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Punition : 4 coups de cravache pour avoir dit dans la voiture à 16 heures de l’après-midi que le matin même, alors que Maître usait de mon corps, j’étais dans un tel état d’excitation que j’ai ressenti l’envie et le besoin de me faire sodomiser et pourtant j’ai caché cet état à mon Maître ce qui est inadmissible…
Aujourd’hui, je voudrais parler de mes premiers souvenirs signalant, selon moi, mon inclinaison vers l’univers de la D/S. En fait, je me souviens qu’enfant déjà, lorsque je jouais aux cow-boys et aux indiens, gendarmes et voleurs, le camp auquel j’appartenais m’importait peu, ce que je voulais c’est être la prisonnière (hihihi). Ensuite, vers l’âge de 12/13 ans, l’âge où s’éveille la sensualité, les rêveries amoureuses et même certains fantasmes, j’ai découvert dans la bibliothèque maternelle toute la série d’Anne et Serge Golon : Angélique.
Ce fut une véritable découverte, un bonheur renouvelé des centaines de fois car je les ai lus, lus et relus toute mon adolescence. Le prince charmant devenait pour moi un homme sombre et balafré si protecteur et évidement autoritaire, le summum de l’existence étant d’être vendue comme esclave dans un magnifique harem, je voulais moi aussi être prisonnière, captive, enchaînée et même fouettée (bon, cette partie-là est plus de l’ordre du fantasme car j’ai déjà du mal avec la cravache) et surtout amoureuse d’un Prince Sombre et Impressionnant…
La seconde étape fut l’entrée d’internet dans les foyers, j’avais toujours ces fantasmes étranges dont je n’osais parler à personne mais je suis extrêmement curieuse alors certains soirs, lorsque les enfants dormaient et que mon ex-mari partait travailler, je cherchais, fouillais sur Internet et je suis tombée sur le site Laïka (jeune-soumise.net). Ce fut le point de départ, je pouvais enfin mettre des mots sur ce que je ressentais, c’était toujours pour moi de l’ordre du fantasme et de l’impossible mais j’avais des références, je faisais mon cheminement, je savais (enfin) qui j’étais ou qui j’aurais voulu être. Bien évidemment ma réalité était bien éloignée de tout cela, un époux macho, destructeur qui était en train de me faire plonger vers le néant et toutes les conséquences que cela entrainait.
Heureusement mon Prince Sombre veillait, Il m’a sorti de là et…
Cet article 27 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Maître veut faire de moi une salope accro au sexe et quand je vois les transformations physiologiques de mon corps, quand je vois ses réactions, je ne peux que constater qu’Il est sur la bonne voie.
Je n’ai plus le droit de me branler, ni de me faire jouir car tout plaisir ne doit dépendre que de mon Maître, par contre à force d’alterner caresses, tortures et étirement de mes tétons, je mouille et coule dès que Maître me les pince.
De la même façon, j’écarte automatiquement les cuisses dès que les mains de Maître se posent sur ma poitrine. C’est devenu un réflexe que mon corps exécute sans que mon cerveau s’en mêle. Ainsi, quelque soit le moment de la journée ou de la nuit, il suffit que Maître me touche pour que mon sexe soit humide, ouvert et prêt à se faire défoncer mais je pense être encore loin de ce que Maître désire faire de moi (hihihi)…
Ce qui est certain en tout cas, c’est que pour le moment Maître est ravi de jouer avec son esclave et Il en use sans vergogne pour le plus grand plaisir de celle-ci…
Cet article 26 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
En dépit de ma rage de dent ce matin je me suis levée un peu plus reposée, il faut dire que Maître refuse toujours de m’utiliser pour son plaisir personnel et cela jusqu’à lundi, mais face à ma frustration, Il m’a quand même permis de mouiller et jouir sous ses doigts ce matin. Je me suis sentie beaucoup plus sereine après cela…
Autrement, hier, j’ai fini de lire l’ouvrage d’Eros Power et cette lecture m’a mené sur la piste de nombreuses réflexions. Déjà, au lieu de constamment chercher à comprendre pour quelle raison j’ai besoin de me sentir dominée et soumise dans un monde où l’autonomie et l’indépendance sont les crédos des féministes, je devrais plutôt m’accepter comme je suis et profiter de la chance que j’ai d’avoir un Mari qui ait la même conception de vie que moi.
