En Tunisie, en 2016, il est possible d'obliger une très jeune mineure à poursuivre une grossesse issue d’un viol, et même à vivre légalement mariée à son violeur, avec l'assentiment du juge et de la famille, censés assurer sa protection.
Il est donc possible aujourd'hui en Tunisie de ne pas reconnaître que le viol est un crime, de ne pas poursuivre et sanctionner le violeur, et de bafouer ainsi en toute légalité les droits des femmes.
Vendredi 16 Décembre 2016