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Existe-t-il encore des rencontres amoureuses hors des apps ? C’est la question qu’on se pose tous-tes, tant les apps de rencontre sont devenues la norme pour chercher l’amour ou des aventures sexuelles. On estime à 2 millions le nombre d’utilisateur-ices de Tinder en France, avec 55 milliards de matches par jour dans le monde ! Pourtant, 4 adultes sur 5 ressentent une « dating fatigue » ¹. L’amour sous swipe épuise et génère une forme de burn out des rencontres virtuelles. Est-il temps de quitter Tinder et de redonner sa chance au hasard de l’amour au détour d’une rue ?

Avant les apps, il existait des sites de rencontres en ligne comme l’incontournable Meetic, et avant encore, les agences matrimoniales physiques. Des intermédiaires ont toujours été là pour aider les gens à se mettre en couple. Ce que Tinder a changé, copié ensuite par toutes les apps qui ont suivi, c’est le swipe des profils. Des profils de personnes géolocalisées près de chez vous apparaissent, et avec votre doigt, vous décidez si elles vous plaisent ou non. Je glisse l’écran à gauche c’est non, je glisse à droit c’est oui. Si cette personne a aussi aimé votre profil, un message apparaît « c’est un match » ! Et vous pouvez commencer à échanger ensemble. C’est simple, rapide, machinal… jetable.

Ces profils en illimité, disponibles en permanence, ont créé un effet de surconsommation du dating. On se dit toujours qu’on peut trouver mieux, voire on ne fait même plus l’effort de réellement connecter avec l’autre. Combien de personnes matchent et ne s’envoient même pas un message de bonjour ? Combien de « bonjour » envoyés, qui sont finalement restés sans réponse ? Certaines personnes -essentiellement des profils masculins- font la technique de l’auto-like, à savoir liker tous les profils sans les regarder, pour voir les matchs qui tombent et faire ensuite le tri. Face à cela, une limite de likes maximum a été mise en place, mais qui peut être étendue, en payant un abonnement premium.

Si on va jusqu’à la rencontre réeelle, on peut être déçu-es physiquement, ou avoir l’impression de vivre un « date arrangé ». Sans oublier que le plan cul d’un soir peut s’avérer être un échec cuisant. Pour peu qu’on ait vraiment eu le désir de vivre une relation avec cette nouvelle personne, on n’est pas à l’abri de se faire ghoster. Et parlons des sextos qui font monter la température pendant des jours ou des semaines, et le soufflé qui retombe tristement le jour de la rencontre.

On jette les autres facilement et on se sent soi-même consommé-e. Comme un panier virtuel sur un site de marques de fringues, on ajoute les matches, puis on élimine ou garde à notre convenance. Comme le dit Sophie Soga dans son livre Next, qui narre les aventures Tinder d’une quarantenaire : « Tinder, c’est ma PASSION. Je suis comme au supermarché. Je shoppe, je consomme et je jette ! Aucun affect et j’peux te dire que ça m’fait un bien fou ! »

Avec la concurrence accrue d’apps de rencontre comme Bumble ou Happn, il n’est pas rare qu’une même personne soit présente sur 3 ou 4 apps en même temps, pour étendre ses chances de rencontrer quelqu’un. Mais, cela augmente le sentiment d’overdose des apps et la tentation de quitter Tinder.

Sommes-nous encore prêt-es à céder à un regard échangé au comptoir d’un bar ? Existe-t-il encore la surprise d’une rencontre avec un pote de pote ? Peut-on encore vivre le grand amour avec une personne rencontrée en backpack à l’autre bout du monde ? De plus en plus de personnes veulent retrouver ce frisson de la rencontre en chair et en os, plus charnelle que de toucher son écran de smartphone, devant des photos qui finissent par toutes se ressembler.

Cela n’empêche pas de garder les apps de côté pour étendre les possibilités. Notamment, pour cibler des profils de recherche spécifiques, comme les personnes queer et lesbiennes avec l’appli HER, des personnes polyamoureuses et non-monogames avec l’appli Feeld, ou totalement libertines avec les applis Wyylde ou Place Libertine, pour n’en citer que quelques-unes.

Quitter Tinder est possible, mais pour cela on va devoir cesser d’y être accro.

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Avez-vous déjà songé à écrire un livre sur vos aventures Tinder ? Sophie Soga l’a pensé et l’a fait. Le roman illustré Next, journal décomplexé d’une meuf en manque de sexe, partage les anecdotes Tinder du personnage fictif Emilie. Elle raconte à ses potes et à son journal intime tous ses dates avec des mecs. Une lecture sans prise de tête, légère et fun, qui devrait éveiller quelques bons et mauvais souvenirs à chacune d’entre nous.

Emilie a 40 ans, mère de deux filles, séparée. Elle a envie de sexe joyeux, d’orgasmes multiples et de s’éclater avec un mec. Elle décide donc de se créer un profil Tinder et d’explorer le monde du dating sur les apps. Le roman Next est essentiellement sous forme de dialogues entre elle et son meilleur ami Ben ou avec ses copines, à qui elle raconte en détail les différents rendez-vous plus ou moins foireux qu’elle enchaîne. Entre les mecs mythos qui s’inventent des vies, ceux qui débandent une fois dans la chambre et les egocentriques, l’autrice nous offre une panoplie d’anecdotes plus vraies que nature de la jungle Tinder.

Dans un langage parler très parisien, à base de « michtos », « ken » et « charo », l’autrice en profite pour pointer l’esprit de consommation des apps, la dating fatigue, ou encore le fétichisme des femmes noires.

