À titre de prévention, la CPSC (Consumer Product Safety Commission) dresse chaque année un inventaire (surprenant) des objets coincés dans différentes parties du corps. Surprises à tous les étages, notamment dans les explications.
Passons sur les oreilles ou le nez pour se concentrer sur les parties plus sensibles.
Objets coincés dans le pénis (urètre)En 2019, les principaux objets retrouvés coincés dans le pénis étaient : des crayons, stylos, un bâton de sucette, un câble, une alliance ou un tournevis.
La palme revient à cette explication pour une épingle à cheveux : « N’arrivait pas à bander et pensait que ça aiderait ». Mauvaise pioche ?
On retrouve indifféremment : une brosse à dents, du scotch, une bouteille de parfum, un gros morceau de sous-vêtement, une figurine, une boule anti-stress… Le motif champion : « Arrêtée par la Police, a caché son téléphone dans son vagin. Téléphone coincé. »
Objets coincés dans l’anusDe vrais garages. On y range tout, comme : un couteau pliant, un cure-dents, une brosse à dents, le manche d’une ventouse, du rembourrage de matelas, deux lames de rasoir (waouh), deux petits vibros, un emballage de préservatif (rien ne se perd), un tuyau d’arrosage (pour un lavement certainement), un pistolet à eau (même motif ?), un briquet (ce qui interdit d’avoir des gaz), un sachet d’héroïne (plus classique), des pièces de monnaie (pour se transformer en distributeur), un minuteur en forme d’œuf (certainement le plus compréhensible), une petite bouteille de shampoing, une grosse bouteille de shampoing (et une très grosse, non ?), une ampoule (surtout pas), une conserve de compote, un masseur prostatique…
Les champions de l’explication : « Le patient dit qu’il a glissé dans la douche et a atterri sur une...Lire la suite sur Union Cet article Confinement : attention aux objets coincés durant le sexe ! est apparu en premier sur Union.