J’ai un scoop pour vous : se défendre lors d’une agression, ça marche ! Le problème, c’est d’oser le faire. Et ça, c’est une vraie tannée : dans une baston, il faut se donner le droit de ne pas se penser vulnérable. En d’autres mots : ne pas être, à l’avance, d’accord avec l’agresseur sur l’identité du perdant.
Apprendre à faire une clé de bras comme on apprend à serrer un garrot, s’entraîner à éviter une beigne comme on prodigue un massage cardiaque, voilà des parades à intégrer urgemment à la panoplie des « gestes qui sauvent ». Ça s’appelle...