Un playground sans fin : Tinder, c’est ma PASSION. Je suis comme au supermarché. Je shoppe, je consomme et je jette ! Aucun affect et j’peux te dire que ça m’fait un bien fou ! »

Citation extraite du roman Next, de Sophie Soga

Le livre se fait aussi le porte-parole des femmes décomplexées sur le sexe, grâce au personnage principal, qui affirme sans vergogne ses désirs et ses refus en matière de séduction. Le personnage d’Emilie est une caricature de la femme hétéro qui aime les hommes dits virils aka les bâtards, mais qui a la qualité de s’assumer et de jouer franc-jeu. Une conasse parfois ? Oui, mais jamais hypocrite. Et puis, en réalité, elle teste différents profils de mecs, dans une forme de célibat enjoué et explorateur.

Et puis, si Tinder c’est que pour le sexe, qui a dit que le sexe ne pouvait pas parfois mener à de belles histoires ?

Next, journal décomplexé d’une meuf en manque de sexe, Sophie Soga. Editions Bold. 19€.

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La Sexualité et le fétichisme sont étonnants quand on s’ouvre à de nouveaux horizons sans jugement, avec ouverture d’esprit et dans une optique positive de jeu. Dans cet article, je vais parler d’une paraphilie géniale, le fétichisme de jouer à être un animal, le Pet Play. Dans le Pet Play, on peut se transformer en…

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La romance érotique BDSM, un genre littéraire qui explore les relations érotiques et souvent passionnées impliquant bondage, discipline, soumission et masochisme, connaît une popularité croissante parmi les lectrices. Mais pourquoi ce genre spécifique attire-t-il tant les femmes ? Plongeons dans les raisons qui rendent la romance érotique BDSM si captivante pour ce public.

La littérature érotique BDSM offre un terrain sûr pour explorer des fantasmes sans avoir à franchir le pas dans la réalité. Les lectrices peuvent s’immerger dans des expériences sensuelles et émotionnelles intenses à travers les personnages fictifs, sans les contraintes de la vie réelle. Cela permet une exploration sans jugement ni conséquences, offrant un espace pour satisfaire la curiosité et les désirs sans tabou.

Les protagonistes féminins forts et indépendants présents dans la romance érotique BDSM inspirent les lectrices à embrasser leur propre puissance et sensualité. Ces femmes défient les normes traditionnelles de genre et revendiquent leurs désirs et leurs limites dans leurs relations, offrant des modèles positifs pour les lectrices en quête d’empowerment.

Le BDSM implique souvent des jeux de pouvoir et de soumission, offrant une évasion des normes sociales rigides en explorant des rôles de genre alternatifs et des relations non conventionnelles. Pour les lectrices en quête de liberté par rapport aux...Lire la suite sur Union

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Comme j’aime beaucoup la youtubeuse Clemity Jane pour sa fraîcheur et sa simplicité, j’ai décidé de tester la box périnée de Clemity Jane. J’avais envie de re-tonifier mon périnée. Officiellement parce que j’ai accouché deux fois par voie basse… Officieusement parce que j’aime bien le fisting vaginal… Rhoooo… Mais enfin, il n’y a pas de…

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Lors d’une première rencontre amoureuse avec une personne trans, il est essentiel de faire preuve de respect, de sensibilité et d’empathie. Voici dix erreurs à éviter :

1. Assumer des attentes basées sur des stéréotypes: Évitez de placer la personne dans une catégorie basée sur des stéréotypes liés à la transidentité. Traitez-la comme vous le feriez pour toute autre personne.
2. Se concentrer uniquement sur sa transidentité: Ne laissez pas la transidentité de la personne dominer la conversation ou votre perception d’elle. Apprenez à la connaître dans sa globalité.
3. Poser des questions intimes sur sa transition: Respectez la vie privée de la personne et évitez les questions intrusives sur sa transition, sauf si elle choisit de partager ces informations avec vous.
4. Faire des commentaires sur son apparence ou ses caractéristiques physiques: Évitez les commentaires qui pourraient être perçus comme réducteurs ou offensants concernant l’apparence physique de la personne trans.
5. Éviter de discuter des limites et des préférences en matière de relation: Assurez-vous d’avoir des conversations ouvertes et respectueuses sur...Lire la suite sur Union

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Dans un monde où les relations amoureuses sont scrutées sous toutes leurs facettes, la question de l’épanouissement dans le couple reste centrale. Et selon Philippe Brenot, célèbre pour son expertise dans l’histoire de la sexualité, l’une des clés de cette épanouissement réside dans un concept aussi simple que libérateur : la masturbation.

Dans son dernier ouvrage intitulé Éloge de la Masturbation, publié chez La Musardine, Brenot nous guide à travers une exploration passionnante de l’histoire de cette pratique souvent mal comprise. En effet, dès les premières pages, l’auteur nous entraîne dans un voyage à travers les siècles, révélant comment la masturbation a été tantôt condamnée, tantôt célébrée par les sociétés humaines.

L’auteur nous rappelle ainsi que dès le XVIIIe siècle, la masturbation était diabolisée, considérée comme la source de nombreux maux, allant de la paresse à la surdité. Cette stigmatisation, initiée notamment par le médecin Tissot et son ouvrage Onania, a semé pendant des décennies une culpabilité autour de cette pratique intime.

Pourtant, Brenot nous révèle également que la masturbation a une histoire bien plus ancienne, datant même du XVIe siècle, comme en témoigne son utilisation dans les écrits de Montaigne. À travers des textes anciens riches en métaphores et en symbolisme, l’auteur nous plonge dans l’intimité de nos ancêtres, révélant leur rapport complexe avec leur propre sexualité.

