A l’occasion du lancement de Pokmi, première plateforme décentralisée de contenu pour adulte basée sur une cryptomonnaie (« Poken »), The Poken Company et l’Ifop publient une grande enquête* sur la masturbation féminine. En voici les 5 enseignements « majeurs » (comme les 5 doigts de la main…)
1 – La crise du Covid est allée de pair avec une hausse notable du nombre d’adeptes régulière de la masturbation (+ 15 points) : 56% en mars 2021, contre 41% en juin 2017. Mais malgré ce « boom » de l’onanisme dans l’Hexagone, les Françaises (56%) sont, après les Italiennes (49%), celles qui s’y adonnent toujours le moins souvent, notamment si on les compare aux Britanniques (65%) ou aux Espagnoles (70%).
2 – Le nombre de femmes s’étant déjà livrées à cette forme de plaisir solitaire au moins une fois a progressé dans tous les pays investigués (+ 3 points en moyenne, à 80%). La tendance n’en reste pas moins à une sorte de « rattrapage » des pays latins en la matière (+9 points en Italie, à 76%, +4 points en Espagne, à 85%, +4 points en France, à 78%).
3 – Cette généralisation de l’auto-érotisme féminin va de pair avec un accès croissant des Européennes à des supports d’excitation sexuelle comme les vidéos pornographiques facilement accessibles sur les sites de streaming depuis une quinzaine d’années. En effet, la proportion d’amatrices de vidéos X a augmenté de manière sensible aussi bien à l’échelle européenne (47%, +5 points depuis 2016) qu’au...Lire la suite sur Union
Cet article La sexualité des Européennes à l’heure du Covid-19 : Elles s’en branlent est apparu en premier sur Union.