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En conférence de presse avant le match contre les Anglais d’Exeter ce samedi après-midi, quand on demande à Bernard Laporte s’il est agacé par l’ambiance actuelle autour du club après les dernières performances du Rugby Club Toulon, le mécontentement des supporters, les sifflets à Mayol et les piques du président Boudjellal, le manager toulonnais répond :
« Mais vous avez oubliez que vous étiez neuvième il y a deux ans ? On oublie vite... Quand tu baises une laide et qu’un jour tu baises une belle, tu penses que tu ne vas baiser que des belles… Eh non... Malheureusement......
Pretty:
BDSM and sex:
FemDom:
Trans:
Euro Fetish:
Samedi soir, entre le rap allemand et les surfeurs sexistes, Sasha Grey et son chapeau moche seront les invités de Tracks. Le magazine franco-allemand revient avec elle sur sa carrière d’actrice pornographique, sur la démarche intellectuelle qu’elle s’efforçait d’y injecter, sur la sexualité féminine…et sur The Juliette Society, bien sûr. L’occasion pour la plus pop des ex-pornstars d’affirmer une fois de plus son amour pour l’un des écrivains les plus crus de notre temps, Chuck Palahniuk : « [The Juliette Society] c‘est un peu Fight Club, sauf qu’ici, on baise au lieu de se mettre sur la gueule. » C’est ça qu’on aime chez toi, Sasha, ton côté brut, façon coup de poing A l’estomac. C’est lui qui t’a emmenée si loin, qui t’a révélée à nos yeux humides dans Fashionistas 2. Si on nous avait dit à ce moment-là que tu passerais un jour sur Arte, nous n’y aurions pas cru. Mais voilà, nous y sommes. Le progrès est en marche.
Les coups de teub, ça ne sonne pas à ta porte pour dire coucou en passant. Ils te tombent dessus sans avertissement ; l’amour, c’est comme ça. Comme chaque jour, le 4 décembre, je scrolle internet et elle est apparue : Alejandra Guilmant.
Nue, mouillée, elle a les cheveux plaqués en arrière, les gouttes ruissellent sur sa peau fine. Sa bouche entrouverte m’appelle, ses clavicules saillissent et je tressaille. Ses épaules me trahissent, à les voir je suis cuit ; elle a le goût du sport et j’aime la saveur des filles sportives. La courbe de ses hanches me tétanise, mais que faire ? Elle est pixel, je suis fou d’elle, elle est glacée, je veux l’aimer à tout jamais.
Âgée de 20 ans, Alejandra est mexicaine, les photos sismiques de David Bellemere vont paraître dans l’édition des 60 ans de Playboy avec Kate Moss en couverture. Je n’ai pas peur de l’affirmer, il s’agit du plus beau photoset de l’année.
Si Alejandra cuisine le guacamole à mon goût, je tombe vraiment amoureux et je quitte tout pour elle. Tenez-le-vous pour dit.
Liza del Sierra, la désormais réalisatrice pour Colmax, s’est fendu d’un communiqué de presse hier. Elle nous informait dans une prose sincère des abus de faux comptes Facebook qui usurpaient son identité. Liza n’est pas présente sur Facebook, que ce soit dit. Le seul moyen sûr de rentrer en contact avec elle reste Twitter, où elle est très active et anime sa communauté de fans avec beaucoup d’amour.
Les faux profils menaient leur barque tranquillous les loulous, prenant des rendez-vous pros au nom de Liza pour des strips, des shows en discothèque, etc. La réputation de la Bordelaise en pâtissait beaucoup, vu que personne n’honorait ces engagements bidon. Mais, chose plus grave, ils profitaient du passage derrière la caméra de l’actrice pour organiser des castings. Je sens votre œil friser, non, c’est illégal les gars. Backroom Casting Couch, n’existe pas en vrai et le reproduire dans la vie vous dirigera directement en prison. On ne couche pas avec les filles en leur mentant. JAMAIS.
Liza n’a pas d’assistants et il est utile de le rappeler : on ne baise pas gratis devant une caméra.
L’affaire suit son cours, comme on dit. Liza a reçu ce matin un mail de Facebook. Nous vous tiendrons au courant de l’issue de cette histoire. Nous live-tweeterons chaque rebondissement. Restez à l’écoute.
Stress du jour: une vrai personne de chez FB veut un mail recap de mon affaire. Enfin ca bouge! Merci a tous pour vos réactions.
— Liza del Sierra (@lizadelsierra) 6 Décembre 2013
Edit du 08/12/2013 : Liza annonce sur Twitter que les comptes parasites ont été supprimés par Facebook. Conclusion : ouvrir des comptes officiels sur les principaux réseaux semble une nécessité pour protéger son identité et ses intérêts. A bon entendeur.
Merci Facebook d’avoir (enfin) pris position. Plus de compte portant mon nom. C’est agréable. Je n’ai plus qu’a en ouvrir un certifié. RT
— Liza del Sierra (@lizadelsierra) 8 Décembre 2013
Depuis un an, le Club Sexpress propose à ses membres visionner des films pornos, de les chroniquer et de raconter l’expérience que fut le visionnage à 1, 2 ou plus! Le porno « féminin », la grosse production américaine, la sex-tape de luxe, les contributeurs n’ont pas chômé . A vous de les récompenser! Le chroniqueur ou la chroniqueuse qui recueillera le plus de votes remportera de quoi passer une semaine devant ses pornos préférés sur la plateforme Dorcel, ainsi qu’un livre au choix parmi les nombreuses sorties 2013 de la Musardine.
Quant à vous, chers votants, vous ne serez pas en reste : un tirage au sort fera remporter au premier heureux élu un sex-toy pour couples (pas de jaloux!) Noa de Lelo - merci le Passage du Désir! - et au deuxième une oeuvre 2013 de la Musardine. Alors à vos souris!
Les annonces de films se multiplient, de quoi écrire une liste bien fournie au Papa Noël pour déposer plein de chouettes DVDs sous les boules du sapin. Devil’s Film va sortir le 1er porno sur le twerking. Grande nouvelle. Le studio existe depuis 1997, sa pérennité montre la capacité de la boite à s’adapter aux nouvelles tendances. Spécialisés dans le gang bang et les trans, ils ont su donner une grande place au gonzo pour rester compétitif. Puis, le temps des parodies était venu, ils s’y sont collés aussi.
Le scandale de Miley Cyrus a mis en avant le twerking, on ne le répètera pas ici. Il fallait donc que le porn rebondisse sur cette opportunité et voici : You Twerk It, I’ll Jerk It!. Barrett Blade, le réalisateur, a de la bouteille dans le métier et il a senti le bon coup marketing. Certes, ce ne sera pas vraiment le tout 1er film où les filles vont twerker, mais il s’agit d’une œuvre inédite entièrement dédiée à ce tag. L’ex petit-ami de l’ancienne gloire du porno Devon souhaite sans doute devenir le nouveau Stagliano, l’homme qui inventa le bubble ass en plus du gonzo. On attendra de voir le film pour le juger digne du surnom de « Buttman ».
Prévu le 13 janvier 2014, You Twerk It, I’ll Jerk It! exhibera les applaudissements de fesses de Belle Noire (qui ne l’est pas, noire), Natalia Starr, Katie St. Ives, Savannah Fox (qui n’est pas une renarde) et Tori Avano. Espérons qu’elles produisent plus d’enthousiasme dans nos dessous que Miley.
Notre lectrice Mad-âme a testé Roméo, un vibromasseur “mains libres”. Comme toujours avec les tests de sex-toys, il y a de quoi s’amuser!
Roméo et moi ça a vraiment été du Shakespeare.
Le facteur n’étant pas habituellement une personne prête à monter mes 4 étages (avec ascenseur), je tremblais d’avance de le louper. Mauvaise langue que je suis, il est arrivé jusqu’à moi mais je partais dès le lendemain à un mariage quasi royal à l’autre bout de l’Europe.
Mais quand je suis rentrée à Paris et il y a eu un décès dans ma famille. Ma libido en a pris un coup. Donc pour résumer : stress du voyage, l’amour de l’amour, la mort. Shakespeare, quoi.
Je l’ai finalement ouvert ce colis. Après l’avoir regardé en chien de faïence pendant quelques jours, j’ai fait la misère au carton d’emballage. Rose, doux et et et… et avec une drôle de tête de décapsuleur à une extrémité. Je dois dire que ce drôle de bout m’a fait sourire mais n’a pas rallumé le thermostat de mes élans erotico-masturbatoires.
Ô Roméo
Tu es doux Ô mon Roméo
Mais je ne suis pas du genre à me laisser intimider pour autant, je descends donc de mon balcon de pucelle des sextoy-qui-font-penser-à-des-décapsuleurs et je découvre l’engin.
Premier toucher-premier baiser : quelle douceur! On ne peut pas dire que le travail de la matière a été bâclé ; c’est du genre tellement agréable que je me retrouver à le tripoter à m’en user la peau des doigts. (aparté : Roméo est en silicone, ce qui veut dire que Roméo ne supporte pas le lubrifiant de la même composition. C’est de l’eau qui lui faut.)
Roméo a de bien belles courbes pour aller avec ce satiné, en général et en particulier. Des boursouflures savamment placées sur le “gland” et une souplesse relativement sympathique laissent présager que nous allons bien nous entendre. Il est accompagné d’une toute petite télécommande noire avec 3 boutons. ON/OFF, + et -
Avant d’entreprendre le tourtereau il faut d’abord le recharger : il avait un brin de vitalité quand je l’ai reçu mais l’attente due à ma crise personnelle a eu raison de son énergie. Je note qu’à l’autre extrémité c’est un port USB qui s’enclenche dans un mini transfo-prise de courant. La geekette en moi valide ce détail. C’est ici que j’en profite pour vous dire qu’il est étanche, et que du coup la prise est plutôt discrète car bien cachée et hermétique pour pouvoir l’immerger dans son bain ou le laver à grandes eaux. Enfin, la diode de la prise passe du rouge au vert. GO !
Tu es délicat, Ô mon Roméo
Je m’installe tranquillement avec mon Roméo pour notre premier partage : la télécommande et le lubrifiant (à l’eau hein) à portée de mains. Sa tête de décapsuleur repose sur le bas de mon ventre, et ce qui m’avait plu à la découverte me plaît à l’essai : je lui trouve une bonne taille, une flexibilité adéquate et je finis même par user de sa drôle de “tête” pour le bouger sans trop de peine. Parfois, pour bouger les jouets il faut descendre la main très bas entre les jambes, là c’est tout près, et moins contraignant pour les muscles du bras.
On fait connaissance en mode calme, et je me décide à passer en phase vibrations. La télécommande s’allume, le mini écran m’indique rapidement le niveau de sa pile, et à moi de jouer. C’est là où je déchante un peu devant mon héros Shakespearien : le + et – ne sont pas des variateurs d’intensité mais des modes de vibrations, agrémentés de pictogrammes plus ou moins réussis qui s’affichent sur l’écran de la télécommande.
Roméo, vas-y plus fort bordel!
Ca vibre mais pour quelqu’un comme moi qui aime ça (ça = je possède un Form 2 et un fairy wand, du genre intense) et bien je trouve ça gentillounet, voire faiblard. Certes les moteurs bossent sur la quasi intégralité du jouet, ce qui est très agréable dedans comme dehors mais je me retrouve à le plaquer méchamment sur le clitoris pour en ressentir les effets. Et pour un jouet dit “main libre” et bien ça me chagrine un peu.
Du coup je me lève pour voir comme se comporte le Roméo en version verticale (oui jusqu’ici j’étais paresseusement vautrée sur mon lit) je teste son poids, je teste mes muscles, je teste comment il vibre. C’est plutôt sympa mais pas transcendant non plus.
Je me rallonge et je fais appel à ma déesse du cul personnelle : mon imagination. Elle, le programme de vibration 3 ou 8 (je me souviens plus vraiment), et moi finissons pas nous payer un fort honorable orgasme, histoire de mener à bien ce test.
Ma conclusion ultra perso : un bel objet, bien fini, dont la forme, la douceur, les jolies proportions incitent à l’utilisation. Si vous êtes fan des vibros purs et durs, passez votre chemin. Ma mission : l’essayer en bonne compagnie, je me dis qu’il a le potentiel pour être un troisième larron de qualité.
Above: Terrific commercial from ACW Grey, Tel Aviv for Israeli lingerie brand Delta.
Calendar images Playboy Diesel Calendar 2014 by Terry Richardson via Nicola Formichetti.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Girlfriends Films mériterait d’être élu studio le plus zinzin de l’année. Après le porno des fausses sœurs siamoises, voici le monde de Mon Petit Poney en version explicite. Tasha Reign, actrice de 24 ans, devenue productrice, sort une variante pleine de couleurs et de queues de cheval du dessin animé.
Tasha Reign a monté sa propre affaire en 2012 forte de son petit succès et Girlfriends Films distribue ses productions en DVD. Tasha’s Pony Tales sera en vente le 27 décembre, une bien belle façon de terminer l’année. Les images promotionnelles rappellent l’univers pop du clip « California Gurls » de Katy Perry. L’intrigue est simple : quatre petits poneys dans les nuages qui s’enfilent des godes et qui cherchent des poneys mâles pour leur faire du bien. Mais bon, calmons nos ardeurs au risque d’être déçus, le porno ne comble pas toujours les attentes folles de nos fantasmes.
Selon les experts de GT XXXREME, il s’agit du premier « Brony movie ». Le tag Brony concerne les adeptes masculins de My Little Pony. Les habitués de Vian et Queneau auront compris, sans aide, la contraction de bro et de pony. Voici, donc, les premières princesses poneys en chair et talons de 20 centimètres. Les images de personnages de cartoons avec des organes génitaux ne suffisaient plus.
Mon petit poney, enfance perdue
Ce film nous révèle deux informations. En premier, les actrices-productrices arrivent à débloquer des budgets pour réaliser leurs envies. C’est une bonne chose, mais encore faudrait-il savoir qui finance et quelles équipes techniques apportent leur concours. On sait que les sites d’actrices appartiennent à des plateformes de webmasters, par exemple les sites de Tasha Reign, de Lexi Belle, de Nina Hartley, de Tori Black sont développés par Premium Multimedia. Quid des gens derrière Reign Productions ? Existe-t-il des plateformes de prod pour acteurs et actrices ?
En second, Tasha’s Pony Tales montre le sens du business de la jeune Américaine. Tout comme Mon petit poney existe en dessin animé pour vendre des figurines et divers produits dérivés, le film X commercialise les bijoux intimes Crystal Delights, société dans laquelle Tasha semble avoir des intérêts. La spécialité du site est le plug anal. À l’occasion du petit délire sur les poneys, les Tasha’s Reignbow Pony Plugs sont en vedette. Beau jeu de mots. Pour la somme de dollars 125 sans les frais de port par drone, vous pourrez arborer une queue de cheval faite à la main, américaine, non toxique et disponible en quatre couleurs. De quoi ravir les bronies et les filles qui ont su garder leur âme d’enfant. D’ailleurs, Crystal Delights propose aussi un plug Hello Kitty, une pièce indispensable pour compléter votre collection.
Belle queue
Mademoiselle Reign démontre que le porno se diversifie pour augmenter ses marges, le placement de produits se verra de plus en plus dans l’industrie. Wood Rocket n’est plus un cas à part.
Le magazine britannique The Literary Review décerne pour la 21e fois une bien drôle de palme littéraire. Bien loin du Goncourt ou encore du Renaudot, le Bad Sex Award récompense les écrivains dans la catégorie « pire scène de sexe de la littérature ».
En lice cette année pour recevoir ce prix, huit romans qui n’appartiennent ni au genre pornographique ni érotique, mais qui comportent cependant une narration bien maladroite voire ridicule d’ébats sexuels. Entre description de pratiques déviantes et métaphores plus que douteuses, le choix du lauréat était bien...
Le Club Sexpress propose à ses membres de recevoir des sex-toys à la maison, de les tester en toute impartialité, et de raconter leurs sensations sur Sexpress! Il y a eu de l’improbable, de l’innovant, des valeurs sûres, le tout avec la complicité d’un Passage du Désir toujours de bon conseil. A vous de les récompenser! Le chroniqueur ou la chroniqueuse qui recueillera le plus de votes remportera deux entrées pour aller batifoler au Rituel Foch, ainsi qu’un livre au choix parmi les nombreuses sorties 2013 de la Musardine.
Quant à vous, chers votants, vous ne serez pas en reste : un tirage au sort fera remporter au premier heureux élu un sex-toy pour couples (pas de jaloux!) Noa de Lelo - merci le Passage du Désir! - et au deuxième une oeuvre 2013 de la Musardine. Alors à vos souris!
Automne 2012. Je suis en couple depuis un an avec Cédric. Il galère un peu financièrement, s’est endetté pour devenir propriétaire, et moi je commence à anticiper la fin de mon prêt étudiant.
J’ai mis un peu de côté mais je sais que ce ne sera pas suffisant pour couvrir les frais de ma dernière année d’études. 15 000 euros sur trois ans, donc 5 000 euros par an, soit un peu plus de 400 euros par mois. A ce budget mensuel s’ajoutent un peu d’APL et l’aide de mes parents.
A partir de ma troisième année de licence, je dois tirer un trait sur un job étudiant, permanent...
This Black Friday/Cyber Monday Kink Your Kindle post features a well-endowed selection of high quality dirty ebooks, new sex nonfiction, and enough literate smut by hot writers to distract you (in the best way) from holiday shopping stresses.
With the exception of the nonfiction titles, every selection in this post contains explicit sex, ranging from romantic trysts with hardcore sex to character-driven, thoughtful – but very nasty – porn. Expect unusual and rich stories, characters with complexity, riveting realistic sex, and skilled storytelling.
NONFICTION
FICTION
Here’s a grab bag of indie erotic publisher Mischief’s hotter titles; some of the authors I’ve published in Best Women’s Erotica:
REVIEWED FICTION
PRE-ORDER THIS HOT FICTION
Want more books to choose from? Find more in some of my previous Kink Your Kindle lists:
Dans le porno français, ça se bagarre beaucoup, du clash en veux-tu en voilà sur les réseaux sociaux. Mais l’amour existe aussi dans le milieu, Jack Tyler en parsème ses réalisations à l’envi et, au Tag, ça nous plaît bien. Malgré les conditions économiques qui obligent la quasi-totalité des pornographes à réaliser du low cost pour Jacquie & Michel, Tyler arrive à décrocher des budgets pour diffuser son art sur Canal+.
En mars 2014, on pourra visionner Les Caresses de l’aube le premier samedi du mois. Un film à scénario, pas du gonzo, une histoire de gangster, sombre, démêlant les imbroglios entre crime, politique, strip-tease et prostitution. En vedette Julie Valmont, Carla Cat qui est la préférée du taulier, Lana Fever l’intense et Victoria Blanc à découvrir. Pour les acteurs, c’est toujours le même casting, les mêmes teubs sûres avec des mecs pros et sympa au bout.
Patientons quelques mois pour s’ébaudir devant le beau travail de Jack Tyler, en attendant voici un trailer soft. Faute de grives…
Depuis un an, le Club Sexpress propose à ses membres de chroniquer les dernières sorties dans le domaine de la littérature érotique. Romans DBSM dans la lignée de 50 shades of Grey, livres historiques ou pornos trash, tout y est passé. Notre comité de sélection s’est arraché les cheveux pour présélectionner 5 tribunes parmi les plus retentissantes. A vous de voter! Le chroniqueur ou la chroniqueuse qui recueillera le plus de votes remportera une superbe baguette magique Smart Wand de Lelo (une vraie Rolls parmi les vibrateurs!) ainsi qu’un livre au choix parmi les sorties 2013 de la Musardine (et le choix sera rude!).
Quant à vous, chers votants, vous ne serez pas en reste : un tirage au sort fera remporter au premier heureux élu un sex-toy pour couples (pas de jaloux!) Noa de Lelo - merci le Passage du Désir - et au deuxième une oeuvre 2013 de la Musardine. Alors à vos souris!
Czech Republic:
France:
Spain:
Bavaria, retro:
Amsterdam, Netherlands:
Austria, amateurs:
London, England:
Ce matin, à grand renforts d’un plan com’ bien ficelé, la Poste annonçait dans toute la presse le lancement dans 3 de ses bureaux d’un service d’impression 3D. Imprimer des coques de téléphones « personnalisées » pour 30 euros… ou même « des tasses », comme le disait Sophie Le Saint au journal de 13 heures de France 2.
