Je me souviens du premier texte qui m’a fait découvrir l’écriture de Sarah Pèpe. Il s’agissait d’une pièce pour adolescent·es intitulée «La ligne». Il y était question du pouvoir, de son installation à partir d’un dire auquel les autres se soumettaient, «s’exécutaient» pour le dire littéralement. A partir de l’installation de frontières, naissait la propriété… […]
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