Je dois absolument arrêter de me mettre la tête à l’envers au sujet de tout et n’importe quoi et remettre les rênes de notre destinée à Celui qui dirige ma vie, je dois lâcher-prise d’autant plus que c’est ce dont je rêve au plus profond de moi, alors pourquoi lutter et chercher toujours midi à quatorze heures ? D’autant plus que j’ai l’impression que mes angoisses, mon anxiété, mes insomnies viennent peut-être du fait que je ne suis pas dans mon axe, je ne suis pas en accord avec mon idéal de vie et cela pour une seule raison, les apparences, avoir l’air d’être dans les normes de la société actuelle afin de me fondre dans le moule et de me sentir acceptée de tous…
Malheureusement si je veux être honnête avec moi-même, je dois bien reconnaître que ce genre de vie ne me convient pas, je voudrais tellement connaître, fréquenter et échanger avec des personnes comme N/nous, comme moi, je rêve de pouvoir au moins une fois dans ma vie, me trouver aux pieds de mon Maître pendant qu’Il boit un verre avec des amis, voir que je ne suis pas la seule à vivre ainsi, qu’il ne s’agit pas que de fantasmes ma
Cet article 24 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Cela faisait longtemps que nous n’avions pas passé la journée complète au cinéma, ainsi hier nous avons vu trois films : Le livre de la jungle, Le chasseur et la Reine des glaces, Dieserto. En rajoutant le Mac Do et une petite balade dans la galerie marchande entre deux films, nous avons vraiment passer une journée calme, reposante, bien éloignée de l’activité sexuelle intense que nous connaissons depuis le début du mois. En revanche, en respectant toujours notre philosophie et notre art de vivre que représente pour nous la D/S surtout en 24/7. Des petits exemples comme manger ce que Maître a choisi pour moi (et hier Il a eu la bonté de prendre en compte le fait que j’avais été attiré par un nouveau sandwich lors d’une publicité), le fait de rester dans le rayon où il m’avait laissée jusqu’à son retour sans partir vadrouiller partout ailleurs, et également obéir immédiatement lorsqu’à la fin du dernier film il m’a demandé de me rendre aux toilettes, de retirer tous les vêtements que je portais sur le haut du corps en dehors de ma veste zippée.
Petite vérification dans la voiture et nouvel ordre « lorsque nous serons sur l’autoroute, tu ouvriras ta veste en grand ». Inquiète, je me suis concentrée sur le chemin emprunté par la voiture « Allais-je y arriver ? Et si je n’y arrivais pas ? Et si je ne me rendais pas compte que j’étais sur l’autoroute ? Et si j’oublie ? » Pas besoin de vous cacher que la distance m’a paru très courte jusqu’à l’entrée sur l’autoroute, mais dès que nous y sommes arrivés, je n’ai pas attendu de nouvelles instructions, baissant le zip, j’ai écarté les pans du vêtement et ainsi exhibé ma poitrine à tous les regards. Que d’émotions différentes et contradictoires, fierté d’avoir obéi à mon Maître, excitation de lui plaire et de lui donner ainsi du plaisir, gêne et honte de m’exhiber ainsi face au jugement de personnes que je ne connais pas… Tout se bousculait dans ma tête, même si j’essayais de faire bonne figure et d’avoir l’air détachée (hihihi).
Tu ne jouiras pas !!!
