Blessée que des parents d'élèves aient pu croire la rumeur sur le genre à l'école, Ophélie, enseignante en primaire, invite ceux qui le souhaitent à venir dans sa classe, où l'on cause édredon et fractions.
Aïe. Vincent Peillon s’y met lui aussi. A l’Assemblée, en réponse à une question, il a déclaré : « Ce que nous faisons, ce n’est pas la théorie du genre : je la refuse. Nous voulons promouvoir les valeurs de la République et l’égalité entre les hommes et les femmes. » Pourquoi avoir repris cette expression, « théorie du genre » ?
L’enfer du sexe est aussi pavé de bonnes intentions. En écrivant cet article – « Messieurs, cinq choses que vous faites sans doute mal au lit ! » –, son auteur, coach de développement personnel (quelle plaie, ces gens), pensait probablement servir « la cause des femmes » et ne s’imaginait pas qu’il agacerait. Son texte dit d’ailleurs :
« L’erreur la plus courante et que l’on retrouve sur les lèvres de toutes les femmes c’est... “Il ne pense qu’à lui”. Et oui, l’erreur que vous faisiez était de ne pas assez vous occuper d’elle ! »
Lundi, des parents ont retiré leurs enfants de l'école après avoir reçu des SMS qui parlaient par exemple de cours pour apprendre aux enfants à se masturber. Une rumeur qui prend sa source à l'étranger.
En août 2010, vous avez publié sur votre site un article en partenariat avec les Inrocks.com : « La sexomnie, inquiétante sexualité somnambule ».
Ce texte, je suis tombée dessus récemment, parce que j’avais dû taper dans ma barre de recherche quelque chose comme « somnambulisme sexuel ».
En faisant ça, on tombe sur « sexomnie ». Et en lançant une recherche dans Google sur la sexomnie, c’est sur le site de Rue89 que l’on tombe en premier, et sur votre article. Cet article m’a convaincue d’écrire l’histoire qui suit, mon histoire.
Le prince charmant est-il pervers et cynique ou simplement troublé et fragile face à l’amour véritable et au désir féminin ? L’esquisse d’une réponse à mi-chemin entre ces deux intentions nous est livrée par un film au propos atemporel, ressorti en salles ce mercredi.L’éternel questionnement irrésolu de l’homme exposé aux vicissitudes de l’engagement amoureux, qui inspira le réalisateur James B. Harris en 1972, en la forme d’un conte étrange, fait de nouveau vaciller le personnage ambigu de Robe...
Aux communicants de François Hollande qui suent ce samedi sur chaque mot de l’avis d’une séparation annoncée, nous souhaitions apporter, modestement, notre aide.
« Tu m’ennuies »
Le monde étant bien fait, Le Nouvel Observateur (qui appartient au même groupe que Rue89) a dans sa poche depuis fort longtemps des modèles tout cuits qu’il suffit de télécharger (pour les mufles), ou de recopier à la main (pour les gentlemen).
Nous avons choisi le mot qui s’appelle « Tu m’ennuies ». Après de longues hésitations. « Tu m’étouffes » n’était pas si mal, surtout par son accroche : « Après toute...
Dix-sept députés ont déposé le 16 janvier un amendement au projet de loi pour l’égalité femmes-hommes, visant à supprimer la notion de « bon père de famille » afin de la remplacer dans les codes en vigueur par l’expression « raisonnablement ». On la trouve par exemple dans un bail de location ou les contrats de téléphone.
Dans sa notion juridique, un « bon père de famille » est « prudent, diligent, attentif, soucieux des biens et/ou des intérêts qui lui sont confiés » – le droit n’a jamais précisé ce qu’est « une bonne mère de famille ».
C’est fini, vous ne l’aimez plus. Alors, vous avez l’avez quitté. Dans le bar, il a accepté la nouvelle calmement, il a eu l’air à la fois sonné et triste. Il a pleuré.