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Le polyamour fait de plus en plus parler de lui, mais est-il pour autant réellement accepté ? L’hétéronormativité et les relations monogames restent l’unique norme sociale naturellement acceptée. Tout autre modèle relationnel est un combat permanent, malgré de belles avancées, comme la légalisation du mariage gay en 2013. Comment peut-on mieux accepter les polyamoureux et normaliser ce mode relationnel ? L’association OPEN se donne pour mission de rendre plus visible et de favoriser l’acceptation des personnes polyamoureuses.

OPEN est l’acronyme pour Organization for Polyamory and Ethical Non-Monogamy. En traduction française, cela donne Organisation pour le Polyamour et la Non-monogamie Ethique. L’association promeut une vision où toutes les formes relationnelles sont acceptées, quelle que soit votre orientation sexuelle, votre genre où la structure de votre relation.

L’association OPEN a été fondée en 2022 en Californie, pour changer la perception sur la non-monogamie éthique. Il reste encore difficile pour les personnes polyamoureuses de se regrouper en communauté et de pouvoir vivre leurs relations dans la pleine acceptation. Même s’il existe des productions culturelles, comme la série Netflix You Me Her, qui met en scène un mariage polyamoureux sous forme de trouple, ou divers groupes Facebook pour polyamoureux-ses.

L’inclusivité et l’intersectionnalité sont au coeur des valeurs défendues par OPEN. L’association se présente d’ailleurs comme « monogamy-friendly », prouvant ainsi sa volonté d’inclure tout le monde. L’idée n’est pas de dire que la non-monogamie éthique est un modèle supérieur, mais de promouvoir les diversités relationnelles. Pour OPEN, la liberté sexuelle et romantique est un moyen de lutte contre les oppressions systémiques comme le patriarcat.

https://www.open-love.org/

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Parmi les différents jeux auquel un couple peut s’adonner pour explorer ses fantasmes, ses envies, ses talents, il y en a un que j’aime bien, qui consiste à explorer quatre postures très différentes dans la relation. La roue du consentement a été créée par Betty Martin et basée sur sa réflexion suite à de nombreuses…

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Un nouvel Aneros est toujours une très bonne nouvelle pour tous les passionnés de plaisir prostatique. La marque Aneros est sur le point de commercialiser un tout nouveau modèle, l’Aneros Psy. Je vous tiendrai au courant dès que j’aurai la possibilité de le tester (j’ai déjà été contacté par mon partenaire Piment Rose, spécialiste des…

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Les spermatozoïdes, bien loin d’une compétition chaotique, suivent en réalité un parcours méticuleux. Ils sont expulsés du corps masculin dans le liquide séminal lors de l’éjaculation, avant de voyager ensemble vers leur destination finale. Cependant, une fois dans le corps féminin, ils doivent naviguer seuls, dépendant uniquement de leur propre mobilité pour atteindre l’ovule. Cette expédition est très longue, elle peut durer de six à huit heures.

Il est intéressant de noter que la victoire dans cette « course » n’est pas simplement une question de rapidité. Des études récentes, dont celle menée par Benjamin Ravaux en 2016, révèlent que la mobilité excessive peut même être contre-productive. Ainsi, la course vers l’ovule est plus une question de qualité que de vitesse brute, notamment le rythme de la flagelle doit être calibré à deux oscillations/seconde.

Les premiers spermatozoïdes qui arrivent sur la couche pellucide permettent de préparer la membrane à sécréter une certaine protéine pour qu’elle se montre plus ouverte. Les spermatozoïdes qui ne sont pas mobiles permettraient de créer un bouchon et d’empêcher le spermatozoïde de concurrents de rentrer dans le col. C’est donc une vraie course en...Lire la suite sur Union

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J’ai eu le plaisir de participer à l’atelier plaisir des hommes de l’Institut pour l’harmonie sexuelle. Un atelier, organisé par le docteur et sexotherapeuthe Claudie Coudereau, qui traite de techniques uniques pour étendre le plaisir des hommes. L’institut pour l’harmonie sexuelle et les ateliers Claudie Coudereau organise d’autres ateliers, par exemple sur le plaisir féminin…

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Banana na-na-na-… splash ! La nouvelle version de l’incontournable tube Banana Split, est un hymne féministe qui en met plein la face aux métaphores misogynes de la version initiale. Les chanteuses Sainte Nicole et Isïa Marie rendent hommage à Lio, avec cette adaptation piquante aux sonorités techno et dance. Et franchement, ça donne la banane !

Dans le livre Toutes pour la musique de Chloé Thibaud, la chanteuse Lio admet regretter les paroles de ce classique de la chanson française : « Je sais que j’ai totalement ouvert la porte aux pédocriminels et que j’ai apporté de l’eau à leur moulin. Je m’en aperçois aujourd’hui ». Il est vrai que les paroles de Banana Split ont des sous-entendus très embarrassants, masqués sous la perversion de la métaphore :

Banana, banana, na-na-na
C’est le dessert que sert
L’abominable homme des neiges
À l’abominable enfant teenage
Un amour de dessert

Pour célébrer comme il se doit ce 8 mars 2024, Journée pour le Droit des Femmes, Sainte Nicole et Isïa Marie retournent le cake et balancent la chantilly sur les porcs en revisitant les paroles :

On dirait que les choses
enfin s’usent 
La chantilly s’écroule
en une revanche 

Banana, banana, na-na-na

C’est le dessert que sert
L’abominable homme des neiges
À la pauvre enfant teenage 
un dessert bien pervers 

Ce faisant, elles rendent femmage à Lio, dont la voix féministe a su résonner avec vigueur à différentes reprises ! Qui peut oublier sa parole puissante pour dénoncer le féminicide de Bertrand Cantat envers Marie Trintignant chez Thierry Ardisson ?

La guitare électrique nous balance des riffs rock, le kick sur tous les temps nous entraîne dans une danse infernale et la vibe féministe nous donne envie de sauter partout !