Telles furent les paroles de Maître lorsqu’il commença à explorer mon corps nu et offert sur notre lit hier soir. Mouiller, couler de plaisir, je le pouvais et même le devait mais jouir sans son autorisation, je ne devais pas y songer une minute. J’étais heureuse de m’offrir à lui, ainsi écartelée et les bras en croix, à la merci de Ses baisers, de Ses supplices de Son désir dur et vibrant. Maître est revenu à la charge un nombre infini de fois dans la nuit, que ce soit dans le lit ou même aux toilettes, mon corps de soumise était à Lui, réceptacle des multiples sévices que Son imagination avait élaboré, j’ai mouillé, sensible à tout ce qu’il me faisait subir et vers 4 heures du matin, ce corps tendu de plaisir comme un arc entre les mains de son archer a tout lâché : j’ai joui sous les baisers de mon Maître.
La sentence fut immédiate, je n’avais pas le droit de jouir et je le savais, je me mis aussitôt à 4 pattes, prosternée de manière à bien présenter mon petit cul de salope à la cravache de mon Maître, c’est la chatte remplie et ouverte par les doigts de Maître que je fus ainsi cravachée pour ma punition…
Cet article 22 Avril 2016 – Tu ne jouiras pas !!! est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
21 jours, cela fait 21 jours que je remplis ce journal dès mon petit-déjeuner. Il parait que le meilleur moyen d’acquérir un automatisme est de passer l’étape de ces trois premières semaines d’effort, et ensuite c’est définitivement acquis. Bon, cela fait aussi 21 journées que je passe à mouiller, jouir et être quasiment constamment excitée sexuellement. Est-ce gravé dans la pierre ? Vais-je jouir ou mouiller chaque journée du reste de ma vie ? Bon, il y a pire comme destinée mais je vais être vachement sereine durant les mois à venir (hihihi).
Pourtant la journée d’hier avait plutôt démarrer calmement, petite grasse matinée, café, puis ménage pendant que Maître se rendait à la salle de sport. C’est après le déjeuner que ça a dérapé, en fait je voulais un petit câlin de 5 minutes, j’ai même proposé à Maître de nous allonger tout habillé sur la couette en « tout bien, tout honneur », sans arrière-pensée coquine ou salace. Mais, il m’a ordonné de me déshabiller entièrement avant de me mettre au lit et évidemment, en bonne soumise, je ne peux faire autrement que me tenir bien droite, me cambrer, croiser les mains derrière mon dos et exhiber fièrement ma poitrine de petite salope. Je suis dressée pour cela après-tout non ? Vous me croirez si vous voulez, mais le petit câlin a encore dérapé…
Cet article 21 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Je me réveille particulièrement reposée, j’ai dormi d’une traite, une nuit sans rêve (je n’en ai pas gardé le moindre souvenir en tout cas). Il faut dire qu’après la petite séance improvisée par Maître au moment d’aller nous coucher, j’étais vidée, épuisée et je me suis endormie sans problème. A la base, la journée d’hier devait être consacrée au repos de mon corps et de ma chatte car j’ai plutôt été soumise à rude épreuve depuis le début du mois et mon Maître prend soin de la santé et du bien-être de sa petite chienne. […]
Bien que hier après-midi, lors d’une petite sieste tranquille, il ait exploré mon corps tout en douceur et avec la plus grande des tendresses avant que l’on s’endorme dans les bras l’un de l’autre sur ma douce jouissance, ce fut la face plus sombre de Maître qui me procura un plaisir violent, brutal et animal un peu plus tard dans la soirée.
Nue, cuisses écartées, poitrine et chatte offerte à son regard et à ses doigts, voici comme Maître aime m’avoir à disposition. Il peut ainsi caresser ou torturer mes nichons de femelle en chaleur dont les tétons pointent au moindre effleurement, exposer mon clitoris à l’air libre, envahir mon intimité de ses doigts et surtout observer la mouille qui finit inexorablement par couler que ce soit sous l’effet des caresses, pincements, claques sur toutes les parties offertes de mon corps.
