Depuis un an rien n’a changé, et nous le répétons : le gouvernement doit tenir ses engagements et déposer sans délai un projet de loi qui nous permette de disposer librement de nos identités, de nos corps et de nos vies sans subir en permanence les violences médicales, psychiatriques, administratives, judiciaires et sociales, qui nous blessent, nous précarisent et nous mettent tout simplement en danger !