La chanson sort le 8 mars, un timing parfait pour alimenter toutes vos playlists féminines et féministes !

Sainte Nicole aime jouer sur les contrastes. Sous ses airs de première de classe, elle raconte ses frasques. Dans son 1^er EP Vanité, sorti le 1er mars 2024, il est continuellement question d’une quête. Quête de soi, de sa place, de sa sexualité. La musique de Sainte Nicole est une pop aux basses profondes, beats électros et synthés vintage. Nous vous avions déjà parlé de cette artiste pop à surveiller de près, car elle nous fait l’honneur de faire un show pour l’anniversaire des 10 ans de Desculottées, le 10 mars 2024 chez Sweet Paradise !

Isïa Marie, c’est une guitare qui vient du cœur et des tripes. C’est une voix percutante, envoûtante, électrique. État d’esprit rock’n roll, la fraîcheur de la pop, l’insolence dans les mots: un cocktail explosif qui résonne comme le nom de son premier album, L’amante religieuse. Après un EP pop (J’peux pas dormir en novembre 2021) où sa voix se faisait douce et éthérée, un single remarqué évoquant les violences conjugales (C’est pas toi c’est moi), son premier album L’Amante religieuse a le goût d’un coup de gueule, d’une revanche, contre ce monde qui lui dit à quoi elle devrait ressembler à l’aube de sa vie d’adulte.

Suivez-les sur Instagram: @isia_marie et @saintenicole

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Le Prix Nobel de la Paix a été créé et attribué pour la première fois en 1901. Il récompense la personnalité ou communauté ayant le plus ou mieux contribué à la lutte pour la paix, les droits de l’homme, l’aide humanitaire et la liberté. Seules 19 femmes ont reçu le Prix Nobel de la Paix, sachant que c’est le Nobel où elles ont le plus de prix. Voici les visages et noms de ces femmes qui ont œuvré pour la paix dans le monde et ont été reconnues pour cela.

Cette pacifiste autrichienne radicale a été lauréate du prix en 1905, pour avoir contribué à la création du Prix Nobel de la Paix et écrit Lay Down Your Arms.

Jane Addams est reconnue comme la fondatrice du métier de travailleur-se social-e aux Etats-Unis. Pionnière américaine et activiste du « settlement movement », elle était impliquée pour le droit de vote des femmes et la paix dans le monde. Elle a reçu le prix en 1931.

Créatrice de la « Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté », cette économiste, pacifiste et syndicaliste américaine a reçu le prix Nobel de la Paix en 1946.

Ces deux femmes activistes pacifistes nord-irlandaises ont fondé le « Mouvement des femmes pour la paix », pour lutter contre la violence entre les protestants et les catholiques en Irlande du Nord dans les années 1970. Elles sont les deux premières femmes qui reçoivent le prix en même temps en 1976.

Née sous le nom Agnes Gonxha Bojaxhiu, Mère Teresa est une religieuse catholique albanaise, canonisée par l’Eglise catholique comme Sainte Teresa de Calcutta et naturalisée indienne. « Fondatrice des Missionnaires de la Charité », elle reçut le Prix Nobel de la Paix en 1979, ayant consacré sa vie entière aux pauvres, malades mentaux, orphelins et lépreux en Inde.

Cette diplomate et écrivaine suédoise a reçu le prix Nobel de la paix en 1982, pour son rôle pour le désarmement au sein des Nations unies. Aussi pour la formation de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm.

Figure de l’opposition non-violente à la dictature militaire de la Birmanie, cette femme d’Etat birmane est lauréate du prix Nobel de la paix en 1991. Cependant, aujourd’hui il lui est reproché d’avoir reçu ce prix et de faire preuve d’inaction et d’absence de condamnation du nettoyage ethnique envers la minorité Rohingyas.

Cette activiste des droits de l’homme guatémaltèque a reçu le prix Nobel de la paix en 1992 « en reconnaissance de son travail pour la justice sociale et la réconciliation ethnoculturelle basées sur le respect pour les droits des peuples autochtones ».

L’américaine Jody Williams a reçu le prix Nobel de la paix en 1997, pour la Campagne internationale pour l’interdiction des mines antipersonnel terrestres.

L’avocate iranienne Shirin Ebadi a reçu le prix Nobel de la paix en 2003 « pour ses efforts pour la démocratie et les droits de l’homme. Elle s’est particulièrement concentrée sur la lutte pour les droits des femmes et de l’enfant. »

Wangari Muta Maathai est surnommée « la femme qui plantait des arbres ». Elle est biologiste, professeure d’anatomie en médecine vétérinaire et militante politique et écologiste. Originaire du Kenya, elle fut la première femme Africaine à recevoir le prix Nobel de la paix en 2004. Suite à son engagement contre la déforestation du Kenya, elle est récompensée pour « sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix ».

Les libériennes Ellen Johnson Sirleaf et Leymah Gbowee ont reçu conjointement avec la yéménite Tawakkol Karman le Prix Nobel de la paix 2011 « pour leur lutte non violente pour la sécurité des femmes et pour les droits des femmes à la pleine participation dans le travail de consolidation de la paix ».

Malala Yousafzai est la plus jeune lauréate de l’histoire du prix Nobel de la paix. Elle l’a obtenu en 2014 à l’âge de 17 ans, avec l’Indien Kailash Satyarthi « pour leur lutte contre la répression des enfants et des jeunes ainsi que pour les droits de tous les enfants à l’éducation ». Cette militante pakistanaise des droits des femmes s’est opposée aux talibans qui tentaient d’interdire la scolarisation des filles. Elle fut alors victime d’une tentative d’assassinat en 2012. Elle a créé la fondation Malala.