A ne pas mettre partout
Pourtant, la technologie utilisée (à savoir le dépôt de fil) n’est pas sans risque. Guillaume, un entrepreneur en train de travailler au lancement d’un service de reproduction 3D, m’alerte sur cette naïveté dangereuse : « Ce procédé de fabrication n’est pas adapté à des objets en contact avec la nourriture! Lors de la fabrication, il se crée des micro-fissures à la surface. Ces micro-fissures peuvent héberger des germes, qui ne vont pas être délogés par un passage au lave-vaisselle. Ils vont donc prospérer et c’est assez dangereux ».
Guillaume va lancer prochainement un service qui permet d’imprimer des clones… de sexes : vous pourrez recevoir votre Photocopine par la poste. Pour fabriquer ses doubles, Guillaume va utiliser du silicone médical qu’il coulera dans des moules, qui sont eux imprimés en 3D. Dans tous les cas, quand on n’est pas sûrs, ou si vous prêtez vos objets intimes, le mieux pour un sex-toy c’est de le recouvrir d’un préservatif. Donc si vous voulez boire dans la tasse que vous avez imprimée à la Poste, mieux vaut la recouvrir d’une capote.
Des imprimantes qui impriment tout?
Reste à savoir si les imprimantes sont prêtes à tout. La Poste annonce qu’on peut venir imprimer un modèle 3D qu’on a en sa possession sur une clé USB. Je crois que je vais tenter dans les prochains jours d’aller y imprimer un objet compromettant…
Très bientôt, je vous parlerai de Photocopine et de l’expérience d’Auguste, qui après avoir vécu un mako-moulage, a eu l’insigne honneur de voir son sexe modélisé en 3D et concrétisé par une imprimante. C’est le service juridique de l’Express et Eric Mettout qui vont encore avoir du boulot…
Tandis que le Roi de la capote vend sa marchandise avec pignon sur rue, à la cave, les ingénieurs se démènent pour mettre au point le préservatif qui protègera tout en conservant une sensation naturelle. La fondation Gates, de Bill et Melinda, a lancé un appel pour une bourse de 100 000 dollars à qui fabriquera le préso du futur, celui que les mecs ne refuseront pas d’enfiler sous prétexte qu’ils n’aiment pas en porter.
Les lauréats, au nombre de 11, recevront la bourse et permettront à nos pénis de fourrer pépouze sans perdre la tendre chaleur et l’agréable frottement du vagin de nos douces. Quoi de neuf ?
De nouvelles matières vont recréer la sensation de la peau humaine, une équipe de chercheurs de San Diego travaille sur le collagène des tendons de bœuf. La chaleur se distribuera mieux à travers ces capotes animales peu chères à produire, mais les végétariens gueulent déjà. Alors, une équipe indienne essaye d’adapter le graphène à une utilisation sexuelle, ce cristal en deux dimensions qui constitue le graphite une fois empilé et dont la découverte fut couronnée par le prix Nobel de physique en 2010. Assemblé à du latex, il rendra le préso indestructible, ultra fin et très flexible. Sans doute, le projet le plus dingue. Du diamant sur la bite, Marylin Monroe aurait trouvé un nouveau meilleur ami.
En tendon de bœuf pour faire une vraie boucherie
Les polymères sont invités à la fête pour ajuster la capote à la teub, une équipe de l’Oregon développe un polyuréthane qui prend la forme du chibre sous l’effet de la chaleur. On pourra acheter des King Size sans avoir peur de les perdre en pleine action. Hourra pour les verges moyennes ! Un matériau composite du même genre, en préparation à Cambridge, deviendra plus résistant selon les forces appliquées lors de l’utilisation. Grâce à la physique, il se resserre autour de la verge pendant le rapport. Magique.
On ne va pas détailler tous les lauréats, mais la vraie évolution, celle qui sortira bientôt, porte sur l’enfilage du préso. Le pronto condom existe déjà certes, cependant d’autres projets sont en cours. Le Rapidom reprend le principe de l’emballage qu’on ouvre, qu’on étire et qui permet de glisser la capote en un instant. Une équipe de Los Angeles cherche à fabriquer un préservatif avec tirettes intégrées, plus d’excuses pour les mous de la bite.
Facile à enfiler, comme ta sœur
Les mondes de la science et de l’ingénierie se plient en quatre pour que le plaisir de chacun soit conservé et que le VIH et les IST ne soient plus un problème. On espère que la capote du futur sera ajoutée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Rob Ford est le maire de Toronto, mais pour combien de temps encore. Il a la bonhommie d’un André Santini, ainsi que le verbe haut, enfin Rob Ford a le verbe plutôt gras, voire dégueu en vérité. Quand le Corse fume le cigare, le Canadien fume du crack. En tout cas, les frasques de ce gros monsieur amènent du clic à la presse nord-américaine depuis quelques semaines.
Rob et ses potos
Nous n’allons pas nous intéresser aux déboires de Rob Ford en profondeur, sa fréquentation des gangs, son penchant pour la drogue, ses menaces de mort, son état d’ébriété permanent, son envie présumée de « bouffer la chatte » d’une collaboratrice, non, nous ne rentrerons pas dans le détail. Seulement, sa popularité dans les médias (le bad buzz reste du buzz) a inspiré Lee Roy Myers, le réal derrière Wood Rocket.
Voici donc la sex tape de Rob Ford avec un sosie qui baragouine n’importe quoi en se mettant la tête à l’envers comme le vrai et qui se retrouve à piner une prostituée aux traits asiatiques et aux seins de plastique. La vidéo gratuite tourne dans toutes les rédactions, l’amour de la presse pour le mot sex tape est grand. De plus, une actrice, Brandy Aniston a déclaré qu’elle tournerait bien avec le toujours maire de Toronto, futur candidat à sa succession. Elle le trouve mignon, sans doute un souci d’Œdipe pour la demoiselle tatouée.
Clique pour voir le belle grosse bite de Rob Ford
Une marque de sex toys sponsorise la fausse sex tape, Lee Roy ne perd pas le nord et il construit doucement, mais sûrement, son modèle économique alternatif. On ne va pas se plaindre, ça fait du porn gratis et légal.
This is a great announcement: the Indiegogo crowdfunding campaign for Minna’s vibrator Limon was a total success and the vibrator is on sale now! This may or may not be your thing, but it apparently was exactly the right thing for quite a few very excited funders, who are probably putting their Limons through the paces this week. They raised $83,777 with an initial goal of $60,000 – I think that’s something to really celebrate.
The Linon’s new video is above. It’s a little lemon-shaped vibe with a simple, single pushbutton bump that. The harder you squeeze the vibrator, the more strongly it vibrates, and with the button you can turn it down, off and on, and two presses of the button puts it in “record” mode. This is a new-ish feature in a few high-end vibes. “Record” mode essentially has the vibe record the vibration pattern you use (while you record it), so the vibrator can play that pattern back for you again, another time.
Limon is $119, it charges via USB, and is made of silicone (nonporous) and is waterproof so it can be completely submerged for thorough cleaning.
Great idea, Minna! Congrats to everyone who made this happen.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Le nouveau format 4K, tellement super, va-t-il prendre ? Lux Alptraum, fondatrice de Fleshbot, s’interroge sur le futur remplaçant de la HD, elle fait le point avec les producteurs de porn, car oui, il paraîtrait que l’industrie du X a son rôle à jouer dans l’adoption des supports vidéo. Petit retour en arrière.
Sur le Net, tout le monde semble d’accord, le porno a permis à la VHS de prendre l’ascendant sur la Betamax de Sony. Ce dernier ne voyait pas d’un bon œil l’utilisation de sa cassette pour montrer des gens tout nus se pistonner les parties. JVC, lui, s’en fichait pas mal de quelles images seraient imprimées sur la bande de ses VHS. Voilà pourquoi la K7 de nos magnétoscopes programmés sur Canal+ le samedi soir aurait supplanté la Betamax (en plus d’offrir plus de minutes et de coûter moins cher).
La collection de boulards de Gonzo
Pour le HD-DVD et le Blu-ray, la PlayStation 3 a abattu pas mal de boulot pour imposer la grosse capacité de stockage du disque bleu. Dans ce cas, l’industrie n’a pas vraiment de rôle décisif comme les messageries roses dans l’histoire du Minitel. Digital Playground avait choisi le format plébiscité par Sony et Vivid l’autre. On ne peut donc pas conclure une influence directe.
Autre cas, un analyste japonais théorise que le porn a fait vendre énormément de téléviseurs 3-D dans le pays du soleil levant. Le jour de la sortie des premiers Sony Bravia compatibles avec la troisième dimension, un studio commercialisait des films de boules tout aussi compatibles avec les actrices les plus populaires de l’époque : Kayama et Yuma Asami. Cette nouvelle a dû décider plus d’un parent à satisfaire le désir consumériste de ses moutards.
Le film avec Yuma Asami qui a fait vendre des écrans 3D
Il semble communément admis que les préférences du porno en matière de format coïncident avec ceux du grand public. De là à dire que les mecs de la vallée de San Fernando tirent les ficelles, faut pas pousser Nina Hartley dans les orties. Mais si des pornographes influencent l’adoption d’un format plutôt qu’un autre, les Japonais seraient mieux placés.
Revenons au 4K, Lux Aptraum interroge Pink Visual, studio geek qui saute sur chaque occasion d’être à la pointe de la technologie. Ils « préfèrent essayer [le nouveau format], plutôt que de passer à côté », il en est de même pour les pionniers de Huccio qui ont bâti leur business plan sur l’ultra HD. Mais un sondage de XBiz auprès des membres de l’industrie montre que peu de monde investira tant que le marché n’offrira pas les garanties nécessaires pour un changement de format réussi. Eh oui ! c’est la crise, le porno fait des économies, baisse des coûts à tous les niveaux. C’est d’ailleurs pour cela que le gonzo et le pro-amat sont devenus si populaires. Mais surtout, les consommateurs de porn ne lâchent plus facilement l’argent durement gagné pour leur fap fap fap. Les ventes de DVD se sont effondrées et les tubes nourrissent une génération de branleurs à la qualité vraiment moyenne de 360p ou 480p. Dans ce contexte peu rassurant, les pornographes (et les banquiers) rechignent à financer l’achat de nouvelles caméras et des structures adéquates pour balancer les énormes fichiers 4K sur les réseaux.
Epoustouflant, on voit vraiment la différence
N’anticipons pas le futur du 4K, ne faisons pas comme Joanna Angel, dans l’article de Lux, qui se montre réticente à l’idée de devoir s’adapter à une définition et du matos qui impliquent une nouvelle façon de travailler. Elle dit ça pour le 4K aujourd’hui, mais elle se méfiait tout autant de la HD dans les années 2000. La technologie, comme dirait l’autre, ce n’est pas un sprint, mais une course de fond.
C’est lui qui avait proposé une loi autorisant la pilule pour les femmes, en 1967. Lucien Neuwirth est mort dans la nuit du lundi 25 au mardi 26 novembre 2013, à 89 ans. Dans cette vidéo, diffusée en 1981 sur « la Télévision Française 1 », et c’est peut être l’aspect le plus intéressant pour nous, on l’entend parler de la contraception masculine. Quand le journaliste lui demande :
« Plusieurs équipes essayent de mettre au point, actuellement, une pilule pour hommes. Est-ce qu’aujourd’hui vous mèneriez le même combat pour cette pilule ? »
Il répond :
« Ah, mais tout à fait, parce que...
Sallie Tisdale a écrit des choses positives sur la pornographie au début des années 1990. Son livre, Talk Dirty to Me: An Intimate Philosophy of Sex, lui a valu bien des insultes et des menaces. Ah ! la joie d’être une femme qui parle de cul dans notre société pleine de tolérance. 20 ans plus tard, Salon la questionne sur l’évolution du sexe à travers internet et encore une fois Tisdale fait la part belle à la positivité.
En résumé, Sallie Tisdale affirme qu’internet n’a rien changé au sexe, « ce sont les mêmes schémas que l’on a toujours vus ». Certes, les discours haineux, répressifs existent et la notion de vie privée se fait méchamment bafouer avec les affaires de revenge porn. Admettons-le, Internet n’est pas encore un havre de paix, mais le réseau contient des criques sereines, souvent pornographiques, où tout un chacun peut explorer sa sexualité, son identité, son orientation. Il aide aussi à comprendre que le sexe et les pratiques considérées comme en dehors de la norme ne le sont pas. Oui, internet ouvre les esprits. Internet est un lieu d’échange, d’apprentissage et c’est ça qui est bon.
De l’interview de Sallie Tisdale, nous retiendrons que la pornographie sur internet sert le bien, même si une large partie de la production reste trop stéréotypée pour le féminisme dont Sallie se revendique.
En tant que représentants de la société civile congolaise, du Gouvernement de la République Démocratique du Congo et de l’Organisation des Nations Unies en RDC, nous tenons à montrer notre engagement et notre solidarité dans l’élimination de toutes les formes de violences à l’égard des femmes.
Les violences physiques, et en particulier les violences sexuelles dont sont victimes un trop grand nombre de femmes, sont les plus visibles et les plus marquantes.
Dans les pays en conflit, le corps des femmes devient une arme de guerre et la République Démocratique du Congo n’a...
Il y a quelques semaines, un lecteur avait testé le Nexus Revo, un sex-toy anal spécialement conçu pour les hommes et leur point P. Le résultat était enthousiaste, à la limite de la nouvelle érotique! Ce même sex-toy, un autre lecteur l’a testé, avec un peu moins d’enthousiasme.Voici le résumé de son expérience, traduite par mes soins : l’original en anglais est ici.
J’ai entendu à la radio qu’il y avait des testeurs professionnels de sex-toys… Comme on a l’habitude de le dire, le cerveau est le premier organe sexuel, et je pense que toute personne équipée d’un cerveau est donc à même de chroniquer un sex-toy! Ceci dit, toute expérience sexuelle dépend de notre vécu et de notre état émotionnel : il est donc toujours difficile de faire une critique de sex-toy qui ne soit pas une opinion personnelle.
Ce n’était peut-être pas mon jour
Tout cela pour vous dire que mon expérience avec le Nexus Revo, un sex-toy anal masculin, fut contrastée. Lorsque je l’ai eu dans les mains, en regardant sa forme et sa taille, je m’étais dit que ce serait du plaisir garanti. Comme je ne pouvais pas le tester tout de suite, au fil des jours, mes attentes ont augmenté, et quand j’ai finalement rempli mon devoir de critique de sex-toy, mon impression fut assez tiède. Qui sait, ce n’était peut-être pas mon jour.
Pourtant, le packaging était prometteur. Une boîte élégante, un sac de velours noir contenant ledit vibrateur, un petit mode d’emploi. Il manquait quand même deux choses essentielles : des piles pour le faire fonctionner, et du lubrifiant. Je pense que les sex-toys font de beaux cadeaux d’anniversaire ou de Noël, et il est dommage que le Revo ne puisse pas être utilisé tout de suite si vous n’aviez pas été prévoyant. Pour ce qui est du lubrifiant, je reste en réalité partagé sur le fait qu’il faille fournir un échantillon ou non. Car souvent, les petites pochettes de lubrifiant laissent croire qu’une petite goutte suffit, alors qu’on ne peut jamais vraiment mettre « trop » de lubrifiant. Si j’hésite sur le lubrifiant, je n’ai pas de doutes sur les piles : pas d’excuses, fournissez-nous en deux ! Ce n’est pas pour ce que coûtent les boîtes de piles ! (Note de Camille : contrepèterie inside)
Accessible aux débutants
La forme du Nexus n’en impose pas trop, ce qui le rend accessible aux débutants. Sa tête est plus large que sa base, ce qui peut ressembler à un défi pour la personne qui essaye un sex-toy anal pour la première fois. Mais une fois qu’on a passé délicatement les muscles de l’anus, le reste du voyage est une formalité.
La base comprend quant à elle les piles et le vibrateur, ce qui la rend un peu encombrante mais fait office de poignée. Elle est pourvue de petits picots, qui simulent agréablement le périnée. Petit inconvénient : elle n’est pas waterproof, donc le nettoyage doit être fait avec précaution.
Je ne peux pas me prononcer sur la texture et le toucher de la matière, pour la bonne et simple raison que j’ai testé le Revo avec un préservatif. Et dieu sait si la matière et la texture jouent un rôle primordial – parfois, même si la douceur est au rendez-vous, le jouet peut causer des irritations. Mais sur cet aspect-là, vous devrez vous faire une idée par vous-mêmes.
Nous n’étions pas faits l’un pour l’autre
Venons-en à la vibration. Le Revo peut entrer en rotation, en vibration, ou les deux à la fois, à l’aide d’un bouton unique. Pour moi, la vibration était trop forte. La rotation était agréable, mais ne m’a procuré qu’un plaisir limité. Peut-être était-ce dû à la longueur du sex-toy ? Tout l’intérêt de la rotation est de venir stimuler le point P (autrement dit la prostate), donc tout dépend de l’anatomie de chaque utilisateur. Car finalement, le plaisir maximum, je l’ai eu lorsque tous les moteurs étaient éteints.
En résumé, le Revo et moi, on n’a pas vraiment accroché. Ce n’était pas lui, ce n’était pas moi, c’est juste que je pense que nous n’étions pas faits l’un pour l’autre. En matière de sex-toys, tout est question d’alchimie, donc le meilleur moyen de savoir, c’est de faire votre choix et d’essayer !
One of my readers performed a test of the Nexus Revo, an anal dildo specially designed for men. As he is not fluent in french, here is his original report in english.
I’ve heard lately on the radio that there are professionals sex toys critics nowadays. According to the old saying, that the biggest sex organs in the human body is the brain, I believe that anyone who is equipped with one is entitled to review sex toys for a living or simply for fun. I don’t know where to put the line between a professional critic and my personal opinion when it comes to describe my intimate experience with a specific toy. As much as I appreciate the trust of all you readers out there I’d like to take a moment and remind myself that any of my sexual experiences was subjected to my emotional and mental states as well as my personal preferences and that my opinion about any sex toys is as any good as any other opinion. You don’t need a college degree to know if you enjoyed or not.
The reason I’m explaining all of this is because I’d like to give you my opinion today about the Nexus Revo anal vibrator with which I had a controversial experience. When I first got this toy into my hands, it seemed to me like a guaranteed pleasure. Just looking at its shape and size I immediately started to imagine how it would feel like and couldn’t wait to test it. My expectation level was rising as the days passed by. Yet a couple of days later, when I finally fond the time to fulfill my duty as a sex toy critic, I had a mild impression. To be honest, I was simply disappointed. My body had little reaction to this toy. Nevertheless, I do not think that my personal body reaction deserved this toy a negative review. I believe that it has a lot of potential and a lot of you readers will enjoy it. Who knows, maybe it was simply not my day.
The packaging
Starting with the package, the Nexus Revo arrived in a very elegant dark cardboard box. Inside the box I’ve found a short and simple to understand instructions manual, an elegant black cloth bag to keep the vibrator save from dust and of course one purple gray curved anal vibrator.
All in all I’ve found the packing very elegant and pleasant. Still, a couple of minor things were still missing to my opinion. I believe that sex toy are by definition a potential birthday, Christmas or valentine day gifts and as such I expect them to be ready for use the moment you get them out of the box. Therefore, I expected both lubrication and batteries to get a proper attention.
As far as lubrication is concerned, I am controversial whether it should really be provided with the package or not. I’m not a big fan of the tiny samples you sometimes get with toys. Lubrication – especially with anal toys – should be used generously and those miniature bags might give the wrong impression that one drop should be enough. On top of that, the type, brand or flavor of lubrication is also a matter of personal preference. Therefore in this sense, I do not hold the manufacturer accountable to provide the lubrication, however I think it is their responsibility to make it very clear on the package that this toy is not complete without it.
Regarding the batteries my opinion is a bit more conservative and I think that there are no good excuses here. If the toy is not rechargeable – and the Nexus revo is not – please give us for that price also couple of batteries and don’t send us to the kiosk at the corner of the street in the middle of the night.
