, comme sur la paroi d’une caverne préhistorique ou celle de Platon». Face à elle, nous ne sommes plus face à la réalité d’un organe de chair expulsant de la chair, mais face au spectre asseptisé d’un monde «idéal». Dans ce monde très évolué (qui se croit tel, en tout cas), la femme ignore la gestation. Dans ce monde blanc, pur et propre, le foetus est escamoté. Exit le nouveau-né. Avec un brin d’ironie, Zaven Paré nomme son oeuvre L’Origine du monde, par allusion au tableau de Courbet.
L’Origine du monde : une femme enceinte ?
Un des spécialistes de cette oeuvre, Thierry Savatier, a récemment avancé que la femme peinte par Courbet pourrait être enceinte en raison des invraisemblances anatomiques qu’elle présente, notamment une boursouflure sur la moitié gauche de l’abdomen. Dans l’ouvrage Enceinte, la chercheuse Emmanuelle Berthiaud explique : «Si c’est le cas, la scène constituerait une double transgression». Montrer à la fois une vulve et une grossesse, il est certain qu’en 1866 c’était osé. Mais avec Zaven, la transgression franchit un nouveau car car ce qu’il montre est pire : un morceau d’anatomie, sans vulve ni grossesse. L’origine du monde, bientôt, ne se situera plus entre les cuisses d’une femme mais dans la matrice artificielle d’un laboratoire, suggère Zaven, par allusion à ces recherches qui sont actuellemement menées par plusieurs laboratoires avec des résultats… «non-négligeables», ainsi que le formulent des journalistes scientifiques comme Philippe Descamps. Dans un article consacré à la grossesse hors-utérus (2), Philippe Descamps explique : cette technique qui consiste «à faire se développer un embryon puis un foetus en dehors du ventre de la femme, dans une matrice externe» est appelée ectogenèse.
Ectogenèse : faire pousser des embryons hors-utérus
«Inventé dans les années 1930 par le généticien visionnaire John B. S. Haldane, le terme d’ectogenèse comme la chose qu’il désigne ont longtemps appartenu au seul lexique de la science-fiction. Mais aujourd’hui ce n’est plus seulement une rêverie de biologiste solitaire ni un lieu commun de la littérature d’anticipation, il s’agit bel et bien d’un programme de recherche affiché par plusieurs laboratoires dans le monde et qui a en outre déjà donné quelques résultats non négligeables». La nouvelle a de quoi faire froid dans le dos. Se pourrait-il que bientôt il soit possible de «produire» des humains comme les tomates hors-sol ? L’origine du monde, alors, serait une origine extra-corporelle. Avec quelles conséquences ? Pour Philippe Descamps, «L’intérêt médical d’une telle technique est […] indéniable. La mise au point de matrices externes artificielles résoudrait incontestablement le problème des avortements spontanés». Dans sa volonté de convaincre et de rassurer, l’article qu’il consacre à l’ectogenèse est presque encore plus inquiétant que l’ectogenèse elle-même. De toute évidence, cette technique est dans «l’air du temps». Pourquoi faire soi-même ce qu’une machine ferait bien mieux que nous ?
Des machines se chargeraient de mettre au monde nos enfants ?
Ni pour, ni contre, Zaven Paré ne donne pas son avis sur l’ectogenèse. Lorsqu’il exhibe l’anatomie immaculée d’une femme sans sexe, il se contente de poser la question : visiteur, que vois-tu dans cette machine à accoucher ? Pour Zaven, les mécaniques sont des sphinx. Elles interrogent l’humain, le confrontent à ses peurs et à ses illusions. Dans l’entrejambe de plastique, Zaven voit donc avant tout le miroir inquiétant, fascinant, d’un désir : celui de «créer» du vivant (non pas de le «procréer»). Il y a une forme de démesure dans ce désir, proprement humain, d’échapper aux contingences corporelles et de franchir les limites que nous assignent la nature. Etre plus que ce nous sommes. Ce désir nous fonde. Nous voulons être dieu… comme le docteur Frankenstein ? Nous voulons que nos monstres s’animent. L’oeil qui s’ouvre entre les cuisses de sa matrice artificielle n’est d’ailleurs pas sans rappeler à Zaven une légende très connue : «L´oeil qui s’ouvre en son sexe… comme les trois lettres gravées (אמת) au front du Golem», dit-il.
La légende du Golem ou comment l’humain se rêve dieu
La légende du Golem est ancienne dans la mythologie juive. Sa version la plus connue raconte qu’au XVIe siècle, un rabbin nommé Judah Loew, à Prague, créa une forme humaine dans de l’argile et lui donna vie en inscrivant sur son front le mot «vérité» (אמת). Le mot «vérité» se dit en hébreu EMET et s’écrit אמת (Alef א, Mem מ, Tav ת). Sur les sites de théologie qui parlent de ce mot, «vérité» est l’équivalent du voyage qui nous fait passer du premier jour de la conception (où l’âme se revêt d’un corps) au dernier jour de l’existence (celui qui nous fait retourner à la source). Alef, la «première lettre de l’alphabet, fait référence au premier jour de la conception de l’homme ». Mem est une lettre dont «la valeur numérique égale à 40 symbolise la naissance et la vie». Tav, «dernière lettre de l’alphabet, fait référence au dernier jour de la vie de l’homme sur terre». La source de la «vérité» se trouve dans la vie, disent les théologiens.
Le sexe en clin d’oeil
S’il faut en croire Zaven Paré, la machine à accoucher ne doit servir avant tout qu’à cela : nous faire accéder à la vérité. Mais rien n’est plus proche de la vérité que la mort : dans la légende du Golem, il suffit que Judah Loew efface la première lettre inscrite sur le front de sa créature pour que celle-ci tombe en poussière et retourne au néant. Enlevez le alef du mot émet (תמא) et le mot «vérité» devient met (תמ) : «mort». C’est pourquoi la machine à accoucher est aussi, toujours, une machine à tuer : donnant la vie, elle donne la mort. Ainsi l’humain passe-t-il, inévitablement, du trou vaginal au trou de la tombe et d’une illusion à une autre, dans l’espoir, insensé, d’accéder à la vérité… L’ouverture de l’oeil, entre les cuisses de sa machine, symbolise avec humour cette quête éperdue. L’oeil s’ouvre, puis se ferme. Il n’en finit pas de s’ouvrir puis de se fermer. Il est l’alef puis le tav de l’alphabet hébreu. L’alpha et l’omega des Grecs anciens. Le zéro et le un des informaticiens. «Tout peut être ramené à ces deux signes de base ou traduit grâce à eux». Citant les propos de de Norbert Wierner (1894-1964), père de la cybernétique, Zaven Paré conclut : aucune information ne peut être codée en dehors de ce système binaire. Il faut naître et il faut mourir. Sans naissance ni mort, pas de vérité possible. La machine à accoucher sert peut-être à nous le rappeler ?
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A PROPOS DE L’ARTISTE : artiste-chercheur et spécialiste dans le domaine de la robotique, Zaven Paré propose jusqu’au 20 mars 2016 un parcours suggestif à travers un véritable cabinet de curiosités mécaniques. Des créations étonnamment vulnérables et fragiles, frôlant poétiquement avec l’idée de la panne, qui questionnent les enjeux émotionnels liés aux robots et soulèvent des interrogations cruciales sur le rapport de l’homme aux machines.
EXPOSITION : Mecatronic, jusqu’au 20 mars 2016, au Centre des arts : 12-16, rue de la Libération - 95880 Enghien-les-Bains
A LIRE : Mecatronic, autour du travail de Zaven Paré (Textes de John BELL, Raphaël CUIR, et Chihiro MINATO).
POUR EN SAVOIR PLUS : La Machine de Madame du Coudray, Michel Benoziot, Claire Beugnot, et al., aux éditions Points de vues. Enceinte. Une histoire de la grossesse entre art et société, d’Emmanuelle Berthiaud, La Martinière, 2013.
NOTES
(1) En 1767, sa méthode obtient un tel succès qu’elle reçoit du roi Louis XV un brevet l’autorisant à enseigner dans les différentes provinces du royaume. Les cours de Madame du Coudray suscitent partout l’admiration. En 1770, les chirurgiens de la ville d’Agen l’approuvent en termes flatteurs : «Par le moyen de la machine dont cette dame se sert, on a la satisfaction, non seulement de voir l’enfant, tel qu’il peut être dans le sein de sa mère, dans toutes les postures possibles, mais aussi on ne perd pas un seul coup de main de sa manoeuvre. L’imitation de la nature est portée à son dernier degré de perfection, ce qui rend les cours d’accouchement encore plus parfaits». En 1777, l’intendant de la généralité de Tours organise pour Madame du Coudray une véritable tournée de province (Maine, Anjou, Touraine) : accompagnée de son «fantôme», elle circule de ville en ville et à l’issue des stages (deux mois pour 4 élèves maximum), elle délivre un certificat d’aptitude à la profession d’accoucheuse. Les candidates à la formation sont cependant peu nombreuses : les maris préfèreraient que leur épouse apprennent le métier de vétérinaire. Il est plus intéressant, sur le plan financier, de sauver une vache que de sauver une humaine.
«Si c’était pour former un vétérinaire, l’espoir d’avoir un homme qui pût prévenir ou empêcher la mortalité de leurs bestiaux les porterait à donner tout ce qu’on leur demanderait sans répugnance, mais pour conserver leur femme, il en est tout autrement ; une de perdue, une de retrouvée». (Source : lettre de Michel Chevreul, jeune chirurgien angevin, datée de 1782. Archives d’Indre-et-Loire)
(2) Descamps Philippe, «L’inflation bioéthique dans la perspective de l’ectogenèse», Raisons politiques 4/2007 (n°28), p. 111-125
Cela va bientôt faire 2 ans que Desculottées existe et depuis, j’ai eu l’occasion de découvrir tout plein d’autres blogs sexo ! Je n’ai pas toujours le temps de lire assidûment tous les blogs qui attirent mon attention, mais j’ai quand même ma liste de petits chouchous. Voici mon Top 10 du moment !
Pour découvrir chacun de ces blogs sexo, il vous suffit de cliquer sur leur nom ou leur logo !
1. Pouletrotique
Alors là les poulettes, ce site c’est le Girl Power par excellence !… Lire la suite
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Du 4 au 6 mars prochain, la Fête du Slip revient à Lausanne. Pour sa quatrième édition, le festival pluridisciplinaire lié aux corps, aux genres et aux sexualités dans l’art s’est installé dans quatre lieux différents : le centre d’art scénique contemporain Arsenic, le Théâtre Sévelin 36, la galerie-cabinet d’expertise Forma et la galerie Humus. Cette année, 75 artistes présenteront 63 oeuvres, spectacles, films et performances. Petite liste non-exhaustive des événements au programme.
De nombreux talents issus de la scène internationale se produiront dans ces lieux de culture. Cette année, la Fête du Slip a choisi Jan Soldat comme invité d’honneur. Ce jeune réalisateur allemand remarqué à la Berlinale présentera quatre de ses films et une masterclass. Sa spécialité : une approche documentaire des vies sexuelles marginalisées d’homosexuels allemands, à la fois tendre et critique.
Les passionnés de nouvelles tendances techno-cul trouveront eux aussi leur compte à la Fête du Slip. Le festival leur donnera l’occasion de vivre un tournage porno en réalité augmentée, de discuter en direct avec une camgirl par le biais de l’installation Watch Me Work de l’artiste israélienne Liad Hussein Kantorowicz et de discuter de jeux vidéo à caractère sexuel avec leurs créateurs.
Côté son, la musique électronique l’aura à la belle. Lors de la soirée d’ouverture de la Fête du Slip à la salle de concert Les Docks, c’est le duo berlinois Hyenaz qui assurera l’ambiance musicale avec sa “techno chamanistique”. Le soir-même, Sevdaliza et Nkisi seront de service ; le lendemain, Maxime Maillet et David Carretta se relaieront en cabine.
Lors de la soirée de clôture, le prix du Slip d’or sera remis au grand vainqueur de la “compétition porno internationale” organisée par le festival. 25 créations audiovisuelles venues du monde entier sont en lice, réparties en trois programmes : Apollo, Ariane et Soyuz. Leurs thèmes : pornographique, sexualité, évidemment. Mais avec humour, toujours. L’année dernière, le patron Gonzo faisait partie du jury !
These days I’m first to chirp that Agent Provocateur has gotten really boring. But when Ellen von Unwerth is behind the camera, count me in. This short uploaded by Unwerth five days ago, Agent Provocateur – Paolla and Bekah, doesn’t disappoint. If there was a trailer for how I’d like to spend free time frolicking (in my dreams I have free time), this video would be it.
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It’s here! New, by me: The Cuckold Who Loved Me (ebook, $3.89)
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Thank you to our sponsor in Holland, Abby Winters.
Here's the preview vid of "Hand Jobs" which won Best Cinematography at Briefs 2016 https://t.co/kQrIWu0Z0o #exbriefs #briefs2016
— Ms Naughty (@msnaughty) February 12, 2016
Thank you to our sponsor and friends, Pink Label TV.
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Au mois de février dernier, la frétillante Florence Abitboule avait regardé et critiqué pour vous le documentaire Cam Girlz. Pendant une petite heure, le réalisateur Sean Dunne y explore de l’intérieur le monde des travailleuses de la webcam : plusieurs jeunes femmes lui ont livré leurs impressions, leurs expériences et leurs opinions sur un métier plus complexe qu’il n’y paraît.
Jusqu’ici, Cam Girlz était visible moyennant une contribution financière de cinq euros. Depuis le 12 février, elle n’est plus nécessaire. Le documentaire peut désormais être regardé gratuitement par n’importe qui. C’est Chaturbate qui en a décidé ainsi : vendredi dernier, le site de cam a annoncé sur son blog qu’il s’était entendu avec Sean Dunne pour proposer Cam Girlz à tous, sans contrepartie. Profitez-en, inspirez-vous !
Cela faisait plus de trois ans que je n’avais pas eu de nouvelles de l’actrice franco-américaine Natasha Nice. Il me semblait qu’elle avait arrêté le porn en 2013 pour poursuivre ses études. Il y a quelques temps, je l’avais gentiment stalké afin de voir de quoi il en retournait mais la moisson n’avait pas été satisfaisante, j’y avais juste découvert qu’elle était passé de l’océanographie à l’informatique… Il faut savoir que Natasha ne m’avait pas laissé indifférent. Au delà de sa sublime poitrine, de sa toute relative chubbiness plus qu’appétissante et de sa gueule d’ange, la native de Fontenay-sous-Bois m’avait gratifié d’une interview par skype particulièrement enrichissante dont le souvenir m’émeut encore aujourd’hui.
Pas de nouvelle donc et forcément, une petite amertume, jusqu’à hier où j’ai découvert que Natasha était de retour et ce depuis l’été dernier. Ma veille a du dysfonctionner à un certain moment pour que je passe à côté de ça. Discrète dans un premier temps, Natasha officialise son retour en décembre 2015 et nous gratifie pour ce début d’année d’une très belle scène chez nos gars sûrs de Blacked (scène qui devrait faire l’objet d’un bon fap très bientôt) et d’une autre qui arrive dès demain chez Tushy : sa première « vraie » scène anal qui plus est (elle nous avait joué le coup de la toute première fois en 2012 alors qu’il s’agissait d’une bête insertion de godemichet). Voilà un retour aux affaires qui devrait régaler ses fans. Natasha est inchangée, ravissante comme au premier jour.
Je reviens de son nouveau compte twitter, j’avais plusieurs mois de publications de retard, ma mâchoire s’est définitivement décrochée, ma rétine fissurée, je bave, je pleure, Natasha est de retour !
La marque Doxy se spécialise dans les vibromasseurs très puissants, sa gamme est constituée du Doxy Massager que j’ai testé dans cet article et du Doxy Skittle que je teste maintenant. Présentation du Doxy Skittle Le Doxy Skittle est un vibromasseur filaire (c’est à dire qu’il se branche sur une prise électrique) et dispose d’un…
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Nous sommes nombreux à nous vanter d’une ultra communication entre amoureux. Mais une fois que notre autre à le dos tourner, on hurle au...
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Chez les animaux l’inceste ne pose, semble-t-il, aucun problème. Pourquoi, chez les humains, fait-il l’objet d’un tabou que seuls les êtres d’élite et d’exception sont autorisés à transgresser ? Les rois d’Egypte le font. Pourquoi pas moi ?
Il existe une idée reçue selon laquelle l’inceste serait universellement prohibé chez les humains pour des raisons biologiques. Faux. La consanguinité peut présenter un risque pour les individus (si les parents sont porteurs de mutations dommageables) mais l’accouplement consanguin se révèle in fine extrêmement avantageux pour l’espèce : «en favorisant l’expression des allèles délétères récessifs, et donc l’élimination des individus porteurs, elle réduit leur fréquence dans la population.» La reproduction entre proches consanguins favorise ce que la revue Science et vie appelle le «nettoyage génétique», c’est-à-dire l’élimination des mauvais allèles. Ce qui explique peut-être pourquoi certains animaux comme le cichlidé émeraude (poisson connu des aquariophiles) préfèrent trois fois sur quatre s’accoupler avec leur frère ou leur sœur. Le magazine Science et Vie va plus loin encore dans ses conclusions : il se peut fort que les conséquences funestes de l’endogamie soient imputables à la prohibition de l’inceste. Car si les humains «purgeaient» (comme les petits poissons) leur espèce des allèles délétères, nous serions tous-tes beaucoup plus sains et nous pourrions sans danger nous reproduire à l’instar des Pharaons.
Les prohibitions sont sans rapport avec la génétique
Le tabou de l’inceste n’est donc pas «naturel» mais culturel. Il n’est pas motivé par un «instinct de préservation», mais par des règles sociales absurdes… «absurdes» au sens où – comme la plupart des règles sociales – rien ne les justifie qu’un ordre symbolique. C’est l’anthropologue Françoise Héritier qui fournit sur l’inceste le travail de recherche le plus abouti, le plus passionnant. Reprenant la théorie de Lévi Strauss, pour qui l’inceste n’a d’autre fonction qu’encourager le système d’alliance entre familles, Françoise Héritier démontre en effet que si le tabou de l’inceste a souvent pour «vertu» la circulation des enfants et des biens, il serait cependant erroné de réduire ce tabou à une stratégie visant à favoriser les échanges. Elle en veut pour preuve que l’interdit ne concerne pas que les collatéraux au premier et deuxième degré. Pour le dire plus clairement : la prohibition se cantonne rarement aux relations parents-enfants ou frère-soeur. Elle touche le plus souvent des formes de parenté larges qui n’ont rien à voir avec la consanguinité. En France, par exemple, il est interdit d’épouser sa belle-mère ou sa brue (sauf, peut-être, en cas de décès). De même, il est interdit d’épouser une personne que l’on a adoptée (1), son demi-frère ou sa sœur par alliance. En Chine, il est mal-vu de s’unir à quelqu’un possédant le même nom de famille, quelle que soit la distance qui vous en sépare. Chez les indiens d’Amérique du nord, il est interdit d’épouser des personnes appartenant au clan avec lequel on a noué une alliance.
Rencontre du deuxième type
Le tabou de l’inceste n’a donc souvent rien à voir avec des liens de sang. Il s’étend le plus souvent à ces formes de parenté que Françoise Héritier baptise «du deuxième type» et qui relèvent de la filiation symbolique : les parents de lait (la nourrice), les parents spirituels ou les «sœurs/frères de sang», par exemple. Pourquoi ? Quelle logique sous-tend ce tabou ? Dans un ouvrage magistral, Les deux sœurs et leur mère, Françoise Héritier propose une réponse. Il faut «concevoir la prohibition de inceste comme un problème de circulation des fluides un corps à l’autre. Le critère fondamental de l’inceste est la mise en contact d’humeurs identiques». Kezaquo ? Pour elle, tout part d’un texte hittite du deuxième millénaire avant J.-C.. L’article 191 de ce texte de loi stipule qu’«un homme ne peut avoir de rapports avec plusieurs femmes et également avec leur mère». Bien que ni les sœurs, ni leur mère ne soit apparentées à cet homme, cela relève de l’inceste parce que – s’il passe de l’une à l’autre – il contribue à relier par le sperme des femmes qui sont reliées par le sang. Cette théorie repose sur une logique d’une simplicité lumineuse : les contraires s’attirent et les mêmes se repoussent. Il faut à tout prix éviter que les choses identiques entrent en contact, car telles des pôles identiques, elles risquent de créer l’équivalent d’un phénomène électrique de rejet, une perturbation dans l’ordre social.
Oedipe épouse-t-il vraiment sa mère biologique ?
La justesse de cette théorie apparaît de façon très spectaculaire dans le cas d’Œdipe roi (tragédie datant de 430 et 420 av. J.-C). Françoise Héritier y met brillamment en valeur un aspect peu connu du texte de Sophocle (495-406 av. J.-C.), débusquant l’inceste symbolique dans ce que la plupart des commentateurs considéraient comme un inceste réel. Lorsqu’il découvre avec effroi qu’il a tué son propre père (Laïos) et épousé sa propre mère (Jocaste), Oedipe se crève les yeux. Mais Jocaste est-elle réellement sa mère ? Non, répond Françoise Héritier. Il suffit de lire le texte : quand Jocaste dévoile toute la vérité à Oedipe «Elle ne lui dit pas qu’il couché avec sa mère, elle dit qu’il couché avec son père : “Comment les sillons paternels ont-ils pu te porter jusqu’à présent ? Laïos est mort certes mais il laissé son empreinte, sa trace, ses “sillons“ dans le corps maternel“ (2). Elle accuse donc Oedipe d’avoir commis non pas un inceste du premier type mais du deuxième type. […] Elle dit clairement à Oedipe : Comment ton père a-t-il pu supporter de cohabiter avec toi dans une matrice où il avait laissé sa trace, son identité ? De son côté Oedipe lui aussi fait référence à l’inceste du deuxième type lorsqu’il dit qu’il “été révélé père par le lieu où il été labouré“. Il est père et fils dans la même matrice. Il y a donc eu, par l’intermédiaire d’une partenaire commune, rencontre de deux consanguins de même sexe qui n’auraient pas dû être dans ce type de rapport».