Nadia Murad fait partie des 3 000 femmes yézidies d’Irak persécutées, violées, torturées par les djihadistes de l’armée de Daech. Nadia Murad fut captive, violée à plusieurs reprises, mariée de force, battue, vendue comme esclave. Elle réussi à s’échapper après trois mois avec l’aide d’une famille de Mossoul et décide de prendre la parole haut et fort. Elle reçoit le prix Nobel de la paix en 2018 conjointement avec le Dr Denis Mukwege, «pour leurs efforts pour mettre fin à l’emploi des violences sexuelles en tant qu’arme de guerre».

Le Prix Nobel de la Paix 2021 a été attribué à la Philippine Maria Ressa, conjointement avec le Russe Dimitri Mouratov, « pour leurs efforts pour la sauvegarde de la liberté d’expression ».  Son média d’investigation en ligne Rappler, cofondé en 2012, critiquait avec virulence l’autoritarisme dans son pays.

Narges Mohammadi obtient le Prix Nobel de la Paix 2023 « pour son combat contre l’oppression des femmes en Iran et son combat pour promouvoir les droits humains et la liberté pour tous. » Incarcérée dans la prison d’Evin de Téhéran depuis 2021, ses enfants ont reçu le prix pour elle. Elle est aussi l’un des principaux visages du soulèvement «Femme, Vie, Liberté» en Iran. Ce mouvement est né après la mort de Mahsa Amini, arrêtée à Téhéran pour non-respect du strict code vestimentaire islamique.

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Beautiful Agony est un site web érotique, qui souhaite montrer les « Facettes de la petite mort ». Sur ce site, vous ne trouverez que des vidéos de personnes ayant des orgasmes et rien d’autre.

Beautiful Agony est né en 2003, à l’initiative d’un couple d’Australiens, Richard Lawrence & Lauren Olney. La particularité du concept : les internautes envoient leurs propres vidéos de jouissance, sur lesquelles vous verrez uniquement leur visage, et au plus bas leur poitrine.

Il n’y aucune légende accompagnant les vidéos et c’est impossible de savoir qui leur procure cet orgasme, ni quelle pratique sexuelle. Toute la force érotique réside donc uniquement sur le visage de la personne, le son et votre imagination. Le site montre aussi bien des hommes, des femmes que des personnes non-binaires.

Si vous ne souhaitez pas vous limiter aux photos et voir les vidéos du site, il vous faudra payer un abonnement mensuel. Les personnes qui contribuent en envoyant leur vidéos touchent une commission.

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Il n’y a pas que les Français qui ont donné un nom à un baiser, le french kiss est mort, vivre le baiser grec ! Enfin, pas tout à fait non plus, car les deux ont deux fonctions bien différentes. D’un côté, le baiser français est un échange sensuel des langues pour s’embrasser, de l’autre le baiser grec est une rencontre entre votre langue et la région anale de votre partenaire. Au pays de Socrate, on ne badine pas avec le plaisir anal !

Pour beaucoup d’entre nous, Sexualité + Antiquité = Orgie. Il est vrai que dans l’Antiquité grecque et romaine, des orgies étaient pratiquées pour célébrer certaines fêtes religieuses. L’étymologie du mot « orgie » se référe d’ailleurs aux fêtes organisées dans la Grèce Antique en l’honneur du dieu de l’ivresse « Bacchus ». Le baiser grec serait ainsi né lors de ces fêtes. Il était pratiqué uniquement par les hommes entre eux, pour préparer la zone anale avant pénétration. Mais comme nous avons tous et toutes un anus, le baiser anal peut être pratiqué par tout le monde, quels que soient votre genre et orientation sexuelle.

On appelle baiser grec le fait de lécher et/ou caresser avec sa bouche la région anale d’un-e partenaire.

Le consentement de chacun-e, c’est la base, comme on ne le répète jamais assez. Le sexe c’est bon, quand tout le monde le désire vraiment ! Donc, titiller et se faire titiller la périphérie anale sans envie n’est absolument pas recommandé.

Le sexe anal reste un tabou assez prégnant dans les chambres et les discussions, mais qui se décoince de plus en plus, si on se réfère à une étude Ifop de 2019 pour le magazine Elle sur la sexualité des Françaises : 53% des femmes indiquent avoir pratiqué au moins une fois la sodomie contre 14% en 1970 ; 22% ont déjà doigté l’anus de leur partenaire et 15% pratiqué un anulingus sur leur partenaire. Combien d’hommes cis-hétéros admettent avoir déjà reçu des pratiques anales ? Nous n’avons pas les données dans cette étude, mais nous avions recueilli des témoignages d’hommes qui pratiquent le sexe anal.

On peut supposer qu’au vu du tabou lié à l’anus, pratiquer le baiser grec dans le couple renforce l’intimité, la proximité et la complicité entre les partenaires. C’est aussi une preuve de confiance entre les deux et d’une complicité sexuelle.

Comme pour toute pratique sexuelle, soyez le plus possible à l’écoute de l’autre avant de vous lancer. Vous pouvez commencer par caresser, embrasser avec des petits bisous les fesses de votre partenaire et observer ses réactions. Pour celles et ceux qui aiment un peu de rudesse, vous pouvez y aller de votre petite fessée érotique ou mordre délicatement une fesse. Si cela stimule l’excitation, poursuivez en donnant de premiers coups de langue sur les parties charnues de la fesse, faites de grands cercles avec votre langue ou de haut en bas, puis approchez-vous de plus en plus vers la « zone interdite » avec votre langue et vos doigts. Si votre partenaire est à l’aise et vous aussi, une pénétration en douceur peut démarrer. Il est aussi possible de pratiquer la masturbation de l’autre tout en administrant un baiser grec.

