33581 éléments (1952 non lus) dans 75 canaux
En cette période de confinement, plutôt que de se jeter sur le papier toilette, pourquoi ne pas faire des choix stratégiques pour garder la flamme dans le couple ? Rien ne vous empêche, pour casser la routine, de préparer un (ou plusieurs) repas aphrodisiaque avec ces produits qui se conservent longtemps. La liste des aliments ayant un impact sur la libido est longue. Mais ils ne sont pas tous efficaces. Ces aliments, à eux seuls, ne changeront pas une vie sexuelle banale en un constant feu d’artifice. Il faudra aussi y mettre du vôtre. Union vous donne son petit guide des aphrodisiaques à avoir en période de confinement !
Du salé pour commencerLe gingembre apparaît comme une évidence. Il se conserve longtemps sous sa forme crue. Mais vous pouvez également opter pour le gingembre confit ! Les effets seront les mêmes et la durée de conservation n’en sera que plus longue. C’est le magnésium présent le gingembre qui agit sur l’organisme. En plus de stimuler (légèrement) la production de testostérone, il agit comme vasodilatateur, d’où la sensation de chaleur lorsqu’on en mange.
Un autre aliment également source de magnésium mais aussi d’Oméga 3 sont les poissons gras tels que les sardines, les maquereaux ou encore le saumon. Ces derniers sont une grande source d’Oméga-3, qui favorisent la circulation sanguine et solidifient donc l’érection.
Vous pouvez (et devez) bien évidemment le congeler si vous voulez le conserver longtemps. Les poissons gras sont également riches en vitamines, mais pas autant que les œufs. Il s’agit...Lire la suite sur Union
Cet article Confinement : petit guide des aphrodisiaques longue conservation est apparu en premier sur Union.
En ce lundi, La Musardine inaugure une nouvelle rubrique pour animer le quotidien des amateurs d’érotisme : chaque jour, l’un de nos auteurs vous présentera le livre érotique qui l’a marqué.
Anne Vassivière, autrice de Parties communes, a accepté de se prêter au jeu. Elle a choisi de vous conseiller Deux jours avec lui, le huis clos érotique de M.-A. Chabarni.
Le mot de la librairie Vassivière :
Cette histoire vraie m’a énormément touchée. Deux personnes qui ne se connaissent pas, passent un week-end à faire l’amour. Ils ne se renverront plus ensuite. Le récit m’a tenue en haleine dès le début et ne m’a pas lâchée. Le style est simple et efficace. Le tout est d’une grande sincérité, que ce soit dans la narration des ébats charnels ou de la personnalité de la narratrice. Je l’ai dévoré d’une traite.
Pour découvrir Deux jours avec lui, cliquez sur le titre.
Pour découvrir Parties communes, cliquez sur le titre.
C'est l'histoire d'une nymphe que son bien-aimé tue, par accident. À l'époque des Médicis, le peintre Piero di Cosimo en fait un tableau-énigme que Stéphane Audeguy tente de résoudre dans son “Histoire d'amour”, un roman qui commence à Paris, après un attentat, en 2019.
Alice et Vincent s’aiment dans Paris moribond. Ils vivent près de la Zone (place de la République) entourée d’une enceinte de confinement. Dans leur rue –d’innombrables commerces ayant fait faillite après l’attentat terroriste– les rideaux de fer sont baissés. A la télévision, les reportages diffusent en boucle le spectacle des incendies qui ravagent la Grèce : réchauffement climatique. Le front de flammes va atteindre Delphes. Une journée ordinaire de l’année 2019. Vincent se rend au vernissage d’une artiste qui prétend dénoncer (encore une) la domination masculine à l’aide de techniques qui «reconduisent, tout en prétendant les détruire, un certain nombre de pratiques féminines : le tricot, l’aquarelle, la couture». Plus tard, Vincent se retrouve au Louvre devant une statue de Diane et, se penchant vers un détail du marbre –serait-ce une cicatrice sur le corps blanc de la déesse ?–, il s’étonne : Alice possède la même. Puis il s’évanouit.