Puis-je me marier avec l’épouse de mon frère ?
Interrogée en 1994 à la radio, Françoise Héritier prend un autre exemple, bien plus proche de nous dans le temps et dans la culture : jusqu’en 1914, un frère ne peut épouser la femme de son frère décédé. Une femme ne peut épouser l’époux de sa soeur morte… Pourquoi ? Parce qu’en France, jusqu’en 1914, c’est considéré comme de l’inceste. «L’inceste est, au premier chef, entendue comme relations consanguines. Mais ce que l’on applique selon la loi, comme une chose allant de soi, c’est qu’il n’est pas possible d’épouser un certain nombre de parents qui sont des parents par alliance et qui ne partagent pas de liens biologiques avec vous (3). Par exemple : il est impossible d’épouser son ex belle-mère, la femme de son père, ni la mère de son épouse. Deux hommes apparentés comme père et fils –ou comme frères– ne peuvent partager la même femme. Deux femmes apparentées comme mère et fille –ou deux soeurs– ne peuvent partager le même homme.» Dès que l’on examine les textes de loi, leur part d’ombre «irrationnelle» saute aux yeux.
L’inceste fait peur, mais cette peur n’est pas celle d’avoir des enfants malades, c’est celle de recueillir en soi des humeurs perçues comme identiques. Cette horreur de l’inceste au deuxième degré est telle qu’il y a des femmes qui se sentent souillées lorsque, ayant été la maîtresse d’un homme, elles sont approchées par le frère de celui-ci. Le parfum délétère qui se dégage de telles relations (Dead ringers, de Cronenberg, 1989) ne repose sur rien d’autre que le dégoût d’une contamination symbolique : qui sait ce qu’il pourrait se passer si, dans le corps de la femme qui recueille des fluides, la semence de deux frères entrait en contact ?
A LIRE : Les deux sœurs et leur mère, de Françoise Héritier, éditions Odile Jacob, 1994.
NOTES
(1) Aux Etats-Unis, si Woody Allen a pu se marier avec la fille adoptive de son ex-compagne, Mia Farrow, c’est parce qu’il n’avait pas épousé Mia Farrow.
(2) On préférera peut-être cette version d’Œdipe-Roi, empruntée à l’édition bilingue des œuvres de Sophocle parue aux Belles Lettres en 1965, avec la traduction de Paul Mazon : «Ainsi la chambre nuptiale a vu le fils après le père entrer au même port terrible ! Comment, comment le champ labouré par ton père a-t-il pu si longtemps, sans révolte, te supporter, ô malheureux ?» (strophe 2, vers 1204 à 1213)
(3) De la même manière, ce n’est pas forcément un inceste de premier type que dénonce le verset 8 du Lévitique : «La nudité de la femme de ton père tu ne la découvriras pas, c’est la nudité de ton père». Car «la femme de ton père» peut très bien être la femme numéro 5 d’une tribu polygame et non pas votre propre mère.
C’est la tempête en France ! Il vente, il pleut, il grêle, tout un arsenal de déluges naturels qui nous font vivre en vrai ce qu’on ressent en sélectionnant les gifs. On s’en prend plein la gueule, on se retrouve trempé et on a passé une semaine où tous les instants requéraient toute notre attention. On la met aujourd’hui à contribution de vos yeux avisés. Ah oui et sinon c’est aussi la Saint Valentin, mais comme on est snob, on s’en fout royalement.
Keiran Lee était juste venu pour une petite partie de Fifa avec son pote, mais voilà : sa meuf, c’est Misha Cross. Impossible de se concentrer sur sa stratégie de jeu, tout ce qu’il veut c’est lui mettre un but à elle. Bien sûr, Madame est complètement open, elle l’avait repéré le Keiran. Dès qu’il entre dans la pièce, elle lui tend la manette en lui expliquant langoureusement comment utiliser le joystick, mais qu’on ne l’y prenne pas : la baise c’est son terrain.
Misha Cross & Keiran Lee – Going Behind Her BF’s Back for Big Cock – Brazzers
Nos coeurs battent au rythme de ce porn. On ne se lasse pas des tétons de Sarah Jessie plaqués contre ce verre, et franchement on a envie d’y être. Pour les nostalgiques, un petit coup de « fashion police » : les bas c’est bien trop sexy pour être vrai. Et quand on a les jambes de la Jessie, on ne se prive pas de la mater de haut en bas.
Sarah Jessie – Test Ride – RealWifeStories
On n’est pas SI snob que ça, pour fêter la Saint-Valentin, voici Reena Sky qui manie son sujet avec dextérité. Une maitrise impressionnante quand on sait que le type a une teub plus large qu’une aubergine. Les Italiennes assurent, c’est écrit sur le gif.
Reena Sky – Valentine Vixen – Pure Mature
Notre passion pour les boules n’est pas méconnue, on s’en targue régulièrement. Encore une belle preuve de notre dévouement avec Cherokee D’ass et Alexis Texas qui nous en offre deux belles paires. On a eu du mal à choisir parmi toutes les propositions du boule de Cherokee D’ass, il est incroyablement flexible et on n’est pas les seuls à avoir kiffé dessus. C’est un tremblement de terre à lui-même : on valide.
Cherokee D’ass & Alexis Texas – Alexis Texas is Buttwoman – Elegant Angel
On parlait plus haut de professionnalisme, en voici un nouvel exemple. Magnifiquement exécutée par Strokahontas et Lorena Sanchez, cette double pipe nous donne à réfléchir : quelle rigueur ? quel rythme ? quel partenaire ? On fap en se posant des vraies questions.
Strokahontas et Lorena Sanchez, Mr Pete – It takes 2 – Red Light District
Signé: le boule de Misha Cross
Un petit mot pour souhaiter à tous mes lecteurs et lectrices une très bonne Saint Valentin. Je ne suis pas un très grand fan du concept, l’amour étant à célébrer tous les jours mais j’en profite pour passer un gros bisous à tous mes chers lecteurs et lectrices qui lisent et commentent les articles, qui…
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Que se passe-t-il quand une de mes copines bloggueuses décide de mettre en place un concours photos pour fêter la parution de la série érotique Lily ? Et bien il y a une pluie de sextoys, une avalanche de photos érotiques sur le net et ça passe même au journal de TF1 avec Tatie jacqueline…
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Une fois n’est pas coutume, nous avons choisi de délaisser un peu les modèles de Chaturbate pour nous concentrer sur l’un de ses principaux concurrents, Cam4. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, il s’agit d’un site classique de sexcam qui fonctionne sur le principe du freemium dont nous vous avons déjà parlé. Tout les shows sont gratuits, à vous de payer quand vous êtes satisfaits ou que vous voulez un peu plus. Cette semaine, on vous présente les 5 tchatrooms de Cam4 qui vont justement vous donner envie de vous offrir cet extra.
Avant tout soyez rassurés, on ne vous fera pas l’affront de vous présenter VicAlouqua, la reine du site, d’autant qu’on a vous a déjà parlé d’elle il y a un moment.
Sextwoo
Vous êtes les meilleurs chaque jour et vous le savez je vous aime je vous aime je vous aime ❤❤❤❤❤ pic.twitter.com/E6079HWU9N
— Sextwoo (@sextwoo) February 7, 2016
S’il est un couple, un seul, à voir au moins une fois dans sa vie de tipper, c’est Sextwoo. Comme souvent dans les couples, c’est madame qui est la tête d’affiche. Cassie est donc souvent connectée seule dans un premier temps, rapidement rejointe par son chéri pour des parties de sexe en live jamais décevantes. Leur spécialité est la fin de show en éjac’faciale, qu’ils savent patiemment amener en faisant languir les milliers de personnes connectées sur leur room : vous avez peut-être déjà assisté à leur fameux compte-à-rebours, où toute la room compte de 10 à 0 la main dans le pyjama, en attendant le feu d’artifice final comme on le ferait un 31 décembre, mais en mieux.
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— Sextwoo (@sextwoo) January 14, 2016
A-mateurs de sexe en extérieur, vous en aurez aussi pour vos tokens : dès que l’occasion se présente, Cassie et son homme n’hésitent pas à performer hors des murs de leur appartement, pour le plaisir des voyeurs, et peut-être des écureuils ?
LolahoopCamgirl depuis un peu plus d’un an, LolaHoop a vite pris ses marques. Si vous aimez les shows hard, les tags parfaits, vous êtes au bon endroit. Jamais à court d’idées, Lola nous réjouit toujours grâce à sa lingerie sexy, ses multiples jouets (godes, plugs) qu’elle utilise de tous les moyens possibles parfois tous en même temps, et surtout, du squirting en veux-tu en voilà.
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— Lola Hoop✨ (@Lolahoopxx) November 5, 2015
Chose qui me plaît encore plus, elle est de celles qui n’ont pas la langue dans leur poche. Et quand elle ne s’en sert pas pour lécher son plug, elle en profite pour recadrer les malotrus qui sont malheureusement légion sur la plateforme. Je ne peux que recommander la jolie brune, qui vous fera passer du karaoké à la double pénétration dans le plus grand des calmes. Longue vie à Lola !
CassieJ’ai longtemps hésité à mettre Cassie dans le top 5. Non pas qu’elle ne le mérite pas… loin de là ! Mais elle n’a pas diffusé depuis 15 jours, ce qui dans le monde de la cam est anormalement long. Finalement, je me suis dit que parler d’elle pourrait peut-être la ramener sur nos écrans. Je le souhaite en tout cas pour que ceux d’entre vous qui ne l’auraient pas encore croisée puissent tomber amoureux aussi.
Cassie est une superbe trans française, au regard émeraude et à la fine silhouette. J’espère qu’elle reviendra parmi nous pour égayer notre écran. Vous pouvez toujours lui déclarer votre flamme sur Facebook, en attendant.
LeaxcamLeaxcam est sans conteste une des figures phare de la scène webcam française. Dans sa chambre avec un lit à barreaux qui nous inspire déjà des idées cochonnes, elle se déhanche sur des rythmes latinos tout en s’effeuillant pour le plus grand plaisir de ses nombreux fans. Chaque show est l’occasion de redécouvrir son corps sensuel dans une nouvelle tenue sexy. Bas nylon, robes moulantes, talons aiguilles… Si le glamour est sur Cam4, c’est dans la room de Lea.
Pour ne rien louper sur la jolie blonde, suivez son Twitter, qu’elle alimente toujours avec ses photos les plus hot. C’est aussi le meilleur moyen de savoir quand elle sera en ligne la prochaine fois, car croyez-moi vous ne voulez pas louper ça !
Ava MooreSi l’exhib avait une présidente, ce serait sans aucun doute Ava, également connue sous le nom de Chiennette. Elle ne manque jamais une occasion de se prendre en photo pratiquement nue dans des endroits insolites, sous le soleil ou dans le froid peu importe, tant que le plaisir est là. Son dernier exploit ? Une double faciale en extérieur qui m’a laissée rêveuse… moi et les 4 500 autres personnes connectées dans la room.
Un grand merci au "proprio"!! Et à vous mes voyeurs!! Un aprèm au frais où vous avez réussi à me réchauffer pic.twitter.com/Znu59PNGE6
— Ava Moore (18+) (@AvaMoorex) January 16, 2016
Adepte du dirty talk et des positions dignes des plus grands pornos, Ava vous emmène pour un tour sur le grand 8 de la webcam. Elle veut vous faire bander, et elle va forcément y arriver. Guettez sa prochaine apparition, c’est un spectacle à ne pas louper !
Vidéo gratuite, show privé, snapchat, récits coquins, viens vite visiter mon site officiel> https://t.co/vnW9O9zmET pic.twitter.com/PNyjn3OwwI
— Ava Moore (18+) (@AvaMoorex) February 7, 2016
Pre-order for Valentine’s Day: The Cuckold Who Loved Me (ebook, $3.89)
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Official selections announced for the 2016 BRIEFS Erotic Short Film Competition! https://t.co/tem6aRHy2b #ebxbriefs pic.twitter.com/ppRHHX3ryl
— PinkLabel.TV (@PinkLabelTV) February 10, 2016
Thank you to our sponsor in Holland, Abby Winters.
Thank you to our sponsor and friends, Pink Label TV.
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Depuis trois ans, le photographe Roger Kisby se rend aux AVN Awards, les Oscars de l’industrie pornographique. “J’aime couvrir les événements dans lesquels les gens n’ont pas peur d’être eux-mêmes, a-t-il expliqué au magazine en ligne Refinery29. Il y a un enthousiasme et une bonne ambiance authentiques (aux AVN).” Pour rendre hommage à ce rassemblement emblématique, ce spécialiste des portraits a photographié les personnalités récompensées cette année le lendemain de la remise des prix.
Allongées sur la table d’un salon de massage ou de tatouage, immergée dans une piscine ou assise dans les couloirs du Hard Rock Hotel où les AVN ont été remis cette années, ces porn stars heureuses sont saisies statuette à la main. Avec cette série de clichés, Roger Kisby fait un clin d’oeil à la célèbre photographie de Faye Dunaway après son sacre aux Oscars 1977. Force est d’avouer que ça rend bien. En couverture : la performeuse de l’année, Riley Reid, dans la piscine de l’hôtel.
Best Supporting Actress – Kleio Valentine au Hunt & Huntington Tattoo Shop
Transsexual Performer of the Year – Venus Lux dans le couloir du Hard Rock Hotel
Best Girl/Girl Sex Scene – Aidra Fox au restaurant Mr. Lucky du Hard Rock Hotel
Mainstream Star of the Year – Jessica Drake au bord de la piscine du Hard Rock Hotel
Best New Starlet – Abella Danger dans sa chambre d’hôtel
Ce jeudi 11 février, un nouveau magazine s’installe en kiosque : Wyylde. Pour 2,90€, ce bimestriel consacré aux sexualités et à leurs actualités vous emmènera à la rencontre de ceux qui font vibrer notre nerf pudendal. Le premier numéro de Wyylde discute avec le transsexuel Buck Angel, tire le portrait du metteur en scène Gaspar Noé et tente pour vous le théâtre immersif. Il vous propose également pléthore de conseils sexo distribués par la réalisatrice Coralie Trinh Thi, un reportage photo à la Party fine, des pages shopping… Pour vous abonner, c’est par ici.
Wyylde est le descendant de Netech, le magazine du site de rencontres libertines Netechangisme, jamais diffusé en kiosque. Cette succession a été amorcée il y a quelques mois pour répondre aux nouvelles exigences du web et des grands multinationales, pas vraiment branchées fesses : Wyylde est moins frontal et plus lifestyle que son prédécesseur. D’où son arrivée chez les libraires ! Netechangisme.com s’offrira bientôt une mue similaire, nouvelle image, nouvelle identité. On leur souhaite bon vent. D’autant que l’amie Lula leur prête sa plume, de même que ce journaliste.
Je pense que toute femme est une « fontaine » en dormance, il suffit simplement de se laisser aller et s’abandonner totalement au plaisir, ce que peu de femmes font réellement à mon avis. Qui n’a jamais simulée l’orgasme avec son conjoint en réalité, ou fantasmée sur un autre partenaire pendant les rapports pour arriver à prendre…
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Où se cache l’amour qui dure ? Sur Internet ? Pas vraiment. Dans une enquête de la chercheuse en sociologie Marie Bergström publiée par l’Ined ce mercredi 10 février, on lit :
Opportunités de rencontres plus faibles« Si les sites de rencontres attirent un public nombreux, ils participent encore peu à la formation des couples.
Parmi les personnes ayant rencontré leur partenaire actuel entre 2005 et 2013, moins de 9% l’ont connu via ce type de service. »
La chercheuse note cependant que cette règle varie chez les couples homosexuels. Elle décrit les sites de rencontre comme « le moyen...
Actuellement en France, l’inceste n’est pas un crime «en soi», pas tout à fait. Le 18 février 2016, le Sénat examinera une nouvelle proposition de loi sur la «protection de l’enfance» dont l’article 22 pose problème : si l’on qualifie d’inceste un acte consenti entre consanguins de 15 ans ou plus, quelles pourraient en être les conséquences ? Frères et sœurs, désormais, devront-ils se cacher bien plus profondément encore dans les ténèbres de l’ignominie à quoi ce mot les voue ?
Eliminé de la liste des «crimes» à la Révolution française, l’inceste revient dans les textes de loi, sans que l’on sache encore très bien à quoi s’en tenir. Ce terme avait été supprimé du Code pénal en 1791 : «Les révolutionnaires considéraient qu’il relevait, au même titre que le blasphème, la sodomie, et la bestialité, d’un interdit d’ordre moral non nuisible à la société et, par conséquent, relégué à la sphère familiale.» Interrogée par Le Figaro la présidente de l’association internationale des victimes (Aivi), Isabelle Aubry, se félicite que l’Etat ait maintenant la possibilité de s’immiscer dans les «affaires de famille». «Il s’agit là d’une avancée symbolique importante qui n’apporte rien au niveau judiciaire», précise-t-elle. La loi a en effet toujours puni les viols, ainsi que les relations sexuelles avec des mineurs de moins de 15 ans. Dans les faits, l’abus des enfants a toujours été sanctionné (1). Quand l’abus avait lieu au sein d’une famille, la sanction était plus lourde encore. Mais le mot «inceste» ne figurait pas dans les textes de loi.
Signe des temps, le 12 mai 2015, l’Assemblée Nationale réintroduit le mot inceste dans le code pénal… tout en affirmant qu’il ne s’agit pas en soi d’une infraction (2). Parallèlement, se pose la question de savoir si l’on peut qualifier d’inceste les «atteintes sexuelles» commises entre enfants du même lit… Le 18 février 2016, après moult relectures, le Sénat examinera une nouvelle proposition de loi sur la «protection de l’enfance». L’article 22 pose problème : si l’on qualifie d’inceste un acte consenti entre consanguins de 15 ans ou plus, quelles pourraient en être les conséquences ? Frères et sœurs, désormais, devront-ils se cacher bien plus profondément encore dans les ténèbres de l’ignominie à quoi ce mot les voue ?
Croyant venir au secours des victimes d’abus, les défenseurs de cette loi affirment qu’il faut renforcer la puissance du tabou. Mais suffit-il de durcir la loi pour faire baisser les crimes ? Pas si sûr. Dans son livre Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels, le scientifique Jesse Bering, spécialiste des comportements humains, note avec beaucoup de justesse que ce n’est pas en stigmatisant l’inceste qu’on empêchera des viols. En stigmatisant l’inceste, dit-il, on ne fera que renforcer le dégoût que la majorité des gens éprouvent pour certains types de relations amoureuses et sexuelles qui ne font pourtant de mal à personne. Il en veut pour preuve l’étonnante histoire d’amour (?) qui lie Milo et Elijah Peters.
«Prenez les frères Élie et Milo Peters, par exemple, deux jumeaux identiques praguois d’une vingtaine d’années jouant ensemble dans des films pornos gays où ils se pénètrent analement l’un l’autre. Non seulement les jumeaux Peters ont des relations sexuelles ensemble depuis leurs quinze ans, mais ils se considèrent également comme un couple, tout comme n’importe quel autre couple dont les gènes ne correspondent pas parfaitement. Ils se disent monogames hors caméra. «Mon frère est mon petit ami, et je suis son petit ami, dit l’un de l’autre. C’est ma force vitale et mon unique amour.» De leurs vrais noms, Michal and Radek Cuma, ces deux acteurs de X se font connaître sur le site hongrois BelAmi dans les années 2009-2010, entraînant un boom des productions estampillées twincest. Grâce à eux, la fréquentation du site BelAmi augmente de 1,5 million d’utilisateurs par mois. Au début très timides, les deux frères se contentent de co-baiser un partenaire dans les orifices duquel ils se succèdent sagement. Les mois passants, encouragés à se rapprocher toujours plus, ils finissent par s’embrasser puis se prendre par tous les orifices avant de… disparaître au terme d’une carrière éclair.
Dans un article publié sur Salon.com (intitulé «Le plus choquant des tabous gay porno»), le journaliste Thomas Rogers, décrit ainsi une de leurs plus mémorables vidéos : «Cela commence par une confession, durant laquelle les deux allongés sur un matelas parlent de l’attraction qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
“Rien qu’à voir mon frère se regarder dans un miroir me fait bander“. Rapidement, ils se déshabillent et se retrouvent en monokini, assis sur les genoux l’un de l’autre, puis entament un slow tout en se rappelant des souvenirs (“C’est comme cette nuit au club disco… »). Ensuite, les choses deviennent plus intenses : ils s’embrassent passionnément, se masturbent réciproquement, se sucent et finalement ont une relation sexuelle non-protégée. La scène est perturbante non seulement parce que la vision de deux hommes parfaitement identiques qui s’enlacent est déconcertante, mais parce que ces jumeaux sont soit d’excellents acteurs, soit aiment vraiment le sexe à deux.» Thomas Rogers cite à ce sujet Jack Shamama, rédacteur en chef du Gay Porn Blog : «Ce qui les rend en partie si choquants, c’est qu’ils s’investissent totalement, quand ils baisent, ils le font de tout leur coeur».
Lorsque Milo et Elijah disparaissent du circuit, emportant avec eux leur secret (étaient-ils amoureux ?), le fantasme seul suffit parfois à ressusciter le parfum de leurs sulfureuses étreintes. Les amateurs de twincest se régalent de photos «à la limite de l’érotisme transgressif». qui se contentent parfois tout juste d’évoquer le frisson d’un contact consanguin. D’autres jumeaux reprennent le flambeau. «Les Américains ont Max et Charlie Carver, les Portugais Kevin et Jonathan Sampaio, les Brésiliens ont désormais David et Daivis Fernandes», s’enthouasisme un journaliste de la revue Queerty.com face aux photos finalement très pudiques de deux frères et mannequins de mode posant côte à côte dans des tenues déshabillées. On est loin des étreintes torrides des jumeaux Peters. Mais qu’importe. En matière de twincest, c’est l’intention (parfois même le procès d’intention) qui compte.
