On distingue les diabètes de type1 et 2. Le premier est dit « sucré ». La forme la plus fréquente est la conséquence d’une maladie auto-immune qui détruit certaines cellules du pancréas. Cet organe synthétise l’insuline. Le dépistage a classiquement lieu au cours de l’enfance. Le diabète de type 2 est plus souvent observé au cours de la maturité chez les individus en surpoids. Les femmes le développent parfois après une grossesse. Le diabète de type 2 représente 80% des cas et évolue à travers le monde avec nos modes de vie qui impliquent une certaine sédentarité et les ravages d’une alimentation hypercalorique. Le diabète est la cinquième cause de mortalité dans la plupart des pays occidentaux. Il a d’abord touché essentiellement les pays riches, mais il s’étend à présent à des régions qui commencent seulement leur industrialisation. On manque encore d’études à ce sujet, cependant l’OMS estime qu’en 2000, quatre millions de personnes mouraient du diabète chaque année dans le monde, c’est-à-dire environ un décès sur dix. Bien que les causes réelles de cette maladie restent encore incomprises, la recherche continue. Maladies cardiovasculaires, infarctus, insuffisance cardiaque, artérite, accident vasculaire cérébral, neuropathie, cécité, invalidité, insuffisance rénale… Et conséquences connues sur la sexualité des hommes, comme celle des femmes.
Cet article La sexualité face au diabète est apparu en premier sur Union.