Dans la peau d’Actéon, le chasseur
Il se réveille dans la peau d’Actéon qui s’enivre du sang des bêtes. C’est le début d’une histoire où se tissent les destins mêlés d’hommes, au fil d’un jeu bizarre de coïncidences. A différentes époques, ils traversent une horreur toujours renouvelée sans savoir que leurs vies se répondent en écho. Ils poursuivent la même femme. Elle n’a jamais le même visage. Ils sont les pièces d’un puzzle qui tourne autour d’un tableau ancien. Ce tableau est lui-même une énigme. Il a été réalisé par le célèbre peintre du quattrocento Pierre de Côme (Piero di Cosimo), en 1495, et porte pour titre La mort de Procris. Ce tableau est connu parce que Pierre a peint le ciel en fondant les couleurs bleues pâles du bout des doigts, y laissant de nombreuses empreintes digitales. Dans Histoire d’amour, Stéphane Audeguy, ex-enseignant en histoire du cinéma et des arts, transpose sa passion pour la renaissance italienne dans la trame d’un récit labyrinthique, rempli d’images en abîme. L’image principale, c’est celle d’une femme qui agonise.
Les paupières closes, dans une prairie printanière
Le tableau La mort de Procris s’inspire d’un mythe bien connu dans l’antiquité, dont Ovide fait le récit (notamment dans Les métamorphoses). Stephane Audeguy le résume ainsi : «la nymphe Procris a suivi par jalousie son mari Cephale à la chasse. Quand Cephale aperçoit un buisson bouger, il croit à la présence d’un gibier, lance son javelot, tue celle qu’il aimait.» Dans la version rapportée par Ovide, Cephale prend la mourante dans ses bras «et c’est sur [s]es lèvres que la malheureuse rend l’âme.» Dans le tableau, pourtant, on ne voit pas Cephale. Procris reste seule, sous le regard triste d’un faune qui lui caresse le front et d’un grand chien songeur. Un filet de sang gicle du cou de la femme, dont une main est recroquevillée. Sur une grève, dans le fond, trois molosses «semblent commenter la nouvelle de cette mort tragique». Des petits navires se perdent dans l’horizon. Une mort solitaire.
«Ce fatal penchant qu’ont tous les amants»
Pierre de Côme lui-même mourra ainsi, en 1522, lors d’une épidémie de peste. Il sera retrouvé, gisant au pied de l’escalier menant vers sa chambre. Ce tableau est-il prémonitoire ? Dans Histoire d’amour, le narrateur –Vincent– ne cesse de l’examiner, sans parvenir à en comprendre les bizarreries. Pourquoi un faune ? Où est Céphale ? De quoi parlent les chiens ? «Comme un mystère éclairant le monde», le tableau se dérobe aux explications mais fournit la matière à Stéphane Audeguy d’une étonnante hypothèse : et s’il s’agissait d’une vision mêlant les souvenirs de plusieurs vies ? A l’instar du héros de Usual Suspect (film au cours duquel un suspect improvise une fiction en s’inspirant de ce qu’il voit dans la salle d’interrogatoire), Stéphane Audeguy s’empare de chaque élément du tableau pour construire un récit de vie antérieure. Les chiens sur la grève, les navires, le corps abandonné deviennent chacun la clé d’une histoire d’amour différente, vécue dans différents espaces-temps par des personnages qui ne sont peut-être qu’un seul et même être, éternellement en quête d’une seule et même femme.
La même bien-aimée à travers toutes les vies antérieures
Ainsi se dessine, lentement, l’idée qu’aimer c’est d’abord retrouver celle ou celui qu’on attend, avant même d’être né-e. Dans Histoire d’amour, chaque récit fait l’effet d’un mirage. Les personnages se sentent seuls, étrangers au monde qui les entoure, jusqu’à ce que surgisse cette femme dont ils ignorent pourquoi c’est elle et aucune autre. Peu importe son nom. Alice, Fiora, Souaragui, Ariccia… Elle reste celle qui fut rencontrée nue, au bord d’un lac, en Grèce, à l’époque des nymphes et des métamorphoses. Elle est aussi celle que l’on perd, à n’en plus finir, avec le sentiment déchirant que l’histoire s’arrête trop tôt. Mais n’est-ce pas, exactement, ce qui fait l’essence de l’amour ? Lorsque Cephale perd Procris, Ovide raconte (dans L’art d’aimer) que cette histoire est exemplaire car l’amour est souvent son pire ennemi. Aimer, c’est vivre dans la peur de perdre l’autre. L’autre qu’on a eu tant de mal à (re)trouver.
.
A LIRE : Histoire d’amour, Stéphane Audeguy, éd. Seuil, 2019.
C'est l'histoire d'une nymphe que son bien-aimé tue, par accident. À l'époque des Médicis, le peintre Piero di Cosimo en fait un tableau-énigme que Stéphane Audeguy tente de résoudre dans son “Histoire d'amour”, un roman qui commence à Paris, après un attentat, en 2019.