L’inceste est à ce point bouleversant, surprenant, scandaleux qu’il suffit de faire semblant pour exciter les foules. Sur Google quand vous tapez twincest, ce sont les photos des frères du groupe allemand Tokio Hotel qui apparaissent maintenant, photos généralement retouchées, accompagnées de phrases suggestives, parfois même de fan-fictions pornographiques ou sado-masos inspirées du manga OHSHC (Ouran High School Host Club, «Le Lycée de la séduction»), dans lequel deux jumeaux – les frères Hitachiin – s’enlacent à qui mieux mieux.
L’amour fraternel a le goût délicieux de l’interdit. Vu de loin, sous des formes fantasmatiques, il fait même puissamment rêver. Mais de près ? Les réactions habituelles à l’inceste sont celles du dégoût. Nous sommes culturellement déterminés à considérer l’inceste comme une déviance horrible et répugnante.
«Considérons les éléments suivants, plaide Jesse Bering : le consentement sexuel enthousiaste et mutuel des jumeaux Peters, leur absence surprenante de honte sur le sujet et leur évident bonheur à être l’un avec l’autre.» Si l’on examine tout cela, il en ressort que ce couple incestueux n’est pas «aussi manifestement «mauvais» qu’on nous a appris à le penser. Faut-il se laisser toucher par leur apparence de félicité conjugale ? Ou rejeter avec violence toute forme d’empathie pour eux? Le point de vue de Jesse Bering est le suivant : «Nos facultés mentales sont aisément obscurcies par nos réactions émotionnelles qui ne peuvent permettre une juste détermination du préjudice, c’est ce que l’on pourrait appeler «le facteur de dégoût». Les sentiments de répulsion ont une façon de saper notre intelligence sociale qui va jusqu’à compromettre notre propre humanité. En réalité, s’il y a une seule chose que les chercheurs ont apprise sur le raisonnement moral et le sexe depuis ce XXIe siècle, c’est que le dégoût est le moteur viscéral de la haine. La bonne nouvelle, c’est qu’une fois que vous comprenez comment tout cela fonctionne, vous pouvez neutraliser ce moteur. Le meilleur espoir de résoudre ce problème si profondément enraciné de dégoût sexuel est d’en déconstruire les fonctions». Autrement dit : il faut désapprendre le dégoût qu’on nous a enseigné à avoir pour certains comportements sexuels et/ou amoureux. Parce que ce dégoût n’a… aucune raison d’exister ?
LUNDI PROCHAIN : l’inceste met-il en danger les humains ?
A LIRE : «Host Club. Le Lycée de la séduction», de Bisco Hatori, éditions Panini. Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels de Jesse Bering, aux éditions H&O (sortie le 12 février 2016).
NOTES
(1) Les peines encourues étaient aggravées lorsque l’agresseur sexuel était «un ascendant ou toute autre personne ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait».
(2) Note de synthèse du Sénat : «En France, l’inceste, c’est-à-dire le rapport sexuel entre deux personnes qui sont parentes
à un degré où le mariage est interdit, ne constitue pas une infraction
spécifique. Si la relation est librement consentie et concerne deux
personnes qui ont dépassé l’âge de la majorité sexuelle, fixé à quinze
ans dans notre pays, elle ne tombe pas sous le coup du code pénal». Source : http://www.senat.fr/lc/lc102/lc1020.html
Pour célébrer cette Saint-Valentin 2016, je vous propose un rendez-vous coquin où nous pouvons tous nous retrouver : un chat en direct sur Twitter pour échanger ensemble sur des sujets sexo. Tous au rendez-vous pour le premier #ASV !
#ASV, qu’est-ce que c’est ?Ca fait plusieurs semaines que j’ai cette petite idée en tête, alors ça y’est je me lance ! Je suis toute excitée et inquiète à la fois, car j’espère que ce rdv vous plaira ! ASV, pour les vieux d’entre nous qui ont connu les premiers chat en ligne sur Internet, ça veut dire “Age, Sexe, Ville”.… Lire la suite
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Le Festival du Film de Fesses organise sa troisième édition du mercredi 24 au dimanche 28 juin 2016 à Paris. Ce festival érotique entend donner ses lettres de noblesse « tant au patrimoine cinématographique international qu’aux nouvelles générations de cinéastes ». On le suspecte de vouloir aussi rendre hommage aux plus beaux morceaux du corps humain : les fesses. Entre cocktails, projections de courts-métrages et soirées festives, ce festival a tout pour nous plaire.
Pour son édition 2016, l’événement a lancé un appel aux cinéastes amateurs. Si vous avez sous le bras une bobine de moins de 59 minutes et que vous êtes un peu aventureux, uploadez donc votre création sur Vimeo et faites parvenir son lien accompagné d’une fiche technique (casting, équipe, durée, pays et année de production) aux organisateurs du Festival du Film de Fesses, à cette adresse. Vous avez jusqu’au 14 février. Les courts-métrages les plus réussis seront soumis au vote du public et du jury en juin prochain. Le grand gagnant remportera la Fessée 2016 !
Le Festival du Film de Fesses est né lorsque Maud Bambou, l’organisatrice du festival, a rencontré Jean-François Davy pour qu’il présente la Trilogie Paillarde et son documentaire Exhibition, qui raconte le quotidien d’une actrice porno des années 70. Surprise par le succès de ces premières projections, elle a décidé d’étendre l’expérience à toute une gamme de films à caractère pornographique. Ce qui nous intéresse particulièrement dans le Festival du Film de Fesses, c’est la représentation du sexe selon Maud Bambou : un acte sexué ce n’est pas qu’un acte sexuel et ses significations changent selon le contexte dans lequel il se déroule.
Depuis 2011, le forum pour professionnels de l’adulte Go Fuck Yourself distribue des récompenses qui portent son nom aux plus grands acteurs techniques de l’année : meilleur hébergeur, meilleure régie publicitaire, meilleur troll, etc. Cette année, le titre de meilleur site de cam a fini dans les mains de Chaturbate. Dans le sillon de cette victoire, ce dernier a dévoilé il y a quelques jours ses premiers “Chaturbate Female Empowerment Award”.
Grâce à ces récompenses, Chaturbate entend rendre hommage aux femmes qui ont changé l’industrie pour le meilleur, envers et contre tout. “Les visionnaires ne sont pas que des personnes influentes, explique le site de camshow dans un article publié le 29 janvier dernier sur son blog. Ce sont souvent des pionniers qui ouvrent la voie… Pour ces individus, la route est souvent dure et pleine de combats.” Les deux femmes sacrées par les premiers Chaturbate Female Empowerment Award sont Candida Royalle et Danni Ashe.
Danni Ashe, 48 ans, est une impressionnante self-made woman. Cette ancienne strip-teaseuse et modèle de charme est réputée pour avoir monté seule le site de pornographie soft et lesbienne Danni’s Hard Drive. L’énorme succès qu’il a rencontré à la fin des années 90 a permis à sa fondatrice de décrocher le titre de “Femme la plus téléchargée du monde” en 2000. Aujourd’hui reconvertie en photographe professionnelle, Danni Ashe ne se dénude plus face à l’objectif.
Candida Royalle a reçu le Chaturbate Female Empowermen Award à titre posthume. Cette pionnière de la pornographie féministe a commencé à réaliser des films axés sur le plaisir féminin et les thérapies de couple dès le début des années 80. La valeur sexologique reconnue de ses travaux lui a permis de donner de nombreuses conférences, notamment à l’Université de Princeton et au Smithsonian Institute. Elle s’est éteinte en septembre 2015 à 64 ans, emportée par un cancer des ovaires.
Beaucoup de gens hurlent à la «perversion» face au spectacle de filles qui s’embrassent ou se masturbent avec un nounours. D’autres disent que l’homosexualité ou l’attirance pour les peluches c’est «normal». Mais non, proteste Jesse Bering, personne n’est normal. La preuve par le minou.
En 1948, Alfred Kinsey, père de la sexologie, note que les sociétés humaines admettent fort mal que certains individus ne respectent pas le comportement sexuel conforme. Le problème c’est que personne n’est tout à fait «conforme». Kinsey est le premier à l’établir de façon chiffrée, objective : beaucoup de petits garçons et de petites filles utilisent des animaux pour se masturber, dit-il. Cela fait partie des expériences communes. Devenu adulte, on l’oublie. Mais parfois, on ne l’oublie pas. «Il n’est pas rare, dans certaines régions rurales, de trouver des individus qui admettent ouvertement une satisfaction érotique, due à de tels rapports». Plus les individus vivent au contact des animaux, plus le contact est rapproché, répété. A partir de quel moment cette anodine expérience de masturbation devient-elle une forme d’attirance à caractère «pervers» ? Kinsey, semble-t-il, refuse de tracer une limite entre les deux. Pour lui, quand une gamine de 9 ans se frotte le sexe avec un petit chat elle est zoophile. Même si elle ne le fait que deux ou trois fois dans sa vie. A-t-il si tort ?
Le Rapport Kinsey qu’il publie en 1953 établit que la proportion générale de «zoophiles» dans la population des Etats-Unis est de 8% pour les hommes et de 3,6% pour les femmes. D’après le même rapport, en milieu rural, 17% des garçons américains ont eu au moins une relation sexuelle avec un animal. Dans l’ouest des Etats-Unis, la fréquence augmente : 40%, soit près de la moitié des adolescents, ont eu au moins une relation sexuelle avec une chèvre, un veau ou un mouton. Les partenaires animaux des hommes sont le plus souvent des animaux de la ferme, tandis que pour les femmes il s’agit le plus souvent de chiens d’agrément ou de chats.
«Dans certains cas, le garçon peut montrer de l’affection pour l’animal particulier avec lequel il a des rapports et certains mâles ressentent une violente émotion quand les circonstances les obligent à cesser tous rapports avec un animal particulier. Si cela semble une étrange perversion de l’affection humaine, on devrait se rappeler qu’une relation affectueuse exactement semblable s’établit dans bien des maisons où il y a des animaux familiers ; et il n’est pas rare, dans notre société, que des personnes soient considérablement bouleversées par la perte d’un chien favori ou d’un chat, qui a vécu un certain temps au foyer. Les éléments en jeu dans les rapports sexuels entre les hommes et les animaux ne sont pas du tout différents de ceux qui entraînent les réactions érotiques entre des êtres humains».
S’appuyant sur le Rapport Kinsey, le scientifique américain Jesse Bering publie un livre intitulé Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels (sortie le 12 février aux éditions H&O). En couverture : deux agneaux à la laine douce… Jesse Bering est gay. Enfant, il a souffert d’homophobie. Adulte, il contre-attaque : la solution pour lutter contre l’homophobie, dit-il, ce n’est pas de dire que les gays et les lesbiennes sont des gens normaux. C’est de dire qu’il n’existe personne de normal. Plus précisément : que la normalité est un leurre social, historiquement fluctuant. Tout le monde essaye de faire croire à sa normalité. Mais tout le monde s’est un jour masturbé sur un animal, un scénario de viol, une image d’enfant, un rêve mouillé avec papa-maman. A quoi bon le nier ? Nous sommes tous des pervers et c’est en le reconnaissant que nous pourrions peut-être enfin cesser de juger les autres, voire de les insulter, ou les agresser, alors que les autres n’ont jamais fait de mal à personne. Dans son livre, Jesse Bering consacre notamment un long passage à l’absurdité des lois humaines qui condamnent les comportements sexuels non-conformes. Ces lois ne cessent de changer, dit-il.
«Une mesure visant à l’extermination préventive des pédophiles obtiendrait aujourd’hui, je n’en doute pas une seconde, un appui massif de la population. Leur raisonnement serait le suivant : puisque les pédophiles sont par essence mauvais, en les éradiquant, nous agissons dans l’intérêt ou pour le bien de la société. On trouve une approche similaire face au traitement de la déviance sexuelle dans une histoire se déroulant au XVIIe siècle en Nouvelle-Angleterre. Vous avez sans doute entendu parler de la chasse aux sorcières, à Salem, mais votre culture ne s’étendra pas, je crois, à la chasse aux hommes cochons de New Haven (dans l’état du Connecticut). À l’époque, ce n’étaient pas les pédophiles qui étaient les pires monstres sexuels (l’âge légal pour le consentement au mariage était de dix ans dans les colonies), mais des suppôts de Satan fécondant des animaux de ferme.» A cette époque, les colons protestants croyaient fermement, semble-t-il, qu’un humain pouvait se reproduire avec un animal. Cette croyance s’appuyait sur l’existence d’animaux malformés, mis au monde avec deux têtes ou trois pattes : une progéniture maléfique !
Le cas le plus célèbre de procès pour «sodomie» (la sodomie recouvrant des actes pervers tels que la bestialité) se déroule dans la colonie de Plymouth (Massachusetts), en 1642 et frappe un garçon de 16 ans nommé Thomas Granger (1). «Cet adolescent très porté sur la chose avait été inculpé pour avoir pris d’indécentes libertés dans une étable remplie d’animaux, comprenant entre autres “une jument, une vache, deux chèvres, cinq moutons, deux veaux et une dinde“», explique Jesse Bering qui insiste sur «la circonspection avec laquelle cette affaire fut traitée par les autorités judiciaires». Chose admirable en effet, les juges tenaient à identifier précisément les partenaires sexuels du garçon. «Peu de doute subsistait dans les esprits de ces braves gens : il fallait envoyer ce garçon aux flammes […]. Mais l’incertitude régnait sur les bancs du jury pour savoir lesquels exactement des moutons il avait souillé, et le problème se posait donc de savoir lesquels abattre et lesquels épargner. Il était crucial de l’établir, non seulement parce que le bétail était une denrée précieuse dans cette colonie menacée, mais aussi parce que s’ils tuaient les mauvais moutons, ils risquaient l’impensable : un monstrueux et bêlant prodige à sabots risquait de mener la belle vie à Plymouth sans que l’on puisse le savoir».
Pour distinguer les animaux coupables des non-coupables, on mit Granger face au bétail suspect. «Le garçon pointa d’un doigt tremblant cinq ruminants aux yeux ambrés qui avaient apparemment été la cible de sa secrète et laineuse concupiscence. Les archives de la cour indiquent que les animaux furent ensuite “tués devant son visage, selon la loi, Lévitique 20:15. Thomas Granger fut ensuite exécuté.“ Les bougres — terme qui désignait autrefois ceux qui avaient des relations sexuelles avec des porcs, des ânes, chiens, et autres animaux — devaient en découdre avec les arbitres moraux et les procureurs zélés. À New Haven en 1642, quelques semaines après l’affaire Granger […] George Spencer, un domestique connu pour son “esprit profane, mensonger, moqueur et lubrique“ fut exécuté pour avoir fait l’amour au cochon de son maître. Il eut beau tout renier en bloc, malheureusement pour lui, la truie finit par donner naissance à un foetus malformé (“un monstre prodigieux“) ressemblant un peu trop à George au goût de la plupart des habitants.» Le petit cochon mort-né était borgne, tout comme George !
Dans le climat émotionnel de panique qui régnait alors, on condamna «le père» sans tergiverser sur la base de cette preuve sans équivoque. Peu de temps après, rebelote. En 1647, un autre habitant de New Haven au nom somme toute ironique de Thomas Hogg (2) se retrouva également mêlé à une affaire de sodomie quand une truie du voisinage mit bas un petit déformé à «la peau et au visage clairs et blancs, comme Thomas Hogg». Jesse Bering raconte comment le coupable fut confondu : «Les allégations portées contre Thomas Hogg étaient si graves que le gouverneur et le vice-gouverneur l’escortèrent eux-mêmes à la ferme vers la truie en question, et lui ordonnèrent de “caresser“ l’animal devant leurs yeux — le but étant de déterminer leur degré d’intimité. “La truie connut sur-le-champ un élan de concupiscence“, nous disent les archives, “tant et si bien qu’elle expulsa de la semence devant eux“ (3). En revanche, lorsque Hogg caressa à contrecoeur les mamelles d’une autre truie, celle-ci ne répondit pas à ses faveurs. Du moins, elle ne vida pas sa vessie quand il lui toucha les mamelles, ce qui est probablement ce qu’avait dû faire le cochon précédent. Et c’est ainsi que Hogg, comme Granger et Spencer avant lui, fut exécuté».
Jesse Bering conclut : on a facilement tendance à juger ou condamner moralement les «pervers». Mais qui sommes-nous pour traiter les autres de pute, de pédé ou de déviant ? Que celui qui ne s’est jamais masturbé sur un minou lance la première pierre.
A LIRE : Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels de Jesse Bering, aux éditions H&O.
NOTES
(1) Robert F. Oaks, “‘Things Fearful to Name’: Sodomy and Buggery in Seventeenth-Century New England”, Journal of Social History 12, n° 2 (1978).
(2) Hog signifie porc en anglais (porc châtré en anglais britannique, et porc verrat en anglais américain).
(3) Op. cit., p. 276.
L’émission TV Paris Dernière sur Paris Première, très love love samedi soir prochain (00h25), la veille de la St Valentin. Dans ce nouvel épisode,...
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Pornhub tente sa chance au jeu. Lundi 1er janvier, le tube a inauguré un casino en ligne qui porte son nom. Le vice-président de la société-mère de Pornhub, Mindgeek, est enthousiaste : “Nos utilisateurs connaissent les trucs pour s’amuser en ligne, a assuré Corey Price au Huffington Post. Quand un groupe spécialisé dans les casinos nous a proposé de mélanger jeux d’argent et porno, nous étions obligés d’y réfléchir.”
Le Pornhub Casino propose déjà près de 150 jeux à ses visiteurs. La plupart sont des machines à sous qui promettent de l’argent ou de brefs extraits pornographiques aux parieurs chanceux. Le site propose également des jeux de bille et de cartes gérés en direct par des croupières légèrement vêtues : blackjack, roulette, poker, baccara. Elles servent les cartes, discutent avec les joueurs et se dénudent de temps à autre.
Pornhub a déjà prévu d’inviter certaines actrices à faire les croupières. D’après Xbiz, les tables de roulette et de Blackjack du casino accueilleront bientôt Monique Alexander et Dani Daniels. “Intégrer une industrie qui connaît une croissance exponentielle est une merveilleuse opportunité pour nous, s’est enthousiasmé Corey Price. Nous sommes pressés d’imposer notre marque. Chez Pornhub, nous cherchons constamment à pénétrer de nouveaux marchés, à faire grandir notre communauté et à faire croître la notoriété de notre marque.”
Sur les forums de joueurs en ligne, l’initiative de Pornhub a été plus ou moins bien accueillie. Certains ont sauté sur cette occasion rare d’enchaîner les jeux de mots raffinés en assurant qu’ils ne manqueraient pas d’aller faire un tour dans le casino du tube, d’autres se sont interrogés sur sa moralité. “Est-ce que c’est emmener les jeux d’argent trop loin ? demande ainsi l’un des administrateurs du forum spécialisé Askgamblers. C’est clairement un nouveau moyen d’attirer les faibles d’esprit”.
Ceux qui voient le Pornhub Casino d’un mauvais oeil dénoncent aussi le fait que “la plupart” de ses revenus transitent par Chypre alors qu’il est installé au Costa Rica. Le petit pays d’Amérique centrale est réputé pour sa législation plutôt légère en ce qui concerne les paris en ligne. Y installer son casino numérique ne requiert qu’une seule chose : avoir des bureaux installés sur place. C’est la raison pour laquelle les croupières qui travaillent en direct pour le Pornhub Casino sont en grande majorité Costaricaines.
Si la nouvelle trouvaille de Pornhub ne vous gêne pas plus que ça, allez donc tenter votre chance au casino. Votre premier dépôt d’argent sera doublé en guise de bienvenue.
A recent article about porn director Erika Lust at Refinery 29 was titled Porn That’s GOOD For Women. I like the thought, but I wish they’d explained what porn that’s good for women means, exactly. I agree that porn can be very good for people of all genders and orientations for a lot of reasons. Like validating sexual identity or expression, or helping us to find boundaries in what does and doesn’t turn us on, or to show us what some kinds of sex actually look like outside the stunted limits of sanctioned sex education.
Maybe Refinery 29 was trying to tell us that porn is good for women when it’s made by a woman, reflecting the experiences and cultural perspectives on sex a woman can uniquely bring to porn. Okay, sure. But … which women are we talking about? At the end of the article, Refinery 29 tells readers to check out Erika Lust’s work to “get a glimpse into the wonderful world of female-directed porn.” And Lust’s world is a wonderful one, indeed: I’m a huge fan. But to characterize Lust’s work as embodying the entire world of woman-directed porn is a mistake, and I don’t think she’d disagree with me.
Which is why I want to show you what’s being left out here — and that it’s necessary to look at the entire world of women-directed porn, because it’s a very diverse thing. The world of women-directed porn is a glimpse of what female lust and desire actually looks like. It’s a realistic look at something we’re prohibited from seeing thanks to censors, religious groups, sexist jerks, people who traffic in or profit from sexual shame, and everyone who gets ahead by stepping on female sexual expression by saying there are right and wrong ways to do it.
So, here we go.
To be a female pornographer is to be on the front lines of internet censorship and financial discrimination. They regularly lose their professional online accounts, and are routinely denied services. Their personal accounts get shut down in random, incontestable sweeps. They know the pain of not being allowed to use the same tools, services and resources as other small business owners and filmmakers. These women can’t use Google AdWords, Adsense, Facebook ads, or any of the ad networks for that matter. Their work is prohibited on, and censored by Facebook, MailChimp, PayPal, Square, Instagram, YouTube, Vimeo, Google Play, Apple’s iTunes, Kickstarter, even Indiegogo, and they can’t use WordPress.org … as well as being targeted by their home countries for shutdown. I am prohibited from having an account with most of those services too, because I write about their work and show you what it looks like.
Below you’ll find a list of female pornographers. It is in no way complete.
“When I speak of the erotic, then I speak of it as an assertion of the life force of women; of that creative energy empowered, the knowledge and use of which we are now reclaiming in our language, our history, our dancing, our loving, our work, our lives.”