On le rappelle, le consentement et l’envie de le faire, c’est essentiel ! Si l’un de vous n’est pas à l’aise à faire ou recevoir cette pratique, ce sera désagréable et gênant.

La question de l’hygiène est primordiale. Il faut bien laver la zone anale avant un baiser grec. Il faut faire passer l’eau entre vos fesses sous la douche ou dans le bain, ne pas hésiter à bien frotter de vos mains et à utiliser un savon neutre. Faites attention à ne pas vous irriter, car ce n’est pas une zone qui nécessite un récurage violent, c’est une zone sensible à laquelle il faut faire attention.

L’hygiène importe pour la santé sexuelle, car l’herpès génital, la syphilis, le VIH mais aussi le papillomavirus humain (HPV) peuvent s’attraper via l’anus. On déconseille donc à une personne ayant des maux de bouche (ex: aphtes ou caries) de pratiquer le baiser grec, pour ne pas augmenter le risque d’infection. Cependant, vous pouvez protéger votre bouche pendant le baiser grec. Il n’existe pas de protection dédiée pour l’anus, mais vous pouvez utiliser une digue dentaire (appelée aussi « préservatif de langue »), qui est un carré de latex pour les rapports bucco-génitaux, connu surtout pour les rapports sexuels lesbiens. Vous pouvez faire vous-même une digue dentaire en coupant un bout de préservatif en latex.

• Lubrification

Le baiser grec permet de lubrifier la zone anale avant insertion d’un doigt ou la pratique du pegging. Utiliser un lubrifiant à base d’eau reste recommandé avant toute pénétration pour une meilleure lubrification, avoir plus de plaisir à la pénétration et éviter des douleurs ou fissures anales. Sachez qu’avec l’excitation montante, l’anus se desserre, ouvrant ainsi la voie au plaisir.

• Complicité

Le baiser grec ne peut s’effectuer sans confiance, désir réciproque, envie d’explorer de nouveaux plaisirs. Une fois cette pratique sexuelle acceptée entre vous, c’est un cap en plus dans la complicité et le partage des fantasmes.

• Plaisir et orgasme

Cette pratique sexuelle peut faire fortement grimper l’excitation. Saviez-vous que l’anus et le rectum ont plus de terminaisons nerveuses propices au plaisir que le vagin ? C’est une porte du plaisir qui peut être explorée par tous-tes. Si les femmes cis et hommes trans peuvent aussi avoir un orgasme anal, les hommes cis et les femmes trans, ont l’avantage d’avoir une prostate, appelée aussi « Point P » (en référence au Point G), ce qui est la cerise sur le gâteau du plaisir anal et peut mener à de magnifiques orgasmes prostatiques !

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Il existe depuis une dizaine d’années des sextoys vibrants que l’on peut porter durant le coït. La plupart du temps, ils font un U et se positionnent à la fois dans le vagin et sur le clitoris. Aujourd’hui, je vais tester l’EVA II de la marque Dame, un sextoy de couple qui ne s’insère pas…

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La téléréalité est partout, suivie en masse et pourtant critiquée en permanence. Du premier Loft Story aux Marseillais, le format a évolué en termes de storytelling, de profils des candidat-es, mais aussi de supports de visionnages. Cependant, un élément ne bouge pas et tend même à s’accentuer, c’est la mise en avant constante de stéréotypes sexistes, dont les femmes sont les premières victimes. Le livre Téléréalité, la fabrique du sexisme de Valérie Rey-Robert décortique les mécanismes sexistes en jeu dans ces émissions, orchestrés consciemment par les productions.

Les femmes, produit phare de la téléréalité, sont les premières victimes de discriminations et des outils de propagande pour vendre une certaine image de la femme.

Entre Super Nanny qui montre comment bien élever ses enfants, Les Reines du shopping et la dictature du relooking animé par Cristina Cordula ou Mamans et célèbres où le rôle des mères est bien plus mis en avant que celui des pères, c’est le festival des clichés !

Valérie Rey-Robert reprend le terme « postféminisme » de la sociologue Angela McRobbie, pour décrire ce phénomène d’un féminisme qui « n’est ainsi pas rejeté, mais dilué dans un discours qui tente de rétablir des idées réactionnaires, et, de fait, de minimiser sa portée ». Dans cette mouvance, les influenceuses issues de la téléréalité deviennent des étendards postféministes !

Lorsque des influenceuses qui ont plusieurs millions d’abonné-e-s sur les réseaux sociaux, gagnant plusieurs centaines de milliers d’euros par mois, expliquent que leur plus grand bonheur est de passer trois heures dans la salle de bains après s’être occupées de leur mari et de leurs enfants, les jeunes filles se projettent dans ce modèle. »

Téléréalité : la fabrique du sexisme, Valérie Rey-Robert

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L’analyse de Valérie Rey-Robert démontre que le profil personne blanche, hétérosexuelle, valide et issue des classes populaires est la norme visée par les émissions de téléréalité. Les personnes Noir-es ne représentent que 2,3% des candidat-es, en revanche plusieurs candidates emblématiques sont d’origine maghrébine, comme Nabilla Benattia ou Maeva Ghennam.

Tandis que le business de la minceur et de la chirurgie esthétique est valorisé par ces influenceuses, n’hésitant pas à promouvoir des médecins et chirurgien-nes esthétiques, on constate qu’elles sont aussi plus victimes de bodyshaming que les hommes.

Valérie Rey-Robert souligne aussi la valorisation de la domination masculine hétérosexuelle et patriarcale, face à des candidates féminines vulnérables, qui ne sont là que pour « trouver l’amour », plaire au regard masculin et devenir mères.

