Moi qui suis d’un naturel plutôt effacé et timide, je m’aperçois que le fait d’assumer la place d’esclave qui est désormais la mienne me donne une assurance qui ne fait que se développer et grandir chaque jour. Je sais que cela peut paraître paradoxal, mais jusque-là, que ce soit en tant que femme ou soumise, je m’obstinais à courir me réfugier dans les jambes de mon Maître dès que ça n’allait pas, incapable de me défendre moi-même (à part sur un sujet : mes enfants. J’ai été capable de choses insensées pour eux alors que s’il ne s’était s’agit que de moi…)
Ainsi, hier après-midi, alors que j’étais importunée par un mufle patenté sur Facebook dont je me suis débarrassée vertement, Maître m’a fait part de sa fierté au sujet de cette transformation qui l’impressionnait : « Un petit chihuahua qui commence à montrer les crocs comme un pit-bull ». Il faut dire que depuis quelques temps je vois les choses différemment, je suis la propriété exclusive de mon Maître et à ce titre, je me dois de protéger ce qui lui appartient…
Heureusement la journée d’hier a connu des moments mieux employés et plus intenses que cela, dès le matin Maître m’avait fait comprendre qu’il comptait se servir de mon corps pour son plaisir personnel au moment qu’Il choisirait. Je suis restée dans une attente fébrile jusqu’à la fin de la journée et cela sans qu’Il me touche ou me câline du tout (contrairement à ses habitudes), mais ces moments de crainte et d’impatience mélangés furent vite oubliés.
Maître a commencé par sortir son instrument préféré : la cravache. Et pour la première fois, je n’ai ressenti aucune angoisse en la voyant dans ses mains, je sais maintenant qu’elle peut m’apporter autant de plaisir que de souffrances et pour la première fois également Maître l’a utilisé sur toutes les parties de mon corps. De haut en bas, me faisant tourner sur le lit de face ou de dos, il a fait chauffer et rougir toute ma peau que ce soit avec la cravache ou même parfois ses mains. Il s’est un peu plus acharné sur mes nichons qui pointaient ainsi que sur ma chatte en alternant les séries de coups avec des caresses brutales sur mon clitoris ou même à l’intérieur de ma chatte. Je n’avais que deux obligations, le silence et toujours avoir une main sur sa queue parfaitement dure et j’ai joui, ne sachant plus faire la différence entre la douleur et l’excitation, je sentais la mouille coulait entre mes cuisses. Lorsqu’Il a stoppé ce traitement, je me suis sentie frustrée, c’est avec regret que je regardais la cravache posée négligemment sur le bord du lit.
Mais la journée ne s’est pas terminée comme cela. Pour le reste de la soirée Maître avait décidé que ma bouche serait à sa disposition quand et aussi longtemps qu’Il le déciderait, ainsi à chaque fois qu’Il me disait « Viens faire ton travail de salope », je devais cesser sur-le-champ mon activité, me glisser entre ses jambes et le sucer avec application jusqu’à ce qu’il me renvoie à ma place. J’avais l’impression de n’être qu’un jouet, une poupée que l’on prend et repose dans un coin et impossible de faire abstraction de l’impression de chaleur qui rayonnait de mon entrejambe surtout qu’à la fin je devais rester les cuisses parfaitement ouvertes afin qu’Il puisse jouer avec mes grandes lèvres. Je me suis sentie bouillonnante de désir et d’excitation toute la soirée, heureuse lorsque je L’avais dans ma bouche, frustrée lorsque je devais me rasseoir.
Heureusement il arrive toujours un moment où même les Dom doivent se soulager et mon Maître au même titre que les autres (hihihi), Il m’a dilaté par terre, à genoux comme une chienne, mais c’était tellement bon que j’en ai inondé le parquet et j’ai enfin pu avoir la jouissance suprême de profiter de la semence de mon Maître sur mon corps. Il m’a fallu 10 mn pour m’endormir après la douche et je me suis réveillée seulement à 10 heures ce matin (Maître ne voulait pas me réveiller…)
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