The design
As I already mentioned before, I’ve found the shape and size of the Nexus Revo very good. It’s not too big and therefore I believe it would be pretty suitable for people with little experience, yet it’s not too small either and provide enough pressure when inserted.
The main shaft of the Nexus-Revo has varying width, where the tip is the widest part of it and the basis of the shaft is narrowest. The tip being widest might impose a little bit challenging for those who try an anal toy for the first time. Yet, once you’ve gently passed the anus muscles at the beginning the rest of the journey is much easier. On the other side the basis of the shaft being thinnest, allows it to rest inside the body comfortably once fully inserted. The round design of the shaft makes it very easy to clean and does not accumulate or catch dirt.
The base of the Revo contains the controls, the battery compartment and a vibrating component which makes it a little bit bulky. The relatively big base allows a good hand grip of it yet gets a little bit in the way, when sitting in such position that the Revo is pressed against the surface on which you’re sitting.
At the front of the base you can find small points sticking out which should stimulate the back of the genital area and the testicles. The structure of the battery compartment’s door unfortunately is not water proof. The manufacture recommends the use of a wet cloth for cleaning but I admit that I was using running water with a lot of caution, not to get any drop inside the electrical parts.
Unfortunately I cannot provide any feedback regarding the materials and texture or the Revo. This is due to fact, that I was testing the Revo using a condom. From my previous experience with other anal dildos and vibrators I came to realize that the material and textures are playing a huge role if a specific toy fits me or not. While many toys feel very similar in the hand, when inserted anally – also when using ample amount of lubrication – some may cause irritation or burning reaction while others will go in smoothly. This is obviously a question of personal chemistry and therefore, you will have to find for yourself.
Functions and operation
The Revo is operated by a single button and can switch between different states of operation from rotation of the tip of the shaft to vibration – either constant or pulses – of the base unit and the combination of both of them.
I think it could have been nice to have an option to control the intensity of the vibration. For me it was a little bit too intense. On the other hand, the rotation of the tip of the shaft felt nice, yet the sensation was mild and it seemed that my body did not react on it very strongly. I had the most fun when all engines were off. Sometimes less is more, but each of us has different body and different needs.
All in all
Before closing this article, I’ve noticed on Nexus’ webpage that they offer the next generation of Revo model called “Revo 2”. From the technical description it seems that the younger brother of Revo 1 while keeping the same design addresses some of the issued referred to in this article.
Although from my personal and sensual point of view, the Revo and I did not fit together, I think that this toy has a lot of potential. I’m sure a lot of you readers out there will enjoy it.
I must emphasize again that when it comes to sex toys, it’s a matter of personal preference and chemistry between you and your toy, so the only way to find out if this one is for you, is to get one and try it out. Have fun!
Elles ont entre 8 et 11 ans à vue de nez (une Asiatique, une métisse afro et une Blanche, c’est parfait). Elles s’emmerdent devant un film de princesses. Leur truc c’est le bricolage, les inventions. Quand je serai grande je serai cosmonaute. Ingénieure. Codeuse.
Il s’agit d’une pub pour la start-up californienne de jouets GoldieBlox qui vend des jeux et des livres pour encourager les fillettes dans cette voie occupée par seulement un quart de femmes (chiffres américains délivrés par le New York Times). Elle a été postée lundi et est immédiatement devenue virale sur les réseaux...
Erotic author Alison Tyler is a prolific legend, and quite a favorite around here. No one can write a dirty story like she can, and if you see any book with her name on it, you can be certain you’ll spend your coin on something brilliantly written, hardcore, character-driven, passionate and filthy, and totally satisfying. She publishes a lot of short erotica for free on her blog, too. We love her.
Her new novella Banging Rebecca ($2.99 Kindle; $5.49 paperback) is excruciatingly hot and fun. I hope it’s a bestseller for her, especially because it’s self-published, but in large part because it’s so damn good.
Tyler generously sent me a big, juicy excerpt to share with TinyNibbles readers, and it’s pasted below. The entire novella is a riveting, complex and very real story peppered with vivid, chemistry-fueled, kinky sex. Enjoy!
EXCERPT from Banging Rebecca by Alison Tyler
Post images: Azura Starr in Drummer at The Life Erotic
Sean was a model lover, the kind you dream about when you press your double-C charged vibrator to your cunt on the nights when you’re all alone. But it wasn’t until he got ready to fuck me a third time, that he revealed his true self. Seems he had to get the rest out of the way—fucking up against the wall, screwing in front of the water—before he was ready for the big show and tell. He opened the sliding glass door to let me into his pad.
“This is all yours?” I asked, startled by the high ceilings, by the stark but clearly expensive furniture.
“I do some modeling,” he said, offhandedly, chin jutting towards a portfolio tossed on the great wood coffee table. He didn’t waste time with the tour—pulled me directly to his bedroom—where I saw the tools and implements that made my breath catch in my throat.
Had I caught something up on stage? Had I known from the way he beat those skins that he would beat mine, too? I like to think I did, that I’m clever like that. But who knows? Coincidences happen every day. Yet desires like ours draw you forward like a magnet.
“You game?” he asked, fingers tripping over the business end of one of his specialty crops. Hand palming the handle of a wooden fraternity-style paddle. If I hadn’t still been wet from the two rounds we’d just gone, I would have been instantly aroused. My knees went weak, and I leaned against one scarlet-painted wall and nodded.
I wasn’t even sure what I was agreeing to. Did he want to work me over, or was he going to hand me that paddle and bend over himself? Honest to god, I didn’t fucking care. I would have done anything he asked, anything he said.
“I could tell,” he said, moving closer, pressing up against that plaster wall, “I could tell right away exactly what kind of girl you are.”
“What kind?” I managed to ask, wanting to hear, wanting him to say the words.
“The kind who needs this—” and he placed his hand over my pussy, then pulled back and spanked me there. I bit my lip and lowered eyelashes. Oh, yeah. He’d read me. Read my whole notes. Knew my upbeat.
“Now get that sweet ass of yours over to the bed and bend over. You know what time it is, don’t you baby?”
I looked at him, eyes wide.
“Time for this little slut to have her ass properly spanked, and then thoroughly fucked.”
I didn’t move fast enough. I wanted to. The will was there. But my brain was frozen, couldn’t tell my feet what to do. Sean didn’t wait. He picked me up and threw me on the mattress. There were no clothes to get in the way, but he spread a sheet over me and smacked my ass through the fabric. I was startled by the move, until he pressed his mouth to my ear and said, “I like to build the rhythm.”
“What do you mean?”
“You’ll see.”
He spanked me through the thin black cotton until I was squirming and twisting, and then slowly, so slowly, he lifted the edge of the sheet, revealing only the bottom quarter of my ass. Now, he spanked me on my bare skin, and I found that I was reaching up to meet each blow, arching my hips, higher and higher, and Sean chuckled under his breath.
“I thought so.”
Without any warning, his fingers met my pussy. Like they had moment before, but harder, and suddenly he was spanking me there, spanking my cunt with four firm fingers, and I was groaning and begging, my legs spread wide, wanting him to spank me harder, getting what I wanted without saying a word.
Until he stopped.
“Jesus, don’t.” I was aching, couldn’t believe that I could need to come again after all we’d done, couldn’t believe that he wouldn’t let me come. Eyes pleading, body begging.
“Don’t you know the rules, baby?”
I couldn’t speak. I couldn’t think.
“You don’t come when you want to. You come when I say you can.”
Holy fuck. I could have squeezed my thighs together and made the orgasm happen—if he hadn’t been watching me so closely, if he hadn’t known exactly what I was thinking. Because suddenly he was on me once more, spreading me out, stretching me taut, and I felt cuffs on my wrists, leather ties on my ankles. I was pinned to his mattress, head turned to stare as he lifted up a brand-new toy, as he set the weapon against my ass to let me feel what was in store. To let me feel exactly how whippet-thin this cane was.
“You ready?”
How can you say yes to something like that? Trust me, I know pain. Maybe that’s what Sean was checking from the start, that I didn’t squeak a protest when he scraped my back raw against the bricks of the club. That I didn’t moan or complain when he fucked me fiercely on those wooden boards outside, bruising my knees, chafing my elbows. He was testing my willingness to accept a little pain with my pleasure—and I’d shown him not only would I accept that spark, I’d blow on the flame.
“You ready, Rebecca?”
Again, waiting to hear, wanting to see what I’d say.
“Always, “ was my smart-ass response. So much different from yes.
“You’re going to count for me,” he said next, and my head was spinning. Fucking hell, he knew the drill. But then there was silence. I hate to say the word “usually,” to imply that I often find myself in situations akin to this one—but why lie? So usually, when I am bound down to a bed, and a stern lover is about to punish my ass, the game goes like this:
A smack on my ass—the number from my lips.
You get it? He hits, I count.
Sean was different. Sean wanted to hear me say the word first. I couldn’t understand. I hadn’t won the privilege yet, had I? Ah, but you see, in Sean’s mind, he wanted a relief from his job as a drummer, wanted me to count us in.
“One,” I said, and I was rewarded with the type of fire branding that I’d only experienced a handful of times in my life. The pain licked at me instantly. No slow build. No gradual flickering. But then Sean was looking at me. Gripping my hair in his fist and pulling my head up and saying, “Count.”
And I got the game. He struck, I counted the next blow. Believe me when I say this was harder than it sounds.
“Two—” and slam me down to the bed, ma’am, he cut me just as hard as the first time. Finally, I understood. I was setting the rhythm. The pace. He was letting me choose how many, and he was letting me say when. Forget topping from below—I was our rhythm section.
“Three—” I felt the cane on me like a poker, hot from the fire, burning through me. “Four….Five….”
But why, I wondered, did I find saying the numbers so difficult. Numbers are little. And easy. He wasn’t asking me to call him Sir. He wasn’t making me play-act some fancy Dom/sub routine. He hadn’t even asked for my safeword, because he didn’t need one. I was giving the orders. But the orders were to cane me. And any sub will tell you, part of the thrill is giving over that power to your Dom. Putting yourself in the hands of your lover. Now, I was responsible for myself, and I could hardly face him as I realized how much more I wanted. Craved. Desired.
“Six—”
He didn’t judge. He didn’t flinch. He struck. Christ, I was so wet. I felt the liquid pooling between my nether lips, slipping to coat my skin. What would Sean say when he touched me, when he found out for himself how drenched he’d made me?
“Seven—”
I wondered if he’d realize at some point, if he’d figure out that I’d never stop counting. I’m like that. I don’t have an end. I can’t.
“Eight…Nine…”
He was moving around me now, pressing his face to my ear, whispering things to me that had me arching on the bed. “Oh, you’re such a little needling. The pain fills you up, right? Makes you so drippy. Only a bad girl would get wet like this from having her ass thrashed.” Then his fingers probing, diving inside of me, pulling out to circle my asshole with the juices of my own pleasure. “You’ll come when I fuck your ass, won’t you?”
There was no way to answer but honestly: “Yes.”
“I won’t even have to touch your clit. The shame will simply make you cream.”
“Yes, Sean.”
And he was on the bed, letting me feel the head of his cock against my hole, before pushing in hard so just the tip pressed there. Not fucking me. Not yet. But making me want him so badly. And yet—we weren’t done. Were we? He hadn’t told me to stop counting, and I hadn’t reached that pinnacle, yet. That place.
I wondered if he’d sense this. We were so in tune up until now. I wondered if he’d get that I wasn’t done, if he’d…
Sean pulled back and stood by the bed once more. He had a brown leather belt in his hand now, doubled, ready. He looked at me, and I could see the softness in his eyes, as if he were staring at something beautiful—something valuable, something he understood.
“Ten,” I said, and his lips tilted into a half smile, and he said, “Good girl. You’re such a good girl. Let me give you what you need,” as if I’d passed some test, as if I’d proven a point.
There was no more counting after that. He heated my ass for me with his doubled-over leather, beat my skin as only a true Dom knows how, before climbing onto the bed and fucking my ass. Hard. So that I was screaming out, crying out, driven down by his body. He ground me against the mattress, and the pressure of him from behind combined with the mattress on my clit made me come. Sean dug his fingers into the welts on my ass, and the pain-tinged pleasure flamed through me, until I saw sparkling lights behind my shut eyes, glinting and winking out, matches tossed in water.
He undid the bindings and pulled me to him. Kissed my cheeks, my lips. Then, while I watched, he lifted a pen from his bedside table and wrote a number on my skin. “I’ve got to be at a shoot early,” he said, “so don’t worry if I’m not at your side. Just call me when you wake up.”
I felt like I finally was awake. As if he was the prince who had finally awaken me from 100 years of slumber.
-Read the rest in Banging Rebecca by Alison Tyler
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Zana Bayne is an exciting discovery; their extremely sexy body harnesses have been on fashion runways for a couple of years, but they’re surprisingly affordable in their own online shop.
They don’t stop at body harnesses, as they also make stunning face accessories, belts and jewelry (for any gender), and other unusual but very cool items. Adding to my overwhelm of too much want in one place at one time, they also make their gear in clear PVC, white leather, and more.
If you’re looking for sexy nudes in Zana Bayne’s incredible gear, check out their front page, this Penv Capsule collaboration, and the Fall/Winter 2012 photo shoot.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Le Lars Von Trier nouveau n’est pas encore arrivé, mais il sent déjà très fort le soufre. La bande-annonce de Nymphomaniac vient tout juste d’arriver sur Vodkaster. Des premières images très sex & violence, comme toujours avec notre ami polémiste, entre fellation en gros plan et armes à feu. On se demande bien où tout ça va aller, mais une chose est sûre : le Danois va encore faire couler beaucoup d’encre. Peut-être même plus si affinités. Sortie prévue le premier janvier 2014.
Larkin Love m’a ébranlé quand je suis tombé, en septembre dernier, sur sa chaîne Clip4Sale. Sans l’ombre d’une hésitation, j’ai pensé aux lecteurs du Tag, il me fallait absolument partager cette beauté troublante avec vous. Mais de quelle manière ? J’ai tatillonné, j’ai tergiversé, à force d’atermoyer, le travail en retard s’accumula et, de Miss Larkin, je ne vous parlais pas.
Puis le 1er octobre, un coup de grâce tragique acheva mon article fantasmé. Je désirais tant pondre un papier à la fois biographique, complet et qui vous transcenderait qu’un autre gars l’a écrit à ma place. Terrible concurrence des internets, ces salopards de Fier Panda, l’excellent nega-scott en l’occurrence, avaient largué une bombe textuelle si pleine de verve poétique qu’elle annihila toute velléité de ma part. Bande de bâtards, il ne me restait plus qu’à fapper sur une des vidéos de Larkin aux grands yeux pour tromper ma déception.
Cette fois-ci, j’ai l’occasion de vous présenter une courte interview, parue chez Inside Adult, de celle dont la langue serpentine et les protubérances mammaires excèdent la norme communément admise. Larkin Love, c’est l’outrance en tout point. Elle domine des orques gonflables, avale des sabres de chair caverneuse en titillant, dans un combo irréel, les bourses industrieuses fournies avec. Elle bave, crache, se déguise, asservit, humilie, elle est une déesse de sexe, baise avec des filles, des monstres, des bouées, je la veux, elle me tente, me fait basculer dans la folie, vas-y Larkin mon amour, mets ta perruque violette et rimjobe-moi avec ta langue de compète pendant que je mate tes fesses.
Clique pour voir la divine Larkin te parler de ses prouesses
Une boutique de préservatifs à Paris? Et pourquoi pas!
Il ne vous viendrait pas à l’esprit de marcher avec des chaussures trop grandes ou trop petites. Tout le monde trouve normal d’ajuster au mieux ce qui nous protège les pieds. Pourtant, quand on en vient au préservatif, à part les tailles standard (qui commencent à XL, il ne faut froisser personne) et une éventuelle exception King Size, tout le monde doit chausser du 42.
Depuis 2005, le Roi de la Capote vend sur internet les capotes de vos rêves. 250 références, des modèles originaux tels les « effets retardants », les formes adaptées aux ados ou aux circoncis, et les 95 tailles proposées par la marque They fit. Le roi de la capote avait d’ailleurs fourni à mes lecteurs des kits de préservatifs à leur taille, pour un test grandeur nature. Résultat : si votre pénis n’a pas une taille « standard », ça peut vous changer la vie.
En cette fin 2013, le Roi de la Capote ouvre une boutique physique à Paris. » Nous serons ouverts de 9h à 20h, et je serai présent dans la boutique », précise Marc Pointel, fondateur du site et diplômé en sexologie. « Ca permet aux gens d’avoir un contact direct, et puis il faut dire qu’internet ne représente que 5% du flux marchand, donc il y a encore de la place pour des boutiques physiques! Ca permet aussi de faire connaître le Roi de la Capote. »
C’est sûr que la boutique se voit : si vous passez boulevard Richard Lenoir après la tombée de la nuit, vous ne pourrez pas la louper : elle est presque plus éclairée que la Tour Eiffel! A part quelques livres de la collection Osez, les rayons sont 100% dédiés à la contraception : outre les préservatifs masculins et féminins, on y trouve aussi par exemple des tests de grossesse.
Plus gros distributeur de They Fit en Europe, le Roi de la Capote propose dans sa boutique l’intégralité des 95 tailles possibles. Encore faut-il avoir pris ses mesures (très facile à l’aide du kit fourni sur le net) car il va être compliqué de vous mesurer dans la boutique. « Je ne suis pas médecin, et je sais que si j’ai des détracteurs, ils ne vont pas hésiter à venir se prendre en photo dans l’arrière-boutique pour me discréditer. La loi française sur le proxénétisme est trop dangereuse. Et puis qu’est-ce que je fais si le gars reste enfermé 3 heures dans les toilettes? » Ah! la France et ses lois sur le sexe…
En tout cas, tout près du Palais de la Chaussure (spécialisé dans les grandes tailles), n’hésitez pas à rendre visite au Roi de la Capote, adapté aux petits et aux grands!
Le Roi de la Capote, 106 boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris
En matière d’hétéroflexilibité, le Japon a un coup d’avance. Cet été, une émission de télévision fut mise en ligne, un expert de la pipe pratiquait son art sur un homme hétéro, acteur porno de son état, devant une audience grand public. Oui, un mec en suçait un autre en prime time et les Japonais ont trouvé ça cool.
Apparemment, l’émission s’appelle Orgasm Wars et le principe est simple : faire jouir un partenaire qui n’en aurait pas eu forcément envie en dehors du show. Impossible de mettre la main sur d’autres affrontements orgasmiques, alors difficile de faire la part des choses entre le fake et le buzz, le faux et le ramdam.
Takuya pèse son poids, il n’est pas très attirant à première vue, mais une teub en bouche, il devient le maître Jedi de l’aspiration, le sensei de la gorge profonde, personne ne peut le test. Il se vante de satisfaire 100 % de ses amants, beau score. L’acteur blondinet Ryou Sawai va en faire les frais à son corps défendant. Bien décidé à ne pas venir, sûr de son hétérosexualité excellente, il vacillera sous les assauts méthodiques de Takuya.
Certains et certaines verront là, l’immonde mise en scène du viol ou de la grossophobie intolérable. Takuya et Ryou sont dépeints outrageusement par leur identité sexuelle. Et que dire de ce final explosif, qui sous-entend que l’orgasme est la seule manière de prendre du plaisir et qu’il peut être provoqué par de simples techniques sans induire un affect particulier, en l’occurrence les techniques nommées par Takuya « throat hold » et « high speed vacuum ».
Calmons-nous, la télévision japonaise propose un divertissement, un spectacle marrant. Au final, elle bouscule les tabous et les frontières du sexe, elle intrigue par la démonstration (vraie ou fausse) qu’un hétéro peut jouir grâce à un homme. Et puis, si vous êtes comme moi, vous vous demandez quels sont ces bruits d’aspiration très étranges que produit Takuya. Il faut absolument que j’essaie ça à ma prochaine rencontre sur Adopte.
Les petits gars de DirtyBoyVideo font des films entre garçons. Mais pas que, ils tiennent aussi un blog où ils commentent l’actu avec l’oeil lubrique de bons gros pédés. En langage plus châtié, on pourrait écrire qu’Anomic Observer relit les événements marquants touchant l’homosexualité masculine avec humour et décalage, mais ça trancherait trop avec l’envie de déconner des rédacteurs.
