Récupéré: juin 19, 2013, 6:19am CEST
Depuis la fin des années 1990, on constate un relâchement de l'interprétation des lois par les tribunaux canadiens qui ont d'abord permis la nudité quasi complète des danseuses dites « exotiques », puis, par la suite, la danse aux tables, pour en arriver à un contact physique direct avec les clients-prostitueurs.