-Audre Lorde
See also: Here’s what ethical porn really looks like
Some of the links above are affiliate links. That’s how the indie ecosystem works to keep us all going, and it’s how we support each other. Until very recently, the indie/ethical porn genre — largely comprised of women — had ZERO support from the mainstream porn industry. Rather than take ad dollars from companies I have no connection with, I choose to share my valuable traffic and personal endorsement with people whose mission is like mine — celebrating sex-positive pleasure. There are more ethical porn sites, personally vetted, in my right-hand sidebar.
This post was edited on Tuesday february 9 to add director Mason, whose omission was an oversight.
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I am excited to announce that "Genderfuck" has been selected by @CineKink Congrats to my amazing performers and team pic.twitter.com/SgpjgAYbIN
— petra joy (@petrajoy) February 3, 2016
“Mickey Mod, an adult film performer who has appeared in multiple sports-related films, sees football porn as a place where male viewers get a twofer, “Just as you see with sports, people want to be able to be in the shoes of their favorite player, and people want to envision themselves in the position of male performers.””
Deep Inside The Wide World Of Football Porn (Voactiv)
Along with all the other hazards of 200,000 visitors descending on one place at the same time, one is talked about with increasing frequency—sex trafficking. For years, the urban myth of increased sex trafficking has followed the Superbowl (and Olympics, and World Cup) around like an unwanted cousin at a tailgate barbecue. An increasing number of groups are intent on persuading Americans that we have a terrible and growing problem with sex trafficking. Their data is virtually non-existent, elided with words like “experts agree” and “shameful epidemic.”
Superbowl = Ground Zero for Sex Trafficking? Super Nonsense (Sexual Intelligence)
“In 2016, Sinthetics wants to further revolutionize sex with manikins marketed towards women. The Kellers first started designing male manikins for gay customers, according to Bronwen. “The gay market felt underrepresented,” she explains. Then a woman purchased a doll, and Sinthetics decided to produce silicone men specifically for women. Now they’ll see if women can surpass the stigmas surrounding sex dolls.”
‘We Sell a Lot of Dicks’: Inside a Factory Making Male Sex Dolls for Women (Broadly/Vice)
“I’d just returned from CES, where it was obvious that sex and tech were finally coming together. Despite my rather unfortunate experiences weeks prior, I was feeling inspired. That’s when Kiiroo came into my life. Like a serendipitous orgasm harbinger, it promised to take my “sex life to new heights” through teledildonics.”
A first-hand quest for the future of sex, Part 2: Mission diverted (Engadget)
“When my grandmother died last summer at 97, my family asked me to write the eulogy. … Though I managed to patch together a tribute that communicated the sheer abundance of her 97 years, and hinted at her progressiveness, I was struck by what I couldn’t include, perhaps one of her greatest gifts: her sex positivity.”
My mother and grandmother are proof that talking openly about sex is a smart parenting tactic (Washington Post)
Unbelievable. Have they heard of science? “A Utah state senator is blaming that devil pornography for creating a “sexually toxic environment,” increasing the demand for prostitution and ruining families. Sen. Todd Weiler introduced anti-porn legislation last Friday, asking that the state recognize that porn is creating a public health hazard. He called for a reform to take on the “pornography epidemic that is harming the citizens of Utah and the nation.” The politician told the Daily News that porn was more addictive than powerful drugs, and the public needed to start seeing adult films as a national epidemic.”
Utah proposes bill to make porn a ‘public health crisis’ (Huffington Post)
“Sex chatbots don’t even have to be that good to do their job. These aren’t being created to pass the Turing Test, the legendary challenge named after artificial intelligence pioneer Alan Turing which aims to convince a human she’s talking with another person and not a machine. Their sole purpose is to get the dater to want to chat more. And a pent-up dude online is the easiest mark. As acclaimed AI researcher Bruce Wilcox puts it, “Many people online want to talk about sex. With chat bots, they don’t require a lot of convincing.”
Scammers and Spammers: Inside Online Dating’s Sex Bot Con Job (Rolling Stone)
“When many in the mainstream public think of escorts, they often think of brothels, madams, and pimps, but the reality is that many escorts work independently. … Whether it’s the fear of losing money or being in physical danger, the way in which escorts vet and screen their clients to see if they’re actually legit is quite important. We spoke to some independent escorts of different backgrounds to see how they make sure the people they’re spending time with are for real.”
We Asked Sex Workers How They Screen Clients (Vice)
Psst! This week, your can pre-order my next erotica collection The Cuckold Who Loved Me ($3.89)!
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On entame la sixième semaine de l’année et on espère pour vous que les souhaits de bonne année sont terminés et qu’il vous arrivera le meilleur en 2016. Février s’annonce venté, sortez couverts les copains. Au pays du porno cette injonction n’est quasiment pas respectée, ils sont toujours nus comme des vers ces coquins.
Simone Sonay ne sait plus où donner de la tête. En haut, en bas, à gauche, à droite, c’est vrai qu’il y en a partout. Ce n’est pour déplaire ni à Addison Ryder ni à Ramon Nomar qu’elle se donne autant. On irait bien faire un tour au Upper floor en attendant.
Simone Sonay, Addison Ryder & Ramon Nomar – The Upper Floor
J’ai récemment découvert le potentiel érotique de la bibliothèque, lieu intime s’il en est. Emma Leigh, elle, le connaît par coeur et semble s’y complaire. Au royaume de la culture, le cul est roi.
Emma Leigh & Danny D. – The Mathletes Part One – Brazzers
Si le kiff a un visage, c’est celui-là. Callie Cyprus prend allègrement son pied. La mater dans un tel état c’est aussi un grand kiff pour nous. De plus, se faire pétrir le le boule : on aime.
Si on projette ce gif dans un univers parallèle, ça donne une fille qui boit à une fontaine pendant qu’un pote la tient pour ne pas tomber. Si vous avez compris ce qui vient d’être écrit, ne prenez pas la route. Pour les autres, rappelez-vous qu’on ne dit jamais fontaine je ne boirai pas ton eau.
Diamond Jackson, Jasmine Webb & Xander Corvus – Dirty Office Threesome – Brazzers
Au premier abord, rien d’exceptionnel ici. Un cunni dans une salle de sport, c’est le quotidien au Club Med Gym. Mais si on s’y attarde d’un peu plus près, on remarque que Malena profite du bon temps pour se faire une séance d’abdo. L’astuce fitness du jour.
Alyssa Reece & Malena Morgan – That Good Good – Reality Kings
Bouya
La proposition de loi qui prévoit la pénalisation du client de prostitué, devrait être adoptée. Ce texte sanctionne l’achat d’acte sexuel d’une contravention de...
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You’re looking at the cover of The Cuckold Who Loved Me, the next erotic anthology from Digita Publicaitons, and curated by me. This saucy collection of explicit erotica is available for pre-order right now, and it will be delivered to you on February 14th — it comes out on Valentine’s Day.
It’s a smoking-hot theme with a killer lineup of writers. I scored an excerpt from legendary author Alison Tyler‘s upcoming cuckold novel The Happy Housewife. There’s also a superb story from Bram Stoker award finalist Thomas S. Roche. Josie Blackwell and Heather McKinney are such prolific fetish authors, I’m honored to be part of their catalog. I can’t wait until it comes out to see what you think of it.
The introduction was something I’d been wanting to write for a long time, too; a non-fiction essay exploring the theme, fantasy, history and practice of cuckold. It’s fascinating, and erotic, and I’m grateful to have had help with research and the people who answered my questions and showed me what people find so hot about it. Much thanks goes to people who guided me through forums and communities such as cuckoldsforum.com, cuckoldplace.com, Our Hotwives, as well as r/cuckold and r/CuckoldCommunity.
Here’s the book’s description:
When a hotwife needs satisfaction, a cuckold husband must meet her shocking demands. Seven hardcore stories from skilled authors follow couples whose cuckold adventures go from mild to wild, ranging from first-time wives-who-wander, to experienced women who dominate, manipulate, tease, deny, and thrill husbands with the extremes of cuckoldry.
The wives in these stories are gleefully rapacious, lusty, and try things they’ve only dreamed of. Sometimes the men get to watch, listen, help hands-on, do the cleanup… or wear a chastity cage. Between each story, charming themed cocktail recipes give readers something to sip and enjoy, and chapters are peppered with sex and relationship tips for those who’d like to try cuckold fantasies safely in real life.
Table of Contents
Introduction: To Have and To Cuckold by Violet Blue
The Happy Housewife by Alison Tyler
Kinking the Classics: The Voyeur’s Vesper
Pearl Necklace by Jolie Joss
Good Housekeeping: How to Bring It Up
Takes All Comers by Ainsleigh Foster
Kinking the Classics: The Peeping Tom Collins
Shipping and Fulfillment by Josie Blackwell
Good Housekeeping: A Mobile Toy Kit
Mistress Mirage by Heather McKinney
Kinking the Classics: Milk of the Bull
The Stud by Ken Jarry
Good Housekeeping: Boundaries Template
Kind of a Bitch by Thomas S. Roche
Kinking the Classics: The After Sex Mint
About the Authors, About the Editor
This book contains consensual adult situations, including backdoor play, erotic dominance and submission, chastity play, and explicit scenes. The book also depicts non-monogamous relationships and sexual activity (and penetration) involving more than two individuals. Heterosexual focus.
The Cuckold Who Loved Me ($3.89) is available for pre-order on Amazon and it comes out on Valentine’s Day (DRM-free .epub and .pdf versions will be released on Digita Publications for $3.49). FYI: You can give Kindle books as a gift to anyone with an email address.
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Si j’aime parfois utiliser des vibros pour me procurer du plaisir solo, je suis une grande adepte de la méthode nature. Le sextoy que je trouve d’une efficacité redoutable pour la masturbation féminine est un sextoy qu’il n’y a pas besoin d’acheter et qui est toujours à disposition : mes doigts !
Touches-toi toi-même !Se toucher en utilisant ses doigts, cela permet d’économiser de l’argent et en plus c’est pratique car nos doigts sont présents à tout moment. Ce dernier point est l’avantage majeur des doigts, à savoir qu’ils nous appartiennent et font partie de notre corps !… Lire la suite
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Playboy se rhabille, mais pas trop. Au début du mois d’octobre dernier, quand le célèbre magazine pour adultes a annoncé qu’il ne contiendrait plus de nudité explicite à compter de son numéro de mars 2016, les médias ont trompeté la fin d’une ère. Et puis, il y a quelques jours, le New York Times a reçu un exemplaire de cette édition fatidique en avant-première. Dans un article publié aujourd’hui, le célèbre quotidien l’assure : il y a toujours des femmes nues dans Playboy.
De la nudité, oui, mais pas de téton ou de pubis. Les modèles photographiées nues sont placées assez stratégiquement pour qu’aucune zone tendancieuse n’apparaissent à l’image. Certaines posent même légèrement habillées, comme Dree Hemingway. Sur la double-page du mois, l’arrière-petite fille d’Ernest s’étend dissimulée sous une culotte et une robe légères. Le cliché touche par son érotisme délicat, la chaleur de sa lumière et de son grain.
“Ms. Hemingway et les autres femmes présentes dans les pages du magazine n’ont pas été retouchées, note le New York Times. Les photographies de Playboy ont longtemps été des triomphes de technologie qui enrobaient leurs modèles d’un voile de perfection, impossible à atteindre sans des quantités considérables de lumières savamment placées et d’airbrushing agressif. Cette époque est révolue.”
Pour le New York Times, la nouvelle version de Playboy tient plus à sa nouvelle direction artistique qu’à l’abandon du nu explicite. “Dans le numéro de mars, certaines images sont granuleuses et semblent plus spontanées que posées, note le quotidien. Le magazine a adopté l’esthétique rendue célèbre par les publicités American Apparel et les photographes de mode type Terry Richardson, spontanée et sans fard.”
L’effort du nouveau Playboy vers un plus grand naturel se manifeste au-delà de ses photographies. Les illustrations grivoises et la traditionnelle publicité explicite de la quatrième de couverture ont pris la porte. La nouvelle maquette du magazine est plus aérée, “plus contemporaine, avec beaucoup plus d’espace blanc qu’avant”, note le New York Times. Avec ce profond changement d’apparence, Playboy espère conquérir un public plus jeune.
Cette quête d’une nouvelle cible est manifestée de manière éclatante par la couverture du nouveau magazine. La star d’Instagram aux yeux vairons Sarah McDaniel semble y prendre un selfie, barré par un “heyyy ;)” tout droit sorti de Snapchat. Ces jeunes que prétend séduire Playboy se laisseront-ils tenter par de tels appâts ? Mais surtout, resteront-ils s’ils mordent ?
Sur le fond, le magazine est resté fidèle à son ancienne version. Son numéro de mars 2016 contient notamment un long essai rédigé par l’écrivain norvégien Karl Ove Knausgaard et une interview de la présentatrice Rachel Maddow. Le New York Times grince : “Même si ce nouvelle formule échoue à séduire de nouveaux abonnés, elle rendra l’immortelle parade “Je le lis pour les articles” un peu plus facile à bafouiller avec un air sérieux.”
A découvrir dès le week-end prochain en kiosque.
On a récemment parlé du porno qui, parfois, pète un plomb. Ce n’est pas un porn qu’on vous propose ici mais une vidéo courte et énergique comme on les aime, qu’on a envie de mater trois fois pour bien tout saisir. Tartine Biscotte s’est attelé à combiner les utilisations malsaines de nombreux de nos objets de tous les jours, avec un discours rythmé et des phrases marrantes.
C’est l’histoire deux mecs branchés culture porn (des copains, donc), Raphaël qui performe en rousse à lunettes et Jeremy qui s’occupe d’écrire les textes qui ont décidé de mettre à profit leur passion commune pour les images insoutenables en en faisant une vidéo sur laquelle on ne peut pas s’arrêter. Leur motto : « matte cette vidéo que tu ne pourras pas regarder » (dixit Jerem) et franchement c’est réussi, à chaque séquence on peut être répugné mais notre voyeurisme naturel nous pousse à la terminer.
De balais à chiottes dans le cul en éjaculation sur viande rôtie, on ne se lasse pas de cette vidéo chiadée. La race humaine a encore de beaux jours devant elle.
Le 14 janvier dernier, la liste des candidats aux Oscars 2016 a été dévoilée par l’Académie. Une polémique a immédiatement éclatée : tous les acteurs nommés aux Oscars des meilleurs premiers et seconds rôles, féminins comme masculins, sont blancs.
Ce manque de diversité concerne-t-il aussi les Oscars du porno, les AVN Awards ? Le site de divertissement Funny or Die a mené l’enquête sur les moquettes du Hard Rock Hotel de Las Vegas le 23 janvier dernier, quelques heures avant l’attribution des prix qui récompensent le meilleur de l’industrie.
Malgré les blagues grivoises, les professionnels interrogés sont presque unanimes : les AVN ont le même problème de diversité que les Oscars. Il est vrai que toutes les actrices qui ont concourues cette année pour le titre de meilleure performeuse sont blanches… Encore une preuve que le racisme persiste dans le porno, sous de nombreuses formes.
Au Japon quand un ancien catcheur se reconvertit dans le comique, cela donne «Hard Gay», une parodie de pervers sexuel qui vole au secours des mères de famille. Surprise. Personne n’y voit rien à redire. Pourquoi ?
Entre 2005 et 2009 environ, un comique japonais fait un triomphe à la télévision sous le nom officiel de «Razor Ramon HG», ou encore «Hard Gay» (HG). Seulement vêtu d’un mini-short moulant et d’un haut de vinyle noir, coiffé d’une casquette à clous, il se déplace dans les rues des villes japonaises, effectuant ce qu’il appelle du «social improvement» c’est-à-dire que, tout en agitant frénétiquement son bassin sous le nez des passants héberlués, il vient au secours de SDF, incite les jeunes à témoigner plus de respect pour leurs parents, aide les vieilles dames à traverser la rue et joue au redresseur de tort. Son combat : lutter contre la perte des valeurs. Ses moyens : de frénétiques mouvements pelviens, assortis de cris «Fuuuuuuuu !!».
Le message fait mouche. Jouant sur le contraste entre son personnage de «pervers» sado-maso et sa mission d’ange urbain, Hard Gay arpente les rues de Tôkyô en quête de bonnes actions à mener, sans jamais cesser de se tortiller. Peu sensibles à son humour, certains militants gays l’accusent de donner des homos une image négative, renforçant le stigmate qui frappe leur communauté. Il est vrai que Hard Gay n’y va pas de rein mort. Il ondule tellement du bassin qu’on se demande à chaque fois, coeur serré, s’il ne va pas se recevoir un coup de poing dans la figure. Mais non. Au pire, ses interlocuteurs s’enfuient. Hard Gay ne suscite, semble-t-il, jamais la colère, ni l’indignation. Et cela même en présence d’enfants, que dis-je, même dans les jardins d’enfant, Hard Gay se fait applaudir. Les mères ne crient pas au pervers. La police ne vient pas l’arrêter.
Sur cette vidéo ci-dessous, par exemple, il cuisine avec des enfants dans le but de changer leurs goûts en matière d’alimentation. Les mères se plaignent que leurs petits refusent les légumes ? Hard Gay relève le défi. Il se fait fort de convertir un récalcitrant au natto, préparation ultra gluante de soja fermenté. Le natto ressemble à de la morve ou du sperme très épais, au choix. Peu d’enfants apprécient ce plat dont les vertus nutritives sont pourtant reconnues. En avant. Hard Gay se rend dans un parc, joue avec les enfants qui ont «la tête à hauteur de ses hanches» (dit-il, commencez la vidéo à 1:33), remue follement des fesses, multiplie les allusions sexuelles (1) et… finit par faire manger du natto à un petit garçon sous les yeux ravis des mamans.
On pourrait voir dans cette surprenante tolérance une forme très révélatrice de ce que certains nomment «le laxisme» du Japon en matière de pédopornographie. Mais peut-on accuser des mères de famille japonaises de laisser leurs enfants sans protection face à une forme d’intrusion sexuelle violente ? Non. Il semblerait que ni les grands ni les petits ne voient pas «le mal» dans les ondulations pseudo-coïtales de Hard Gay. Exposés à cet étrange personnage, qui tend avec outrance ses parties génitales dans leur direction, les enfants rient, plutôt de bon coeur, sans se sentir agressés par le monsieur. De façon très révélatrice, les vidéos de Hard Gay se regardent avec la même surprise queles images de vulves médiévales : «On regarde ces images en supposant une norme, on traque le passage de la limite, on raisonne en posant implicitement la question du licite et de l’illicite, du tolérable et de l’insupportable».
Nos réactions, face aux vidéos de Hard Gay, témoignent d’une habitude à penser la représentation du sexe en termes de transgression. Mais ce que ces vidéos démontrent c’est que, visiblement, le sexe de hard Gay n’est pas connoté sexuel au Japon. Il est connoté «protecteur» et «magique». Talisman vivant, Hard Gay se sert de son pénis pour chasser les petits loubards. Il éloigne, à coups de pubis, les garçons qui importunent des inconnues dans la rue. Il s’en sert aussi pour chasser les pensées tristes. On le voit ainsi consoler, à coups de pubis, un enfant qui pleure : «Allez, souris», dit-il, en remuant follement du croupion devant le môme qui finit par sourire. «Hard Gay, Okayyyyyy ! Tout va bien maintenant». L’effet est presque immédiat. Plus Hard Gay se décha^ne de l’entrejambe, plus les spectateurs rient, comme si dans cette caricaturale démesure, il prenait les mêmes proportions que ces pénis géants qui, lors des processions shintô, servent de porte-bonheur.
Hard Gay en fait trop. Ce faisant, il confine au cosmique. L’extravagance ostentatoire de ses déhanchés privent ses gesticulations de tout érotisme. Hard Gay ne joue pas à exciter les gens. Il joue à les sidérer, les subjuguer, les frapper de telle manière que son sexe ne soit plus l’expression d’un désir, mais d’un super-pouvoir : celui de mettre en déroute les influences négatives. Pour reprendre les mots de Gil Bartholeyns, Pierre-Olivier Dittmar et Vincent Jolivet, auteurs d’Image et transgression au Moyen-Age «Il serait réducteur de voir dans ces [représentations du sexe] la seule expression du mal tant les indices sont nombreux qui laissent penser qu’elles possèdent des fonctions particulières». En Occident, ce sens-là s’est pour une large part perdu. Les images du sexe comme porte-bonheur n’existent presque plus chez nous. Mais pas au Japon, où les organes génitaux font encore partie des objets cultuels. Hard Gay en fournit une preuve «éclatante».
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CET ARTICLE FAIT PARTIE D’UN DOSSIER EN DEUX PARTIES: «Hochet phallique pour bébé ?»
POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES USAGES SYMBOLIQUES DES ORGANES GENITAUX : «Vive la Saint Foutin» ; Jettatura : que Priape m’en protège» (la corne comme porte-bonheur) ; «Hé, le cornu !» (le lien entre phallus et corne) ; «Quel est le lien entre un cocu et un cornichon ?» (pourquoi dit-on que les cocus portent des cornes) ; «La vulve, anti-dépresseur mythique» ; «La plaie du Christ serait-elle une vulve ?« ; «Tu n’as pas honte ?
POUR EN SAVOIR PLUS SUR HARD GAY : «Qu’est devenu le comique Masaki Sumitani ?», VIDEO sur Youtube sous-titrée. Hard Gay oblige des jeunes à souhaiter la fête des pères (et va jusqu’à faire porter à un papa une tenue SM offerte par sa fille)
NOTE
(1) Hard Gay a l’habitude dire «Sei sei sei sei sei», ce qui habituellement compris comme une abréviation de «urusei» : «tais-toi». Mais sei peut aussi se comprendre comme un jeu de mort sur «sexe, sexe, sexe, sexe».