Dans les rubriques du blog, deux nous ont bien fait marrer. Il y a celle intitulée « erotic news fiction », où l’on apprend que les écoutes par la NSA du téléphone d’Angela Merkel ont révélé du sexting intensif avec Anthony Weiner (un candidat déçu et obsédé sexuel à la mairie de New York). Apparemment, la chancelière aurait une teub et aimerait les golden showers. Il y a également cette fine analyse de l’insulte d’Alec Baldwin, « cocksucking fag », qui indiquerait que certains pédés ne suceraient pas. Mais la rubrique qui tue s’appelle « cumming on assholes ». Il s’agit de vidéos de style tribute sur les photos des plus grands enfoirés du moment, comme un groupe de néonazis de Brooklyn, Poutine ou Bashar al-Assad. Une idée de génie.
La rédaction d’Anomic Observer traite bien d’autres sujets et nous vous invitons chaleureusement à consulter leurs articles.
[Ce jeudi, au lendemain de la publication de cet article, la vidéo dont nous parlons n’est plus visible. Elle a été supprimée.]
Vous avez peut être vu cette affiche en grand dans la rue ou dans le métro. Je suis tombée dessus dans le métro mardi et je suis restée bloquée. Ce chiffre surtout m’a interpellée :
« Un homme sur cinq est concerné par l’éjaculation précoce. Des solutions existent. »
Un homme sur cinq, c’est beaucoup.
Quand on commence à faire des recherches, on tombe sur la vidéo de la même campagne de pub, qu’on vous propose de regarder ci-dessus. Et...
Dans le septième numéro du magazine Richardson dédié à la mort, Tori Black donne une interview saisissante de sincérité, en plus d’apparaître sur de superbes clichés bondage du photographe Nobuyoshi Araki.
Tori Black met sa carrière d’actrice entre parenthèses à chacune de ses grossesses. Depuis que sa fille est née l’été dernier (elle a eu un garçon en 2011), Tori a repris le sport, les shows à travers l’Amérique et fait aussi des sexcams à l’occasion. Son retour sur les plateaux californiens semble pourtant compromis, pour l’instant elle se consacre à sa famille. Tori mérite bien d’appuyer sur pause, car sa vie n’a pas été un conte de fées.
Dans l’entretien réalisé par Karley Sciortino, qui tient slutever.com, Tori revient sur son histoire traumatisante. Violée depuis l’âge de quatre ans, expérimentant les drogues à partir de douze, défigurant une ado qui lui voulait du mal, foutue dehors par sa mère, envoyée en pension pour filles douées mais psychotiques par ses grands-parents, celle qui deviendra l’icône d’un porn chic et intense n’a connu que des galères dans sa vie personnelle et s’est retrouvée souvent à la rue. Elle raconte la fois où, prisonnière d’un gang de maquereaux, elle aurait pu finir pute asservie dans les demeures de riches clients hollywoodiens. C’était une soirée plutôt sympa au départ, elle avait décidé de rester alors que sa copine rentrait. Erreur fatale, elle fut retenue cinq jours, violée, droguée, battue. Les coupables n’ont même pas été inquiétés par la police, dur de croire une camée.
Tori confesse que le porno l’a aidée à reprendre possession de son corps mis à mal par les abus. En s’exhibant, elle affirme que sa sexualité lui appartient, qu’elle fait ce qu’elle désire et que personne ne lui dictera sa conduite. La jeune mère explique que, sur les tournages, elle se donnait à fond pour séduire son partenaire, l’équipe technique et les futurs spectateurs, que cette passion visible dans les scènes vient de là, elle vient du mal, Tori souhaite contrôler, avoir le pouvoir et rendre fou de désir le monde entier, devenir l’objet de convoitise parfait. On peut dire qu’elle a réussi.
Tori Black s’exprime aussi sur la prostitution dans l’industrie du X, pour elle, 85 à 90 % des actrices ne tournent que pour promouvoir leur activité d’escorte, plutôt péremptoire comme jugement. On lui a proposé la bagatelle maintes fois pour des sommes mirobolantes (de 50 000 à 100 000 $), en sus de vols en jet privé, elle a toujours refusé.
La belle au tatouage s’engage également sur l’éthique du milieu (Stoya n’est pas la seule). Elle a lutté contre l’idée que certaines pratiques sont moins valorisantes et empêcheraient de mener une carrière couronnée de succès. Refuser l’anal et l’interracial engendrerait bonne réputation et contrats en masse, mais c’est faux. La sincérité dans la démarche, voilà ce qui rend célèbre, ce qui a rendu Tori si chère à nos cœurs de fappeurs.
Tori Black a été gâtée par la nature, mais elle a morflé en société. Le porno l’a aidée à se rependre en main, le porno représente parfois de l’espoir.
Photos réalisées par Nobuyoshi Araki pour Richarson Magazine
L’équipe de France de Foot était hier, comme le veut l’expression consacrée, condamnée à l’exploit. C’était donc le moment de prendre des paris idiots (et d’essayer de les tenir). La miss météo de Canal a par exemple dit qu’elle présenterait la météo nue si la France se qualifiait, Jizzou a promis une tournée de blowjobs pour l’équipe du Tag et Dorcel la VOD gratuite sur Dorcelvision toute la nuit. 3500 RT plus tard et 3 buts au fond des filets, leurs serveurs ont explosé en plein vol.
Si les bleus se qualifient ce soir, ma VOD gratuite toute la nuit pour fêter ça ! #AllezLesBleus #FRAUKR
— Marc Dorcel (@dorcel) 19 Novembre 2013
En 45s, les bleus ont fait exploser tous les serveurs DORCEL http://t.co/0Bqa2N00tK dorcel.tv http://t.co/4684SYJccT http://t.co/2OSyfLEtcM
— Marc Dorcel (@dorcel) 19 Novembre 2013
Beaux joueurs, ils ont mis en place un mail d’urgence pour récupérer du porn gratos lesbleuslontfait@dorcel.com (plusieurs dizaines de mails reçus à ce jour) et une cellule de soutien psychologique pour tous ces fappeurs et fappeuses, la quine à l’air, la culotte sur les genoux, désemparés devant cette page « maintenance technique » impossible à pénétrer.
Les bookmakers anglais donnent aujourd’hui la France gagnante à 19:1 en finale de la coupe du monde. Fort de ces chiffres et de plusieurs taupes planquées dans les bureaux de Dorcel (dont une sous la chaise de Nephael) on peut, d’ores et déjà, vous annoncer la suite des événements.
Pas mal…
Pas mal du tout.
Si tout se passe bien, Marc Dorcel devrait pouvoir relancer l’économie française et faire faillite en même temps autour du 13 juillet 2014.
Tout commence avec Justin Bieber dormant tranquillement dans un hôtel brésilien. Soudain une jeune femme entre dans sa chambre à pas de loup, elle a dû récupérer une clé auprès d’une femme de chambre. Elle fait une vidéo de l’ex de Selena Gomez, comme s’ils avaient passé la nuit ensemble puis repart tranquillou sans le réveiller et en faisant planer le doute sur son statut d’escorte. Direct, upload sur YouTube, le buzz explose, il est dur et inévitable.
À la découverte du blondinet assoupi, tous les journaux titrent « Justin Bieber est allé au bordel », mais le pauvre Canadien à la mèche douloureusement absente dément. Dans la foulée, TMZ balance que Tati Neves, l’escorte présumée, a tourné dans des pornos (au moins trois scènes). On ne pouvait imaginer meilleur ramdam.
Les rédactions sont contentes, elles amassent les clics, mais qui a pris son billet d’avion pour vérifier les faits ? Et surtout qui a sorti l’info ? Perez Hilton l’a fait, et sans pression, tout le monde court derrière ce propagateur de rumeurs à plein temps. Ah les nazes ! Au Tag, en tant que Beliebers, nous n’y croyons pas, Justin est sain et pur, il ne commettrait jamais un tel acte ; coucher sans être amoureux, quelle idiotie ! Nous penchons plutôt pour la théorie du complot.
Hard body
Tati Neves a monté l’histoire de toutes pièces, le plan com’ parfait. Elle a pigé le système qui fonctionne à l’ère de la culture porn : célébrité, teub dans la bouche en .mp4, argent. Une petite investigation rend cette hypothèse fumeuse légèrement plausible. Un certain Filipe Harlow a mis la vidéo de Bieber sur YouTube. 36 millions de vues plus tard, on ne sait toujours pas comment il a obtenu le fichier. Brésilien installé à Dallas au Texas, il dirige une société de services web et a travaillé dans l’événementiel. Il est aussi connu sous le nom de Filipe Golay, dont le site officiel présente une pole danseuse sur la page d’accueil. Ah ! ah ! le bât blesse là, n’aurait-on pas trouvé un complice, une tête pensante pour lancer Tati dans le monde du show-business ?
Parallèlement, le site hotmovies.com vend une pseudo sex tape qui n’est en fait qu’une scène d’un quart d’heure. Pas de studio avec pignon sur rue répertorié, les agitations dénudées de Neves semblent sortir de nulle part. Pourtant, nous savons qu’elle a tourné pour Mike in Brazil, sous l’égide du géant Reality Kings (Mind Geek). Sur le site officiel, aucune trace de celle dont les pseudos serait Emanuele ou Linda. Bizarre, bizarre.
Foda me por favor
Tout cela sent l’entourloupe franc-maçonne à plein nez. Preuve bancale s’il en fallait une, le mystérieux Manubrasil, 25 ans de Sao Felix do Coribe, a ouvert un compte sur XVideos deux jours après le scandale et il a posté une scène de Tati Neves quatre jours avant que TMZ n’annonce qu’elle avait tourné du porn. C’est bon, vous êtes bien embrouillés ? Alors croyez-nous quand nous vous disons qu’il s’agit d’un complot pour nuire à Justin. En attendant que la lumière soit faite, pour vous détendre, matez l’énigmatique Tati et l’honnête Mike, dont la besogne consiste à lutiner les lusophones sud-américaines.
Récapitulons, nous avons une vidéo YouTube de Justin Bieber qui dort publiée le 6 novembre, ensuite Perez Hilton révèle, sans trop savoir comment, l’identité de la fille le même jour. Le 7 novembre, des photos de Tati nue sortent sur les sites spécialisés en gossip. Le 16 novembre, TMZ confirme qu’elle a pratiqué le porno avec hotmovies.com. Désormais, Tati Neves prépare son futur. Elle a une page Facebook où elle rayonne, un Instagram privé, un compte Twitter qui démarre doucement, ainsi qu’une adresse courriel pour la contacter, si vous avez des projets « artistiques » à lui proposer. Les joueurs de l’équipe de France, s’étant qualifiés pour le Mondial, ont déjà réservé leur prestation personnalisée.
Pluie d’orgasmes télévisuels et footballistiques ce soir. L’équipe de France masculine de foot s’est qualifiée pour la coupe du monde au Brésil, alors qu’elle était dans une situation désespérée. Une performance qui efface d’un coup la crise économique, le racisme et les températures hivernales.
La maison Dorcel avait surfé sur l’événement, mais en pensant sûrement que les footballeurs feraient le coup de la panne : la plateforme de VOD porno avait promis une soirée open bar sur tous ses films si la France se qualifiait.
Si les bleus se qualifient ce soir, ma VOD gratuite toute la nuit pour fêter ça ! #AllezLesBleus #FRAUKR
— Marc Dorcel (@dorcel) 19 Novembre 2013
Cela faisait plusieurs fois que la maison Dorcel faisait parler d’elle avec ses opérations « Foot ou Porno », mais jamais dans le cadre d’un match couperet dont la tension était aussi extrême que ce soir, et d’ordinaire c’était un rabais sur les films pendant le match, pas une gratuité totale juste après!
A 22h45, au coup de sifflet final, c’est l’extase. La France explose de joie, les klaxons résonnent dans les rues, la libido monte, et les internautes veulent fêter ça avec un petit porno! Il faut dire que l’initiative de Dorcel avait été très relayée sur twitter et que tout le monde était aux aguets.
« Voyant évoluer le score de façon positive, on avait commencé à prévenir les hébergeurs de nos sites qu’il fallait se préparer à une montée en charge – on a décidé cette opération un peu dans l’urgence – mais on ne s’attendait pas à un tel résultat! » m’explique Ghislain Faribeault, VP Médias chez Dorcel.
Car moins d’une minute après la qualification des bleus, c’est le penis captivus : les sites sont coincés!
En 45s, les bleus ont fait exploser tous les serveurs DORCEL dorcelvision.com dorcel.tv dorcelclub.com dorcelstore.com
— Marc Dorcel (@dorcel) 19 Novembre 2013
On ne saura donc pas si les internautes se sont rués sur Anal Football Club ou ont cherché à revisiter un classique Croupe du Monde (attention les liens sont chauds bouillants comme un tacle de Mamadou Sakho). En tout cas, les connexions sont beaucoup plus nombreuses que vendredi dernier : Dorcel avait déjà proposé une promo pendant le match aller (Ukraine – France, 2-0) mais la piètre prestation française des bleus avait sûrement coupé les ardeurs des supporters. Pour honorer sa promesse, Dorcel a créé une adresse mail pour tout ceux qui veulent réclamer un film gratuit : lesbleuslontfait@dorcel.com
Si jamais les serveurs restent en panne, les footeux pourront toujours attendre le Grand Journal de demain soir : Dora Tillier avait promis de présenter la météo à poil en cas de qualification. A moins qu’elle ne s’en tire avec une pirouette.
La météo à Poil
Amélie Lallemand est une ancienne étudiante des Beaux-Arts un rien provocatrice qui se lance tout juste dans le stylisme. Sa collection de prêt-à-porter exploite l’imagerie pornographique pour interroger notre rapport à la sexualité et à sa représentation. Sur ses tee-shirts et ses tote-bags s’étalent des photographies plutôt explicites, censurées d’une manière complètement hypocrite. De légères broderies ne viennent couvrir que les sexes, sans rien changer à la signification ni à la force de ces images.
Ce mélange entre la sincérité brute des images pornographiques et la censure datée des broderies donne un résultat pour le moins intéressant. Une manière élégante de dénoncer l’omertà réactionnaire qui continue de peser sur notre conception de la sexualité et de sa représentation, en affichant aux yeux de tous ces créations insolentes – « l’oeuvre surgit dans l’espace public, où chacun devient tour à tour audience, voyeur et bien sûr juge. »
Chaque pièce de la collection est unique, confectionnée à la main par Amélie Lallemand, qui crochette et coud avec amour chacun des motifs. Les tee-shirts et les sacs sont également agrémentés de nominettes tout droit sorties de votre plus tendre enfance. Si vous partez en colonie de vacances à Coulon (ou à San Francisco) avec votre tee-shirt, vous ne risquez pas de le perdre à tout jamais. Ça tombe très bien, parce qu’on compte vous en faire gagner un. Pour ce faire, c’est facile : contentez-vous d’envoyer un e-mail à concours@letagparfait.com, on tirera au sort le gagnant. Bonne chance.
Rocco Siffredi est un Européen convaincu. Le Jacques Delors du porno a donné beaucoup de sa personne pour que les républiques de l’Est entrent dans l’Union. Sa tournée des capitales de la Bohème aux îles espagnoles méditerranéennes prouve son attachement au rêve de Robert Schuman, Konrad Adenauer et Jean Monnet. On ne peut donc pas lui reprocher de traverser l’Atlantique pour revoir son mentor, toujours actif, John « Buttman » Stagliano pour un opus à sortir chez Evil Angel, le 2 décembre prochain.
Garçon tendre et drôle
Stagliano et Siffredi qui se retrouvent, ce sont deux vieux potes qui ne se sont pas vus depuis des lustres. Au lieu de faire une virée dans les bars de la ville et de se beurrer méchamment la fiole, ils appellent les actrices du moment pour que le (bientôt) quinqua étalon italien leur mette une dérouillée bien sentie avec son énorme pilon dopé à l’amour rough. Riley Reid, Maddy O’Reilly, Jada Stevens, Skin Diamond, Chanel Preston et d’autres subissent l’affection made in Rocco à base de baffes dans la gueule, de pied dans la bouche et d’étouffement en tous genres. Il est le bâtard sensible par excellence, il suffit de le regarder embrasser tendrement la demoiselle en pleurs, mais ravie, pendant qu’il la traite comme une moins que rien, pour comprendre qu’intérieurement se trouve un nounours tout doux.
Attention. Ne reproduisez pas ça chez vous, hein ! Les images que vous voyez sont réalisées par des cascadeurs professionnels, si vous déconnez le filtre porno va aussi débarquer en France et personne n’a envie de ça. Donc merci de vous tenir à carreau.
Sur ce, voici le trailer NSFW de « Rocco’s coming in America » en exclusivité pas du tout mondiale.
document.createElement('video');Une femme sur trois sera amenée à pratiquer une IVG au moins une fois dans sa vie, selon les derniers chiffres. Une femme sur trois.
Je me suis retrouvée enceinte, une grossesse non désirée. J’étais une de ces femmes sur trois.
Comment se fait-il qu’on puisse se sentir si vide après cet acte si banal dans les chiffres ?
L’avortement, je l’ai vécu comme dans un tourbillon. J’ai géré mais je captais que dalle, de rendez-vous en rendez-vous, d’obligations d’agir vite et à ce cafouillage hormonal permanent.
C’était une période de ma vie très occupée, j’avais...
Si vous n’avez pas la chance de faire partie de la Glorious PC Gaming Master Race et de pouvoir fapper là où vous fraggez sans avoir à vous déplacer d’un seul centimètre, rassurez-vous. Tout n’est pas perdu pour votre enveloppe terrestre, bien que votre âme de consoleux soit déjà promise à la damnation éternelle. PornHub, rayonnant d’amour iridescent, est le premier site porno totalement compatible avec la Playstation 4. L’annonce a été faite hier sur Twitter et a suscité un certain enthousiasme sur Internet. Le moins que l’on puisse dire, c’est que chez PornHub, on connaît son coeur de cible. Fait amusant, le tube pouvait déjà se vanter de supporter la WiiU et la DS.
Il est bien possible que cette nouvelle joue un certain rôle dans le succès de la Playstation 4 face à la Xbox. Au fond, les deux consoles sont quasiment identiques. La bataille entre Sony et Microsoft se joue avant tout sur le terrain de la communication, particulièrement à l’approche des fêtes de fin d’année. Pornographie et Internet marchent main dans la main depuis déjà quelques années ; ceux qui squattent les réseaux sociaux sont aussi ceux qui se baladent sur les tubes depuis toujours. Le succès du petit coup d’éclat de PornHub montre bien que l’influence de l’industrie pornographique ne doit pas être sous-estimée et que les grands groupes « traditionnels » ont tout intérêt à travailler avec elle.
This film is my first encounter with filmmaker Gordon von Steiner, and after watching it I’m in a combined state of awestruck and erotically inspired. The short video above is his most recent short film, Persona, shot for 25 Magazine and starring Edita Vilkeviciute. I love the super-slick glossy latex, shoes and saran wrap, the simple sexiness of the piano scenes, and the men, who are naked, strong, and sometimes submissive… Wow.
His film Show Girl starring Carmen Carrera is pretty fun, too.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.La Grande-Bretagne mène la guerre contre le porno depuis des mois et les premières batailles sont en train d’être gagnées. Trois nouvelles montrent que David Cameron, le premier ministre si soucieux de l’intégrité morale des petits Britanniques, a réussi à imposer sa vision répressive à la nation où les poitrines dénudées sont exposées en page 3 des quotidiens d’actualités.
Tout d’abord, les principaux fournisseurs d’accès internet (FAI) du pays ont accepté de donner corps au plus grand combat de Cameron, le filtre porno. Désormais, papa et maman devront choisir s’ils déverrouillent le filtre automatiquement activé lors de l’adhésion, quitte à ne plus consulter leurs tubes favoris pour le bien de leurs enfants. Les foyers déjà inscrits ont encore quelques semaines pour exprimer leur préférence. Sur les réseaux publics et le WI-FI, le filtre sera bien présent, impossible de savoir si Allan Théo a sorti une nouvelle vidéo familiale en travaillant à la bibliothèque. Les téléphones portables n’échapperont pas non plus à la censure. On attend de voir la mise en place effective et les difficultés que le filtre montrera à canaliser le porno dans son entièreté.