Je ne dois pas bouger, bras et cuisses grands ouverts, je ne suis pas attachée car ce serait trop simple, trop facile, ma main sur les couilles de Maître, je dois rester ainsi ouverte à tout, aux coups qui claquent sur ma peau, comme aux caresses qui alternent et surtout je dois dire lorsque les vagues de la jouissance m’envahissent, mon Maître veut que je sois totalement consciente de ma nature de soumise salope qui mouille et jouit sous les insultes et l’humiliation…
Ce soir, le plaisir était trop intense, j’ai un peu craqué, j’ai pleuré dans les bras de mon Maître et Lui a pu se vider sur mon corps de chienne. Il est fier de moi…
Cet article 19 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Je suis la chienne soumise de mon Maître. Il n’y a aucun doute là-dessus. Mais je possède également un peu de la personnalité de l’autre animal domestique occupant avec délectation la majorité de nos foyers. Je veux parler du chat bien sûr ou plutôt de la chatte en l’occurrence…
En effet, telle cette ombre féline, je pourrais passer des heures à dormir au soleil ou au coin d’un feu de cheminée. Je me love au milieu des plaids et des coussins, je m’étire et tout en fermant les yeux je reste vigilante aux mouvements de mon Maître, prête à profiter de chaque occasion pour me coller à lui et me glisser sous l’une ou l’autre de Ses mains.
Ainsi il réfléchit, pense, organise tout en laissant courir ses doigts sur chaque partie de mon corps appelant la douceur de ses caresses. Mais certains jours, je suis d’une nature plus pressante, plus câline, plus « chatte ». Je vais, je viens contre lui, ses cuisses, son corps. Mes reins se cambrent, mes lèvres se posent au plus près de son intimité, je ne suis plus qu’animalité intense et humide et, même épuisée et fatiguée, je reviens, quémandeuse et ouverte à la recherche des doigts de mon Maître.
Maître aime me voir ainsi, si chatte et si chienne à la fois. Il me câline, me caresse, certaines fois même Il me picore de baisers (pour mon plus grand bonheur je dois l’avouer) en revanche, d’autres fois, d’humeur moins douce et tranquille, sa main se fera plus brutale, ses doigts plus possessifs, intrusifs, et mon corps devra assumer les provocations que la chaleur de mon désir a engendré.
Me voici à genoux, tiraillée, étirée, marquée de rouge, fouillée et écartelée sans aucun ménagement. Les insultes fusent, l’humiliation est présente et rouge de honte et de plaisir mêlés, je mouille, dégouline, inonde le sol de ma chatte béante… Encore et encore pour que je comprenne le risque (ou l’intérêt) qu’il y a à réclamer des câlins…
Cet article De l’intérêt de réclamer des câlins à son Maître (ou pas…) est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Cet article 2016-15 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Quand on a un quelqu’un à qui se confier, il est facile de se décharger d’un poids sur le cœur, d’un malaise qui vous ronge et vous détruit à petit feu. Mais que se passe-t-il quand la seule personne à qui vous pouvez vous confier n’est autre que vous-même ? Il y a dans la vie des choses pourtant simples mais impossible à expliquer si l’autre n’est pas à l’écoute. J’ai déjà abordé le droit à l’écoute dans un autre article. Le Maître est celui qui guide, écoute et comprend. Il veille sur sa soumise car elle est son bien le plus précieux.
Mais toutes les soumises n’ont pas cette chance. Certaines ont bien un Maître mais il n’écoute pas, il ne se préoccupe que de lui. D’autres sont seules, seules avec leur souffrance et leur envie folle de crier mais rien ne sort leur bouche, pas un son, pas un bruit, même pas un murmure.
