« Parfois, un bon orgasme vaut mieux que trois séances chez l’ergothérapeute. » Voilà le genre de phrase qu’elle vous lâche comme ça, au détour de la conversation, avec un sourire désarmant.
Elle, c’est Rachel Wotton, 1,65 mètres, « blonde à la peau douce et claire » comme elle se définit au téléphone lors de la prise de rendez-vous avec ses clients, dont la moitié sont des hommes en situation de handicap.
Libre dans son vocabulaire comme dans son corps, cette travailleuse du sexe vivant à Sydney est une jeune femme épanouie et sacrément gonflée, qui milite pour la...