J’aime beaucoup Blanquet. Son dessin, sa folie, ses perversions, ses ouvrages non-signés qu’il diffuse au compte-gouttes dans les librairies parisiennes. Il est tout ce que devrait être l’art: il met mal à l’aise, il nous interroge, il ne cherche pas la respectabilité ou le respect, seulement à creuser et creuser encore ses obsessions. Là, il [...]