Ne pas aimer le porno n’empêche pas d’aimer sa femme
Ensuite, Cameron annonce qu’en janvier 2014, la loi contre la publication de contenus décrivant des viols va changer. Jusqu’alors, mettre en ligne de telles images était criminel, mais en détenir n’était nullement puni. Pour la nouvelle année, ceux qui auront des films pornos Dorcel datant des années 70 devront faire attention, ils pourraient se retrouver en prison pour trois ans. En effet, qu’elles soient simulées ou non, les scènes de viols passeront dans l’illégalité complète.
Enfin, les sites britanniques hébergés sur les terres de la couronne doivent protéger les mineurs de deux façons. En premier lieu, un avertissement à la connexion est censé prévenir les yeux innocents de l’enfance qu’il s’agit de contenus adultes. En deuxième lieu, les moyens de paiement accessibles aux moins de 18 ans (cartes de débit) ne peuvent être acceptés pour visionner les vidéos et images de filles nues avec des zizis dedans. C’est pour ces raisons que jessicapressley.com et pleasuringherself.com ont fermé leurs portes dernièrement.
« On veut le retour du porn », futur slogan en tête des manifestations londoniennes
David Cameron impose une peur du porno avec une politique de répression plutôt sévère et totale. Le filtre porno à la source oblige n’importe quel parent à protéger sa descendance tout en s’interdisant l’accès aux joies du sexe en gros plan à lui-même. Mais surtout, dans quelle mesure le filtre sera-t-il efficace ? Un site qui parle de sexe ne montre pas forcément du porno. Les sujets de la reine le consulteront-ils tout de même ? Quid de l’érotisme, des revues d’art ou des campagnes publicitaires des grandes marques de luxe ? Aussi, les FAI deviennent responsables de la censure devant le gouvernement, que se passera-t-il s’ils échouent ? Et puis, souvenez-vous du temps où le téléchargement illégal faisait ses débuts. Sur Emule, les comédies romantiques et les films Disney n’étaient souvent que des copies de pornos allemands bien dégueulasses qui prenaient par surprise le peu de candeur qu’il vous restait. Cette politique pourrait bien mener à la réapparition de cette calamité qu’on croyait enterrée à tout jamais.
Le logo de l’institut néerlandais détourné par ses salariés
Les Pays-Bas sont le premier pays à avoir légalisé le mariage homosexuel, en 2001. C’est un des pays d’Europe où la prostitution est règlementée. C’est un pays qui montre souvent la voie en matière d’acceptation des moeurs, et son rayonnement culturel peut donc influer sur ses voisins. Mais la culture, c’est pas comme le soleil, ça ne rayonne pas tout seul.
Ainsi lorsqu’un jour j’ai eu vent des soirées ciné-club de l’Institut Néerlandais de Paris, j’ai eu très envie de m’y rendre. Et grâce à ces projections, souvent en présence de l’équipe du film, j’ai eu souvent l’occasion d’en apprendre sur les Pays-bas et de rencontrer des gens très intéressants. Je me souviens par exemple des soeur Fokkens, à la mise impeccable, me racontant leurs souvenirs de décennies de prostitution à Amsterdam. Ou de cette soirée en hommage à Sylvia Kristel, qui m’avait permis de découvrir une autre facette de son oeuvre. J’avais récemment raté les nuits gay du ciné-club mais j’espérais me rattraper plus tard…
Eh bien il n’y aura peut-être pas de plus tard. L’argent public, il n’y en a plus non plus aux Pays-Bas, ou du moins le consacre-t-on moins au rayonnement de la culture néerlandaise à l’étranger. Car malgré moult pétitions à tout va, à la Reine, au Roi etc, l’Institut Néerlandais de Paris va fermer ses portes, et son ciné-club aussi, laissant sur le carreau plusieurs salariés. Cela fait suite à l’arrêt de la subvention accordée par le ministère des affaires étrangères et donc ne permettant plus à la culture néerlandaise d’être mieux connue en France… Au départ, les crédits devaient être coupés fin 2014, mais cela se produira finalement à la fin de cette année.
L’Institut Néerlandais de Paris était l’un des deux seuls dont disposait les Pays Bas dans le monde, avec Jakarta… Alors est-ce une simple question de budget? Ou une reprise en main politique par l’ambassade qui voyait d’un mauvais oeil la présence à ses côtés de cet Institut indépendant? Dans tous les cas, plus de cours de néerlandais par les films d’ici quelques mois, et c’est très dommage!Harry Bos, porte-parole du personnel de l’Institut et programmateur des films, espère pouvoir faire renaître le ciné club sous une autre forme. J’espère qu’il y parviendra! Se frotter à la culture de l’autre, c’est important, surtout quand l’autre est néerlandais.
En attendant, vous pouvez venir fêter l’adieu de l’Institut Néerlandais dans la joie (tant qu’à faire) à la salle Gaveau le 19 novembre, avec des musiciens néerlandais qui mélangeront allègrement le baroque, la musique klezmer et le jazz!
(De Douala) « Mon calvaire a commencé à 12 ans », se souvient Christelle Ensi, une coiffeuse de 27 ans résidant à Douala, la capitale économique du Cameroun :
Supprimer les signes extérieurs de féminité« Chaque soir, ma mère me faisait asseoir près d’elle dans la cuisine. Elle dénudait alors ma poitrine pour presser avec force une spatule chaude sur mes seins naissants. Pendant que je hurlais de douleur, mes deux tantes me maintenaient. Au bout de trois mois, ma mère a été forcée d’arrêter en raison de mes brûlures. »
Tradition ancestrale moins connue que l’excision, le...
L’article du New York Times commence par une anecdote : Natasha, une jeune fille de 23 ans, raconte une aventure d’un soir avec un étudiant de l’université de Brown. Cette nuit-là, son partenaire ne s’est pas du tout intéressé à son plaisir. Il a joui, puis il s’est endormi. Elle a regardé le plafond, avec l’envie de sexe qui garde éveillée.
Ce qui est intéressant à noter, nous dit l’article : les jeunes sont de plus en plus égaux dans la culture du plan cul d’un soir (en anglais, le mot est « hookup culture »). Les femmes, comme les hommes, envisagent sans problème de pratiquer...
C’est la galère. On ne sait pas si c’est l’automne et son vent froid qui souffle sur les ardeurs du milieu porn, mais il ne se passe pas grand-chose en ce moment. J’ai beau sonder les profondeurs d’internet, le taulier ne trouve rien qui siérait à votre cœur.
Alors quand la situation est désespérée, que le ciel devient gris, sans jamais perdre un instant, tu appelles au secours et EFukt accourt en deux temps, trois mouvements. Il relève tous les défis, il est toujours présent pour te trouver une vidéo pas piquée des hannetons et sauver ton contenu éditorial. Pour le remercier, une soirée spéciale en son honneur est en préparation avec les doux organisateurs de Panic! Cinéma. Plus d’infos bientôt.
Cette semaine, les Japonais sont à l’honneur. Réputé pour être le plus tordu niveau porno, ce peuple complexe à comprendre joue simplement sans tabou avec sa créativité sexuelle. La preuve dans le montage suivant, où des filles déguisées en Power Rangers s’astiquent frénétiquement le pénis comme possédées par le démon du fap. Ça s’asperge de fluide, ça s’arrache la teub furieusement dans un décor futuriste des années 80.
Clique pour découvrir la folie douce saveur wasabi
Pour la petite histoire, les femmes dotées d’un sexe masculin (tout en n’étant pas des transsexuels) font référence au style de manga nommé futanari, où de jeunes filles voient subitement apparaître un gros chibre entre leurs jambes. Visiblement dans l’extrait précédent, la transformation les a rendues folles.
Les objets du désir de Thomas Alien Glass
Le « redressement productif ». Le « slip français« . La « tour est folle« . La relocalisation de la production, le savoir-faire hexagonal, l’artisanat, voilà des sujets économiques dans le vent. Ce billet n’est pas sponsorisé par Arnaud Montebourg, mais Arnaud, si tu me lis, penses-y pour la prochaine com’ du ministère : le sex-toy français en a à revendre.
En voilà un qui combine sexe et artisanat : Thomas Segaud. Responsable d’une une boutique de sex-toys, Thomas est, en parallèle, souffleur du verre. Et parmi ses productions : des godes en verre. Comment on en arrive là ?
Coup de foudre pour le verre
« Je ne faisais pas grand chose au lycée, quand j’ai eu un coup de foudre pour le verre soufflé. J’ai alors fait un bac pro spécialisé en verre soufflé, en Auvergne, un des seuls qui existe en France. Dès que j’avais des vacances, je partais avec mon sac à dos pour passer du temps avec des artisans, leur donner un coup de main et apprendre avec eux. »
Une fois le bac en poche, Thomas part travailler chez un designer, à Lyon, « Du coup avec lui j’ai réalisé de nombreuses pièces. Après 4 ans, je suis venu à Paris pour faire autre chose, faire un break, et j’y ai retrouvé mon meilleur porte John Rousseau qui est un copain de promo et qui a son atelier dans le 95. »
Thomas et ses créations
A la recherche de débouchés pour son art, Thomas est embauché par le Passage du Désir… dans le métier de la vente. « Je suis responsable d’un magasin, mais mes jours off je les passe à l’atelier pour travailler pour moi, sur mes propres modèles. Au bout de 2 ans de réflexion, sur ma production, mes objectifs, j’ai lancé ma marque Alien Glass. »
Comment en est-il venu à souffler des godes ? « Quand j’étais à Lyon, de nombreuses personnes du milieu gay ou de la nuit m’avaient fait des demandes spécifiques pour des modèles, des trophées, des piercings. C’est venu naturellement en suite. »
Pas seulement des bibelots
Quand on voit ses modèles, on se dit que ça fait de beaux objets de déco… Mais les gens s’en servent-ils vraiment en situation ? « Ce n’est pas seulement un bibelot. Le poids de l’objet fait en sorte de stimuler les zones érogènes, les renflements stimulent aussi les zones telles que le point G et le point P. Qui plus est le verre est une matière à laquelle on ne peut pas être allergique, et elle prend la température du corps, on peut le refroidir au frigo ou le mettre au bain-marie si on veut jouer avec la température. Et ce sont des formes très douces, le verre étant lui-même une matière très douce. »
On nous rabâche aussi que le seul moyen pour la France de s’en sortir c’est l’innovation. Alors pas question pour Thomas de s’en tenir à ce qu’il fait déjà : « Là je viens de lancer un système d’argenture, qui donne des couleurs et des formes assez originales. Et on va développer deux modèles avec le passage du désir, dont un modèle « rainbow » aux couleurs du drapeau LGBT. Je fais aussi des recherches en ce moment, je travaille avec des gens qui font des sex-toys en acier chirurgical, avec des moteurs à l’intérieur, c’est ma prochaine évolution. »
L’aventure intérieure?
J’avoue que la première idée perverse que j’ai a eue, en voyant ces sex-toy en verre, c’est de mettre un objectif de caméra au bout, version « aventure intérieure », pour filmer ses ébats vraiment au plus près. « J’y ai pensé aussi, je cherche encore comment le faire, et j’ai aussi besoin de partenaires pour partager les coûts de développement. »
Bref ce ne sont pas les idées qui manquent… Ce qui devrait continuer à donner une certaine originalité à ces objets. Car le « made in France » a déjà permis à Thomas de faire parler de ses objets. « Je suis fier de ça et c’est vrai que ça me démarque vis-à-vis des nombreuses marques qui fabriquent aujourd’hui en Chine. Ce produit 100% made in France est vraiment sorti du lot car on est dans l’art, et dans cette identité d’artisanat local. Le vivier d’artisans se réduit d’année en année au vu des coûts de production qu’on a (le gaz pour amener la matière à 1200°C) et de la concurrence des marques fabriquées à bas coût à l’étranger. »
Nous annoncions le revenge porn moribond en septembre, mais il vit toujours, il vivra toujours même, et ce malgré sa pénalisation dans les États américains de Californie, du New Jersey et nouvellement du Wisconsin.
Dernièrement, le phénomène des homewreckers, les briseurs et briseuses de ménage, a rempli les comptes en banque de quelques webmasters bien malins. Offrir aux femmes et hommes trompés l’espace pour afficher la tête de l’ignoble individu qui a osé détourner l’être cher, voilà un beau business. D’autant qu’il est stupide de rejeter entièrement la faute sur la tierce personne, la moitié de son couple mérite aussi quelques remontrances. C’est à ce moment-là que le revenge porn intervient, avec son lot d’images prises au téléphone portable.
Tous ces sites inscrivent en caractères gras les noms et ville de résidence de filles et de garçons sans leur consentement, plaçant ainsi leur nudité en bonne place dans les résultats Google. En plus de ruiner probablement la vie de son ex, du moins son état psychologique, le délateur cocu ou déçu par la rupture use d’une prose où le champ lexical de la tendresse n’a pas sa place. Et que dire des commentaires…
Belle histoire père Castor
Nous éviterons le point Godwin pour qualifier ce joli petit monde, faisons juste remarquer que MyEx.com a construit un business plan très sympathique. Non seulement, la victime se retrouve à poil contre son gré aux yeux de tous, première angoisse, mais surtout, deuxième effet Kiss Cool, le site propose généreusement de virer les photos contre une participation modique de 499 $. Un grand nombre de solutions de paiement sont acceptées, ils ne font pas les difficiles.
Passe à la caisse
Évidemment, il ne faut pas payer, la garantie de suppression n’existe pas vraiment. Des témoignages trouvés sur Reddit le démontrent. La seule alternative raisonnable reste d’aller voir la police ou de faire un tour sur le site de la DMCA qui protège les victime de revenge porn, mais c’est aux États-Unis. En France, le droit à l’image est protégé, la reproduction et la diffusion sans accord représentent une violation de la vie privée.
Nous pensions avoir atteint la panacée dans l’exhib game avec Snapchat, plus de soucis de porno revanchard, mais les screeners fous ont réinvesti de terreur cette douce paraphilie. Alors, avant de payer votre boule, boob ou teub, assurez-vous que l’autre en fasse autant, histoire d’avoir du répondant.
Pour résumer, avec MyEx.com, la sodomie est profonde et multiple, la sensation doit être exquise. Si vous prévoyez de devenir un connard ou une connasse, soyez cool, envoyez les photos sur un autre site.
D’après Marc Pointel, créateur de l’excellent site Le Roi de la Capote, la consommation annuelle moyenne de capotes, chez les célibataires français âgés entre 15 et 64 et sexuellement actifs, serait de… 3,8 capotes. Un chiffre incroyablement bas, sauf si vous êtes très peu actif sexuellement ou que vous avez votre full test à jour en permanence (dans ce cas-là, vous êtes peut-être acteur porno, cette espèce rare).
Même si l’utilisation du préservatif a considérablement augmenté lors du premier rapport sexuel par rapport aux années 80, on constate malheureusement que trop peu de gens en mettent, particulièrement chez la jeune génération qui n’a pas connu la peur du sida. Si statistiquement, les risques de contamination sont bas comparés aux autres IST (est-ce un argument ? certainement pas), on vous rappelle que la chaude-pisse est en forte augmentation depuis quelque temps et qu’on ne vous souhaite pas de la choper (pareil pour les autres IST). Sans oublier que la capote reste un moyen de contraception peu cher et foutrement efficace.
Petit jeu : retrouvez la marque préférée de chaque rédacteur du Tag dans cette image
Si vous pensiez que la capote n’est pas confortable ou qu’elle coupe l’excitation, vous faites erreur et ne choisissez tout simplement pas la bonne ou vous l’enfilez mal. Pour remédier à ce problème, l’industrie du préservatif a donc fait des efforts considérables ces dernières années pour rendre l’expérience la plus agréable possible : capotes sur-mesure, sans latex, ultra-fines, adaptées à toutes les formes de kiki (circoncis ou non), nervurées, etc. Une petite révolution dans le plaisir au service de la santé.
Des capotes chez Le Roi de la Capote, ce n’est pas ce qu’il manque, il les a toutes et en vend 1,5 million par an. Un succès qui a amené son créateur à ouvrir une boutique physique demain dans Paris, une première en France qui – on l’espère – portera ses fruits. Elle est située au 106 boulevard Richard Lenoir dans le 11e arrondissement, vendra évidemment des capotes et des lubrifiants, mais accueillera également des psychologues, sexologues et gynécologues pour répondre à vos questions.
Alors allez-y, dévalisez-le, protégez-vous, baisez, encore et encore ; pas de YOLO avec sa teub.
Cela fait plus de six mois que vous vous masturbez devant des vidéos d’amputés. Ça vous excite vraiment et votre vie s’en trouve endommagée de quelque façon que ce soit. Eh bien, vous êtes diagnostiqué acrotomophile, c’est une paraphilie et médicalement très sérieux. Des paraphilies, il en existe des centaines connues et répertoriées par des psy qui, eux-mêmes, peuvent être excités par les paraphiles, ce qui en ferait une métaparaphilie et on ne serait pas sortis de l’auberge.
Pour y voir plus clair, un artiste, graphiste, photographe, peintre (etc.) a décidé de créer une série de fiches éducatives d’inspiration pictographique. Loïc Swiny, alias SweeeN, a exposé son travail, intitulé « le paraphile », qui se veut à la fois ludique et utile aux professionnels de la santé, en octobre dernier à Nice. Le résultat est dans la veine des affiches de films minimalistes, dont Buzzfeed se repaissait à une époque. Il en a représenté 132, disponible sur son site, gros boulot.
Les paraphilies constituent une source d’amusement inépuisable à la découverte des noms donnés à telle ou telle pratique sortant vraiment de l’ordinaire :
J’arrête la liste, car elle est longue et faite d’étonnement toujours renouvelé. Mais sachez qu’aimer un peu un truc déviant ne doit pas vous envoyer forcément dans le cabinet d’un psy, au contraire, tant que le consentement et la confiance sont de la partie, c’est la fête.
Erika Lust, c’est un peu notre amoureuse. Avec XConfessions, elle trace son chemin dans le porno en remontant sur la bande d’arrêt d’urgence, laissant les prods sans créativité dans les embouteillages de la crise. Elle impose chaque mois, grâce à un court-métrage issu des révélations d’internautes coquinous, une vision du X qu’elle nomme féministe et que nous qualifions simplement de bandante.
Pour découvrir les clips scénarisés et explicites d’Erika, le passage par la case inscription est obligatoire, mais cela vaut le coup de lâcher son mail. Une partie des vidéos ne coûte que le temps d’attente pour les charger, le reste est payant. Erika prodigue la douceur dans ses films, elle en fait de même dans son commerce.
Nous ne serions trop vous recommander les 5 minutes de « I can’t stop this affair », où une femme dans la quarantaine et mariée entretient une liaison avec un jeune homme, sans doute étudiant, entre deux rendez-vous professionnels. L’alliance à son doigt lui pèse, quel avenir pour cette idylle ? Lust décrit cette intrigue avec de multiples plans dans différents lieux, le porn est accessoire, le jeu des acteurs est sincère, touchant, les émotions bien retranscrites, bref, en un mot comme en cent, c’est super.
Pour la bonne bouche, un extrait de « Obsessed », un autre exemple des talents notre porn feminist préférée.
À venir des vidéos nommées « A blowjob is always a great last-minute gift idea! » ou « I pegged my boyfriend ». Ça donne envie !
Chaque jour, dans les journaux d’actualités, sonne le glas du capitalisme industriel. Tandis que les usines ferment à tour de bras dans les pays occidentaux où le coût de la main-d’œuvre ne permet aux entreprises que la seule production de biens à forte valeur ajoutée, nous trouvons aujourd’hui, dans le porno, l’exemple parfait d’une économie en mouvement, glissant d’un fordisme de masse à un genre de toyotisme semi-professionnel où les leviers de décision appartiennent au consommateur.
Customs4U lance une plateforme de vidéos qui plante un peu plus profondément le clou des difficultés vécues par les studios de production historiques. À l’instar de Clips4Sale, l’internaute choisit son porno dans un environnement plus dynamique et moins années 2000. Concrètement, il s’agit de commander le porno que l’on désire : pratique, habillement, durée, actrice (naturellement) et délai de livraison. La chaîne de production attend le signal du client pour se mettre en branle.
