Au Nevada, l’ami de cœur d’Amber Lynn Gray
Avait oublié d’acheter des cigarettes;
Pour le punir, elle se mit à l’engueuler
Juste avant de mettre le feu à ses bobettes.
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Au Nevada, l’ami de cœur d’Amber Lynn Gray
Avait oublié d’acheter des cigarettes;
Pour le punir, elle se mit à l’engueuler
Juste avant de mettre le feu à ses bobettes.
Instituteur et écolière
Juge et accusé
Professeur et étudiant
Infirmière et malade
Aveugle et chien-guide
Starlette et chauffeur
Exorciste et possédées
Policier et délinquant
Cavalier et pur-sang
Rentier et bonniche
Inquisiteur et Cathare
Matricule 728 et carré rouge
Médecin et patient
Agent de probation et prostituée
Bonne sœur et orpheline
Livreur de pizza et adolescente
Tchékiste et makhnoviste
Tinkiwinkie et Laalaa
Imam et femme adultère
Fermier et vache laitière
Légionnaire et crucifié
Poule et colonel Sanders
Motard et biker chick
Samouraï et Geisha
Député et électeur
Dealer et junkie
Rockstar et groupie
Gynécologue et parturiente
Geôlier et prisonnière
Charcutière et saucisson sec
Notaire et secrétaire
Bouc et bergère
Maître-nageur et noyée
Cowboy et squaw
Macchabée et thanatologue
Fonctionnaire et contribuable
Photographe et mannequin
Vendeur de chaussures et cliente
Psychiatre et schizophrène
Sainte Thérèse d’Ávila et l’ange à la longue lance d’or
Nellie était à deux doigts de tout envoyer valser et d’entrer au Carmel.
L’homme qui avait promis sur internet de lui donner une fessée dont elle se souviendrait toute sa vie s’est, de peine et de misère, rendu à la deuxième claque, puis s’est mis à pleurer. Quant à l’autre, celui avec qui elle avait eu de longues conversations téléphoniques qui lui avaient mis le feu aux sangs… il ne pensait qu’à une seule lorsqu’elle se retrouva nue devant lui : qu’elle lui pisse au visage. Sans parler de son sadique cyclothymique préféré qui était trop déprimé pour répondre à ses courriels. La factrice la trouva, en larmes, assise sur les marches de l’escalier menant à la porte d’entrée de sa maison.
— Mais qu’est-ce qui vous arrive, ma p’tite dame?
Nellie leva vers elle ses yeux d’un bleu étincelant.
— Personne ne veut de moi… du moins, personne ne veut de moi de la façon dont je voudrais qu’ils me veulent.
La factrice la regarda de haut en bas et esquissa un sourire en apercevant ses seins lourds et ses courbes généreuses. Elle prit sa main et la conduisit dans la maison en lui disant:
— Je me prénomme Auréa, mais tu peux m’appeler Maîtresse.
Père Noël a tripoté (près du sapin)
Comme un satyre, le popotin d’un membre
Féminin de sa jeune équipe de lutins;
Il sera en cour le vingt-quatre décembre.
Les dirigeants d’UPS sont scandalisés:
Un employé, dans son camion de livraison,
Se serait adonné à la fornication.
Quelle époque! N’y a-t-il plus rien de sacré?
Je devrais faire le ménage plus souvent. Lasse de provoquer l’explosion d’un nuage de poil de chats chaque fois que je posais mon délicat popotin sur le divan, j’ai pris mon courage à deux mains et l’aspirateur de l’autre (j’ai autant de bras de Kali la noire) et j’ai frotté comme une folle jusqu’à ce que mon salon ne puisse plus spontanément passer à la télé-réalité Hoarders. Ce faisant – ô miracle – je suis tombée sur une clé usb qui s’était glissée entre les coussins et qui y était restée cachée depuis… probablement 2007 et sur laquelle se trouvait Versets de chair, un recueil de petits poèmes en prose que j’ai écrits il y a fort longtemps, quand j’étais jeune, romantique, pleine d’espoir et que je croyais à l’amour. Qu’est-ce qu’on change en quinze ans, hein.
Prenez et téléchargez-la tous, ceci est mon oeuvre de jeunesse, livrée pour vous.
Vos lieux publics sont envahis par des branleurs?
Vous croisez constamment dans les parcs des pervers
Qui s’astiquent le chinois quelle que soit l’heure?
Félicitations: vous habitez Vancouver.
— À quoi pensez-vous, docteur?
— Je pensais à la première fois que je vous ai vue toute nue.
— Quelle impression ma nudité vous a-t-elle faite, au juste?
— Un examen sommaire m’a suffi pour constater la qualité de votre teint et la santé de votre structure squelettique et musculaire dont la répartition et la symétrie sont signes d’un développement sain. La distribution de vos tissus adipeux était aussi tout à fait délicieuse.
— Est-ce pour cela que vous présentiez ce degré impressionnant (et ma foi, très flatteur) de vasodilatation et d’engorgement des corps caverneux du phallus?
— Fort probablement. Et ça expliquait aussi mon niveau sanguin élevé d’adrénaline, de noradrénaline et d’autres hormones participant à l’excitation et la réponse sexuelle.
— Je dois admettre que le partageais votre état. Votre stimulation digitale et linguale de mes nymphes et de mon raphé périnéal est des plus efficaces; elle cause des spasmes musculaires délicieux et une lubrification abondante de ma muqueuse vaginale.
— Est-ce que l’application de pression sur votre paroi vaginale antérieure entraîna des sensations suffisantes pour être perceptibles?
