Un matin de juin, alors que Monsieur dort, les mots dans ma tête s’alignent ainsi.
Je suis le feu… la passion.
Je veux flirter avec ce qui peut brûler.
Je suis l’eau… car j’aime l’idée que je puisse avoir ce don de soulager la « soif » de ceux qui s’approchent de moi.
Je suis la terre… car à travers mes folies, mes perversités, je reste bien ancrée dans la vie. Et j’ai besoin de ces assises.
Je suis l’air… car ce que j’offre c’est la liberté d’être, de voler, voyager, respirer…
Je suis.
d…
Image : Sue Waddicor.
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