À première vue, cette customisation du fap fait rêver, finies les négociations avec ta nana pour qu’elle t’envoie un peu mieux qu’un décolleté par MMS pendant les heures de travail. Avec Customs4U, tu as une actrice qui va bosser juste pour toi et accomplir tes fantasmes les plus vicieux, une bien douce mélopée que nous chante Tim Stokely, le boss du matos. Malheureusement, tous les délires ne sont pas encore possibles, chaque actrice a listé ses pratiques et elles se cantonnent à des fétichismes dont les amateurs de Clips4Sale s’empiffrent déjà jusqu’à vomir. Des exemples ? D’accord.
Gemma Hiles, blonde, boobs en plastique et fort jolie, dispose d’un éventail de compétences très intéressant et représentatif. Elle humilie de multiples façons, que ce soit en piétinant, en t’allumant puis en se refusant ou en se moquant de ton petit pénis. Elle satisfait également les fétichistes de pied, de jeans, de superhéroïnes, de ventre (coucou le joli bidou), de hauts talons, etc. La liste est fournie, mais il manque tout de même la présence masculine qui comblerait les envies légitimes de sodomie ou d’éjaculation faciale d’internautes dans leur bon droit.
Gemma me plaît, une fille aussi bien foutue qui s’exhiberait juste pour moi, l’idée m’excite. Intrigué par la domination financière, je clique sur cette pratique, mes faps durant longtemps, je sélectionne une vidéo de 30 minutes (les « 15 secondes Instagram » ne ferait pas l’affaire), le tout en HD, en attendant la 4K. Un cadre description permet de préciser la teneur de son fantasme et de ses espoirs, mais je le remplirai plus tard. Mazette ! La facture s’élève à 549,10 dollars américains. Je modifie la durée à 10 minutes, passe en définition standard et le montant baisse : 223,92 dollars. J’interpelle Gonzo pour lui parler de cette note de frais à venir, il s’écroule sur la moquette du bureau.
Les tarifs varient selon la fille, elle applique ses propres barèmes en fonction des pratiques et aussi du temps de livraison. Avec Indica Greenly, je pourrais avoir une domination financière de 10 minutes en HD, livrée en 24 heures, pour 47,25 $. De plus, elle exerce le boy/girl que Gemma a oublié. Pour le reste des actrices, entre les Goddess machin, les Princess bidule et les Mistress truc, les candidates à vos fantasmes sont très attirantes pour la plupart. Customs4U annonce 350 modèles à ce jour, parmi lesquelles une seule vraiment connue : Eva Angelina.
Les lois de l’offre et de la demande sont implacables. L’industrie du porno mute et ces sites, où le consommateur influe directement sur la production, signalent un changement d’ère. La production de masse s’étiole tandis que les marchés parallèles se développent. Il y a les sexcameuses en circuit court, un seul intermédiaire entre l’actrice et le fappeur ; désormais, le porno doit compter sur les boutiques de customisation, les échoppes de la request.
[Edit] Customs4U va être le sponsor média de la prochaine AVN Adult Entertainment Expo. AVN nous manipule un peu en sortant un article sur le site de request la veille de l’annonce de ce partenariat. Mais bon, au moins ce type de porno est reconnu par le milieu.
Les scène de sexe dans « La Vie d’Adèle » ont fait beaucoup parler d’elles. On les a dites ridicules, pas réalistes, chirurgicales. Sur Rue89 même, Isabelle B. Price, une blogueuse lesbienne, disait son sentiment :
« La première fois qu’Adèle et Emma font l’amour, on ne s’attendait pas forcément à ce qu’elles revisitent l’intégralité du “ Kâmasûtra ” lesbien. Pour une première fois, c’était un peu excessif. Où est donc la marge de progression, le doute, l’embarras ? »
Dans cette vidéo, Yeni Sleidi une journaliste de Posture Mag, un magazine queer d’art new...
Le futur n’est pas très loin, il est même à nos pieds. Pendant l’Oculus Game Jam (rendez-vous pour les développeurs et les curieux autour de la marque Oculus) a été présenté le prototype VR Tenga combinant l’Oculus Rift (casque 3D nouvelle génération pour gamers), le Novint Falcon (accessoire pour rendre plus réel les manettes de jeux) et un Tenga, la célèbre marque japonaise de masturbateurs (on ne dit pas vaginette c’est horrible comme terme et complètement réducteur). Un combo d’accessoires pour rendre le fap plus réel.
Fini le temps où la branlette était archaïque et manuelle, faites place à la grande aventure du sexe virtuel qui répond enfin à vos mouvements. Il vous suffit d’une teub et d’un peu d’imagination (le tag anime n’est pas ce qu’on fait de plus réaliste), vous rentrez votre machin dans le Tenga, vous mettez votre casque sur la tête et vous vous déhanchez furieusement.
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French porn favorite Dorcel Club is busy releasing superb porn:
A few choice shots I really like are after the jump.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Quel est l’avis des chats sur le clip de M. Pokora et la « Manif pour tous » ? Que pensent-ils des écoutes de la NSA ? Ont-ils peur de se faire voler leurs croquettes pendant le ramadan, comme Jean-François Copé ?
Autant de questions qu’on ne se pose pas assez. Klaire, blogueuse, revient en BD de façon un peu décalée sur des problèmes d’actualité à l’aide de cette petite ménagerie à moustache.
La prostitution, c’est l’échange de sexe contre de l’argent, une zone moins franche que prévue. Catherine Deschamps, sociologue, qui a participé au numéro de la revue « Ethnologie française » consacré aux sexualités négociées, s’est penchée sur ce sujet.
Est ce qu’on doit sortir la prostitution des relations « normales »? Quelle barrière entre les michetonneuses, les « vraies » prostituées, un homme qui couche avec sa femme pour quelle s’occupe des mômes, où est la barrière entre la prostitution et la sexualité négociée?
Ne serait-ce que parce que dans les représentations les plus courantes, la prostitution ne renvoie pas à des relations normales. Ces représentations ont un effet, y compris pour qui voudrait banaliser la prostitution, établir des continuum avec d’autres formes de relations ou faire des parallèles, d’où l’existence même de votre question. Ensuite, entre ce que nous appelons prostitution dans les pays occidentaux et ce qu’on nomme « sexualité transactionnelle » notamment dans les études sur les pays africains, il y a un monde.
Par ailleurs, et contrairement à ce que laisse supposer les représentations occidentales, ce sont nos pays occidentaux qui constituent une exception dans le rapport à la sexualité : nous l’espérons libre d’économie, alors que presque partout ailleurs dans le monde il est admis que la sexualité fait (et doit faire) l’objet de transactions. Certes, entre des transactions qui peuvent être en nature (cadeaux divers et variés, prestige, etc), et somme précise d’argent, il y a des différences.
En France, c’est le ministère du droit des femmes qui porte cette loi sur la prostitution car la prostitution est une violence faire aux femmes. Est-ce qu’une cliente de la prostitution masculine, c’est une violence faites aux hommes?
La critique est bien sûr légitime. Mais il faut quand même bien admettre qu’aucun ministère n’épuise un sujet (que ce soit sur la prostitution ou sur d’autres choses). Il faut donc se demander ce que le choix de tel ou tel ministère dit de la manière dont un gouvernement veut qu’on « lise » un sujet de société. Là, incontestablement, ils ne veulent retenir de la prostitution que son modèle le plus fréquent : une prostituée femme et un client homme. (Extrait du projet de loi : « Enfin, ce phénomène contrevient au principe d’égalité entre les sexes. En effet, même s’il existe une prostitution masculine, les clients sont en quasi-totalité des hommes. »)
Ils ne veulent pas réfléchir à partir des nombreux autres modèles, certes minoritaires : un prostitué homme pour un client homme ou femme, et une prostituée pour une cliente, et un/une prostituée transgenre pour client ou cliente. Non seulement il y a 6 cas de figure alors qu’ils n’en retiennent qu’un, mais encore ils affirment d’emblée que victime il y a et que la victime est forcément la personne qui se prostitue, non le client.
Est-ce qu’on peut dire que les hommes négocient leur sexualité financièrement comme on peut le dire des femmes? Comment expliquez-vous cette asymétrie client/prostitué selon le genre/sexe ?
Il y a effectivement majoritairement des clients hommes. Ou, plus exactement et pour la France, les clients hommes appartiennent à tous les milieux sociaux, économiques et culturels, alors que pour être cliente, il semble falloir à la fois un capital économique et culturel bien supérieur à la moyenne. Par ailleurs, les clientes font peu appel à des prostitué-e-s de rue, d’où leur moindre visibilité dans l’espace public. L’espace public doit être vu là dans son double sens : comme espace physique et comme espace médiatique.
Est-ce à dire pour autant que les hommes négocient moins leur sexualité que les femmes ? En général, sans doute cela semble-t-il vrai. Mais des contre-exemples sont nombreux, et si les manières de signifier la négociation varie pour les hommes et est plus discrète, cela ne veut pas dire qu’elle soit absente.
La classe politique semble se ranger unanimement derrière l’abolition de la prostitution : le dernier texte réaffirmant la position française a été voté à l’assemblée en 2012 par tous les partis politiques. Quel groupe politique aurait les moyens de se positionner pour la défendre comme une activité plus nuancée qu’elle n’en a l’air?
Les Verts, lors des mobilisations des prostitué-e-s de 2002-2003 en France se sont positionnés à leur côté. Ils étaient le seul parti à tenter un discours plus nuancé et encore cela n’a t-il pas été sans remous dans leurs rangs. Il est nécessaire de s’intéresser à ces mobilisations d’il y a à peine 10 ans pour comprendre ce qui se passe et se répète aujourd’hui, d’autant qu’un certain nombre de groupes militants de prostitué-es en sont issus, d’Act Up notamment.
Ethnologies françaises : Sexualités négociées. A télécharger sur le site www.cairn.info.
Hungarian artist Balazs Sarmai has made a new set of concept vibrators – a Star Wars / Lord Vader set – and this time he based them on LELO’s exquisite premium line of luxury sex toys. Just like his Avengers series (back in August), if real, they would be must-haves.
Sarmai’s fun Star Wars set is derived as follows:
J’apprenais mardi sur Rue89 que le « portrait de Kamalini, étudiante indienne », qui m’avait été envoyé et que j’avais relayé sur le blog Recherche et travail sexuel, était un canular.
En premier lieu, je tiens à m’excuser du manque de rigueur dont j’ai fait preuve, manque de rigueur qui a amené au relais de ce canular. La manipulation et le mensonge n’étant pas des méthodes que j’ai usage de pratiquer, mon seuil de méfiance est peu élevé, et je ne pense pas avoir péché par autre chose que naïveté.
Lorsqu’une personne se présente à moi en tant qu’alliée et me demande de...
Quand vous matez une scène entre Carla Cat et Titof, Tiffany Doll et Bruno SX, Manuel Ferrara et Kayden Kross, vous regardez plus que du sexe, vous contemplez la magie de l’amour en gros plan. EFukt a déniché LA vidéo du couple le plus amoureux du monde entier.
Brooke Lee Adams et Gracie Glam s’aiment dans la vie. Sous l’œil de la talentueuse réalisatrice Mason, les deux filles expliquent la connexion sentimentale puissante qui les unit. Elles débordent d’une fièvre embrasée d’affection, de tendresse, tant et si bien qu’à la fin, l’orgasme fait chavirer Brooke Lee. Elle fond en larmes, s’excuse, sourit, Gracie déclare son amour, Brooke Lee l’aime en retour, elles s’embrassent, se serrent fort, rient, hoquètent sous les spasmes de l’émotion.
La teub à la main, on assiste circonspect au plus beau moment du porno, tout le monde chiale, tout le monde est heureux. C’est que du boner !
Clique pour voir l’émotion pure de l’amour avec des papillons dans le ventre
Femmes trompées, femmes bafouées, femmes trahies ou juste soupçonneuses, vous avez enfin votre site ! Une petite merveille de finesse habillée de rose – repérée par la journaliste Maïa Mazaurette – qui vous permettra d’exercer tranquillement votre vengeance.
Le nom du site, ShesAHomeWrecker.com – « C’est une briseuse de ménage » – résume son concept : exposer les maîtresses. La « baseline » clame : « EXPOSE HER ! »
Le logo, tout en nuances, représente un talon aiguille (rose) prolongé d’une fourche, comme dans « Le Diable s’habille en Prada ».
Nom, prénom et photo (moche s’il vous...Après nous avoir appris à réagir en cas de chute durant une séance de bondage en suspension, Kinky continue son chemin éducatif dans le fabuleux univers du BDSM. L’équipe du site a ressorti une vidéo datant de juillet 2013, un documentaire réalisé par le Health Equity Institute (HEI). Sans rapport avec le Russian Institute.
L’Institut est une organisation affiliée à l’université publique de San Francisco pour promouvoir la justice sociale. Dans ce cadre-là, en collaboration avec le département de cinéma, l’HEI produit des moyens-métrages pour mettre en lumière des initiatives peu connues. Le BDSM générant beaucoup de fantasmes pas forcément positifs et faux, les étudiants de l’Institut ont posé des questions à des membres éminents de la communauté.
Saint-Sernin et Le Serbe, suspension entre potes
Le BDSM est un mouvement, plus qu’une simple pratique. Il suffit d’analyser la signification des quatre lettres. Elles fonctionnent par paires. BD, DS, SM : le bondage et discipline, la domination et soumission et le sado-masochisme. Beaucoup de possibilités pour trouver son plaisir en dehors de l’image d’Épinal, coups de fouet et combinaisons en latex.
Les personnes interviewées déconstruisent les clichés. Tour à tour, ils nous confirment que les adeptes de BDSM n’appartiennent pas à la catégorie des malades mentaux ou qu’ils ne reproduisent pas des mauvais traitements subis pendant l’enfance. Les Noirs se joignent aussi au délire sans pour autant recréer les périodes obscures de l’esclavage et déguiser leur partenaire en grand dragon du KKK. Les femmes soumises n’avouent pas une faiblesse de caractère, bien au contraire, elles s’affirment dans une sexualité libératrice. Il faut savoir également que la douleur ne s’invite pas toujours à la fête ; la contrainte, la domination utilisent d’autres voies, principalement l’intellect. L’esprit des participants se concentre sur le jeu en cours, rien n’existe autour. Certains rapprochent une séance de bondage d’une activité sportive à cause de la focalisation associée et de l’endorphine produite. Il existe une connexion spéciale, des sensations uniques qu’il semble difficile d’imaginer sans avoir expérimenté soi-même une des pratiques du BDSM.
Le BDSM, c’est à la coule
Quand une personne contre ces comportements erronément sataniques déboule et accable les pauvres amateurs de BDSM, ces derniers lui répondent une chose étonnante : « aimez-vous la cuisine pimentée ? » En effet, la brûlure du jalapeño n’est pas une saveur, seulement une sensation douloureuse comme un coup de ceinture ou une corde qui vous maintient dans une position inconfortable. Les Mexicains sont donc des aficionados du masochisme qui s’ignorent.
Par-dessus tout, si vous vous sentez attiré par le BDSM, renseignez-vous, car mal exécuté, cela se révèle dangereux. Rien que pour la cire de bougie, il ne faut pas utiliser la première chandelle trouvée dans votre tiroir. Certains types de cire fondent à 200 degrés, d’autres à 90 ou 50 degrés. Alors avant d’attacher, de menacer, de frapper, de brûler, de soumettre, allez faire un tour sur Kinky.com ou sur des forums pour savoir un peu comment s’y prendre.
Images tirées du film de James Franco sur le BDSM
Vivid, leur tag parfait c’est sex tape. La société, dirigée et fondée en 1984 par Steve Hirsch, amasse ses millions grâce aux vidéos de célébrités dans le plus simple appareil et si possible en compagnie d’un partenaire dans la même configuration vestimentaire. Il y a, certes, les parodies qui fonctionnent à plein régime, mais la sex tape, c’est leur came. Ils sont accros (comme nous).
Dernièrement, Tori Spelling, Donna de Beverly Hills, a déclaré qu’elle s’était filmée avec son mari durant l’acte. Ni une ni deux, Hirsch a ouvert son carnet de chèques et inscrit une somme rondelette. Malgré la banqueroute de l’ancienne vedette de séries télévisées, l’offre de Vivid n’a pas été acceptée. Si jamais elle devait consentir à diffuser la vidéo, il faudra alimenter le ramdam en refusant d’abord, puis en disant peut-être et enfin oui, le cœur meurtri, mais bien décidée à sauver sa famille de la ruine d’un côté et à assumer sa sexualité de l’autre. Vivid doit aussi être sur le coup pour les 18 ans de la dernière des Kardashian qui buzze, Kendall Jenner. Tous les studios lui proposent de se lancer dans le porno, un beau cadeau d’anniversaire.
Patron dans le porno, ça rend beau
On n’est pas numéro 10 dans la team porno en se tournant les pouces. Vivid se creuse pour mieux connaitre les attentes de son public. Avec le site XCritic, qui publie des résumés, des avis sur les films et des interviews d’actrices, ils viennent d’analyser les résultats du sondage que l’industrie du X espère chaque année depuis 13 ans.
L’année dernière, Katy Perry était la candidate la plus désirée pour une sex tape. En 2013, il s’agit de Christina Aguilera devant Alyssa Milano, Nina Dobrev et Claire Danes. La question portait sur les filles vues à la télé. Côté mec, l’acteur Alexander Skarsgard remporte le prix devant Patrick Dempsey.
Au Tag, on vote pour la sex tape de Nina Dobrev
Une autre question concernait l’athlète qui vendrait le plus de sex tapes, les Américains ont donc choisi un membre de la ligue de foot U.S., Tom Brady. Comme il est le mari de Gisele Bündchen, du coup, si une vidéo devait sortir, nous serions grandement intéressés. En seconde position, Cristiano Ronaldo, le footballeur portugais éveille les passions.
Peu de résultats supplémentaires, secret industriel oblige. À la question, pourquoi matez-vous du porno, 44 % ont répondu pour se masturber et 40 % parce qu’ils aiment beaucoup regarder des gens baiser. Nous sommes estomaqués par ces révélations, tout comme par l’information que les personnes sondées préfèrent en majorité le sexe vaginal, oral et anal dans les films. Les étranglements, le bondage et le fisting sont moins sollicités par l’enthousiasme populaire. Tant pis.
Julien est artiste. Il emmène Sacha dans les vernissages auxquels il est souvent invité. Ils arrivent ensemble, non pas main dans la main, ni bras dessus bras dessous, mais l’un à côté de l’autre, gardant une distance réglementaire.
Entre deux coupes de champagnes, à la lumière des dessins, ils croisent souvent des amis du graphiste. « Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ? » demande l’un d’eux.
Sacha, bien trop embarrassée à l’idée de tenter une quelconque réponse, ne tente rien. Et Julien puisqu’il ne sait que faire d’un silence dit, l’air de rien,...
James Deen n’en finit plus d’avoir bonne réputation. Tout le monde l’adore. Je n’ai jamais entendu personne dire du mal de celui qu’on appelait le « boy next door » devenu une personnalité connue hors du porno. Et ce n’est pas près de changer apparemment.
En septembre, le petit ami de Stoya, papa de trois chats (ou quatre, on ne sait plus tellement ils en ont) et amateur de food porn lançait une proposition sérieuse. Il voulait faire du porno avec ta meuf. Les productions James Deen offraient l’opportunité à des filles de tous horizons de tourner une scène (ou plusieurs). Comme si baiser avec toutes les plus grandes actrices ne lui suffisait pas.
Beau, rigolo, décidément James est parfait
Jenn Tisdale, une écrivaine et comique de Washington D.C., a posé sa candidature en ne connaissant de James Deen que son rôle dans « The Canyons ». Dans un article pour Jezebel, elle narre sa fantastique expérience. Après l’envoi de quelques photos, tout commence par un échange de mails. Deen lui écrit en personne pour parler du film à venir et pour connaître les envies de la jeune femme. Ils se rencontrent ensuite à New York City, discutent beaucoup, rigolent. Tout cela ressemble à un rendez-vous Meetic conventionnel, excepté qu’un des participants sera payé, en bonne et due forme, pour coucher après. Pas de suspense. De retour à l’hôtel, les choses se déroulent merveilleusement. Deen pratique sa spécialité avec ferveur. Jenn se donne entièrement et sincèrement. Après la mise en boite de deux scènes, la jeune femme se montre plutôt heureuse et satisfaite d’avoir tourné un porno. D’autant qu’aucun retour négatif ne lui est parvenu de la part de son entourage.
