La première chose que je regarde chez une femme, c’est son cul, ses fesses ; il n’y a que ça qui m’intéresse, qui m’a toujours intéressé.
C’est l’antre du diable, de Dieu, le champ de bataille et du repos, le morceau que se disputent de tout temps l’empire des ténèbres et l’empire des lumières ; c’est le chavirement de la nuit, du jour, le fil de l’équilibriste, le point de convergence entre le pinceau et la toile, l’archet et le violon, l’esprit et la matière, la fumée et la merde.
Le cul, c’est le lieu du brassage des langues, c’est l’espéranto,...