Je croyais que c’était une très bonne idée de prendre congé mercredi après-midi et de partir à 14 heures direction le sud, mais en cette veille de l’ascension, j’ai vite remarqué que je n’étais pas la seule à avoir cette bonne idée. Après des bouchons suite à de nombreux accidents, j’arrive finalement avec une heure et demie de retard au Cap. Soulagée et fatiguée je pose mes valises, juste pour m’apercevoir d’une deuxième mauvaise surprise. Je n’ai plus de courant dans le logement, et le contenu du congélateur a coulé et ça sent très mauvais. Une fois l’électricité de nouveau installée, je dois donc nettoyer encore le frigo et aérer l’appartement.
Il est 22 heures, et depuis ce matin à 6 heures je n’ai rien mangé, car j’étais au pas de course toute la journée. Comme je n’ai aucune idée quels restaurants sont ouverts et jusqu’à quelle heure, je me change à la vitesse supérieure, et en dix minutes, je me transforme de femme fatiguée en jeans et lunettes en belle créature en petite robe sexy. C’est presque un miracle, hihihi.
J’aurais pu me prendre plus de temps, car le bistrot du Jul’s est ouvert jusqu’à tard dans la nuit. Une fois assise à une table devant une bonne bouteille et des petits plats délicieux, je n’arrête pas de me dire que je l’ai mérité. Et comment ! Tout le stress de la journée, qui a commencé à six heures ce matin, la route et l’arrivée désagréable sont oubliés.
Après cet entretemps qui m’a fait du bien, je rentre après minuit à l’appartement. Avec Vincent on se prend un dernier petit verre de digestif, mais avant de le finir, il me plaque tout à coup contre le bar et commence à me caresser et me doigter. Oh là là, mais qu’est-ce qu’il lui prend ? En même temps quelle bonne idée ! Je me sens bien et pas fatiguée du tout, et j’ai très envie de le sentir dans moi.
Après m’avoir excité avec son geste dominant, il disparaît à la salle de bain pour revenir avec mon tube de lubrifiant. Je sais tout de suite ce qu’il a dans la tête, parce qu’il y a une seule pratique pour laquelle j’ai besoin de lubrifiant.
Il étale le gel sur ses doigts et commence à me caresser mon petit trou. Il m’ouvre avec un doigt, avec un deuxième, un troisième. Je sens vite que je suis bien dilatée, et Vincent me laisse sentir longtemps ses cinq doigts, sans pourtant entrer entièrement avec le poing. Il se laisse toujours beaucoup de temps et avance en douceur. C’est vraiment sa technique à lui pour m’ouvrir sans se presser. Ça fait longtemps que je n’ai plus eu de main entière en moi, et ça fait longtemps que j’en avais tellement envie. J’y ai pensé souvent. En même temps, il faut que j’ai confiance. Avec Vincent je ne réfléchis pas et je me laisse complètement aller. Je me laisse carrément tomber.
Je suis tellement prête et j’en ai tellement envie, que je m’ouvre pratiquement toute seule. Je ne remarque presque pas quand il franchi le cap du poing entier pour disparaître jusqu’au poignet en moi. Je suis complètement ailleurs. Je sens que je coule, que j’explose, que je quitte la terre ferme. Vincent a certainement la main la plus grosse que j’ai eu dans mon cul, mais il le fait tellement bien que je prends juste mon plaisir et rien d’autre. Il reste très très longtemps et me fait jouir intensivement.
Quand il sort sa main pour me baiser encore, je suis vidée et crevée, mais je continue à prendre mon pied avec sa queue, et pour finir de recevoir son sperme bien chaud en moi est juste la cerise sur le gâteau …
C’est une nuit à la hauteur du Cap, une ouverture mémorable. Ce n’est pas la première fois qu’on commence le séjour du Cap à deux avec un fist intensif, et je dois dire que j’aime bien cette « presque » coutume ;-)
Le sommeil sera profond et au réveil j’aurais encore un petit sourire sur les lèvres…