Les stéréotypes féminins ancrés dans l’imaginaire collectif de la vierge VS la mère VS la putain sont au coeur de ces émissions. Selon Valérie Rey-Robert, on peut y ajouter l’archétype féminin de la femme hystérique/clasheuse.

Un des avatars de la salope est la femme déchue. En 2001, dans le Loft, Loana et Jean-Edouard ont eu un rapport sexuel très médiatisé. Depuis – oui, vingt ans après -, Loana est encore sans cesse poursuivie et dénigrée pour cet acte, tandis que Jean-Edouard a vécu bien à l’abri des critiques. »

Téléréalité : la fabrique du sexisme, Valérie Rey-Robert

Il devient très limpide à la lecture de Téléréalité : la fabrique du sexisme que le male gaze (« regard masculin ») est présent partout dans ces émissions. Ces émissions pensées pour les femmes, promeuvent le complexe du regard masculin, avec pour objectif de pousser les femmes à la consommation.

Téléréalité : la fabrique du sexisme, Valérie Rey-Robert, édition Les Insolentes. 17,95.

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Une étude Epi-phare publiée lundi 12 février 2024 révèle que la vasectomie est de plus en plus envisagée en France comme technique de contraception. Mais qu’est-ce exactement ? Et pourquoi devient-elle si populaire ?

C’est une méthode contraceptive radicale mais légère, impliquant la ligature des canaux déférents. Elle se réalise sous anesthésie locale et entraîne que très peu d’effets secondaires négatifs. Contrairement à la castration, elle ne perturbe pas l’activité hormonale ou sexuelle. Les hommes peuvent donc bander et éjaculer suite à l’opération. C’est une des techniques les plus fiables de contraception, il n’y a que 0,05% de probabilité de grossesse après l’opération.

Populaire dans le monde, surtout dans les pays anglo-saxons, elle gagne du terrain en France. Les chiffres sont éloquents, il y aurait une augmentation significative des interventions ces dix dernières années. Alors que la stérilisation féminine diminue, les hommes se tournent vers cette solution. Et c’est la première fois que, depuis 2021, les femmes se font moins stériliser que les...Lire la suite sur Union

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Selon une étude de l’Ifop pour l’entreprise de sex-toys Lelo, les jeunes Français de moins de 35 ans ont une vie sexuelle en pleine récession. L’activité sexuelle des Français n’a jamais été aussi inactive depuis 50 ans. Que faire pour y remédier ?

Dans un monde où la technologie est omniprésente, notamment chez les jeunes, les interactions sociales dans la « vraie vie » se font de plus en plus rares. Toutefois, les réseaux sociaux et les applications de rencontres offrent une alternative séduisante pour ces jeunes. Certains sont complexés, timides, ont peur du rejet. Les différentes applications de rencontres comme Spiice peuvent aider ces jeunes-là à sortir de leur coquille. Les utilisateurs ont l’embarras du choix pour faire des rencontres sans soucis pour se faire des amis ou bien des rencontres plus pimentées.

Avec les avis Spiice, il y a moins doutes sur les intentions des utilisateurs. Dans un cadre plus serein, les parties de jambe en l’air, comme les moments de tendresse, peuvent devenir de vrais territoires d’épanouissement. Mais encore faut-il accepter le risque de se rencontrer dans la vraie vie dans un monde où les écrans apparaissent comme une valeur refuge.

Les jeunes décident de consacrer plus de temps aux loisirs et aux activités divertissantes qu’aux relations sexuelles avec leur partenaire. Chez les personnes de moins de 35 ans vivant en couple et sous le même toit, « 50% des hommes et 42% des femmes reconnaissent avoir déjà évité un rapport sexuel pour regarder un film ou une série« . On retrouve les mêmes statistiques chez les hommes concernant les réseaux sociaux (48% des hommes contre 19% chez les femmes).

Cette baisse d’activité sexuelle...Lire la suite sur Union

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Ce lundi 4 mars pourrait devenir historique pour la France comme pour le reste du monde ! Fait rare, le parlement se réunit en Congrès au château de Versailles à 15h30. Et leurs discussions porteront sur une avancée majeure pour l’avancée des droits des femmes : l’inscription de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) dans la Constitution. Dans un contexte international où ce droit recule, comme aux Etats-Unis ou en Pologne, la France fait office de bonne élève. Les sénateurs et les députés ont déjà validé le projet dans le parcours parlementaire. Et la dernière étape d’aujourd’hui semble déjà gagnée.

L’article 34 de la Constitution va donc accueillir une nouvelle ligne dans ses pages : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».

Une inscription que considère comme historique la ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes Aurore Berger : « Souvent, on a galvaudé le mot d’historique, mais là, je crois que c’est approprié ». Lors du vote, pas de distinction entre les partis, l’extrême, la gauche et la droite seront installés par ordre alphabétique puis iront voter dans les salons voisins. Pour celles et ceux qui veulent assister au déroulement de ce vote emblématique, Lire la suite sur Union

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La contraception reste encore une affaire essentiellement féminine. Et pourtant, ce sont bien les hommes qui demeurent pour la plupart fertiles toute leur vie (depuis leur puberté jusqu’à leur mort).

Le geste le plus connu et le plus utilisé par les messieurs dans ce domaine est bien l’utilisation du préservatif. Il existe néanmoins des alternatives à la capote.

