Décrit pour la première fois en 2001, le syndrome de l’orgasme à répétition concernerait 1% de la population féminine. Dans l’univers médical, on parle de syndrome de l’excitation génitale persistante (SEGP). Gonflement des organes génitaux, hypersensibilité, spasmes et orgasmes inopinés, les femmes atteintes du SEGP souffrent continuellement. À tel point que certaines femmes, comme une américaine de 23 ans, en viennent à se suicider.
Jusqu’à aujourd’hui, la science n’apportait que peu d’explications à propos du SEGP. Seule la piste psychologique semblait la plus cohérente, mais le traitement par thérapie comportementale n’était que peu fructueuse. Même si le soulagement « physique » des symptômes du SEGP par la masturbation peut être efficace, ce n’est qu’à court terme. Et seulement 20% des femmes constataient des effets positifs à pratiquer la masturbation.
Désormais, des scientifiques éclairciraient un peu plus le mystère qui tourne autour du SEGP.
Le syndrome de l’orgasme à répétition, l’explication serait neurologique !L’apparition du SEGP s’expliquerait par des lésions ou des kystes à la base de la colonne vertébrale. C’est ce que suggère une récente étude publiée dans la revue Lire la suite sur Union
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