Il est toujours fascinant de constater que les sciences sociales dans la sexualité gay sont toujours aussi peu développées alors qu’elles le sont bien davantage dans les questionnements politiques.
Les raisons sont connues :
- manque de subventions,
- très peu de spécialistes français dans un domaine pourtant passionnant,
- enjeux politiques du discours et de la recherche.
Ces questions sont tristement sous-évaluées et rappellent le retard qu’accuse la France sur d’autres sujets internes à la communauté lesbienne, gay, bi et trans (LGBT), comme le domaine toujours non résolu des archives...