My new book is out! Sexing the Unicorn: Girls who Hunt Couples (ebook, $3.49)
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Lorsqu’on est étudiant, on a souvent besoin de bosser un peu pour payer ses factures. Certains deviennent serveur, caissier, vendeur ; d’autres choisissent des métiers un peu plus inhabituels. C’est le cas de Jo Broughton. Alors qu’elle étudiait l’art à l’université d’Essex à la fin des années 90, cette photographe s’est faite embaucher comme assistante par un studio porno. La nuit, c’est elle qui nettoyait les plateaux. C’est comme ça qu’elle a eu l’idée de photographier les décors désertés.
Un calme étrange se dégage de ces clichés, capturés quelques heures après la mise en boîte de scènes de sexe qu’on imagine frénétiques. Certains décors frappent par leur qualité, leurs couleurs harmonieuses, leurs accessoires variés, leur ordre presque excessif. “A l’époque, tout était fait main, a affirmé Jo Broughton à i-D. On shootait à l’argentique – donc pas le droit à l’erreur.” Un coup d’oeil privilégié sur une époque révolue.
La semaine dernière, Twitter partait en orbite autour d’un threesome peu glorieux entre Kanye West, Wiz Khalifa et Amber Rose. Echange d’amabilités sexistes et d’insultes qui ont fini par une punchline d’Amber à propos du cul de Kanye West et d’un doigt joueur. L’intéressé a nié, personne n’a jamais touché à son anus et ça ne risque pas d’arriver de sitôt. Pas de massage de prostate ni de rimjob. Triste.
Exes can be mad but just know I never let them play with my ass… I don’t do that… I stay away from that area all together
— KANYE WEST (@kanyewest) January 29, 2016
Ces tweets ont permis de faire la lumière sur des pratiques qui ne sont pas cantonnées aux homosexuels comme le laisse sous-entendre le tweet d’Amber et surtout les nombreux twittos qui se sont bousclés pour se moquer de la vie sexuelle de Kanye. Mais dans ce marasme, certains ont quand même trouvé leur compte, comme SexToy Dave Levine, le propriétaire de la boutique en ligne sextoy.com.
Il n’a pas hésité à prendre sa plus belle plume pour écrire une lettre ouverte à Amber Rose où il la remercie de ses tweets : « Depuis bien trop longtemps ce genre de pratique sexuelle a été considérée comme tabou ou quelque chose que seuls les hommes gays pratiquent. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité ». Il fait ensuite quelques rappels sur le point G des hommes et en bon businessman opportuniste lui propose un petit deal sympa.
« Nous sommes certains que beaucoup de gens seraient curieux de se sentir comme Kanye » poursuit-il en lui demandant si elle accepterait de faire mouler sa main et le doigt favori de Kanye.
Il y a assez peu de chance que le désormais célèbre #FingersInTheBootyAssBitch se retrouve un jour en vente mais après le butt plug Donald Trump, on n’arrête pas de vouloir se faire du biff sur le cul des stars.
Tous les êtres humains munis d’un pénis l’ont déjà fourré dans des endroits douteux, qu’ils aient été portés par le bouillonnement hormonal de la puberté, par une vague d’ennui ou par des fantasmes divers. Certains sadomasochistes, par exemple, rivalisent d’ingéniosité dans l’exploration du monde par la teub.
Clique avec prudence
Dans la dernière vidéo d’efukt, 1 Guy 1 Mousetrap, l’un d’entre eux plaque ainsi son membre sur une tapette à souris dont il a préalablement équipé le mécanisme d’une punaise. Evidemment, c’est très douloureux à voir et évidemment, ça tourne mal. Soyez avertis : quelques gouttes de sang s’écoulent car notre héros se troue la verge puis le gland avec son invention.
“Baby couple”, c’est le nom qu’on donne aux couples comme le mien. Des couples longue durée qui se sont formés à l’adolescence. Dans une société où même l’amour se consomme et se choisit d’un glissement de doigt, les baby couple apparaissent un peu comme des ovnis.
Si t’es dans un baby couple, t’as gâché ta jeunesse !Je suis en couple depuis mes 16 ans, j’en ai 26 aujourd’hui. Quand une telle situation arrive, tout s’accorde autour de toi pour créer le doute en toi, en plus de tes potentiels doutes personnels. … Lire la suite
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Il y a un peu plus de deux semaines, la marque de vêtements Diesel a annoncé qu’elle ferait la promotion de sa nouvelle collection printemps/été sur PornHub et Youporn. C’est désormais chose faite : ce lundi 1er février, les publicités du couturier italien se sont installées sur les pages d’accueil des deux tubes.
Contrairement à ce que nous avions vaguement persifflé, Diesel a osé placarder sa campagne à côté de vignettes pornographiques hardcore. Elle n’est visible que par les internautes installés aux Etats-Unis qui utilisent un ordinateur. D’après nos calculs, cela représente 11 millions de visites quotidiennes pour les deux tubes confondus.
Diesel devient ainsi la deuxième marque “mainstream” a faire sa promo sur les tubes. En 2013, le service de livraison de repas Eat24 avait disposé des publicités à base de food porn et de jeux de mots discutables un peu partout sur PornHub. Une campagne très remarquée, qui a sans doute donné quelques idées à Diesel. Espérons que l’initiative du couturier saura à son tour inspirer d’autres marques grand public.
Il a existé jusqu’au XIXe siècle des hochets d’enfant en forme de personnage aux testicules hypertrophié. Bébé pouvait sucer le manche, sans que nul n’y trouve à redire. C’était un sexe. Mais ce n’était pas sexuel.
Enfant, la petite Mary Shelley maniait un hochet en forme de pénis canin turgescent, en corail rouge, monté sur un manche orné de gros grelots dorés (sic). L’objet, conservé à la Bodleian Library (Oxford), suscite l’étonnement parfois scandalisé des visiteurs. Ils y voient une forme d’outrage à l’enfant, une effroyable perversion, alors qu’il s’agit au contraire d’un objet protecteur, chargé d’éloigner les influences malignes du berceau… Cela prouve «le bouleversement presque complet de notre rapport aux images de sexe», expliquent Gil Bartholeyns, Pierre-Olivier Dittmar et Vincent Jolivet : depuis le XVIe siècle, nous, les Occidentaux, sommes devenus presque aveugles à la dimension sacrée des verges et des vulves. Quand nous en voyons, qu’elles soient graffitées sur un mur de WC ou sculptées à l’angle d’une Eglise gothique, nous trouvons cela choquant. Sans plus. C’est-à-dire que l’image n’évoque plus qu’une plate obscénité.
Des livres de prière autrefois illustrés de sodomites ?
Dans un ouvrage intitulé Image et transgression au Moyen-Age, les trois spécialistes posent la question : qu’est-ce qui est transgressif ? Pourquoi la transgression, autrefois indissociable des pratiques religieuses, est-elle tombée aux mains des pornographes ? De quand date le premier texte pornographique ? Pourquoi sommes-nous devenus incapables de voir une image de sexe sans l’associer à l’idée du plaisir (coupable)? «Dans le livre de prière médiéval, en marge des psaumes, s’ébattent des sodomites, des singes moqueurs, des évêques déguisés en chien. Dans la nef de l’église, une femme sculptée ouvre son sexe avec les mains. Dans le chœur, des petits monstres de bois, les mamelles pendantes, regardent les moines chanter. Plus bas, sur le même mobilier, un homme baisse ses braies et chie. Sur le chapeau du pèlerin, à côté des coquilles Saint-Jacques, une vulve couronnée est portée en triomphe par des jeunes phallus. Toutes ces images, le Moyen Âge les a produites et regardées sans gêne pendant des siècles».
Une femme qui ouvre son sexe à deux mains
Ces images nous paraissent incongrues, inadéquates. Parfois même suggestives, excitantes. Nous imaginons que ceux qui les voyaient détournaient peut-être le regard, comme nous, ou les observaient à la dérobée. «Nos réactions témoignent d’une habitude à penser l’image en termes de transgression», dénoncent les trois chercheurs. Cette propension à voir le «mal» dans des images de nudité se mesure souvent aux délires d’interprétation qui frappent ces bas-reliefs «luxurieux» : «Qui n’a jamais entendu, lors d’une visite, l’anecdote du sculpteur qui, ne s’estimant pas assez payé par le commanditaire, aurait sculpté de «petites cochonneries» dans les recoins de la cathédrale ?». Absurde. «Ce genre d’image n’était pas forcément illicite ou suspect au Moyen Âge». Elles étaient commandées par les autorités et s’intégraient complètement à l’architecture des édifices religieux (1). Cela ne signifie pas bien sûr que ces images n’étaient pas «frappantes» : la magie d’une représentation dépend toujours du statut ambigu de ce qu’elle montre, susceptible de jeter le trouble.
«Merde», «branleur», «con»
Au Moyen-Age, les images de sexe ont la même vertu qu’une insulte : «merde», «con». Comme les insultes, elles parlent d’ordure et de sexe. Leur fonction : repousser le mal par le mal. Ainsi que le soulignent les trois chercheurs, «Ces représentations peuvent donc très bien être «négatives» […] et en même temps posséder un pouvoir positif. De la même façon, aujourd’hui encore les Napolitains portent parfois sur eux des cornes rouges de diable pour éloigner le mauvais œil. Le sexe n’est qu’un motif parmi d’autres pour dissiper le mauvais sort ou protéger une zone. Il partage cette fonction avec les saints, la Vierge, le crucifix et des figures plus ambiguës que l’on retrouve sur certaines gargouilles». Que ces images nous déconcertent aujourd’hui montre bien à quel point les sensibilités ont changé dans l’Occident chrétien. La faute à qui ?
La faute à l’église
Nous sommes devenus incapables de voir une image de pénis ou de vulve sans l’associer à l’érotisme, aux émois et à l’excitation. C’est la faute à l’église, expliquent les trois chercheurs qui citent force censeurs ou théologiens vilipendant les nudités d’églises : au tournant du XVIe siècle, les tableaux dits «indécents» sont accusés d’inciter les croyants à la débauche. Le sexe, amalgamé avec l’idée du «plaisir charnel», se voit peu à peu privé de tout pouvoir opératif. En séparant ce qui est bas de ce qui est haut, les pères de l’église amputent le sexe de toute magie, de tout pouvoir. Autrefois, il protégeait la vie des individus, les maisons, les vergers, les villages. On le portait en broche pour partir sur les chemins de Compostelle. On en faisait des ex-voto. Il était un des talismans les plus courants avec la croix. Et maintenant ? «En réduisant le sexe à son pôle sensuel et érotique, l’Église a permis la naissance de la pornographie», concluent les chercheurs. Maintenant, le sexe est sexuel. Rien d’autre que sexuel, érotique, excitant, honteux, lascif et embarrassant.
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A LIRE : Image et transgression au Moyen-Age, de Gil Bartholeyns, Pierre-Olivier Dittmar et Vincent Jolivet, éditions papiers.
POUR EN SAVOIR PLUS : «Vive la Saint Foutin» ; «La vulve, anti-dépresseur mythique» ; «La plaie du Christ serait-elle une vulve ?« ; »Tu n’as pas honte ?«
(1) «Le fait que ces représentations soient fréquentes ne signifie pas qu’elles étaient anodines, qu’elles ne suscitaient aucune réaction. C’est justement parce que ces images sont obscènes, gênantes, qu’elles fonctionnent en tant que repoussoirs. L’insulte – langue tirée ou doigt brandi – fonctionne de la même manière. C’est parce que ces gestes sont interdits, parce qu’ils évoquent quelque chose d’impudique ou de malvenu qu’ils repoussent et, par conséquent, protègent. Et c’est pour les mêmes raisons qu’ils prêtent à rire.»
ILLUSTRATIONS : Nonne cueillant des pénis : Guillaume de Lorris et Jean de Meun, Le Roman de la Rose, XIVe siècle, Paris, BnF ms. Fr. 25526, fol. 160r. / Homme montrant son anus : Psautier de Gorleston, 1310-1324, British Library, Add. ms. 49622, fol. 61r. / Homme montrant son pénis et femme écartant sa vulve : Eglise Ste Radegonde de Poitiers, XIIIe siècle, mur nord de la nef / Broche de pélerin : Journal of Archaeology in the Low Countries. Badge displaying an enormous phallus, the reverse shows a woman pushing a wheelbarrow loaded with phalli, 1375-1450, found in Vlaardingen (private collection).
“Forget boring drivel about where to put a semi-colon. Playgirl’s guide was 13 pages of printouts offering a thesaurus of sorts: slang terms for every genital, sex act, STD, orientation, and bodily function — with phraseology like “Neapolitan bone ache” trotted out as an acceptable stand-in for “syphilis.”
All 276 ‘Playgirl’-Approved Terms for Penis From Their Old Stylebook (Thrillist)
“The four videos were the sort of low-budget European garbage I’d expected; the kind where excessive baby oil and tribal tattoos adorn hairless gym bodies. A quick search for “gay VR porn” turned up the same four videos (and a small handful of others) at VirtualRealGay, the brother company to straight porn VR factory VirtualRealPorn. Unfortunately for the rest of us, immersive porn is still largely a privilege preserved for straight dudes.”
A first-hand quest for the future of sex (Engadget)
“Kirkus Reviews published a piece admitting that, with only a tiny number of exceptions, they don’t review romances except those written by white authors. This isn’t about who is nice and who is mean. It’s about a fundamental injustice that is being dealt, over and over, to people of color, to queer authors, to disabled authors, to religious minorities, to trans authors–authors who don’t want a leg up; they just want the same chances.”
Speaking up against systemic racism in the publishing industry (Courtney Milan, via Cecilia Tan)
“I realized my dad was John Cleve, and he was the one writing those books with that pen name,” Chris says. Chris’ memoir, My Father, The Pornographer, out February 9, details what it was like growing up with a dad who wrote 400 books under 18 different pseudonyms. All but 30 of his books were pornography.”
My Dad Was a Porn Legend (Grantland)
im not a furry but damn @realtonytiger got cake
— heterophobia (@PapyrusFucker) November 4, 2015
“Of course, as an anthropomorphised cartoon animal, Tony the Tiger is the daddy of all furries, and so there’s a fair amount of artwork featuring him. This artwork is not always safe for work. It also seems fair to assume that Kellogg’s does not want its brand to be associated with – say – a picture of an extremely muscly Tony, naked save for his neckerchief, masturbating on an exercise bench. So three days ago Kellogg’s started blocking the furries en masse.”
Cereal offenders: Tony the Tiger begs furries to stop tweeting him porn (Guardian)
“The POP is the latest version of the revolutionary Semenette, a sex toy that doubles as an inseminating device that mimics ejaculation. Inventor Stephanie Berman had failed to conceive with her partner using the “turkey baster” method and wanted to create a toy that was both pleasurable, functional and didn’t feel like a medical aid.”
Something for the weekend, sir? The latest in sex tech (Guardian)
“One common criticism of content analyses is that the researchers conducting them tend to find what they’re looking for, and Ana Bridges, the leading author of this paper, has known affiliations with prominent contemporary anti-pornography feminists Robert Jensen and Gail Dines. Another point of concern is that these results literally stand alone: You will not find another content analysis of porn conducted in last 40 years (and there have been dozens) that report numbers anywhere near that high. There are also problems with the methodology. …”
Porn and Critical Thinking: The Importance of Using Your Head When Looking at Scientific Results (Huffington Post)
This article has great quotes from terrific sex educators; it asks us not to kink shame Kanye West, but maybe let’s also not let him off the hook for his awful sexist bullshit.
Don’t Kink-Shame Kanye (Daily Beast)
“As a Dominatrix I now run a small business like so many other “vanilla” entrepreneurs. Without a house dungeon to handle booking and advertising, I spend a good portion of my days answering emails, running advertisements, tweeting, traveling, and updating my website. In this way, my job feels like so many others, and not unlike my old job in tech, only instead of working in e-commerce I now trade in fantasies, secrets, fetishes, and self-acceptance.”
My First Year as a Dominatrix Or: How I Learned to Stop Worrying and Love Myself (The Rumpus)
“Sexsomnia.” It sounded too much like a passing trend. It was a little too perfect, a little too catchy. However, despite how it sounds, it’s a very real medical diagnosis for sexualized behavior during sleep. And it can include anything from light touching to full-on intercourse, sometimes straining relationships to the point of divorce or even resulting in charges of sexual assault.”
Coming to Terms With Sexsomnia (Motherboard/Vice)
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Janvier est quasiment terminé mais à la rédac on n’en démord pas, on fappe, on fappe à longueur de temps. Les jours passent mais ne se ressemblent pas, on trouve tous les jours de nouveaux gifs plus excitants les uns que les autres. Une fois n’est pas coutume, on vous présente la sélection de cette semaine, toute fraîche et toute belle. Bon dimanche !
Au premier coup d’oeil sur ce gif on n’a bien évidemment que remarqué cette levrette vibrante qui va et qui vient au creux des reins de Sandee Westgate… Et puis en y regardant mieux, on a remarqué cette fesse gauche qui fait un peu sa life, ce mouvement de peau et ce muscle un peu lâche qui suit le mouvement docilement. De la poésie.
Sandee Westgate & Jared Grey – Pornfidelity
C’est dans une drôle de position qu’on retrouve Aidra Fox : elle se risque au torticolis pour faire jouir sa copine Ashlyn Molloy, franchement on ne peut pas lui en vouloir. Et puis cet angle nous permet de tout observer jusqu’aux moindres recoins, c’est aussi jouissif que si on était à la place de Mlle Molloy. On profite autant qu’elle, merci Aidra !
Aidra Fox & Ashlyn molloy – Just Us Girls – Badoink
Yay, encore du boule. Celui-ci vraiment on l’aime, à la fois parce qu’il a du vécu (voir ces marques rouges témoins de multiples fessées) et parce qu’il bounce comme jamais. Ce POV est magnifique : on adore les tresses de Caroline Pierce expressément faites pour l’occasion et dûment tirées par ce bon monsieur. C’est un travail d’équipe, on ne le dit pas assez.
Caroline Pierce – Bangbros
Le porno, pas romantique ? Mais détrompez-vous ! Dans « I only want you », Mick Blue se dédie corps et âme à son unique August Ames : il lui offre des fleurs, une chambre d’hôtel, rajoute des pétales sur le lit, et lui offre la levrette de sa vie. C’est aussi ça l’amour, on le sait, ça finit toujours au pieu.
Mick Blue & August Ames – JoyMii
Oui, on sait que cette position est décriée par de nombreuses « vraies » lesbiennes, mais qu’importe, parce qu’on peut mater comme on le veut et que ces deux corps entrelacés c’est un plaisir qui ne se refuse pas. Jana Jordan et April O’Neil ont en tout cas l’air de bien se faire plaisir dans cette promiscuité, c’est tout benef.
Jana Jordan & April O’neil – Girl Play – Elegant Angel
Fap et Honneur
Image à la une : Jana Jordan
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I’m so in love with Vex Clothing that it kind of hurts; if I could, I’d have a closet full of their glorious latex designs (like the Stained Glass collection, which my buddy Kumi was lucky to get to model for them). In new editorial Sérénade for Factice Magazine #7, there are a lot of hot Vex pieces, plus some Chromat, William Wilde, and Lascivious. Gorgeous!
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Au fond du net en feu c’est bien du bleu
qui dans mes yeux regarde pendant qu’le rouge
qui d’Amarna la langue
à d’Amarna les mèches
me lèche et tète
la croissance…
Au fond du net
en moi s’émeut le parigot
quand d’mon alcôve au prix d’l’essence,
quand j’ai la chance d’aimer en POV
la niña del fuego !
D’avoir l’Espagne au regard bleu qui regar-
de ma queue ma piaule et mon égo couler sur la niña de rojo certes
mais del leche !
Il s’était juré de jamais le faire, mais quand il s’est fait larguer, il s’est créé un compte sur Tinder. Il a choisi une photo assez neutre. Pas trop beau gosse pour pas décevoir les filles. Pas moche non plus pour que ça matche. Et il s’y est mis. A mater les profils de filles dispos autour de chez lui. Swipe à gauche, je jette. Swipe à droite, pourquoi pas.
La première fois, ça l’a étourdi, toutes ces photos de meufs qui, d’une manière ou d’une autre, étaient prêtes à baiser. Et toutes là, à deux pas de chez lui. Il aurait jamais pensé qu’il y en aurait autant.
Depuis,...
Il y a quelques temps, je vous racontais mon premier rendez-vous webcam avec une jeune actrice porno : Alice Leroy. Si vous ne la connaissez pas encore, cela ne saurait tarder. Elle a commencé les tournages il y a environ un an, à tout juste 19 ans, avec l’objectif clairement affiché de jouer dans la cour des grands. Avec Dorcel, B-Root, Blue One déjà inscrits sur son CV, elle est sans aucun doute la révélation de l’année 2015. Lors d’un entretien, elle m’a raconté ses débuts dans le monde du X, son ressenti et ses envies pour l’avenir.
La plupart de nos lecteurs te connaît en tant que camgirl et actrice porno. Comment te définis-tu personnellement ?
Je suis actrice avant tout. J’ai d’abord commencé par la webcam sur Cam4 mais je n’ai fait que 2 ou 3 shows, et j’ai arrêté tout de suite. J’ai préféré attendre de faire des tournages, car c’était mon but. C’est là que je m’éclate le plus. J’aime jouer la comédie. J’adore quand on me dit que pour le prochain tournage il va falloir aller dans une région que je ne connais pas du tout et rencontrer les nouvelles personnes avec qui je vais travailler.
J’aime l’ambiance et la proximité qu’il se créé avec l’équipe. Je préfère ça qu’être seule devant ma webcam. Quand on est en tournage, même si on joue la comédie, il y a quelque chose de fort qui se passe avec les autres acteurs. Le dernier tournage que j’ai fait était pour Blue One, pour un film qui va être proposé à Canal +. Pour moi, c’est une super opportunité et ça signifie qu’il va y avoir de la comédie et que ce sera très pro. En plus, se faire maquiller et pomponner, c’est un vrai bonheur. J’aime aussi quand on me choisit mes tenues, et que je ne suis pas obligée de venir avec mes vêtements que je porte déjà tous les jours. Je me sens vraiment actrice dans ces cas-là.