Et puis, la fois d’après quand il est venu récupérer sa brosse à dent, il avait changé de ton. Agressif, il s’est finalement franchement énervé et a détruit la vaisselle que vous avait offerte mamie. Deux mois plus tard, vous pensiez que c’était fini et ça vous soulageait. Mais non. Il a balancé des photos de vous à poil, en « situation », sur son profil Facebook.
(De Ouagadougou, Burkina) Elle fait partie de ces femmes qui osent. Au Burkina Faso, elles ne sont pas si nombreuses. Honorine a osé devenir sage-femme à l’insu de son père et monter une troupe de théâtre amateur pour libérer la parole féminine. A 33 ans, cette militante ose vivre seule après avoir quitté deux maris.
Et elle accepte de témoigner à visage découvert de son dernier acte d’insoumission : en avril, elle a fait reconstruire son clitoris dans une clinique de Ouagadougou. Nourrisson, Honorine avait subi son ablation et celle d’une partie des petites lèvres, la...
Certains médecins acceptent d'examiner les femmes "à l'anglaise", allongées sur le côté. Une position moins gênante, et une petite révolution dans la relation entre la patiente et son médecin.
Fin des années 60. Linda, 20 ans, s’ennuie à mourir dans l’appartement familial où ses parents n’autorisent aucune fantaisie. Sa rencontre avec un jeune homme séduisant, Chuck Traynor, bouleverse son destin morose. Folle amoureuse de son compagnon, elle accepte tout de sa part, y compris de jouer dans un film pornographique, « Gorge profonde », qui connaît un phénoménal succès.
Le biopic est à la mode. La fiction pseudo sulfureuse aussi… A la croisée de ces deux tendances, « Lovelace », signé Rob Epstein et Jeffrey Friedman, retrace la triste existence de Linda...
Pilule, implant, stérilet : depuis plus de deux ans, Léa enchaîne les médecins pour trouver la contraception qui lui convient, en vain. Ce qu'on lui a toujours présenté comme un droit est un parcours du combattant.
Pilule, implant, stérilet : depuis plus de deux ans, Léa enchaîne les médecins pour trouver la contraception qui lui convient, en vain. Ce qu'on lui a toujours présenté comme un droit est un parcours du combattant.
A croire qu’aux éditions de La Martinière, on lit à la perfection dans mes pensées… La preuve avec cette jolie carte de vœux envoyée en cette fin d’année par la maison : un dessin signé Floc’h, qui figurait déjà sur la couverture du livre consacré à l’artiste paru en septembre et qui servit également de une au catalogue d’automne.
Parce que, dans ma vie rêvée de femme de XXIe siècle, je n’aspire qu’à une chose : être considérée par mon conjoint comme une jolie plante décorative.
Un sapin, le roi de la forêt, c’est pas rien quand même… Etre prise...
A croire qu’aux éditions de La Martinière, on lit à la perfection dans mes pensées… La preuve avec cette jolie carte de vœux envoyée en cette fin d’année par la maison : un dessin signé Floc’h, qui figurait déjà sur la couverture du livre consacré à l’artiste paru en septembre et qui servit également de une au catalogue d’automne.
Parce que, dans ma vie rêvée de femme de XXIe siècle, je n’aspire qu’à une chose : être considérée par mon conjoint comme une jolie plante décorative.
Un sapin, le roi de la forêt, c’est pas rien quand même… Etre prise...
A croire qu’aux éditions de La Martinière, on lit à la perfection dans mes pensées… La preuve avec cette jolie carte de vœux envoyée en cette fin d’année par la maison : un dessin signé Floc’h, qui figurait déjà sur la couverture du livre consacré à l’artiste paru en septembre et qui servit également de une au catalogue d’automne.
Parce que, dans ma vie rêvée de femme de XXIe siècle, je n’aspire qu’à une chose : être considérée par mon conjoint comme une jolie plante décorative.
Un sapin, le roi de la forêt, c’est pas rien quand même… Etre prise...