La journée de lundi fut placée par mon Maître sous le signe de l’humiliation.
1ere étape : alors qu’un besoin physiologique important me poussait à me rendre aux toilettes, Maître m’a demandé de l’attendre et d’enlever mon peignoir (lorsque N/nous sommes chez N/nous, si je n’ai pas eu d’ordre contraire, je dois être totalement nue et Maître m’autorise un peignoir lorsqu’il fait un peu plus frais). Il a fixé les bracelets en cuir à chacun de mes poignets puis les a réunis dans mon dos, ainsi attachée, j’ai dû m’assoir sur la cuvette des toilettes en écartant mes cuisses le plus possible et c’est dans cette position humiliante, alors qu’il usait de sa cravache sur mes nichons de femelle que j’ai été obligée de faire mes besoins. C’est toujours dans cette même position que Maître a enfourné sa queue dans ma bouche et empoigné mes cheveux pour m’obliger à le sucer, puis il m’a doigté et j’ai joui ainsi sur la cuvette des toilettes comme la dernière des trainées…
2éme étape : un peu plus tard dans la matinée, alors que N/nous parlions de ce qui était arrivé le matin, j’expliquais à Maître combien j’avais du mal à accepter tous ces changements en moi. Cette impression de passer des limites que je m’étais toujours imposées depuis 10 ans que je suis sa soumise et notamment tout ce qui tourne autour de l’anal (évidemment pas en ce qui concerne mon corps, mon trou plissé lui appartient depuis le début). Le sujet n’avait jamais été abordé clairement mais le fait que Maître ne m’ait jamais rien demandé d’explicite m’avait toujours arrangé.
Mais ça c’était avant, comme Il venait de sortir de sous la douche, Il a pensé que c’était le meilleur des moments pour remédier à cette grosse lacune dans mon éducation, c’est ainsi que je me suis retrouvée à lécher l’anatomie de mon Maître dans les moindres replis pendant qu’Il me défonçait à l’aide de son Gode préféré. C’était la première fois que je le faisais, et même si dans ma tête je me refusais totalement à ce genre de pratique, il faut reconnaître que j’y pensais très souvent, et ceci expliquant certainement cela, ma jouissance fut si puissante, si intense que je me suis mise à pleurer tout en continuant à explorer de ma langue l’intimité de mon Maître.
J’étais dans un tel état qu’Il a dû tout arrêter afin de me prendre dans ses bras et d’attendre que je me calme. Comme quoi, les barrières les plus fortes sont parfois celles qui amènent le plus de plaisir lorsqu’on les franchit. Serais-je capable d’aller plus loin ?
3éme étape : mais la journée « humiliation » ne s’est pas arrêtée là, car en début de soirée Maître avait décidé de bien appuyé sur le fait que je ne suis qu’une esclave, une chienne ne méritant qu’une chose, être rabaissée selon son désir et son envie. Ainsi, alors que je lui disais qu’il fallait que je me rende aux toilettes, Il m’a demandé de me déshabiller et de me mettre à 4 pattes. Il a fixé la laisse à mon coller et c’est ainsi qu’Il m’a conduit jusqu’au bac à douche dans lequel j’ai dû me mettre accroupie, cuisses bien ouvertes afin qu’Il voie tout. Retour à 4 pattes dans la pièce principale, où Il m’a asséné quelques coups de ceintures bien sentis (comme Il me l’a précisé, je n’avais rien à me reprocher mais cela fait partie du dressage, dans ces cas-là Il me console toujours en me prenant contre Lui). La séance s’est terminée à genoux dans le bac à douche, où j’ai servi d’urinoir à mon Maître qui s’est ainsi vidé sur moi et dans ma bouche…
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