Jenn aime aussi les cupcakes
Cette histoire témoigne du besoin d’amateurisme dans le porno. Les grosses productions fonctionnent, certes, mais la saveur de la débutante est inégalable. Jenn Tisdale ne devrait plus jamais réapparaître dans un porno. Il s’agit donc d’une oeuvre unique, rare, que le fappeur esthète sait apprécier.
James Deen a le nez fin en engageant des actrices d’un jour. Sa réputation lui permet de recruter des filles qui n’oseraient le faire avec personne d’autre. De plus, il offre un rendu à l’image bien meilleur que l’amat’ traditionnel. La confiance est totale. Cela alimente son site en contenu original qu’aucun gars du milieu ne peut concurrencer, Ferrara étant trop occupé avec ses Raw. Quand Ferrara transforme une porn star en une copine potentielle, Deen change ta copine en porn star. Rien que pour ça, j’ai envie de dire : merci qui ? Merci James Deen.
Au collège, on disait qu’il fallait faire attention à bien tourner la langue dans le sens contraire de son partenaire – et c’était la chose la plus étonnante qui soit.
Et puis on a continué à embrasser. Si on nous demandait pourquoi, on répondrait parce que c’est bon, parce que c’est doux, parce qu’on en a envie, follement envie.
Mais on peut aussi se demander pourquoi l’homme (mais aussi le chimpanzé, et dans une moindre mesure le perroquet et l’éléphant) fait cette chose-là. D’où-nous vient ce besoin de poser notre bouche sur celle d’une autre personne et de mélanger notre...
Tous les halls de cités HLM ne se ressemblent pas. Selon les villes, les quartiers et même les immeubles, on trouve tous les « modèles ».
Ils peuvent être cet endroit inquiétant où des types apprennent à perdre leur temps et, pire, à aimer ça. Ce couloir puant, idéal pour un reportage « exclusif » parce que dans celui-ci, on trouve un tas de gueules abîmées par la galère, un dealer et même un ou deux chiens – tous incontinents.
Ou bien, ils peuvent être juste ce lieu très banal que des jeunes squattent à l’occasion quand ils ont envie de prendre l’air, mais pas celui de la...
Mon cher Gérard, mourir à la Toussaint, voilà une fin que tu aurais pu donner à ton héros, le prince Malko Linge. Tu avais cet humour des réactionnaires de droite, cette galéjade qui n’appartient qu’à ceux qui ont connu le temps des colonies et que peu de monde regrette. Tu mettais tout ça dans tes SAS, romans de gare par excellence, dont tu choisissais toi-même les modèles pour la couverture.
Ces femmes guerrières, armées, au regard féroce, elles ont été les premières images érotiques pour beaucoup d’entre nous. Cette esthétique kitsch s’est répandue, même Helmut Newton a voulu réaliser un de tes couvertures. Avec les scènes de sexe dans les bouquins que tu écrivais toi-même, tu faisais bander nos darons depuis 50 ans. Et tu continuais mon salaud. Tu as eu la trique jusqu’au bout puisque ton 200e SAS est sorti en octobre dernier.
Les aventures de Malko étaient souvent inspirées de vraies infos que tu obtenais auprès de tes relations dans les milieux de l’espionnage ou sur le terrain comme en Libye, en Afghanistan, où tu t’es déplacée. Je n’ai jamais lu un seul SAS, bien trop mauvaise réputation, comme toi. Mais le portrait paru dans M le magazine du Monde m’avait donné envie d’en acheter un, ainsi que ta reconnaissance par le New York Times. Je souhaitais vérifier par moi-même si les millions d’exemplaires vendus valaient vraiment leur succès. Et puis, je voulais savoir si les amazones en couverture ressemblaient aux personnages féminins que Malko honorait entre deux missions. J’en doute, vu le réac que tu étais et les propos de ton ex-femme, Christine, qui te déteste : « Gérard n’aime pas les femmes. Quand je me suis installée chez lui, j’ai eu l’impression d’arriver chez Barbe Bleue » confiait-elle au Monde.
Avec toi, Gérard, c’est une France qui s’efface, la France à la papa, celle des paroles limites, sexistes et homophobes, et racistes aussi. Si tu lisais le Tag parfait, tu n’aurais sans doute pas aimé toutes ces shemales et ces transmen, ces homos qui s’enfilent gaiement et ces lesbiennes qui n’ont pas besoin d’hommes. Tu aurais tourné de l’œil en apprenant ce qu’était le pegging, j’en suis sûr.
Adieu Gérard, c’est décidé, je vais lire un de tes SAS. Je veux savoir si j’ai raison de ne pas regretter ce que tu représentes.
Photo de une, modèle : Mia Frye
Les voyages en avion sont toujours un peu chiants, surtout lorsqu’on doit faire escale pendant quatre heures dans un hub vieillot, sans WI-FI et que le vol a du retard. Que faire quand on a fini de lire Public, Guerre et Paix et de passer en revue sa collection de dédibooz ? Eh bien, on se filme en train de fapper pépère en attendant l’embarquement. Quoi de plus normal ? Nous devons cette découverte à Neil O’Hare. Il travaille pour le pendant gay de Fleshbot.
La branlette est une occupation bien légitime quand on s’ennuie. Nous le savons tous, alors pour les hommes d’affaires, j’imagine que s’astiquer reste la meilleure solution pour tromper le jet lag. Parmi les fappeurs d’aéroport, il y a ceux qui boivent leur café dans un lounge VIP désert, face aux avions, la teub à la main et en consultant les pages saumon du Figaro. Il y a les geeks qui posent leur laptop à distance et se cadrent en HD pour bien montrer la puissance de leur tir. Il y a les voyageurs low cost qui se filment avec un téléphone pourri à la porte d’embarquement. Certains n’attendent même pas d’arriver à l’aérogare et se réfugient dans les toilettes du train qui les y mènent. D’ailleurs, les lieux d’aisance ont la préférence des #airport wankers. Assis sur la cuvette, debout, les choix ne manquent pas. Les plus tendres penseront à leur public et agrémenteront la performance de leur doux visage. Les moins sympas de la team des flasheurs vous viseront du regard pendant que vous passerez le portique de sécurité sans ceinture, chaussures à la main, vulnérable, à découvert, devant cet agent à l’haleine discutable.
Les vrais soldats fappent au David Guetta’s Lounge à l’aéroport d’Ibiza
Déjà que les fappeurs fous sévissaient dans les hôtels et les bibliothèques, voilà maintenant qu’on doit se méfier d’eux dans les aéroports. Jusqu’où ira cette insoutenable légèreté du fap ? En tout cas, plus que jamais, il est recommandé de bien vérifier où l’on marche et où l’on s’assied.
This delightful video by Chris Sanders for Wodka Vodka is currently making the social media rounds, in the way that great things have second and third lives when scores of new people discover them. In fact, the video is from May 2012 – but it will never really get old. More like this, please!
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Pour le sens commun, les trans désignent des hommes devenant femmes et, dans le porno, les trans non opérés (qui ont gardé un pénis fonctionnel) tiennent le haut du pavé. Ils tendent même à devenir mainstream. Mais il n’existe pas une seule catégorie de trans. Certaines personnes nées femmes se sentent hommes. Buck Angel est l’un de ces individus, un représentant des transmen.
Il a même une statue
L’histoire de Buck Angel n’est pas simple. Un documentaire, sortant le 3 décembre, lui est donc consacré. Buck est une figure majeure dans le milieu des transgenres. Il a su transformer son parcours plutôt chaotique, en un chemin libérateur grâce auquel il assume totalement son identité et sa sexualité. Il donne des conférences, tourne des pornos et vit le parfait amour avec Elayne Angel, sa femme (qui joue dans ses films).
Happy couple
Le documentaire de Dan Hunt, intitulé « Mr Angel », a pu être réalisé grâce à un Kickstarter, il espérait 6 000 dollars, il en a reçu 9 826. Comme quoi, le participatif fonctionne. Il fallait bien un docu pour attester de la difficulté d’être un homme, d’avoir une chatte, ainsi qu’un goût prononcé par le bodybuilding et les crânes rasés. Mais surtout pour constater combien il est compliqué de se faire entendre et comprendre. Des intervenants apportent aussi leur témoignage comme ses parents, Tyra Banks, Sasha Grey, les tauliers de Fleshbot et d’autres.
Dan Hunt a fait le tour du monde des festivals indépendants, ainsi Buck Angel peut porter son message de tolérance et d’acceptation à une échelle bien plus large que celle de l’industrie du X. Et si tu aimes les transmen, tu peux en rencontrer sur son site de rencontre.
Lucie Blush vient de donner à nos yeux avides de sincérité son premier court-métrage pornographique en provenance directe de Barcelone. Mettant en scène un vrai couple jouant les amants d’une nuit, Lucie Blush propose sa vision du porno féministe et ce n’est pas chiant à regarder. Arrêtez avec vos clichés !
Une jeune femme , au matin, doit partir au boulot, mais que faire de son plan cul encore endormi dans son lit ? Éternel problème de la femme du XXIe siècle.
Lucie Blush narre elle-même la voix intérieure d’Alice, ses sentiments, ses sensations. Sa caméra ne s’approche jamais trop près, si ce n’est pour capter l’intensité des regards. Nous nous trouvons en présence d’un porno sincère qui tente d’éviter les écueils des productions mainstream en choisissant une perspective quelque peu différente. Le premier essai de Lucie dans le X est réussi et elle a la générosité d’offrir son dur labeur gratuitement aux internautes.
Merci Lucie, tu es la douceur du porn ibérique.
Ce samedi, Le Tag Parfait et Panic! Cinéma vous invitent au Nouveau Latina (Paris) pour une séance de cinéma rétro. Au programme : Sexcula, un long-métrage porno-WTF tout droit sorti des fastueuses 70′s. Tourné dans la folie pornographique qui a suivi la sortie de Deep Throat, Sexcula est une curiosité à base de débrouille totale, de costumes de gorille et de prostituées consacrées actrices pour l’occasion.
La légende veut que les équipes techniques se soient baladées complètement nues pendant toute la durée du tournage, sous la direction d’un réalisateur-monteur-compositeur de vingt-sept ans, complètement désespéré. Bref, du grand guignol de qualité, projeté une seule fois en 1974 (illégalement) avant de tomber dans un oubli long de quatre décennies. Récemment déterré par un historien du cinéma, Sexcula rencontre enfin la gloire. Une séance à ne pas manquer surtout qu’elle sera participative.
En effet, les spectateurs intéressés seront invités à monter sur scène pour doubler Sexcula (avec le texte évidemment). Le rôle titre sera choisie à l’issu d’un concours du meilleur orgasme et vous pourrez également faire entendre votre organe pendant la séance sur fond de musique porn 70s. Un joyeux bordel qu’on vous conseille vivement d’expérimenter. Vous pouvez réserver vos places (6 euros) sur le site de la Fnac. La séance commence à 22h mais venez tôt.
Les risques dans la vie sont nombreux. Dans le porno, ils existent aussi et dans le bondage, ils deviennent très préoccupants. Alors quand tu attaches ta copine (ou qu’elle t’attache) au plafond pour une session de bondage en suspension, prends soin de veiller à sa sécurité en te préparant au pire. Shay Tiziano, une figure du BDSM et infirmière, te dit tout pour bien réagir en cas de chute.
Pas plus tard qu’hier, j’accrochais ma meuf à trois mètres de haut dans mon appartement de 200 mètres carrés situé place des Vosges à Paris. Elle affectionne particulièrement d’observer notre mobilier d’un point culminant sans pouvoir bouger. Comme tout le monde me direz-vous. Certes, mais j’avais mal assuré les fixations et elle a chu lourdement sur le parquet Louis XVI. J’étais paniqué, je ne savais que faire. J’aurais voulu avoir lu les bons conseils de Shay ce jour-là.
Photo : Alec Dawson. Rigger : Avalon. Models : 0dd & Infinite
Sur Kinky.com, appartenant à la nébuleuse Kink de Peter Acworth, on pense à la sécurité avant tout. C’est un peu l’éthique des pensionnaires de l’Armory Club. Alors en cas d’accident comment devons-nous agir ?
C’est simple, deux cas de figure : soit tu ne sais pas porter les premiers secours, soit tu sais les porter. Dans le premier cas, appelle le 15 ou le 112. Dans le second, appelle le 15 ou le 112 aussi. Pour le détail, je te laisse consulter les recommandations de Shay, elle s’y connait. En tout cas, ne touche pas à la victime et ne coupe pas ses liens. Si elle parle normalement et bouge ses extrémités, tu peux sortir ton appareil photo et prendre quelques clichés pour illustrer cette belle anecdote dans de futurs dîners entre amis.
Le bondage en suspension, cette pratique très courante, surtout chez les jeunes qui reproduisent tout ce qu’ils voient dans le porno (c’est bien connu), est dangereux. On l’oublie trop souvent. Alors, je t’en conjure, accro au XXX que tu es, va passer ton brevet de secourisme avant de pendre les gens au bout d’un fil.
Ils se sont fait appeler les « 343 salauds », dans un appel mené par Frédéric Beigbeder. Des noms connus, Eric Zemmour, Nicolas Bedos, Philippe Caubère... qui s’érigent contre la proposition de loi abolitionniste visant à pénaliser les clients de prostitués.
Intitulé « Touche pas à ma pute », le manifeste devait paraître le jeudi 7 novembre. Finalement, à force de le voir circuler, Causeur l’a publié. On s’est alors rendus compte que les 343 étaient 19. Classe !
Ça tombe bien, la comparaison avec le manifeste initié par Simone de Beauvoir en 1971 était très malvenue. D’abord,...
Cela fait un mois et demi que je cherche un appartement. Je scrute toutes les annonces : studios, colocations, chambres chez l’habitant... Je n’ai pas plus de 400 euros par mois à consacrer à un loyer. Dès qu’une offre pourrait me convenir, je dois répondre dans les dix minutes suivant sa parution, car je suis loin d’être la seule sur le coup. Mais les propriétaires ne répondent pas, ou plus.
Parmi les dizaines d’offres que je vois défiler tous les jours sur le site LeBonCoin.fr et auxquelles je réponds, l’une retient plus particulièrement mon attention. Il s’agit...
Les shemales dans le porn ont le vent en poupe. Un nouvel article de Gonzo arrivera bientôt pour vous parler de l’ampleur du phénomène. En attendant, nous vous présentons la plus tarée des transsexuelles américaines : TS Madison.
Si vous plongez dans l’univers de TS Madison, préparez-vous à perdre vos repères. Confusion droit devant. La « Big Dick Bitch » se fout pas mal des conventions, tant pis pour les sensibles. Tout est plus « fat » aux States, Madison l’illustre à merveille avec ses gros seins, son énorme cul et sa BBC. Elle prend, elle reçoit, rien ne l’arrête. Elle bifle des mecs à l’allure de rappeurs, leur éjacule en pleine face… Pourquoi se priver quand c’est bon ? Il faut la voir crier « ride this dick nigga » à ce sosie de 50 cents.
Madison fait trempette
Madison, c’est le milieu du rap américain qui se mettrait enfin à aimer les homos et les transgenres, le Dirty South d’Atlanta qui ouvrirait son cœur à la différence. Quand nous constatons la belle tolérance qui émane du travail de Raw Dawg Entertainment, sa boite de prod, nous faisons un rêve : le rêve de voir Booba, Kaaris et les autres se réconcilier autour d’un beau transsexuel noir aux formes généreuses et à la bite énorme.
TS Madison, c’est surtout du show sur Vine. Une émission de télé américaine a diffusé son engin monstrueux (flouté) se balançant entre ses jambes à la façon du Zap de D17. TS Madison, un AK-47 entre les cuisses.
Congrats to Nubile Films for winning the 2013 Galaxy Award for Best G/G scene! The scene is Wake With Me with Celeste Star, Elle Alexandra and Malena Morgan.
Après avoir habillé un hipster arrogant, les gars du Collectif Pain Surprises tels des vieux bluesmen à l’oeil vicieux changent une voyelle à un verbe et transforment une sympathique ambiance familiale de petit déjeuner en malaise incestueux. 38 secondes délicieuses pour les amateurs de transgression dans un univers aseptisé, le tout pour la marque de chaussettes Burlington qui compte bien dépoussiérer son image vieillissante.
On ne peut que saluer l’initiative et peindre nos pouces du vert de l’espoir.
“As an artist I am supposed to push the boundaries, ask questions, inspire the audience and introduce different ethnicities and in a whole new way. I think my films are artistic because I use sound, mood, atmosphere, lighting, wardrobe and talent to tell the story — not just body parts or sex scenes. My creative intent is never solely sexual. There are other things happening besides sex that make my films interesting.
The adult industry is like my Andy Warhol Campbell Soup Can. It’s a business and an industry and I was able to make my films, break down barriers, and show things have that have not been shown before.”
[Carlos Batts, Blisstree Interview: Feminist Porn Puts Women In The Spotlight]
“Art is the strongest form of activism. Art encompasses everything. It encompasses the queer movement, fat activism, racism, all the “isms” – that’s our job.”
[Carlos Batts, The Rumpus Interview with April Flores and Carlos Batts]
Carlos Batts died on Tues. Oct. 22, leaving a whole community shocked and saddened. His widow should not need to face huge hospital and funeral expenses alone.
Please help by donating to the Carlos Batts Memorial Fund. Everything counts, and no donation is too small. Donations can be made to PayPal and via email using the address CarlosBattsMemorialFund@gmail.com.
Carlos will be memorialized, honored, celebrated and remembered with two memorial services that are open to the public. Both are at Forest Lawn, Glendale, 1712 S. Glendale Ave, Glendale CA 91205.
Readers of this blog and friends will remember Carlos Batts as one of the top erotic photographers, the maker of fun and glossy art house porn films – and most especially as the husband of April Flores. A prolific artist in many genres, he trailblazed, and touched many. He was also a friend who always made me feel included. I will miss him, too.
See also: TinyNibbles posts featuring the work of Carlos Batts, 2006-2013.
Photo of Carlos Batts via CBattsFly Productions.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.36% des jeunes de 15-24 ans auraient déjà pratiqué la « bifle » selon un sondage publié la semaine dernière par l’Ifop, à propos de la génération « YouPorn ».
Dans son dictionnaire « Sexe Libris » (Ed. Don quichotte, 2012), Camille, qui s’occupait avant moi de Rue69, définit ainsi « la bifle » :
« Contraction des mots “ bite ” et “ gifle ”, ce terme poétique et fleuri désigne une pratique qui consiste à gifler son (ou sa) partenaire avec sa bite, ou du moins à imprimer un mouvement de tamponnage sur la joue avec le gland. »
Camille l’écrit avec un seul « f », car dans « gifler » il n y a...
La mode est un puissant carcan qui enferme hommes et femmes dans des apparences bien distinctes. Certains hommes aiment mettre des jupes (j’en ai déjà interviewé quelques-uns), mais dans l’espace public il reste très très rare de croiser un homme qui laisse apparaître mollet ou cuisseau.
Lors des fortes chaleurs de cet été 2013, des conducteurs de trains suédois avaient revêtu la jupe, pour protester contre l’interdiction qui leur était faite de porter des shorts. Un porte-parole de leur compagnie avait déclaré « si un homme préfère porter un vêtement de femme, par exemple une jupe, c’est OK ».
Affiche du défilé Frisse/Esmod Lyon
En France, la jupe pour homme, c’est moins détendu. Très attachés au concept d’altérité sexuelle, les coincés de l’ourlet voient d’un mauvais oeil que les limites posées à chaque genre puissent devenir poreuses. La jupe doit être réservée aux femmes, ces êtres désirables, alors que les hommes virils ne devraient pas pouvoir être rendus sexys par une jupe qui mettrait leur fessier en valeur. Et c’est bien dommage.
C’est aussi un constat qu’a fait Frisse, une association qui lutte pour une meilleure santé sexuelle, « comprenant la lutte contre les grossesses non désirées, les IST, les dysfonctions sexuelles et la coercition. » En association avec l’école de mode ESMOD Lyon, Frisse organisait ce jeudi un défilé « mâles en jupes contre les discriminations ».
