Aujourd’hui, huit ans après son agression, cet ancien responsable des ressources humaines ne travaille toujours pas. Une partie de son cerveau est atrophiée, il souffre d’un handicap, n’est pas capable de conduire ou de courir. Dans ces conditions, il lui est difficile de se reconstruire. Bruno se confie : "Mes agresseurs ont détruit ma vie d’avant. Je ne suis plus capable d’avoir une vie normale".