Avec @Lexie_Candy et @TonyCarreraxxx qui joue à ou est Charlie pour #blueone pic.twitter.com/7LvyQYfyju
— Alice Leroy (@AliceBabydollX) December 3, 2015
As-tu pensé à développer davantage ton côté camgirl en faisant des shows publics, ou tes propres vidéos sur Manyvids par exemple ?
Je me suis réinscrite sur Francolive après ma première scène car on me l’a conseillé. C’est vrai que la webcam permet d’être plus proche des personnes, et c’est aussi un bon moyen d’être active entre deux films. Je trouve important d’être proche des gens qui te regardent. Bien sûr que tout le monde ne va pas venir regarder mes shows même s’ils apprécient mes scènes, mais c’est bien de proposer autre chose pour ceux qui veulent en voir plus.
Je ne fais que du privé cam-2-cam pour l’instant et j’avoue que connais assez mal les sites publics comme Chaturbate, mais je les trouve intéressants. Ils permettent aux gens qui n’ont pas les moyens de payer des tokens de pouvoir voir du contenu, et finalement cela réunit plus de monde. En tout cas je réfléchis à m’inscrire sur ces sites en ce moment. Pour ce qui est de faire mes propres vidéos, ça ne m’intéresse pas. Je me vois pas faire ça toute seule dans ma chambre. Je préfèrerais à la limite faire une scène porno où je serais seule à l’écran, mais avec tout le monde sur le plateau.
On sent vraiment que tu apprécies de travailler en équipe. Avec qui as-tu particulièrement aimé travailler ?
Récemment, avec Kris Bakelit, pour le magazine Union. On s’est bien entendus, on a beaucoup ri et le tournage s’est super bien passé. Sinon j’ai aimé travailler avec Pascal Lucas, le premier réalisateur avec qui j’ai tourné pour Dorcel, il était très professionnel et c’était intéressant pour moi qui commençais… La scène que j’ai faite avec Nikita Bellucci aussi m’a beaucoup plu, on s’était éclatées car c’était une scène « déconne », et j’ai adoré. J’ai aussi bien accroché avec Titof car on a pas mal de points communs comme la passion des jeux vidéo, en plus on aime les mêmes films. C’est quelqu’un de très sympa.
Tu arrives à prendre du plaisir ou tu es vraiment à 100% dans le rôle ?
Pendant une scène, c’est difficile de ne pas prendre son pied ! Je connais des acteurs qui font trop la part des choses et considèrent les scènes uniquement comme un travail, peut-être pour ne pas s’impliquer émotionnellement. Du coup il passent complètement à côté du plaisir, et c’est dommage.
As-tu trouvé ça difficile de prendre ta place dans le milieu du porno français ?
C’est très dur de se lancer aujourd’hui en France. Quand on veut tourner, on a vite fait de faire le tour des prods et si on n’est pas prêt à voyager à l’étranger pour travailler, ça devient vite compliqué. Moi je n’ai pas encore voyagé par exemple. Ce qui est certain, c’est que si tu veux bien commencer, il ne faut pas aller vers la facilité et faire de l’amateur, parce que ça te crame sur le peu d’autres productions qu’il peut y avoir. Il faut réussir à garder l’image que les grosses productions veulent que tu aies, tout en réussissant à travailler assez. L’amateur est très demandé sur Internet et c’est pour ça que les grands noms produisent de moins en moins. En plus ça nous enlève un peu de travail à nous actrices. Certaines femmes peuvent se dire « Tiens, il me faut un peu d’argent, je vais faire une scène » et c’est comme ça que les productions amateurs peuvent prendre une nouvelle fille à chaque fois, en la payant peu comme elle débute. La plupart ne feront même jamais de deuxième scène.
Alice dans « Harcèlement Sexuel » chez Dorcel
Et en tant que femme, est-ce que c’est plus dur ?
Sur les tournages, les actrices sont mieux traitées que les acteurs. Les réalisateurs se rendent bien compte que s’il n’y avait pas d’actrices, il n’y aurait pas de pornos. Il faut être forte psychologiquement et être sûre de soi quand on fait du porno, ou même de la webcam, car c’est dur à porter. Certains spectateurs vont confondre le rôle que tu as dans les films et la personne qui les joue, et sous prétexte que tu interprètes un objet de désir dans les films, ils vont penser qu’ils ont tous les droits et te dire ce qu’ils veulent. Comme si tu étais dans le « domaine public » quelque part… et finalement je vais prendre moins mal un « Salope ! » reçu sur mon compte Twitter d’actrice porno, qu’un « Salope ! » lancé dans la rue alors que je ne fais rien de spécial. Je reçois comme tout le monde malheureusement des messages insultants, ou des propositions malhonnêtes. Une fois, j’ai eu une attaque en groupe sur ma room Francolive, en provenance d’un forum de jeux vidéos, mais ce qui est formidable c’est que mes followers fidèles et mes fans prennent ma défense dans ces cas-là.
Il y a beaucoup d’actrices féministes et qui militent activement. Personnellement, je ne pense pas que faire du X ce soit dévaloriser l’image de la femme. C’est une manière de libérer les esprits et de se décomplexer sur beaucoup de points. Et puis, les normes du porno ont changé, et les rôles qu’on joue évoluent aussi. On a toujours la blonde pas très futée, mais on croise aussi des rôles de footballeur débile. Finalement c’est dans ces mises en scènes qu’on va pouvoir mettre en valeur la femme. Personnellement, j’adorerais tourner dans un porno féministe, ça me plairait beaucoup.
Alice, notre question classique : c’est quoi ton porn ?
J’ai toujours adoré le porno érotique qu’on appelle à tort le porno « pour filles ». J’ai fini par évoluer vers des choses un peu plus hard bien sûr, et ce que j’aime par dessus tout, ce sont les parodies. Pas forcément pour les scènes de sexe, mais plus pour le côté rigolade. Ma préférée c’était une parodie de Freaky Friday vraiment réussie. Maintenant je regarde surtout du hentai, je trouve qu’on peut faire beaucoup plus de choses avec des dessins que dans la vraie vie.
Quels sont tes projets pour 2016 ?
Difficile de vous dire ça avec précision, car en général on m’appelle une semaine avant un tournage… et encore ! J’ai des choses prévues, mais rien n’est gravé dans la pierre. La période des fêtes par exemple était calme, car comme dans tous les domaines, les gens sont plus en famille qu’au travail. Ce que je peux dire, c’est que je vais essayer de commencer à voyager et travailler à l’étranger pour évoluer et grandir dans mon métier.
Quand tu parles d’évoluer, tu penses à quoi exactement ?
Et bien, j’aimerais être actrice le plus longtemps possible, mais j’adorerais réaliser. Et si je pouvais, je réaliserais ce que j’aurais envie de voir moi dans le porn. Mon rêve serait de réaliser un pornogeek, quelque chose comme Sexfighter avec Katsuni, qui est mon idole.
Katsuni, pionnière du pornogeek
J’ai récemment vu Fap to the future et je l’ai trouvé bâclé. Je pense qu’on peut aller plus loin, réaliser un porno avec une idée précise en tête et le faire bien, et pas se contenter de prendre n’importe quel prétexte ou mode geek pour en faire un film raté. On peut trouver le X partout, il faut juste avoir une bonne idée et surtout bien l’exploiter. Par exemple, on pourrait facilement adapter le personnage de Quiet du dernier Metal Gear Solid dans un film X. J’ai d’ailleurs fait ce cosplay pour le Toulouse Game Show.
Alice en Cosplay au Toulouse Game Show
Oui, je me souviens t’avoir croisée sur place…
Oui ! J’ai été très surprise ce jour-là, car on m’a reconnue pour la première fois « en vrai ». En arrivant il y a eu plein de personnes qui m’ont prise en photo car ils ont aimé mon cosplay, mais certains m’ont interpelée en tant qu’Alice Leroy. Je me suis rendue compte qu’on pouvait me reconnaître dans la rue, c’était très étrange. Je pense quand même qu’on peut croiser des actrices porno dans la rue sans s’en rendre compte. On est pas pareilles dans la vraie vie que sur un tournage.
Tu as une vraie passion pour les jeux vidéos, on peut notamment te regarder streamer sur Twitch. Est-ce que pour toi c’est un loisir ou une autre partie de ton travail ?
Quand je suis sur Twitch c’est vraiment pour mon plaisir personnel. Je préviens toujours les abonnés de mon compte Twitter car je sais que la plupart des gens qui me suivent ont un peu le même univers que moi, et me suivent aussi parce que je suis fan de jeux vidéos. Après tout les actrices ont une vie après les tournages. On est comme tout le monde.
Sexing the Unicorn: Girls who bang couples is here! It’s on Kindle, and you can also get DRM-free copies in .pdf and .epub (plus cover art) on Digita Publications — all for only $3.49! We’ve been working on this book for a year, and we’re soooo happy with the stories, the cover, the sex tips, and … the drop-dead gorgeous cocktails! Especially The Little Black Dress, created just for the book by the amazing Lesley Solmonson of the cocktail blog, 12Bottlebar.com (@12BottleBar; Nominated for Saveur’s Best Cocktail Blog 2012 and 2013).
To celebrate the book’s release, enjoy the first chapter below, the book’s introduction.
Introduction: UnicornicopiaBy Violet Blue
The first time I heard the term “unicorn” as sexual slang was when a couple I knew was trying to find out everything I knew about the straight (ish) parts of San Francisco’s sex party scene. I’m not a frequent guest to our city’s many flavors of sexy soirees, but I’m a pretty good source of information because I ask my pervy friends about things like this every chance I get. And if I have their consent, I write about their responses.
“We’re looking for parties with unicorns,” they explained. With what? I asked, hoping it wasn’t an offensive term of some kind, for this was about ten years ago. They explained that they’d heard the term for single girls cruising for couples was unicorn, and I immediately knew what—and who—they were looking for.
History has a hard-on for multiples. While I’d been spending my time trying to unravel the whys and the hows of poly’s past, my own libido had been left lacking. Penning posthumous postulates on long-dead players had percolated my own passion. Until the concept had consumed my brain.
Lisa and Sam wouldn’t know what hit them.I only needed the duo to say yes. I lugged my books to the library and spent the day footnoting. Each time I took a breather, I thought of what I really wanted to be doing. Sam looked like he’d be a watcher. I could imagine him sitting at the foot of the bed, staring as I dined on his girlfriend. Tugging his cock while he soaked in our succulent Sapphic samba. When we’d had our fill, we’d turn our attention to him. He would not go unrequited.
Passage after passage amped my determination. My studies might be dry, but I was ungodly wet. I employed every ounce of willpower not to quit my research early. I was only hopeful that Lisa would be able to convince Sam, to explain exactly what I was offering.—Alison Tyler, “A Very Progressive Party”
Of course, unicorn has meant other things in sexual slag terminology, but once I asked other friends about the term I felt uncool because I’d clearly been out of the loop. This wasn’t a new name for girls who bang couples, and I should know these things—especially because, I realized, some of my close friends are unicorns.
I was also completely intrigued. I’d always wanted to be a unicorn, but I’ve never had the guts to actually try it. But hey, now I at least knew what to call this glamorous sex kitten role, one that I simultaneously envied and lusted after.
For me, unicorns came to inhabit a realm of futuristic, cyber-sexual coolness. My unicorn friends lived sex lives I’d only fantasized about, or read about in erotica collections. Their adventures were dirty, filthy, and incredibly cosmopolitan, and I couldn’t believe the adventures they described to me were real—but they were.
Then Ward started a new tactic. “Maybe we’ll find a unicorn,” he insisted.
“Or a fairy,” I responded. “A wood sprite. A nymph. A phoenix. A leprechaun.” I opened my eyes wide at him. I was being snarky. Ward didn’t seem to mind.
“You don’t even know what a unicorn is,” he said, smiling in that way that hinted he was about to share something good.
“White fur,” I described to him. “Long twisted horn of gold. Accidentally left off the ark?”
Ward started undressing me. “A unicorn,” he began, “is a bisexual woman who goes to sex parties in search of couples to fuck.”
“And why would a girl like that be called a unicorn?”
“Because those types of women are rare. And precious.”
He had my dress off, and he was tugging my panties down. Talking about sex is fierce foreplay to Ward. If we couldn’t go to a sex party, at least we could discuss one. He flipped the clasp of my bra like a pro. One more tug, and I was entirely naked.
“Why would we want a unicorn?”
“Because I know the thought of fucking another woman makes you come like nothing else. And, yes, because I’d love to see you do it.”
—Emilie Paris, “I Don’t Believe in Unicorns”
Two of my unicorn friends liked to pair up to cruise and hunt together. They had outrageous sexual escapades that would otherwise be too dangerous for one girl to go at alone, in high-rise hotel rooms and parking lots alike. Though most often they preferred hunting in San Francisco’s hipper sex parties, prowling for tech professionals and artists, so they could hook up with young, stylish, and open-minded couples.
The more I dropped the term “unicorn” around my friends, the more I found out a surprising number of my single friends were unicorns, hooking up with straight couples anytime they wanted. I found I knew unicorns of different genders. Their stories showed me that San Francisco really does have straight couples that are eagerly open-minded—and who are definitely not as hetero-centric as couples in the traditional “swingers” scenes.
Because I’ve been going at it five minutes or more—more aroused than ever, because I know my ordeal is close to its “end,” if you’ll forgive me—when I hear the door click-squeak open, and I pull back, instinctively moving to cover myself with my hands. The vibe comes away from Trina’s clit as my fingers leave her pussy and my tongue leaves her ass.
But Trina moves faster than I do, and faster than Emily—which is who it is, I see as she comes through the door with her mouth open wide, pretending (or maybe—just maybe—not pretending) to be shocked. Is she really surprised to discover Trina and me in flagrante delicto? Was there some sort of misunderstanding in the “Keep the others out” gesture Trina gave her? Or—far more likely—has Emily decided to invite herself to a threesome… and she’s just shocked to see how dirty we fuck?
“Sorry,” says Emily, but her voice has a quality that tells me she’s not sorry at all. “I thought—”
I never get to hear what she thought—or claims she thought.
—N.T. Morley, “Tahoe Tease”
Unlike the mythical creatures of daydreams and legend, my unicorn friends are flesh-and-blood real. But to see them, you’d think they stepped out of the pages of this fantasy collection of sexy fiction. They’re strong, confident women that I’m lucky to have in my life. They’re also incredibly hot, making their existence in my life seem even more unreal (and awesome).
One friend I discovered was (and still is) a unicorn is a raven-haired, Gothic, pale beauty—who is also an accomplished singer and symphony musician. Tattooed, she dresses in vintage outfits, right down to retro lingerie, and she likes to pair up with unicorn buddies and go hang out at sex parties in San Francisco’s SOMA district. None of these stories are about her, or authored by her… But they could be.
This absolutely isn’t happening, I told myself. It couldn’t be. What would the kinky couple from the infamous Secret Fire blog want with a boring little fangirl like me? Free beer? They paid. To get shown around San Francisco? Survey says nuh-uh. I live in Oakland, and I’ve only been here for a year and a half myself. I don’t get out much. I haven’t done much.
And now Andre wanted to know exactly what I had done… while his wife kissed my neck and he gently stroked my arm. It was helping my carpal tunnel, all right—which I don’t even have.
—Meadow Parker, “Bondage Blogging”
Where do these amazing women lurk? Aside from sex parties, my unicorn friends tell me that they also cruise dating and hookup sites where couples can make profiles (like OkCupid, AdultFriendFinder) or websites that advertise so-called “infidelity” dating. Once, my raven-haired friend told me a wild story of picking up a couple from Craigslist, whom she met at a downtown hotel for a wild night of trying things she’d seen in porn.
Before becoming so bold, she said she’d been first encouraged to try unicorning (there’s no other word for it) by a mutual friend of ours, who is also her main hunting pal. They’ve both told me they love virgin couples, most especially when the woman in the couple hasn’t been with a woman before.
That particular unicorn friend is a bombshell blonde. She’s the kind of friend who simultaneously relishes that fact that she’s like sexual kryptonite to certain kinds of people, but prizes connection and friendship above all (in fact, she’s one of my closest friends). She loves bragging to me about her crazy exploits; I soak them up like a sponge. And they’re numerous, because she has long blonde hair, tan lines, big breasts a tiny waist, and loves looking like a porn performer (she is one).
She’s also transgender, which isn’t really an important detail other than the fact that it’s never been a negative data point for any of the straight couples she hooks up with. This unicorn tends to end up in long-term relationships with couples—but she never lets it get in the way of going out on the unicorn hunt if there’s a good party to go to.
This bit of personal sharing about the girls in my life who bang couples is my way of explaining to you about how I came to believe that unicorns really exist. They’re definitely not the kind of unicorns I hoped were real when I was a little girl. Instead, they’re a more fitting kind of magical creature for the grown-up I’ve become.
In between the stories here, you’ll find bite-sized tidbits of sex information pertaining to unicorns, and unicorn-themed cocktail recipes. One in particular, the “Little Black Dress,” was invented by Lesley Solmonson of 12Bottlebar.com (@12BottleBar)—who won first place in a contest to create this book’s signature iconic drink.
There were more entries in the contest than I expected, and so many of them were sensual, elegant, and downright delicious… too good to leave out. If you’re interested in seeing those recipes, plus all the cocktail recipes from all of my books, look for my upcoming (and free!) mini-ebook on DigitaPub.com, Crazy Sexy Cool Cocktails.
This book is a tribute to unicorns and the couples who make them happy—and vice-versa. It’s a file packed with yearning, joy and sex-positive adventures. Here’s to hoping all of our fantasies, with or without mythical creatures, come true.
Violet Blue
San Francisco
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Le #TonyTigerGate est un scandale microscopique, tout juste une dispute, mais on se doit de vous en parler. Depuis quelques mois, certains furries trouvent amusant de bombarder le compte Twitter de Tony le tigre de réflexions graveleuses. Dès que la mascotte des célèbres céréales ouvre le bec, quelques fans d’animaux anthropomorphes lui rétorquent de leur envoyer des photos de son sexe ou de les prendre fort. Le 26 janvier dernier, après un soudain pic dans le nombre de ces tweets douteux, @realtonytiger a manifesté son ras-le-bol en bloquant les furries en masse.
Le scandale a commencé quand les membres de la communauté furry qui ne harcelaient pas sexuellement le tigre officiel se sont rendus compte des bêtises de leurs coreligionnaires. Fatigués de voir leur communauté ainsi ridiculisée, il ont manifesté leur mécontentement sur Twitter en diffusant le hashtag #TonyTigerGate. “Grâce à quelques connards, la triste réputation du furry fandom a encore pris un coup”, a ainsi déploré un certain Chef Sakkano.
Le #TonyTigerGate est révélateur de la fracture qui divise la communauté furry. Contrairement à ce que leur réputation laisse entendre, les furries ne sont pas tous excités sexuellement par les animaux humanoïdes. Beaucoup se contentent d’apprécier leur histoire et leurs représentations de manière tout à fait platonique. Ceux-là n’ont d’autre choix qu’endurer le comportement de l’autre camp, beaucoup plus remarquable et remarqué, celui qui manifeste son attirance pour les tigres, les loups et autres dragons à forme humaine.
On pensait que l’hiver ne serait pas cette année, voilà que janvier vient nous rappeler qu’il vaut mieux arrêter de faire des prévisions foireuses. On se réchauffe corps et âmes avec les gifs gay de la semaine qui eux ne connaissent ni froid ni vent ni neige car finalement il fait quand même chaud cette semaine (y’a plus de saisons !). Encore une sélection qui nous rappelle que le porno c’est plus que du cul sur internet, c’est de la véritable chaleur sur commande.
On a kiffé sur les piercings cette semaine, en voilà un nouveau qu’on adore. C’est celui que Leo Sweetwood arbore au gland qui nous fait vaciller. Mr Marino est a bien compris que c’était avec sa langue qu’il fallait s’en occuper et vu sa façon de s’appliquer on ne souhaiterait qu’être à la place de Leo. Un bonheur vous a-t-on dit !
Leo Sweetwood & Raphael Marino – Cocky Boys
James Jamesson c’est l’ours qu’on a toujours rêvé de rencontrer : cheveux gras, barbe foisonnante, carrure de rugbyman, on le croirait tout droit sorti de la forêt. C’est Jimmy Fanz qui a été invité cette fois-ci dans la cabane au fond de son jardin. S’il cherchait de l’authenticité il a sonné à la bonne porte. Le voilà au milieu du chalet du jeune Jamesson, bramant tel un cerf en rut. Tu n’as que ce que tu mérites l’ami.
James Jamesson & Jimmy Fanz – Timberwolves – Falcon studios
Alors là il nous faut faire une micro-pause dans cet article. Preuve vivante s’il en est qu’il est possible de s’auto-sucer, je vous présente, Messieurs, Dominic Santos. Le jeune Zane Porter, hilare et impressionné, ne doit pas non plus se méprendre sur sa présence dans ce gif : il n’est pas là pour applaudir son partenaire pour sa souplesse mais bien pour participer à son exploit. Au boulot coco.
Dominic Santos & Zane Porter – Randy Blue
« Make America great again ». On ne citera pas l’auteur de cette citation aujourd’hui bien connue mais par contre on peut vous détailler la vision qu’on a d’une belle Amérique. Bandante, excitée, attentive à autrui et prête à dégainer. Dillon Rossi et Liam Riley en sont la plus parfaite représentation.
Dillon Rossi & Liam Riley – Cocky Boys
Un gros plan comme on les aime, ça faisait bien trop longtemps. Rasé de près, l’anus, et pas trop agressif, le doigt, ce gif est tendre comme un agneau. Ces peaux de bébés appartiennent à Alex Mecum et Scott Riley. Si, si, promis ; on pourrait croire qu’on vous ment mais fiez-vous à notre oeil avisé, on s’y connait. On reconnaît un homme à la vue d’un testicule, c’est trop facile.
Alex Mecum & Scott Riley – Men.com
Bonne semaine les fappos !