D’où est venue cette collaboration entre féministes et étudiants en mode? Je n’ai pu me rendre sur place, mais Danièle Authier, coordinatrice à Frisse, a répondu à mes questions. « Nous travaillons avec Esmond Lyon depuis 2012. Le travail s’élabore à partir d’ateliers réunissant les élèves autour de santé sexuelle et psychotropes (puisque dans la majorité des lieux de rencontres sexuelles ou amoureuses, on trouve à minima de l’alcool). A l’occasion de ces ateliers, il est proposé de créer un media de transmission d’un message à un public plus large. Ainsi en 2012, nous avons travaillé sur la valorisation du préservatif féminin et les élèves ont défilé devant plus de 300 personnes avec leurs créations customisées avec des présos lors d’un défilé intitulé « les préservatifs font leur show ». »
Photo de la manifestation – Yannis AITADDI
Cette année, ce seront donc les « mâles en jupes », pour faire de la jupe un habit moins sexiste. « Ce défilé « mâles en jupes contre les discriminations » reflète une volonté commune de rappel aux questions du « vivre ensemble avec nos différences » après les débats houleux liés au mariage pour tous. Cela se veut aussi un écho solidaire aux luttes menées en Inde et en Iran pour signifier qu’être en jupe n’est pas quelque chose de dégradant. Par ailleurs, nous rappelons dans l’affiche, que les hommes ont toujours porté des robes et qu’elles sont alors des symboles de pouvoir ou d’autorité (juge, religieux etc…) alors que la longueur des jupes des femmes ne servirait qu’à mesurer leur disponibilité sexuelle. »
Une affiche sulfureuse : la marque de chaussures Louboutin, a fait interdire en Belgique une affiche très similaire à celle du défilé, car elle faisait partie d’une campagne anti-Islam des nationalistes flamands. Aucun amalgame? « L’affiche est celle d’une étudiante en art graphique de Vancouver, qui a été détournée par un parti belge pour envoyer un message islamophobe, nous ne craignons donc pas l’amalgame. Le défilé est un acte militant de revendication contre le sexisme et toutes les formes de discriminations. Quant au côté sexy des hommes en jupes, il n’y à qu’à voir les réactions des femmes dans le métro lorsqu’elles croisent un homme en kilt ! Ca me surprend chaque fois : depuis le classique « slip ou caleçon ? » à « t’as vu ses poils de jambe », en passant par l’attendrissement « mais il doit avoir froid », avec plein de commentaires qui soulignent le côté viril : il assume quoi ! » La jupe, c’est tout sauf banal.Dorcel, chercheur de buzz. Le patron du porno français fait comme tout entrepreneur, il tente d’attirer le chaland dans son commerce. Pour cela, il vient de récupérer le chanteur Allan Théo (boys band à lui tout seul tellement il était beau) pour le faire turbiner dans son usine à porn.
Hier, l’équipe internet du groupe annonçait, avec une vidéo mystère, l’arrivée du chanteur. Mais pour ceux qui suivent l’actu porno, il n’y avait pas grand suspense. Pourquoi ? Faisons un retour en arrière.
Reprenons tout au début. Il existait, dans le monde merveilleux des stripteaseuses, des jumelles nommées Éva et Ava Twins. Elles se produisaient ensemble pour des spectacles érotiques que le parfum d’inceste rendait très populaires. Un jour de mars 2013, elles ont arrêté. Éva a changé de voie. Désormais, il fallait l’appeler Sophie et nous apprenions, stupéfaits, qu’elle avait pour mari le séduisant Allan Théo. Ils s’étaient unis le 18 avril 2011 (source Facebook).
Le bon vieux temps des strips entre soeurettes
Sisi la famille
Sophie se lançait à corps perdu dans le fitness, nous pensions qu’elle entamerait une carrière de coach sportif. Ava de son côté continuait le strip et préparait en secret un duo avec Allan. C’est à la fin septembre que l’histoire a viré porno. Ava Twins est devenue Ava Courcelles. Elle a voyagé à plusieurs reprises à Budapest pour rejoindre Hervé Bodilis. Dorcel partageait les clichés de leur dernière recrue et derrière nos écrans, l’idée d’Allan Théo en acteur porno nous traversait l’esprit.
Depuis plusieurs années, l’ancienne gloire des adolescentes cherchait à revenir sous les projecteurs. Il y avait ces reportages dans les émissions comme Tellement Vrai et ce clip sulfureux où il s’exhibait sans pudeur. Les shows Eropolis ne suffisaient plus. Il a fait le saut.
Bon bah dans un mois il va faire très très chaud :-)
— Allan THEO (@allantheoperso) September 29, 2013
Je ne le cache pas, j’étais plutôt perplexe à l’idée de voir l’idole de Charlie et Lulu la teub à l’air. Mais, les photos et le trailer de la scène tournée par Bodilis ont provoqué chez moi une gaule naissante. Je ne m’attendais pas à ça. Ce porno, à l’esthétique classieuse, frôle la sortie de route. Allan Théo couche avec sa femme, mais surtout la sœur jumelle de cette dernière reçoit les assauts de Mike Angelo tout à côté, sur le même canapé. Le tag inceste est exploité à nouveau par Dorcel (rappelez-vous des Lane Sisters !). Et puis Ava lèche le visage d’Allan Théo sur l’affiche promotionnelle de la vidéo. Je m’attends au pire.
Le taulier du Tag m’a envoyé au front et j’ai visionné les 17 minutes du film. L’image est filtrée à mort (usage du filtre Brannan pour les utilisateurs d’Instagram), donnant une ambiance encore plus étrange à ce gonzo familial. Ava Courcelles montre de bonnes dispositions au métier d’actrice (#squirt), même si son jeu de bassin pourrait s’améliorer. En matière anale, rien à dire. Quant au couple, la performance est minimale. Sur la fin, Allan arrive à bander dur pour une petite levrette comme il faut. Le reste du temps, il honore sa femme en se mordant les lèvres, comme nous honorons nos copines quand la rigidité nous manque.
Malgré les défauts inhérents à une première fois, la scène vaut le coup d’œil. J’ai été particulièrement excité par la proximité des deux sœurs, même si aucun contact n’a été filmé. Pour le reste, ça fait du bien de voir des gens se bouger pour ajouter du piment dans nos branlettes. Nous parlions de l’ennui provoqué par les sex tapes de ces célébrités américaines obscures. Alors, pour une fois, qu’une personne plutôt connue se jette dans l’explicite, nous ne pouvons que saluer et encourager l’initiative.
Comme on vous annonçait cet été, et avec un peu de retard sur le calendrier, nous lançons aujourd’hui Le Tag Parfait en anglais. Nous gardons le même nom, la même url, seule la homepage change en fonction de la langue de votre navigateur avec bien entendu un retour possible dans la langue de votre choix grâce aux boutons EN/FR situés en haut à gauche du menu.
Ooooorrh clique !
La partie anglaise est un mélange d’archives (les articles phares du Tag et ceux qu’on estime intemporels), de traductions de la version française et de contenu propre (qui est ensuite traduit en français). Nous sommes encore en rodage avec l’ami Duff qui officie depuis l’Amérique du Nord, mais nous allons essayer de réduire à 24h le temps de traduction dans les deux sens, histoire de travailler quasiment en flux tendu sur l’actualité.
Alice, notre traductrice
Pour la publication sur Facebook, on va essayer de contenter le maximum de monde en scindant la com en deux, d’un côté par langues, de l’autre par pays, pour ne pas exclure les français à l’étranger. Pour Twitter, comme on ne peut pas faire cette petite manip, on va juste communiquer le soir et la nuit en anglais. Quant à Google +… oh well…
C’est une nouvelle étape dans notre développement, on fonce droit vers l’inconnu, on compte donc sur votre soutien pour en parler autour de vous et nous aider dans cette nouvelle étape.
On passe maintenant à la suite, la V4 et les tournages ; toujours chauds comme des couscous.
Le Tag parfait veille sur les réseaux H-24 pour dénicher les infos croustillantes en exclusivité mondiale (au moins). Aujourd’hui, enfin plutôt hier, on en a appris une bonne. Une version XXX de Spring Breakers est actuellement en préparation. À l’affiche du film produit par Digital Playground et réalisé par Shylar Cobi, nous retrouvons trois actrices connues de nos services : Kiera Winters, Sienna Day, Rilynn Rae. Comme acteur, Tommy Gunn (brraaa brraaaa) est présent sur le set.
Vous serez d’accord avec nous, des filles avec des cagoules roses qui braquent des gens, ça rappelle fortement le film dont la première partie bien vicieuse avait fait lever la quique de certains dans l’équipe.
<3 Vanessa <3
Le tournage s’est achevé hier, cinq jours de travail pour les actrices. Pas mal d’images sont tweetées par Rylinn et Sienna sans jamais dévoiler le titre de la parodie. Une communication mystérieuse qui rappelle étrangement celles du film original. Harmony Korine avait diffusé, bien avant la sortie, des clichés en bikini de Selena, Vanessa, Ashley et Rachel pour exciter les spectateurs. Shylar Cobi, réalisateur de quatre films chez Vivid, serait-il le nouveau maître du ramdam porno ? On attend confirmation sur XBiz.com.
Quelques photos du tournage en provenance de Twitter :
Même le New York Times se met à parler de sex tape. Jusqu’où ira la culture porn ? À l’occasion de la sortie de la vidéo de l’actrice qui jouait Fifi Brindacier, Tami Erin, le célèbre journal, par les mots d’Alex Williams, titre sur l’ennui que représente cette catégorie de porno devenue banale.
Les trois derniers exemples de sex tapes affligent n’importe quel amoureux du genre. Aucun frisson ne parcourt l’échine à l’annonce du leak. Qui sont Melissa King, Farrah Abraham ou Tami Erin ? Elles ne sont même pas connues dans nos contrées. Quant à la sincérité des scènes, il y a de quoi pleurer. Tout est produit, préparé pour être diffusé, c’est une énorme machination pour flouer les tendres fappeurs que nous sommes. Le journaliste Alex Williams regrette le temps où Pamela se touchait sur le pont du bateau, devant un Tommy joyeusement défoncé, tremblant avec sa caméra.
Terminées les sex tapes de l’amour sûr
Même si on détestait la patineuse, la vidéo de la lune de miel de Tonya Harding avait échauffé nos esprits : « Oh mon Dieu ! On va voir une fille qui passe à la télé baiser pour de vrai… Quel spectacle merveilleux, ce doit être ! » Qui se dit encore ce genre de choses en apprenant qu’une vidéo des ébats de la mère et du beau-père de Kim Kardashian existe ? Quelles conséquences sur la vie publique de Hulk Hogan a eu son 5 à 7 filmé avec une amie de sa femme ?
La sex tape n’effraie plus personne, elle est un outil de communication comme un autre dans la stratégie du vedettariat de bas étage. Un beau moyen de gagner de l’argent également. Colin Farrell, en 2005, aurait pu toucher 5 millions de dollars pour la diffusion de ses galipettes avec la playmate Nicole Narain. Mais le cours chute. Farrah Abraham aurait empoché 10 000 dollars à la signature et 120 000 de royalties dans sa collaboration avec Vivid.
Encore une fois, nous le répétons : la sex tape est morte. À quand les preuves de tendresse intime entre Selena Gomez et Vanessa Hudgens, qui hantaient nos rêveries humides l’an dernier ? À quand les ébats de Brad Pitt et Jennifer Aniston révélés au public ? À quand la partie de débauche homo des membres de 1D ? À quand les amours triangulaires entre Laury Thilleman, Shy’m et Maxime Dereymez de Danse avec les Stars ? On veut vibrer, bon sang !
La semaine dernière Gamelink faisait une proposition assez alléchante à Miley Cyrus en lui offrant la coquette somme d’un million de dollars pour faire du porn. Malheureusement pour nous, cette proposition est restée lettre morte.
Adieu Hannah MontanaA moins que vous soyez tombé dans une faille spatio-temporelle (et vous avez bien de la chance), vous avez forcement vu que l’ancienne enfant-star de Disney était enfin sortie de sa crise d’ado pour débarquer en plein dans une énorme crise existentielle qui a abouti au renouvellement de son image, façon rébellion puérile de cool kid hystérico-pseudo-porno. Tous ses derniers clips et ses apparitions live (comme sa tristement célèbre performance aux derniers VMA) ont choqué les gens au point d’en arriver à un déluge de réactions disproportionnées. Sans déconner les puritains : LEAVE MILEY ALONE!
Ils sont choqués par quoi au juste ?
La sexualité est partout dans les médias et Miley ne va pas plus loin que toutes ces pubs porno-chic. Ou rien de plus qu’une Rihanna, une Britney Spears, une Christina Aguilera ou Madonna… Elle suit gentiment sa voie : direction les dollars. Miley Cyrus n’est au final qu’une adorable marionnette décérébrée, manipulée par des rapaces de l’industrie qui lui font croire qu’elle pourra un jour dominer le monde avec ses seuls attributs physiques (du moins ce qu’il en reste). Qu’attendre de plus quand on a déjà vendu son âme à Disney ?
Quand je vois l’évolution de Miley (si on peut vraiment appeler ça une évolution), la seule question qui me ronge le crâne est : Qu’est-il arrivé à Hannah Montana ?
Réponse : tout le monde s’en cogne !
C’est quoi ton porn Miley Cyrus ?Revenons au côté porn de la force, nos chères têtes blondes n’ont pas à chercher bien loin pour savoir où elle puise ses dernières inspirations.
On peut déjà imaginer le nuage de tags de son futur porn. Du twerking (raté), une langue bien pendue (et flippante), des marteaux (piqués à Kink ?), un foam finger en forme de teub, un goût prononcé pour la fessée, un fétichisme des ours en peluches, des poupées géantes, des animaux empaillés, de la beuh, une pool party et un délire sapphique aux couleurs pastels, teinté de culture Afro-américaine…
La scène pourrait par exemple commencer dans une salle de bain et si on se réfère aux paroles intenses et shakespeariennes de « We Can’t Stop », on tient à n’en pas douter une orgie interracial sous coke réalisée par Seymore Butts.
« To my home girls here with the big butt
Shaking it like we at a strip club
Remember only God can judge ya
Forget the haters cause somebody loves ya
And everyone in line in the bathroom
Trying to get a line in the bathroom
We all so turned up here
Getting turned up, yeah, yeah »
Pour le titre, ça ne devrait pas trop poser de problème, vu qu’on a l’embarras du choix : « Bang Herz« , « She can’t stop« , « Anal Montana« , « Orgy in the U.S.A« …
Quant au casting, c’est son problème, mais je lui conseille vivement de suivre la tendance #amat.
Chère Miley…Comme l’ont fait Sinead O’Conor et Annie Lennox, voici ma lettre ouverte à Miley Cyrus :
Cocotte, je ne suis pas (encore) Dieu mais je vais quand même te juger d’un point de vue purement artistique : arrête, tu fais de la merde.
J’en ai déjà trop vu, trop écouté. Maintenant, tout ce qu’il me reste à faire est de trouver une solution pour évacuer cette putain de bile qu’il me reste dans la bouche, de nettoyer mes oreilles au death et mes yeux avec du porn.
Est-ce que tu crois vraiment en tout ça ?
Es-tu seulement capable d’expliquer où tu vas, ou même de décrire ce que tu fais ?
Miley, sérieusement, arrête de te prendre pour quelqu’un d’important ou d’essentiel et dis enfin oui au porn pour le bien de l’humanité. Je t’assure, tu continueras à briller comme avant et sans user tes cordes vocales cette fois. Je te prédis un avenir radieux, où tu pourras arrêter de nous saouler pour mieux te jeter corps et âme dans le SEXE. Plus besoin d’exhiber ta langue de deux mètres (même si elle pourrait t’être utile pour la suite…), plus besoin de nous envoyer ta diarrhée musicale ou de tenter une carrière dans le twerking.
Le porn te tend les bras, par pitié, Miley, fais-le ! Ça donnera peut-être des idées à Selena Gomez…Peace, love and get lost.
Duff
Traduit de cet article par Gonzo & Le Serbe
L’animateur de NRJ, Guillaume Pley s’inspire ci-dessus d’une autre vidéo similaire (et du même goût), « How to get girls to kiss you ».
MadmoiZelle.com, ainsi que de nombreuses personnes choquées par cette vidéo sur les réseaux sociaux, rappellent que l’article L-222-22 du code pénal réprime ce genre de comportement :
« Constitue une agression sexuelle toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. »
Selon MadmoiZelle.com, l’animateur n’a pas grand mérite, puisqu’il choisit des filles en position de vulnérabilité :
« Elles sont seules, elles sont...
On croirait Elise, le personnage de ce documentaire animé produit par Arte, tout droit sortie du magazine Elle. En 2012, le féminin disait de la fellation qu’elle était « le ciment du couple » (non sans agacer). Elise raconte fièrement avoir inventé la « suçothérapie », une pipe tous les deux jours administrée à son compagnon « entre 9 heures et 10 heures », pendant deux mois. Un agenda mis en place pour ne pas le perdre et parce qu’il lui avait avoué avoir des doutes sur ses sentiments pour elle.
« Un homme ne refusant que très rarement de se faire sucer, je trouvais que c’était une...
Inutile de tourner autour du pot plus longtemps, le business de la sexcam représente l’avenir du porno. Chaque jour, nous constatons la part grandissante du live show et des filles nues s’exhibant devant leur écran. La preuve, XBiz, le taulier des news de l’industrie du X, annonçait la première scène d’une webcameuse inconnue avec un mec, qui a eu lieu le 19 octobre.
Olivia Young est une jeune femme de 19 ans. Brune, menue, avec de jolis seins, elle possède une petite notoriété avec ses 2 000 followers sur Twitter et ses vidéos qui traînent sur les tubes. Ses shows sont diffusés, entre autres, sur la plateforme fondée par Eric John, acteur, réalisateur, producteur, etc.
Les seins de sexcameuses sont assez similaires aux autres seins.
Il s’agit d’Erotique Entertainment. Le principe est simple. Tu prends un flux de modèles – il en existe plein –, tu choisis, tant qu’à faire, celui qui relaie des cams de porn stars. Mais, pour te démarquer, tu crées tes propres shows. Tu engages des filles renommées et tu donnes rendez-vous aux internautes pour un live exclusif où Riley Reid et Asa Akira te manipuleront l’engin. Pour la bonne bouche, tu filmes le tout avec une vraie caméra et tu vends le résultat sur Clip4Sale. Double jackpot ! En effet, l’accès à tes webcams est payant.
Les sexcameuses deviennent, elles aussi, des stars dans les cercles autorisés. Alors, quand l’une d’elles va chevaucher un gars pour le plaisir des internautes, la nouvelle circule et XBiz.com la sort. Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle notoriété dans le porno. Bientôt, le Tag Parfait traitera bien plus d’informations provenant du milieu de la cam que de la pornographie traditionnelle. Les actrices dominent encore en termes de célébrité. Mais il suffit de constater la fulgurante ascension de Khaleesi Candy, modèle française de Cam4, sur Twitter pour voir le futur. Elle possède plus de 31 000 followers en plus treize mois d’existence quand Liza del Sierra, actrice internationale et très active dans le Twittgame, en compte 48 000.
« Fuck le porn tradi », semble-t-elle nous dire.
La cam est populaire tant chez les internautes que chez les modèles et producteurs. Presque gratuit (dans le cas des Cam4 et autres MFC) pour le spectateur, l’exhibition en live rassure les modèles, pas de maladies, pas de contraintes, on reste au chaud à la maison (sauf pour certaines qui travaillent dans des studios où les horaires doivent être moins souples). Pour les producteurs, c’est un spectacle unique que le piratage ne menace guère. Mater un show sur un tube se compare difficilement à l’excitation du moment, à l’interaction avec la fille. Puis il n’existe pas vraiment de copies des cams vendues à grande échelle, car la qualité du streaming en rend les débouchés commerciaux peu bénéfiques face à la HD et la 4K.
Bref, la webcam se développe toujours un peu plus. Attendez-vous à découvrir de plus en plus de filles provenant des internets, plutôt que de la production filmée des studios pornos.