Alice et Vincent s’aiment dans Paris moribond. Ils vivent près de la Zone (place de la République) entourée d’une enceinte de confinement. Dans leur rue –d’innombrables commerces ayant fait faillite après l’attentat terroriste– les rideaux de fer sont baissés. A la télévision, les reportages diffusent en boucle le spectacle des incendies qui ravagent la Grèce : réchauffement climatique. Le front de flammes va atteindre Delphes. Une journée ordinaire de l’année 2019. Vincent se rend au vernissage d’une artiste qui prétend dénoncer (encore une) la domination masculine à l’aide de techniques qui «reconduisent, tout en prétendant les détruire, un certain nombre de pratiques féminines : le tricot, l’aquarelle, la couture». Plus tard, Vincent se retrouve au Louvre devant une statue de Diane et, se penchant vers un détail du marbre –serait-ce une cicatrice sur le corps blanc de la déesse ?–, il s’étonne : Alice possède la même. Puis il s’évanouit.
Dans la peau d’Actéon, le chasseur
Il se réveille dans la peau d’Actéon qui s’enivre du sang des bêtes. C’est le début d’une histoire où se tissent les destins mêlés d’hommes, au fil d’un jeu bizarre de coïncidences. A différentes époques, ils traversent une horreur toujours renouvelée sans savoir que leurs vies se répondent en écho. Ils poursuivent la même femme. Elle n’a jamais le même visage. Ils sont les pièces d’un puzzle qui tourne autour d’un tableau ancien. Ce tableau est lui-même une énigme. Il a été réalisé par le célèbre peintre du quattrocento Pierre de Côme (Piero di Cosimo), en 1495, et porte pour titre La mort de Procris. Ce tableau est connu parce que Pierre a peint le ciel en fondant les couleurs bleues pâles du bout des doigts, y laissant de nombreuses empreintes digitales. Dans Histoire d’amour, Stéphane Audeguy, ex-enseignant en histoire du cinéma et des arts, transpose sa passion pour la renaissance italienne dans la trame d’un récit labyrinthique, rempli d’images en abîme. L’image principale, c’est celle d’une femme qui agonise.
Les paupières closes, dans une prairie printanière
Le tableau La mort de Procris s’inspire d’un mythe bien connu dans l’antiquité, dont Ovide fait le récit (notamment dans Les métamorphoses). Stephane Audeguy le résume ainsi : «la nymphe Procris a suivi par jalousie son mari Cephale à la chasse. Quand Cephale aperçoit un buisson bouger, il croit à la présence d’un gibier, lance son javelot, tue celle qu’il aimait.» Dans la version rapportée par Ovide, Cephale prend la mourante dans ses bras «et c’est sur [s]es lèvres que la malheureuse rend l’âme.» Dans le tableau, pourtant, on ne voit pas Cephale. Procris reste seule, sous le regard triste d’un faune qui lui caresse le front et d’un grand chien songeur. Un filet de sang gicle du cou de la femme, dont une main est recroquevillée. Sur une grève, dans le fond, trois molosses «semblent commenter la nouvelle de cette mort tragique». Des petits navires se perdent dans l’horizon. Une mort solitaire.
«Ce fatal penchant qu’ont tous les amants»
Pierre de Côme lui-même mourra ainsi, en 1522, lors d’une épidémie de peste. Il sera retrouvé, gisant au pied de l’escalier menant vers sa chambre. Ce tableau est-il prémonitoire ? Dans Histoire d’amour, le narrateur –Vincent– ne cesse de l’examiner, sans parvenir à en comprendre les bizarreries. Pourquoi un faune ? Où est Céphale ? De quoi parlent les chiens ? «Comme un mystère éclairant le monde», le tableau se dérobe aux explications mais fournit la matière à Stéphane Audeguy d’une étonnante hypothèse : et s’il s’agissait d’une vision mêlant les souvenirs de plusieurs vies ? A l’instar du héros de Usual Suspect (film au cours duquel un suspect improvise une fiction en s’inspirant de ce qu’il voit dans la salle d’interrogatoire), Stéphane Audeguy s’empare de chaque élément du tableau pour construire un récit de vie antérieure. Les chiens sur la grève, les navires, le corps abandonné deviennent chacun la clé d’une histoire d’amour différente, vécue dans différents espaces-temps par des personnages qui ne sont peut-être qu’un seul et même être, éternellement en quête d’une seule et même femme.