— En combinaison avec une stimulation linguale des terminaisons nerveuses entourant mon clitoris, elle a probablement accéléré la sécrétion et la réaction musculaire que j’ai précédemment mentionnée.
— J’ai cru observer des spasmes répétés – espacés d’à peu près 0,8 seconde. Suis-je dans le tort d’établir un diagnostic d’orgasme?
— Je crois que tous les signaux physiologiques observables permettent un tel constat.
— Bien! Je comprends donc que la thérapeutique était appropriée.
— Et qu’est-ce que vous recommandez pour la suite des choses, docteur?
— Pour dire les choses crûment, j’envisage sérieusement que nous entreprenions un coït classique, mais vigoureux, avec une intromission rythmée du phallus jusqu’à émission saccadée du liquide séminal contre le col de l’utérus.
— Chéri, j’adore quand tu me dis des mots cochons et bien vulgaires.
Deux travailleuses du sexe du Cameroun
Avaient comme client un curé déluré;
On dit qu’elles lui auraient coupé la bisoune
Sous prétexte qu’il refusait de les payer.
Voulant renouveler son permis de conduire,
Un Floridien, un peu las de faire la queue
Sortit sa quéquette, se mit à la polir
Puis se dit surpris qu’on l’arrête pour si peu.
Edwin Tobergta, un dévergondé notoire
Se serait, en public, servi d’une citrouille
Pour satisfaire ses pulsions masturbatoires;
Les gosses, à l’Halloween, ont eu vraiment la trouille.
— Et la sodomie?
— Quoi, la sodomie?
— Ben… la sodomie. Tsé.
— Tu veux savoir comment ça s’est passé la première fois que je l’ai fait?
— Voui.
— Ça t’excite, quand je te donne tous ces détails, avoue…
— Bien sûr. Sinon, je ne te les demanderais pas. Tu sais que je suis voyeuse… même de l’oreille.
— Tu es une écouteuse, donc.
— On ne peut rien te cacher, chérie. Alors? Comment c’était la première fois que tu t’es fait enculer?
— Tu vas l’écrire sur ton blog?
— Si c’est un bonne histoire, oui.
— Si ça ne l’est pas?
— J’ajouterai des détails scabreux.
— Ok, alors. C’était l’été, entre ma première et ma seconde année au cégep. Je travaillais pour la ville, à l’entretien des aménagements floraux. Ce soir-là, j’étais sortie faire la fête avec les étudiants qui travaillent avec moi. C’était chez l’un d’eux, ses parents étaient partis au chalet, alors on avait la maison, la cour et la piscine à nous tout seuls.
— Je devine que la soirée était bien arrosée, pas juste grâce à la piscine…
— Tu l’as dit, ma vieille. On était tous pas mal pompette. En tout cas, moi je l’étais presque autant que… ce soir!
— Ha! Tu veux encore du vin?
— Je pense que la tête me tourne assez comme ça, merci. Bref, on était tous pas mal imbibés et il y avait ce gars, un grand blond qui s’appelait Tommy, qui a mis son bras autour de moi et qui a murmuré à mon oreille que j’avais un joli cul, que je le faisais bander, qu’il connaissait un coin tranquille et qu’il aimerait bien me bourrer solide.
— Tout un Don Juan. Et quelle subtilité dans l’approche.
— Je lui ai répondu que sa petite bite molle ne m’intéressait pas et que je ne serais jamais assez saoule pour avoir l’inconscience de le laisser limer mon précieux popotin.
— Et?
— Bah. J’ai continué à boire et j’ai fini par me retrouver dans un minuscule lit, avec sa langue qui glissait dans la raie de mon cul.
— Maudite boisson.
— J’étais complètement paf et molle comme une chiffe une fois arrivée au lit. J’étais à moitié nue et j’étais trop saoule pour enlever mon pull; il restait accroché sur le dessus de ma tête et ça me faisait rire aux éclats comme une idiote. Lui, m’a embrassé et a tiré mon soutien-gorge vers le haut, puis a léché mes seins. J’étais tellement bourrée que je le laissais faire tout ce qu’il voulait. Il a fini par me retourner et j’ai senti sa bite glisser entre mes fesses.
— Bonjour le consentement.
— Tu sais quoi? J’étais consentante. J’étais toutefois tellement ivre que je n’arrivais pas à m’exprimer autrement que par des gloussements d’ébriété.
— Ça ne reste pas très chevaleresque de sa part.
— Meh. C’est quand même ce qui s’est passé. Ce n’était pas un viol, hein.
— Tant mieux si tu t’en es sortie sans être blessée et meurtrie.
— Non, pas blessée du tout. Je n’ai même pas souvenir d’avoir eu mal. Avec tout l’alcool que j’avais ingurgité, je ne pouvais qu’être très détendue. Ça n’a pas duré très longtemps : il a grogné, gémi, il a marmonné un commentaire sur le fait que j’étais serrée et il est venu.
— Tu as eu du plaisir?
— Je me rappelle avoir assez aimé, oui… mais je suis tombée dans les vapes assez rapidement.
— Finalement, comme première fois, ça aurait pu être pire.
— Lorsque je l’ai revu, la semaine suivante, il était très poli avec moi, presque timide. On l’a refait, cette fois-là à jeun, lui en dessous et moi au-dessus. Je frottais mon clitoris contre son ventre. C’était hot.
Un Chinois, s’étant tranché la queue par dépit
Voulut se la faire recoudre à l’hôpital.
Par malheur, il oublia sa bite chez lui :
Il devra se passer de frisson génital.