Image à la Une: Dominic Santos
Tout a commencé le 27 janvier, quand Kanye West a annoncé sur Twitter que son prochain album ne s’appellerait plus Switch mais Waves (“Vagues”). La nouvelle a beaucoup énervé les fans de Max B, un rappeur new-yorkais réputé pour son obsession générale pour le ressac. On lui doit le concept de “wavy”, une version modernisée de “cool”, et une flopée mixtapes aux titres marins : Coke Wave, A Wave Called Yes, Toothy Wave, Return of the Wave.
Les accusations de plagiat n’ont pas tardé à pleuvoir sur Kanye West. L’une des plus remarquées a été longuement tweetée par Wiz Khalifa : “Max B est the wavy one. Il a créé the wave. Il n’y a pas de wave sans lui” a tancé l’auteur de We Dem Boyz avant d’inciter Kanye West à s’allumer un joint pour devenir lui-même. “Hit this kk and become yourself” : kk peut aussi bien désigner la weed que Kim Kardashian.
Max B is the wavy one. He created the wave. There is no wave without him.
— KOE (@wizkhalifa) 27 Janvier 2016
Kanye West a riposté en vitesse avec une série de tweets furieux, dans laquelle il a accablé Wiz Khalifa avec tout ce qui lui tombait sous la main : il a plagié Kid Cudi, ses singles sont pourris, personne n’écoute ses albums jusqu’au bout. Kanye West est allé jusqu’à s’en prendre de manière bien sexiste à son ex Amber Rose, avec laquelle Wiz Khalifa a eu un enfant en 2013 : “Tu as laissé une strip-teaseuse te piéger”, “Je sais que tu rages quand tu regardes ton môme, parce que tu sais que cette fille t’a eu pour 18 ans”.
Sans doute un peu essoufflé par cette sacrée volée, Kanye West s’est assis trente secondes et à supprimé ses tweets les plus agressifs. “Ce qui est triste, c’est que j’aime Wiz et que j’aime tous mes frères et tout le monde”, a-t-il fini par lancer. Mais piquée par l’attaque de son ancien compagnon, c’est Amber Rose qui a eu le mot de la fin. “Awww Kanye West, tu es énervé parce que je ne suis plus là pour jouer dans ton cul ? #FingersInTheBootyAssBitch”.
Awww @kanyewest are u mad I’m not around to play in ur asshole anymore? #FingersInTheBootyAssBitch☝
— Amber Rose (@DaRealAmberRose) 27 Janvier 2016
Avec près de 250 000 retweets, la pique du mannequin a fait un véritable carton. Elle a été désignée de toutes parts comme la grand gagnante du clash. Certes, elle a le sens de la formule et ce n’est pas la première fois qu’on s’en prend à l’anus d’un rappeur sur Twitter (on se souvient d’un clash peu glorieux d’une ex de Rohff, par exemple) mais pourquoi cette pratique est-t-elle insultante ?
L’attaque d’Amber Rose et la réaction du public montrent bien que la pénétration anale d’un homme hétérosexuel est toujours considérée comme honteuse. Si Kanye West aime à mettre des trucs dans ses fesses, laissez-le donc faire. Dans un récent article, Agnès Giard du blog Les 400 culs pointait justement du doigt ce mépris pour le plaisir masculin :
Lorsque l’homme leur demande «Pénètre moi, fais-moi jouir», beaucoup d’entre elles réagissent mal. Par le mépris, le dédain, le refus. Comme si l’homme tombait de son piédestal en quittant la posture «dominante».
Allez Yeezy. Nouvel album le 11 février.
A Paris, prix délirant du mètre carré oblige, dans les bars et restos, la promiscuité fait que l’on peut facilement profiter des conversations voisines....
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On a trouvé un nouveau compte Instagram à tomber : celui de Brenden Sanborn, un artiste britannique qui ne fait pas dans la demi-mesure. Que ce soit avec ses pinceaux ou dans son art en lui-même, le jeune homme ne manque pas de pimpant. Il a exposé un peu partout, en France, en Allemagne, aux Etats-Unis, en Suisse, en Egypte…
Il crache ses couleurs et marque les regards avec ceux de ses modèles. C’est excitant pour les yeux et pour le reste, il n’y en a pas deux des comme lui. On a l’impression d’être sur Tumblr entre trois pornos gay en matant son compte Instagram, sauf que c’est (un peu) censuré. Reste que sinon tout y est : les regards aimants, les abdos dessinés, l’intimité des corps et les muscles arrondis.
La peinture de Brenden Sanborn c’est tout ça à la fois ; avec ses couleurs pastels et son papier à gros grains on y trouve également une certaine tendresse. On aime six fois.
Vous pouvez retrouver les aquarelles et autres peintures de Brenden Sandorn sur son compte Instagram.
Nouvelle année rime avec calendrier ! Pour 2016, je vous propose de découvrir le nouveau calendrier Dèmonia. Talons hauts, cuir et femmes fatales vous feront compter les jours avec une sensualité torride !
Dèmonia est la boutique fétichiste de référence depuis plus de 20 ans à Paris. Située dans le 11è arrondissement de Paris, c’est l’adresse incontournable de tous les adeptes de la sexualité BDSM. On y trouve tout le nécessaire pour s’amuser : lingerie érotique, sextoys, accessoires, bondage, vêtements en cuir ou latex etc… Cette année, Dèmonia lance la 3è édition de son calendrier sexy, mettant en scène des modèles venant de tous horizons.… Lire la suite
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Naro Pinosa est un spécialiste du collage. Cet Espagnol de 36 ans n’a jamais fréquenté d’école d’art, c’est un autodidacte pur et dur. Ses créations jouent souvent sur le corps humain et l’acte sexuel, qu’il prend plaisir à mêler à des photographies d’animaux, de végétaux, de nourriture. Grâce à son sens de l’humour volontiers provocateur et à sa grande sensibilité des formes, il produit des oeuvres à l’érotisme fascinant.
La pornographie occupe une place de choix dans l’oeuvre de Naro Pinosa. L’artiste raffole des fellations métaphoriques, des sexes qui se transforment en glaces ou en hors-bord, des orifices interchangés. Un amas hétéroclite qui peut parfois sembler déstabilisant : “J’ai commencé les collages il y a deux ans, a-t-il affirmé l’année dernière au magazine Fisheye. Ils me permettent de m’évader de ma vie qui part dans tous les sens.”
Petite sélection de collages tirés de son compte Instagram, sa principale galerie d’exposition.
Lundi 25 janvier, l’autorité de régulation des télécommunications du Pakistan a ordonné aux fournisseurs d’accès à Internet du pays de bloquer près de 430 000 sites pornographiques. Contactés par le quotidien The Express Tribune, des représentants des FAI concernés ont concédé que la tâche s’annonçait “gigantesque et coûteuse”. Ils ont néanmoins affirmé avoir déjà commencé le travail.
L’ordre de l’Autorité des Télécommunications du Pakistan (PTA) fait suite à la publication, lundi 12 janvier, d’une directive sur la diffusion de l’information par la Cour suprême du pays. La haute autorité juridique y incite le secteur des télécommunications à “se mobiliser contre le phénomène néfaste de l’obscénité et de la pornographie, qui corrompt et vicie la jeunesse du Pakistan.”
En 2011, une initiative semblable avait abouti au blocage d’un millier de sites pornographiques par les fournisseurs d’accès à Internet du Pakistan. Les internautes du pays s’étaient alors rabattus sur les bons vieux CD et DVD. A l’époque, un marchand de Karachi avait déclaré au quotidien The Express Tribune : “Les gens ne viennent plus ici pour acheter des films de Hollywood ou Bollywood. Ils veulent du porno.”
Le fap trouvera toujours un moyen.
Don’t wait! Pre-order my new erotica collection Sexing the Unicorn on Amazon.
While avn gave out awards for best trans performer, Hard Rock security kicked out gender non-conforming people @HardRockHotelLV @avnawards
— Lorelei Lee (@MissLoreleiLee) January 24, 2016
Last night security guards at the Hard Rock followed my friend into the bathroom, tried to look at their genitals & demand ID. @avnawards
— Lorelei Lee (@MissLoreleiLee) January 24, 2016
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
Thank you to our woman-owned sponsor, Tantus.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Thank you to our sponsor and friends, Pink Label TV.
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Les SpeedDating sont des soirées au cours desquelles des femmes et des hommes jouent aux chaises musicales. Toutes les 7 minutes, le gong retentit. L’homme se lève et la femme reste assise. Mais pourquoi doit-elle rester assise ?
Lorsque Yaacov Deyo et sa femme Sue mettent au point ce qu’ils appellent la «rencontre par tournante» qu’ils font breveter comme service mark (1) sous le nom de SpeedDating, ils énoncent 10 règles sur le modèle d’une Table des Lois. Leur méthode s’inspire du Talmud (disent-ils) et a pour but de promouvoir des couples pérennes partageant des valeurs culturelles communes. Leur formule fait mouche. Mais elle est si librement «adaptée» qu’on pourrait presque parler de trahison. Partout dans le monde, des agences lancent leurs propres versions des soirées SpeedDating, sous des formes parfois rocambolesques : SpeedDating d’entreprise, SpeedDating par webcam, SpeedDating sur télésiège dans les stations de ski… Les 10 règles sont rarement respectées. Parfois même elles sont sérieusement mises à mal.
Se rencontrer pour s’insulter
En 2010, à Londres, une agence invente le Speed Hating, qui consiste non pas à trouver le Prince charmant (ou le coup du soir) en 7 minute mais à lâcher en 7 minutes tout ce qu’on déteste en général dans le monde, en particulier dans son vis-à-vis, avant de passer à quelqu’un d’autre. L’idée est lancée en réaction aux soirées «pour célibataires», afin d’en dénoncer la ringardise. Il semblerait que cette formule de rencontre fonctionne aussi très bien pour initier des relations de couples. L’essentiel, semble-t-il, c’est que des inconnu.e.s soient rassemblé.e.s dans un espace clos et forcé.e.s d’échanger à tour de rôle pendant un temps donné. Quid du concept originel ? Les organisateurs s’en fichent. Pourvu que ce soit fun.
Les hommes proposent, les femmes disposent
Sur les 10 règles du jeu mises au point le couple Deyo, une seule est à peu près respectée partout dans le monde : la numéro 3. «Les hommes bougent et les femmes restent assises». Cela a-t-il à voir avec la spiritualité ou avec un préjugé tenace ? Dans leur livre Speed Dating, le couple Deyo suggère qu’il s’agit d’un «principe» immuable. «Le Talmud affirme que c’est la façon dont les hommes courent après les femmes», se justifient Yaacov et sa femme. Loin d’être remise en cause, cette règle ultra-normative est adoptée par presque toutes les agences de rencontre. A quoi bon questionner les conventions ? Dans le monde occidental, il semble «normal» que les mâles – actifs, debouts et dynamiques – passent d’une fille à l’autre. C’est donc aux hommes de se déplacer.
«Rencontre par tournante», mode d’emploi
Dans son livre Mon partenaire en un éclair, l’anthropologue Pierre-Yves Wauthier décrit ainsi le système : «Lorsque tous les participants inscrits sont arrivés dans l’établissement où a lieu l’événement, chacun reçoit un numéro de table. Ensuite, il est demandé aux femmes d’aller s’asseoir à la table correspondant à leur numéro, où elles resteront assises jusqu’à la fin de la soirée. Lorsque retentit la cloche, chaque homme s’assoit à la table correspondant au numéro qu’il a reçu à son arrivée et rencontre la femme qui y est assise. Au bout de sept minutes, la cloche sonne à nouveau et il est demandé […] aux hommes de passer à la table qui se situe deux numéros plus hauts». Au cours de sa pratique de terrain, Pierre-Yves Wauthier affirme qu’il n’a jamais vu de femmes se déplacer, ni d’hommes rester assis (2), ce qui est étrange, dit-il. La règle 3 pose en effet deux problèmes.
Comment connaître une femme qu’on ne voit pas marcher ?
Le premier problème, c’est que les hommes se sentent lésés. Ils ont été matés en gros plan, en pied, de face, de côté et de dos. Les femmes se sont bien régalées. Mais eux ? Pierre-Yves Wauthier rapporte que pour éviter toute frustration, beaucoup d’agences proposent «quasi systématiquement aux participants de rester prendre un verre en fin de soirée. Cela “pour que les hommes puissent voir les femmes bouger“, me souffle confidentiellement un directeur d’agence ; car les femmes étant la plupart du temps assises, les hommes ont peu d’occasions de voir autre chose que leur buste». C’est justice. Après tout, comment juger la personnalité d’une femme qu’on ne voit pas marcher et dont une table vous sépare à la façon d’une paroi vitrée ? Autant faire des rencontres dans un parloir de prison.
Les personnes assises sont les plus sélectives
Le second problème avec la règle 3, c’est que les hommes en tirent la désagréable impression d’être livrés comme aux jeux du cirque. Lorsque les femmes sont maintenues en position assise («passive») elles ont tout loisir de scanner les prétendants, de les jauger, de les juger et de les… rejeter. La règle 3, paradoxalement, place les femmes en position de force, celle du Roi devant qui les courtisans défilent si possible en tremblant. Il est à cet égard très instructif d’apprendre que cette sensation de toute puissance n’est pas le propre des femmes mais des personnes assises, quel que soit leur sexe : «Aux USA, dans le cadre d’expérimentations en psychologie sociale au sujet de la formation du couple, les chercheurs P.W. Eastwick & E.J. Finkel (2008) organisèrent des speed datings inversés. Cela permit entre autres de déterminer que ce sont ceux qui restent assis qui sont les plus sélectifs.» Sachant cela, vous ferez attention de ne pas donner rendez-vous dans un café : si la personne arrive avant vous, si elle reste immobile dans son siège à votre arrivée, peut-être sera-t-elle deux fois difficile à conquérir ?
A LIRE : Mon partenaire en un éclair. Un anthropologue en Speed Dating, de Pierre-Yves Wauthier, Academia L’Harmattan.
(1) Dans le système anglosaxon, le service mark est un brevet qui protège non pas un produit mais un service.
(2) Ce cas de figure (l’homme assis, la femme passamt de table en table) aurait cependant existé mais de façon très exceptionnelle, précise l’anthropologue Pierre-Yves Wauthier qui cite le blogue d’un speed dateur racontant une expérience de ce type.
Illustration : publicité pour un sextoy Lelo, le Tiani 24k.
C’est finalement arrivé, Lucie Blush a tourné son premier film en POV intégral la semaine dernière. “Je voulais quelque chose de différent pour ma nouvelle scène, explique la réalisatrice sur son site officiel. Du coup, plutôt que de louer une paire d’appareils photos Canon 5D DSLR, je me suis dégoté une GoPro.” Sa caméra tout-terrain sanglée sur le front, elle a retrouvé les acteurs Jasko et Kilian Kay pour enregistrer une scène qui sera diffusée dans le courant du mois de février sur LucieMakesPorn.
On a contacté Lucie Blush pour qu’elle nous fournisse quelques détails sur les difficultés techniques du tournage. Enregistrer une scène de sexe avec une GoPro sur la tête, ce n’est pas de tout repos : “Je ne me sentais pas super sexy avec ça sur la tête, se souvient la réalisatrice. Et puis on a bien sûr envie de s’embrasser pendant la scène donc j’ai donné quelques coups de tête… (…) En plus je ne voyais pas ce que je filmais donc j’avais peur de ne pas avoir les bons angles de vue.”
Heureusement, tout s’est quand même bien passé. “Au final l’atmosphère était très relax, et les images sont vraiment géniales, vraiment différentes de ce que j’ai l’habitude de faire”, s’enthousiasme la jeune femme. Lucie Blush a tellement aimé l’expérience qu’elle s’apprête déjà à se re-sangler le crâne pour de nouvelles scènes en point-of-view : “Je vais carrément en refaire !”
On les attend de pied ferme. L’univers du POV hétéro féminin manque un peu trop de santé à notre goût : “C’est un marché à prendre, affirme Lucie Blush. On sait que beaucoup de femmes matent du porno et qu’autant les femmes que les hommes recherchent un contenu différent et original qui ne se repose pas sur les stéréotypes de genre. (…) C’est quelque chose que j’aurais voulu voir quand j’avais 15 ans et que je cherchais du porno.”
Photographies : Adlan Mansri
The legendary “little black dress” is the weapon of choice for unicorns — single girls who hunt couples for sex, and the topic of my next erotic collection (Sexing the Unicorn). Last weekend I held a cocktail contest to determine which drink would be the book’s perfect “Little Black Dress” elixir. The contest got more entires than I expected, and the submissions were all incredible. Thank you to everyone for taking the time and making the effort to create such beauty, warmth, boozy magic, and happiness. Your prizes will be sent out on Tuesday!
Seriously, the entries were crazy-good. Each and every one is beautiful, delicious, thoughtful, and a wonderful sensual commentary on what we think of the seductress in the perfect little black dress. Below you’ll find the winner, the runners-up, and the best of the rest as honorable mentions. I made and tested all of these with hackers who shall not be named, over the course of two days, but I thank them. I can publicly thank my dear friend and top-tier drinking companion Jamie for helping me narrow down pre-selections.
And now, the winner. That drink is a sublime combination of flavors in a deep lipstick-matching color, it now comprises the book’s second chapter, and was invented by the amazing Lesley Solmonson of the cocktail blog, 12Bottlebar.com (@12BottleBar; Nominated for Saveur’s Best Cocktail Blog 2012 and 2013). The original suggestion was to serve it in a martini glass, but once I put it in a coupe I couldn’t look back.
The Little Black DressDreamed into the world by Coco Chanel as emblematic of Parisian chic, the iconic little black dress (or LBD for short) entered our permanent arsenals as Audrey Hepburn’s fabulous frock in the 1961 film “Breakfast at Tiffany’s.”
The LBD, like diamonds and fingertip vibes, is the modern girl’s best friend. When you find the perfect LBD, you know it, and it doesn’t just compliment you—it elevates you. A drink by the same name does exactly that, thanks to the mixology magic of the drink’s creator, 12BottleBar.com.
Ingredients
2 oz. Rye whiskey
1/2 oz. Sweet Vermouth
1/2 oz. Dry Vermouth
1/2 oz. Crème de Cassis
Instructions
To create this perfect accessory, select a sublime rye, like Bulleit, and combine these elements elements over ice in a shaker—but don’t shake it. Stir this beauty smoothly for 30 seconds, then strain into a curvy little Coupe glass.
In case you’re wondering why there are cocktails in this erotica collection… Each book in Sexing the Unicorn‘s series revolves around a theme; each volume contains seven short erotic stories, three themed sex tips (“Good Housekeeping”), and three in-theme cocktail recipes (“Kinking the Classics”). This new collection is on the theme of “unicorns” — sexual slang for a female third sought after by couples. This collection turns that idea on its head with stories featuring strong female protagonists hunting hot couples to make their single-girl fantasies come true.
Link: Reserve your copy on pre-order at Amazon ($3.49).
Also winners: The runners-upI appended nicknames they got during testing to the title, it helped to distinguish them. These are in order of incredibleness:
The LBD Vanille
Ingredients: 45 ml high proof rye, 15 ml Licor 43, 15 ml fernet (Letherbee preferred), 3 dashes Angostura bitters
Method: Stirred for 30 seconds and strained
Glass: A curvy little coupe
Garnish: Twist of orange, oils expressed over the surface of the drink
PROS: easy to make, looks nice
CONS: tough to find Licor 43
IRL: Incredible flavor, everyone loved this. We were amazed the Fernet sat in the background and blended beautifully. SO GOOD. Like the winner, this one is going into my personal regular rotation.
CREDIT: Jens Knutson
The LBD Rouge
Ingredients: LBD Pomegranate martini (the new Cosmo) vodka, juice for a perfectly tart red cocktail (beautiful with matching lipstick)
Method: Pour 2 ounces of citron vodka, 0.5 ounces of Cointreau, 2 ounces of pomegranate juice and 0.5 of lemon juice into a cocktail shaker over ice. Shake until outside is frosted and strain into a chilled Martini glass, repeat and enjoy her.
Glass: Martini glass chilled (with background music and flowers)
Garnish: Ladies choice: pomegranate fruit or lemon or orange
PROS: simple, straightforward, surprisingly not too sweet or tart
CONS: none
IRL: This was a crowd favorite, and the guys wanted to get “girl drink drunk” on it. Pretty, too, like the manly men hackers who fought over it in my kitchen.
CREDIT: “two spicy gingers”
The LBD Violette
Ingredients: 2 oz dry gin, .5 oz creme de violette, dash simple syrup, dash activated charcoal, champagne float, dahlia garnish
Method: Add gin, creme de violette, simple syrup, and charcoal to a shaker. Add ice. Stir. Strain into a coupe cocktail glass. Add champagne float. Garnish with a miniature black dahlia or, if unavailable, red or black dahlia petals.
Glass: A coupe cocktail glass
Garnish: A miniature black dahlia or, if unavailable, red or black dahlia petals.
PROS: gorgeous, yummy
CONS: balance of flavors is tenuous, took a few times to get the champagne right
IRL: Love it. Delicious, even better with substitutions of Grey Goose and rose simple syrup. We omitted the charcoal for health reasons (medication interference, etc.) and it looked gorgeous anyway.
CREDIT: Red Letterday
The LBD Noir
Ingredients: One generous shot of melted bittersweet chocolate ganache, one generous shot of coffee liqueur (Firelit if you’re a hardcore coffee drinker, Kahlua or Tia Maria if you like it sweet), Russian Imperial Stout (I prefer Old Rasputin)
Method: Mix ganache and coffee liqueur in bottom of the glass. Pour stout over slowly, stopping just short of the rim of the glass. Stir gently to combine, so you don’t disturb the stout’s foam too much.
Glass: large snifter
Garnish: dusting of cocoa powder on top of the stout foam
PROS: Fucking delicious
CONS: Onerous to make at home, cleanup is a pain
IRL: So good, but you have to like stout; tried it with both Firelit and Kahlua. Guinness was suggested for smoothness.
