A en croire son nom archaïque, le cunnilingus (oui, il y a deux N !), du latin « cunni », la vulve, qui a donné en français le con, organe sexuel féminin et insulte machiste soit dit en passant, et « lingus », du verbe « lécher », la pratique du cunnilingus, tendrement abrégé en « cunni », ne date pas d’hier.
Longtemps considérée comme dégradante pour l’homme (phallocrate !) en posture de soumission physique et sexuelle, elle sera petit à petit réhabilitée et c’est notamment dans la pratique de l’amour taoïste qu’elle est valorisée puisqu’elle consiste en un...