En avril dernier, une recommandation du Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU encourageait le Paraguay à assouplir sa législation de l'avortement. Un "carnet de voyage" d’Eluska Villebonet, militante en voyage en Amérique Latine
Un mois plus tard, ce thème n'était pas débattu pendant la campagne des élections présidentielles.
L’avortement reste donc interdit, même suite à un viol, un inceste ou en cas de non-viabilité du fœtus. Une seule exception légale dans le Code Pénal existe "quand ce sera nécessaire et inévitable pour préserver d’un danger avéré pour la vie ou la santé de la mère".
Mardi 08 Octobre 2013