Pour beaucoup de soumises, parler est tout simplement impossible. Le conjoint, la famille, les amis, autant de personnes qui vivent autour d’elles mais qui sont incapables de comprendre leurs propos pour tout un tas de raisons (l’éducation, la religion, la culture, l’histoire personnelle ou tout simplement la bêtise). Les causes de ce manque d’empathie sont nombreuses et malheureusement pas exhaustives.
Certaines essaient de se voiler la face en se donnant à fond dans le travail ou les loisirs afin de penser à autre chose. Mais ce n’est qu’un placébo car la souffrance est toujours là. On la refoule en se disant que l’on verra plus tard, mais le refoulement n’est qu’une bombe à retardement. Tôt ou tard cette bombe explosera et les conséquences pourront être dramatiques.
Il n’est pas facile de dire à son mari vanille que l’on rêve de soumission, pas simple de dire à son homme de la prendre totalement en main alors qu’elle gère tout dans la maison et qu’elle occupe un poste à responsabilité au travail. Pourtant, aussi forte que soit la femme, elle ne peut tout contrôler, superviser, tout le temps et tous les jours. Il arrive un moment où elle éprouve le besoin de lâcher prise et de s’en remettre à l’autre et pour certaines, ce besoin s’avère plus fort, plus intense. Tenir de tels propos vous ferez passer immédiatement pour une folle ou une salope de la pire espèce, voir les deux à la fois. Pourtant, vous n’êtes ni folle, ni pute mais juste une femme qui a besoin de se savoir sous le contrôle intégral de l’homme qu’elle a choisi.
Alors que faire ? Je pense que le mieux est de prendre les devants et de demander conseil soit à des soumises, soit à de Maîtres que vous pouvez retrouver sur différents réseaux sociaux. Il est possible de les observer avant de les aborder, histoire de cerner leur personnalité, de savoir s’ils correspondent à ce que vous cherchez. A vous alors de prendre votre courage à deux mains et de faire le premier pas.
Vous pouvez aussi parcourir les blogs, il y a parfois de belle surprise au détour d’un sombre recoin du web.
Ce qui est sûr, c’est que rester seule dans votre coin ne vous aidera pas à trouver votre chemin. La solution ne peut venir que de vous mais vous devez aller la chercher car elle ne vous tombera pas toute cuite entre les mains. Vous ne trouverez pas forcement le bon interlocuteur du premier coup, mais il y a forcément une personne quelque part, prête à vous écouter, vous conseiller et qui sait ? Peut-être plus si affinité…
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Quand ma soumise est venue vivre chez moi, au-delà de l’aspect sexuel de la chose, il y a une sensation à laquelle je me suis très vite attaché : c’est la douche à deux. C’est un petit plaisir simple qui me procure à chaque fois un réconfort immense.
Depuis toujours la douche a toujours été un moment de détente. Cet acte anodin dure un certain temps avec moi, il faut compter une bonne demi-heure. Je suis pire qu’une femme dans ma salle de bain.
Avec ma soumise c’est devenu pire. D’abord on se rince avec une eau bien chaude, cela permet de se détendre enlacés dans les bras l’un de l’autre. Ensuite on arrête l’eau et je la savonne. J’aime la sensation de mes mains qui glissent sur sa poitrine. Le gel-douche donne un toucher tout particulier à sa peau. Pour qu’elle soit bien propre je n’hésite pas à mettre mes mains partout, et quand je dis partout, c’est partout. Sa chatte fait l’objet d’un nettoyage approfondi. Une fois la bestiole bien lavée, un bon rinçage dans tous les recoins s’impose. J’adore la sentir contre moi. C’est d’autant plus agréable qu’elle ne cherche pas à se sauver. Elle est bien, là, dans mes bras. C’est un moment dé sérénité absolue, un moment où nos deux corps sont en parfaite harmonie. Puis vient le moment de la séparation. Elle sort, s’enroule dans sa grande serviette moelleuse et retourne à ses occupations. Je peux alors me laver tranquille et serein, profiter encore un peu de cette eau si chaude…
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Cet article 2016-14 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.