La vasectomie. Une méthode radicale (stérilisation définitive), qui effraie encore les hommes. Ils étaient pourtant 3 000 l’an dernier à avoir recours à ce mode de contraception (à peine 1 %, contre 15 % en Angleterre), dont l’efficacité est proche de 100 %, mais, on le répète, sans retour en arrière. Il s’agit d’une opération chirurgicale qui consiste à sectionner, à soustraire une petite partie des canaux déférents, avant de les ligaturer (les deux tuyaux qui transportent les spermatozoïdes depuis les testicules jusqu’à la prostate). Une intervention très courte, réalisée sous anesthésie locale qui dure une vingtaine de minutes, et qui libère le patient dans la journée. Attention, l’efficacité n’est pas immédiate. Il faut encore compter un trimestre avant que les éjaculations se fassent sans spermatozoïdes. Il est conseillé, après cette période, de réaliser un spermogramme pour confirmer l’absence de spermatozoïdes. Une fois le constat fait, le risque de grossesse devient quasiment nul.

Autre méthode, également confidentielle, avec la contraception hormonale à peine prescrite en France (Paris et Toulouse). Il s’agit d’injecter une dose de testostérone chez l’homme chaque semaine. L’efficacité ne survient qu’après trois mois, mais cette méthode, encore considérée comme expérimentale, ne s’adresse qu’aux hommes jeunes (25 à 45 ans),...Lire la suite sur Union

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Dans la série, réflexions et risques dans le BDSM, voici le sixième article. Cet article est le dernier, en tout cas pour le moment, de la série et conclu sur comment se comporter en cas de comportement abusif. Rappel sur la série sur les risques dans le BDSM Le BDSM est un domaine où le…

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Oh + Oui = Oh Oui ! La recette de l’orgasme pourrait être aussi simple que ça. Et pourtant, des chercheurs en mathématiques montrent qu’elle est bien plus complexe qu’on ne le pense…

Est-ce qu’il existe une formule algébrique qui permettrait de modéliser nos orgasmes ? Les premiers à s’être posés la question sont les américains Masters et Johnsons, célèbre couple pionnier dans l’exploration sexuelle.

Ils ont dessiné les courbes représentant l’excitation, le plateau, l’orgasme et la résolution. Quatre phases qui seraient essentielles et communes à la tension sexuelle humaine. Ce célèbre graphique a été publié pour la première fois en 1966 dans leur ouvrage iconique : « Human Sexual Response ».

Des chercheurs de l’université de Sussex remettent cependant ce modèle en question ! Dans leur étude « Sex, ducks and Rock n Roll : mathematical model of sexual response » sortie début 2023, ce modèle en cloche, très linéaire, serait inexact. La réponse sexuelle humaine se rapprocherait plutôt d’oscillations stochastiques (stochastique = aléatoire). Notre tension sexuelle oscillerait autour d’un point d’équilibre, comme la Terre autour du...Lire la suite sur Union

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L’univers nous fait rencontrer les bonnes personnes au bon moment, j’en suis persuadé. Récemment, l’univers m’a fait rencontrer Victor Bruet, un thérapeute exceptionnel, qui m’a introduit au travail de Byron Katie dans le stage qu’il animait. Voilà, encore une fois et de manière vraiment improbable, j’étais au bon endroit, au bon moment, avec la bonne…

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Cette peur de l’inconnu est-elle fondée ? Ou la grande inconnue ne serait-elle pas source d’excitation ?

Beaucoup d’hommes fantasment à l’idée de s’envoyer en l’air avec un.e parfait.e inconnu.e : 97% des hommes accepteraient de retourner chez eux pour faire l’amour si une femme les abordent. Et 83% d’entre eux répondraient oui pour faire l’amour sur place « là, tout de suite, maintenant ». Ces chiffres révélés par l’étude du professeur Nicolas Guégen, relayée par le Daily Star, évoquent une inégalité entre les hommes et les femmes.

Une seule femme sur les 120 sondées serait d’accord !

Avoir une aventure avec un.e inconnu.e ? 68% des femmes et 61% des hommes partagent ce fantasme, d’après une enquête menée par Gleeden. Ce site de rencontre extra-conjugale n’aurait interrogé que les membres inscrits, soit 2021 interrogés (1024 femmes et 997 hommes), un chiffre à prendre donc avec des pincettes.

L’infidélité serait excitante et passer le cap avec un.e inconnu.e éviterait de se faire griller : pas de nom, pas de numéro et/ou une chance minime que cette personne se trouve...Lire la suite sur Union

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Dans un monde où le stress quotidien peut souvent éclipser notre intimité, il est essentiel de trouver des moyens naturels pour raviver la flamme de la libido. Une alimentation saine est la clé d’une libido florissante. Intégrez des aliments riches en nutriments tels que les fruits, les légumes, les grains entiers et les protéines maigres. Certains aliments, comme les avocats, les noix et les fruits de mer, sont connus pour stimuler la libido en raison de leurs propriétés nutritives favorables à la santé sexuelle.

L’exercice régulier ne fait pas seulement des merveilles pour la santé physique, mais il peut également stimuler la libido. L’activité physique augmente la circulation sanguine, libérant des endorphines qui améliorent l’humeur et le désir sexuel. Trouvez une activité que vous aimez, que ce soit la danse, la course à pied ou le yoga, et intégrez- la dans votre routine.

Le stress est un tueur silencieux de la libido. Pratiquez des techniques de gestion du stress telles que la méditation, la respiration profonde ou le yoga pour libérer les tensions et favoriser une ambiance propice à l’intimité. Un esprit calme et détendu est plus réceptif aux stimulations sexuelles.

Le manque de sommeil peut entraîner une baisse d’énergie et de libido. Assurez...Lire la suite sur Union

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Venez m’écouter raconter une belle histoire d’amour dans mon spectacle “Lettres à l’Oiseau”, le 5 mars au Macareux à Paris, 2ᵉ. Lettres à l’Oiseau Les premiers mois de ma relation avec l’Oiseau, je lui ai beaucoup écrit, de longues lettres passionnées et sincères. Inspirée tant par son être singulier que par ce que sa rencontre…

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