La même bien-aimée à travers toutes les vies antérieures
Ainsi se dessine, lentement, l’idée qu’aimer c’est d’abord retrouver celle ou celui qu’on attend, avant même d’être né-e. Dans Histoire d’amour, chaque récit fait l’effet d’un mirage. Les personnages se sentent seuls, étrangers au monde qui les entoure, jusqu’à ce que surgisse cette femme dont ils ignorent pourquoi c’est elle et aucune autre. Peu importe son nom. Alice, Fiora, Souaragui, Ariccia… Elle reste celle qui fut rencontrée nue, au bord d’un lac, en Grèce, à l’époque des nymphes et des métamorphoses. Elle est aussi celle que l’on perd, à n’en plus finir, avec le sentiment déchirant que l’histoire s’arrête trop tôt. Mais n’est-ce pas, exactement, ce qui fait l’essence de l’amour ? Lorsque Cephale perd Procris, Ovide raconte (dans L’art d’aimer) que cette histoire est exemplaire car l’amour est souvent son pire ennemi. Aimer, c’est vivre dans la peur de perdre l’autre. L’autre qu’on a eu tant de mal à (re)trouver.
.
A LIRE : Histoire d’amour, Stéphane Audeguy, éd. Seuil, 2019.
Après le riz, les pâtes, les boites de conserves et le papier toilette, place aux sextoys ? Cela pourrait être une réalité. L’apparition du nouveau coronavirus (nCoV-19) au mois de novembre a eu de lourdes conséquences. Des mesures de confinement avaient été décrétées par la Chine le mois dernier, les usines étaient contraintes de s’arrêter. « L’atelier du monde » était à l’arrêt. Que ce soit les colis Amazon, Apple ou autres grandes industries de livraison, tout était à l’arrêt. Il en était donc de même pour les sextoys et autres produits érotiques.
Le secteur du plaisir en danger à cause de coronavirus ?Tous les secteurs économiques ont été impactés par la pandémie de Covid-19, le secteur du plaisir ne fait pas exception à la règle. Certes, quand l’épidémie frappait la Chine de plein fouet, les ventes de préservatifs connaissaient une forte augmentation. Pareil pour les sextoys dans les zones confinés.
Mais l’embellie pourrait bientôt s’arrêter. Pour les sextoys déjà. L’arrêt de la production dans certaines usines et l’éclosion d’une surcharge dans les ports pour le transport de marchandises risquent de pénaliser les industries. A la sortie mais aussi à l’entrée de la Chine, la réduction de l’activité portuaire entraîne un problème dans la livraison des commandes, les stocks étant rapidement arrivés à sec. Du côté des sexshops en ligne, on ne s’inquiète pas des stocks mais des livraisons.
Plusieurs facteurs rentrent en ligne de compte. La fermeture des points-relais notamment : « Les livraisons sont encore assurées mais les points relais sont fermés....Lire la suite sur Union
Cet article Coronavirus : une pénurie de sextoys en vue ? est apparu en premier sur Union.
Cette semaine, je vous propose d’écouter l’histoire Alexandre, a.k.a “Papa Plume”. Il s’est fait connaître à travers ses prises de positions notamment sur l’allongement du congé paternité.
Petite mise à jour sur les sorties d’Histoires de Darons à l’heure du confinement, qui rendent impossible les rencontres et compliquent grandement la tâche pour les interviews.
Pour les prochains épisodes, je vais réaliser mes entretiens par téléphone. Le son sera moins bon et le téléphone rend les échanges moins fluides, mais je préfère cela à : pas d’interviews du tout et j’espère que vous aussi. Rendez-vous donc tous les premiers et troisième lundi du mois à 6h pour de nouveaux épisodes d’Histoires de Darons.
Alexandre nous raconte dans cet épisode comment il a souffert de la courte durée de ce congé prévu par la loi française pour les darons. Seulement 11 petits jours, après quoi, il a fallu retourner bosser. Il explique pourquoi un allongement de ce congé paternité pourrait permettre aux jeunes pères de mieux trouver et prendre leur place auprès de leur nouveau-né.
On discute aussi de devenir père au foyer, de la gestion de ses émotions depuis qu’il est devenu papa, et bien sûr, actualité oblige, comment se passe le confinement avec leur fille de 16 mois dans leur appartement parisien de 45 mètres carrés.
Les liens dont on parle dans cet épisode :
🎧 Abonnez-vous au podcast, un nouvel épisode tous les jeudis matins !
• Sur Apple Podcasts (iPhone)
• Sur Spotify
• Sur Castbox (Android & iPhone)
• Sur PodcastAddict (Android)
• Sur Deezer
🔥 Abonnez-vous à mon autre podcast Histoires de Succès !
• Sur Apple Podcasts (iPhone)
• Sur Spotify (Android & iPhone)
• Sur Castbox (Android & iPhone)
• Sur PodcastAddict (Android)
• Sur Deezer (Android & iPhone)
• Sur Pocket Casts (Android & iPhone)