CREDIT: Trix
Honorable mentions, and well worth making — kept anonymous for privacy, unless the creators tell me otherwise:
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Ingredients: potato vodka and chambord
Method: chill the vodka all the way, pour, then sink just enough chambord in the bottom to create a red line
Glass: Any glass that is clear and shows off the separation of colors
Garnish: none – it’s pretty enough
PROS: simple, looks pretty
CONS: separation is tricky
IRL: not cold enough, harsh to sip at first
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Ingredients: 2oz botanical gin, 1 sugar cube soaked in cherry bitters, 1/2oz strained blood orange juice, champagne
Method: stir the gin and the orange juice, add sugar cube to glass, top with champagne to taste
Glass: champagne flute
Garnish: flamed blood orange rind
PROS: bold, adjustable
CONS: sugar cube is tricky
IRL: can easily become bitter
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Ingredients: 1 oz Hamilton Black Jamaican Rum, 1 oz Campari, 0.5 oz Luxardo
Method: Stirred with ice. Served up
Glass: Coupe
Garnish: Dark Morello cherry
PROS: looks like you’d expect for the name; gorgeous
CONS: very intense
IRL: very intense, pretty, great if you like Campari (I do)
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Ingredients: One measure Kraken black spiced rum. Two measures Pepsi (though Coke is acceptable). Two measures cranberry-pomegranate juice.
Method: Remove the cola and juice from the fridge. Pour juice, then cola. Add room-temperature Kraken.
Glass: Shot glasses or beer steins, depending on whether or not you like the flavor. If drinking more than 100mL, halve the Kraken.
Garnish: By drinking it.
PROS: easy to make, looks the part
CONS: rum and coke jokes
IRL: drinkable but really sweet
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Ingredients: Equal parts Sambuca, Chambord, Black blood of the earth (Cold press coffee)
Method: blended with ice
Glass: Highball glass
Garnish: cinnamon straw
PROS: easy to make, easy on the eyes
CONS: none, though garnish is tough to find
IRL: an acquired taste. some liked it, some didn’t
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Ingredients: 1 ½ oz bourbon, ¾ oz Triple Sec, ¼ oz simple syrup (1:1 water & sugar), 1 dash Peychaud’s bitters, 2 oz pink sparkling wine
Method: Stir first 4 ingredients with ice, strain into glass, float 2 oz pink sparkling wine
Glass: Large coupe or champagne flute
Garnish: n/a
PROS: easy to make
CONS: not visually striking
IRL: very good
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Ingredients: Champagne, and Whiskey
Method: Champagne poured gently over the whiskey base
Glass: Champagne poured gently over the whiskey base
Garnish: Lemon twist, and a smile because you have the LBD of drinks: good any time of day, can be dressed up or down, simple, elegant, and makes everyone look good
PROS: easy to make and adjust, good base
CONS: not visually striking, only good if elements are the drinker’s favorite
IRL: underwhelming, but could be amazing
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Ingredients: Absinthe, cointreau, sparkling apple cider
Method: Served cold
Glass: Champagne glass
Garnish: Sliver of Orange peel
PROS: unusual combination is a conversation starter
CONS: balance was hard with this one (we guessed measures)
IRL: really odd, some were like no thanks
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Ingredients: Kahlua, Creme de Cacao, Chambord
Method: Shaken with ice, strained
Glass: Cocktail (martini) glass
Garnish: cream floated on top.
PROS: easy to make, looks lovely
CONS: floating the cream isn’t easy (we guessed measures)
IRL: good, very sweet, a dessert drink
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On l’a dit et répété en 2015, la cam prend le contrôle du monde et d’Internet et il n’y a pas de raison pour que ça change en 2016. Pour le premier Top de l’année, je suis allée vous demander votre avis pour savoir qui sont vos petits préférés et vos coups de cœur. Sans surprise, vous avez des goûts excellents, et surtout, des goûts différents. J’ai eu des réponses variées et uniques, avec seulement quelques noms qui sont revenus en double. Voici donc votre top Chaturbate du moment !
Le crush de nombreux fans de sexcam en ce moment c’est ce couple, Noir et Jean également connu sous le nom de BlancNoir, qui officie sur Chaturbate depuis quelques temps. Tout le monde m’en a parlé, et bien que je regarde rarement des couples, j’ai eu envie d’aller les voir à l’œuvre. Le mot qui revient souvent lorsqu’on parle d’eux est : « mignon » et c’est vrai, ils sont drôlement cute.
Attention, ne croyez pas qu’ils ne sont que mignons, ils savent aussi être hard et sexy à souhait. Pour vous convaincre, vous pouvez même aller faire un tour sur leur chaîne Pornhub ou Many Vids. Pas bêtes, ils mettent en ligne eux-mêmes leur shows. Cela permettra aux retardataires de se faire une idée, et de vite vite aller les suivre sur Twitter pour ne pas louper le prochain rendez-vous !
Ev0nneWe're cold as shit, come keep us company plz pic.twitter.com/awOu4CCmtK
— Noir & J (@NoirEtJean) January 13, 2016
Camtime after my cleaning-day chores are done <3 pic.twitter.com/SE8lLahU2Z
— e✌️0ƞne (@ev0nne_) January 16, 2016
Il a fallu me réanimer plusieurs fois lorsque j’ai découvert Ev0nne. Je suis tombée de ma chaise une fois, deux fois, mille fois. Elle est captivante et hypnotique. Je n’ai même pas de mots assez forts pour vous dire à quel point j’en suis tombée raide dingue. Ses yeux, son eyeliner parfait et son septum et cette peau si parfaite et qui a l’air si douce ! Le plaisir est décuplé car on la trouve sur Instagram, Tumblr, ManyVids, Twitter. Bref, toujours plus d’Ev0nne, partout tout le temps. Je vous laisse découvrir son regard envoûtant… à mon avis vous m’en direz des nouvelles !
Kati3katUne photo publiée par ev0nne (@ev0nne_) le 15 Janv. 2016 à 18h00 PST
kitty fairy :D http://t.co/i8uvHSfuSj pic.twitter.com/IdpxR2A76y
— Katie Kitten (@kati3kat_CB) October 16, 2015
Kati3kat n’est pas une newbie de la webcam. Cela fait un moment qu’on peut croiser ses cheveux bleus et son contouring toujours impeccable sur les différents sites de webcam porn. Elle a ce côté kawaii qui plaît à beaucoup d’entre nous, et elle fait partie de ces modèles très inventives et créatives qui ne cessent de renouveler leurs shows. Vous la croiserez peut-être avec ses pattounes de chat ou ses oreilles d’elfe. Quoi qu’il en soit vous ne serez jamais déçus, et vous ne risquez certainement pas de vous ennuyer dans sa room. Pour ceux qui ont du mal à la trouver en ligne, son profil Chaturbate dispose de pas mal de contenu sympathique à votre disposition pour quelques centaines de tokens, et quelques items sont également à la vente sur Manyvids. À bon entendeur !
HaydenaleksiNe vous fiez pas à son visage d’ange, Haydenaleksi n’en est pas un. Vous vous en rendrez vite compte en allant visiter son twitter, où vous la verrez vous présenter les godes de belle taille et les Fleshlight qu’elle utilise pendant les shows.
Feelin’ naughty Une photo publiée par Hayden Aleksi (@haydenaleksi) le 22 Sept. 2015 à 13h32 PDT
Hayden est une jolie transsexuelle aux yeux verts, auparavant blonde, maintenant brune, mais toujours sexy. On aime, sa lingerie noire pleine de froufrous, ses grimaces entre bouderie et langue coquine toujours sortie… Amateurs de peaux diaphanes et d’abdos à peine dessinés, n’hésitez plus, elle est faite pour vous.
Sammysable— Hayden Aleksi (@haydenaleksi) December 30, 2015
We will see about doing anal after I get nakedShould be okay to https://t.co/BdKx9Qowc6 Getting online in 2mins pic.twitter.com/HbKxoxrvlr
— Sammy Sable (@Sammy_Sable) January 25, 2016
Cela fait un moment que je cherche pour vous une reine de l’anal. Elle m’est enfin apparue sous le pseudo de Sammysable. Pour ne rien vous cacher, elle est complètement zinzin, mais comme on me l’avait promis, elle maîtrise l’anal comme peu de modèles, et surtout elle arrive à rester simple et drôle en même temps. Son profil Chaturbate est d’ailleurs un des rares à proposer un « Toy Menu » : le spectateur est roi (tant qu’il tippe) c’est pourquoi elle propose un (très large) choix de sextoys à lui demander d’utiliser pour des sommes allant de 300 à 900 tokens.
Ce lundi avait assez mal commencé. Rien dans la veille, rien dans la tête et une envie infernale de pioncer après avoir ingurgité une grosse pizza. Y’a des jours comme ça où on préférait être débordé que de chercher sans motivation l’inspiration. Sans trop de conviction, je regardais donc des scènes de cul avec de l’hoverboard, ce segway cool mais déjà ringard qu’on voit dans des clips de rap.
Le porno qui s’en bat les couilles du moment qu’il y a du clic au bout n’a pas trop tardé à se l’approprier, malheureusement plus pour le lol que pour le fap. On trouve déjà des scènes avec cet engin de malheur chez Bangbros et Brazzers qui font la joie des giffeurs sur Tumblr et Reddit. Globalement c’est sans intérêt, si ce n’est d’alimenter le grand flux d’Internet.
Je cherchais donc de quoi alimenter un article sur les liens entre cette machine à roulette et l’industrie puis je suis tombé dans un trou dans le cyber-espace. Une chute interminable dans le néant des scénarios porn. Le site Cum Eating Cuckolds qui propose du cuckold à la sauce domination bisexuelle a eu la « brillante » idée de faire intervenir un mari cocu qui participe à son humiliation les deux pieds sur un hoverboard à 700 dollars.
Je n’ai rien contre ces tags, le bon fappeur de la semaine dernière en est la preuve, mais l’histoire d’un mari boloss qui se fait bolosser avec un casque sur la tête, un hoverboard et une demi-molle entre les jambes, c’est vraiment trop pour moi. Je plains ceux qui s’y reconnaitront, personne ne mérite de subir ce porno. Personne. Voici un mauvais fappeur d’or et de platine.
L’atelier d’écriture de la librairie L’Etabli d’Alfortville nous a accueilli hier soir. Mention spéciale à Marc Verhaverbeke toujours excellent guide dans ces ateliers. Le texte présenté ci-après devait comporter deux phrases trouvées dans l’exposition et deux mots tirés de la couverture du livre de Barthe « Fragment d’un discours amoureux ». Il était de bon ton d’inclure…
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C’est un spécialiste du Talmud qui invente le SpeedDating, fin 1998, pour aider les jeunes célibataires juifs de Los Angeles à trouver l’âme-soeur. 7 hommes, 7 femmes, 7 minutes. Mais au moment-même où sa méthode se popularise… elle est trahie.
Diplômé de l’université d’Harvard, Yaacov Deyo est ordonné rabbin en 1996. En 1998, il enseigne dans un centre d’éducation judaïque de Los Angeles. Avec ses étudiants, il réfléchit à un moyen de faciliter et promouvoir le mariage au sein de la communauté. C’est de cette réflexion qu’émerge «le concept du SpeedDating : une forme unique de rencontre par tournante, au cours de laquelle chaque personne effectue sept rencontres de chacune sept minutes en une soirée.» La première réunion, expérimentale, de Speed Dating a lieu en 1998 au Pete’s Café de Beverly Hills. Elle est exclusivement réservée aux membres de la communauté juive. En moins d’un an, la méthode de «Rabbi Deyo» se répand à une cadence hebdomadaire dans vingt-cinq capitales du monde. Elle est plébiscitée par les médias américains : Le New York Times, People Magazine, le Early Morning Showde la chaîne CBS… Comment expliquer cet engouement ?
Une méthode inspirée d’un texte sacré
En 2001, dans le livre qu’il coécrit avec sa femme Sue Deyo, Yaacov affirme que le succès de sa méthode vient de ce qu’elle repose sur des «principes enracinés dans la tradition juive […] depuis des milliers d’années.» Et pour cause : Yaacov se serait inspiré du Talmud : «En fait, le Talmud, un antique livre de droit juif, suggère une manière de sortir ensemble qui permet aux deux parties d’éliminer les candidats les moins faits pour eux.» Yaacov et sa femme n’auraient fait qu’adapter au monde contemporain une méthode traditionnelle. Mais l’anthropologue Pierre-Yves Wauthier – qui consacre au SpeedDating un ouvrage passionnant, Mon partenaire en un éclair – émet de sérieux doutes sur le succès réel du concept : combien de personnes sont réellement concernées ? Et parmi celles qui sautent le pas, combien sont réellement célibataires ou désireuses de trouver l’amour ?
Sur des millions de célibataires… quel pourcentage de speed dateurs ?
Méthodique, Pierre-Yves Wauthier procède par étapes. Pour enquêter, il fait 6 expériences en tant que participant lambda, 7 en tant que «stewart» (membre du staff), 2 en tant qu’observateur. Parallèlement, il rencontre et interroge plus d’une dizaine de speed dateurs, plus ou moins expérimentés, avec lesquels il reste en contact plusieurs années de suite. Ses conclusions sont sans appel : «Bien que mondialement célèbre, le speed dating reste une pratique relativement marginale. Comparé aux centaines de milliers d’utilisateurs de sites de rencontre en ligne ou aux millions de personnes qui pourraient se sentir concernées par la quête d’un partenaire, le speed dating touche peu de personnes.» Le succès de la méthode est donc avant tout médiatique. Tout le monde la connaît. Tous les journaux en ont parlé. Malgré un taux de participation très bas, cette méthode «captive les esprits.» Pourquoi ? Parce que les gens trichent, répond Wauthier.
Les speeds dateurs aiment parler boulot. Quid du sexe ?
Cette méthode repose en effet sur 10 règles qui sont rarement respectées par les organisateurs de «rencontres rapides». La première règle est la suivante : «Interdiction de demander où habite la personne rencontrée ni quelle est sa profession». N’étant autorisés à demander ni «Que fais-tu dans la vie ?», ni «Où habites-tu ?», les participants sont censés aller au cœur du sujet. Il s’agit d’éviter la tendance spontanée à parler boulot et de s’intéresser à l’autre, au-delà de ses raisons sociales. Mais cette règle, qui est la règle numéro 1, personne n’en tient compte lors des soirées. Pourquoi ? Pierre-Yves Wauthier note que la plupart des speed dateurs qu’il rencontre (en Belgique) «osent rarement les questions directes et personnelles.» Certains organisateurs interdisent même que les participants abordent des questions sexuelles. Trop intime. Dans la plupart des soirées organisées à travers le monde, les gens «font banalement connaissance» ou, pire, s’inventent des identités fictives pour se mettre en valeur.
Sommes-nous les papous de la méthode Deyo ?
«Dans l’esprit des Deyo, le SpeedDating est destiné à identifier un partenaire pour une union pérenne». Il s’agit de fonder un foyer, ce qui implique d’aller au cœur des choses lorsqu’on fait une rencontre. Dans la réalité, les speed dateurs ne veulent pas forcément se marier. Certains même le sont déjà et se font passer pour célibataires parce qu’il s’agit avant tout d’une expérience amusante ou d’un exercice de séduction. Lorsque Pierre-Yves Wauthier découvre à quel point la méthode mise au point par le couple Deyo a été trahie et détournée de son sens original, il s’interroge : n’est-ce pas la raison même de son succès médiatique ? Si ce n’est pas l’éthique judaïque qui la porte, «quelle force essaime le phénomène à travers les grandes villes du monde ?». Citant Claude Lévi-Strauss (La Pensée sauvage), il parle de ces papous qui, en Nouvelle-Guinée, ont réinventé le football pour l’adapter à leurs besoins.
SpeedDating version yaourt allégé
Chez les Gahuku-Gama, «les règles du football sont identiques aux nôtres à l’exception près que le match dure suffisamment longtemps [plusieurs jours, au besoin] pour que les deux équipes terminent à égalité.» En Europe, les règles du SpeedDating ont elles aussi été changées. «Faut-il comprendre que, dans les sociétés à speed dating, les gens auraient plus envie de «passer une soirée agréable» ou «un moment de séduction» que de «trouver l’âme sœur?». Wauthier insiste sur le fait que les médias ont rarement fait écho «à la pleine dimension du concept de Yaccov Deyo». Voilà pourquoi le SpeedDating s’est répandu sous cette forme «allégée», dit-il. A force de mettre l’emphase sur les côtés sympathiques, attrayants et pratiques du concept original, ils ont fini par en faire une méthode fantasmatique pour draguer-malin. Et des petites entreprises commerciales cherchant à produire du bénéfice ont emboîté le pas aux médias en annonçant des soirées où l’on pourrait rencontrer non plus 7 personnes en 7 minutes, mais 8, 10, 20 personnes en une soirée, au rythme parfois stakhanoviste d’un.e inconnu.e toutes les trois minutes. Pourquoi se limiter au chiffre sacré ?
«Au final, sur les 10 règles, une seule est généralement respectée. La règle n°3 : «Les hommes bougent et les femmes restent assises». Pourquoi ? Tentative de réponse : mercredi.
A LIRE : Mon partenaire en un éclair. Un anthropologue en Speed Dating, de Pierre-Yves Wauthier, Academia L’Harmattan.
Salut la compagnie ! De retour après deux bonnes semaines d’exams je me suis pliée en quatre pour trouver les plus beaux gifs de la cyber-planète. C’est bien simple j’ai essayé d’y mettre un peu de tout : des boobs par-ci, un blowjob par-là, le boule d’Eva Strauss… Enjoy !
Quand Porcha Sins prend un bain, d’abord ce n’est jamais seule et ensuite c’est toujours très travaillé : et vas-y que je me positionne telle Vénus, et voilà que je me lave entre les seins. C’est tout un travail, mais Monsieur dont je n’ai pas trouvé le nom (peu d’indices en même temps me direz-vous) veille à son bon déroulé. Elle nous fascine.
Porcha Sins – Killergram.com
Ce matin-là, au bureau, Jordan Ash n’était pas de bon poil. Manque de bol c’est McKenzie Lee qui se trouve la première sur son chemin, et doit en payer les frais. A-t-elle raté sa campagne de promotion ? Lui manque-t-il encore de l’expérience en market ? L’histoire résumé en un gif de ce porn ne le dit pas. Pas de blue monday pour Mlle Lee !
McKenzie Lee & Jordan Ash – Occupy Your Ass – Brazzers
Et oui, encore un bain, mais franchement au Tag on adore en prendre. Deux actrices nues magnifiques dans une salle de bain, franchement qui dit mieux ? Vu comme elles s’occupent l’une de l’autre on aurait en plus tendance à vouloir se joindre à elles, juste pour avoir un petit massage histoire de se détendre en cette période de trop grande fraîcheur. Faites une petite place les filles svp, on arrive.
Esmi Lee & Alana Luv – Nuru Massage
Un petit gif b&w pour mettre un peu de douceur dans ce monde de brutes. C’est tendre comme un Kinder, encore une fois ça donne envie de faire des câlins. Avec le cul d’Eva Strauss en ligne de mire c’est d’autant plus intéressant vous en conviendrez. Trêve de plaisanterie, on vous laisse baver dessus, ici on ne s’en lasse pas.
Iwia/Eva Strauss – The Best First Date – Wow Girls
Combo : Tarra White + la bite de Danny D + un piercing + une lumière tamisée. Notre mix gagnant, tout simplement. Une regard à tomber et une langue qui fait son taff, en le trouvant celui-là on était aux anges, parce qu’il envoie direct au septième ciel. Et si vous voulez tout savoir, on le met dans le top 10 des meilleurs gifs parce que le film se passe à Poudlard et que son titre est « Hairy Punter and his Enormous Boner ». Le porno, ma vie.
Tarra White Danny D – Hairy Punter and his Enormous Boner – Brazzers
Mille kiss
Image à la une : Porcha Sins
Invent a drink! Win porn! Create the perfect Little Black Dress cocktail for my next book
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
Proud to live in NYC, the clitoris of the storm #Snowgina pic.twitter.com/agDxM6Ty1u
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Thank you to our sponsor in Holland, Abby Winters.
I decided several years ago to stick with Penthouse and go down with the ship…. Sadly, that day has come.
— Barbara Rice (@babsrice) January 15, 2016
Thank you to our sponsor and friends, Pink Label TV.
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Le centre d’art contemporain d’Alfortville La Traverse présente une exposition intitulée « Les Fragments de l’amour » jusqu’au 12 mars. Seize artistes illustrent à leur manière ce thème… Les déambulations se font aisément dans ce lien aux mille recoins. On découvre ici un ballon mêlant le souffle de deux artistes puis une rose lugubre faite de cheveux.…
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La loi française punira peut-être bientôt expressément le revenge porn. Jeudi 21 janvier au soir, les députés ont voté un amendement au projet de loi sur le numérique qui permettra de condamner à deux ans d’emprisonnement et 60 000 euros d’amende ceux qui diffusent des images à nature sexuelle sans le consentement de la personne représentée.
Le texte mentionne le “revenge porn” ou “revanche pornographique” et le définit comme suit : “le fait de transmettre ou de diffuser sans le consentement exprès de la personne, l’image ou la voix de celle-ci, prise dans un lieu public ou privé, dès lors qu’elle présente un caractère sexuel”.
Ce qui compte, c’est la notion de consentement : aujourd’hui, la loi pénale ne condamne que le fait de filmer un relation sexuelle sans l’accord de ses participants. Avec l’amendement 841, le fait de diffuser des images capturées avec le consentement de la personne photographiée ou filmée serait également puni.
L’amendement a été défendu par la présidente de la délégation aux droits de femmes de l’Assemblée, la socialiste Catherine Coutelle. Si le projet de loi sur le numérique est adopté par les sénateurs, la France rejoindra (enfin) le Royaume-Uni et les Etats-Unis dans la lutte légale contre ce nouveau phénomène.
On en profite pour vous rappeler que si on vous êtes victime de piratage et/ou de revenge porn, en plus de la loi, il existe plusieurs outils assez efficaces sur Internet pour vous aider. On vous a listé tout ça dans ce long article.