C’est mardi, et je me suis fait invitée à Fribourg pour une petite soirée coquine. Comme Junior est malade à la maison, je ne sais pas trop si ça va marcher, et dans l’après-midi j’annonce à mon rendez-vous qu’il faudra sûrement repousser la rencontre. Pourtant pendant le souper, j’ai l’impression que Junior va beaucoup mieux et je décide spontanément de sortir quand même. Je demande à mon hôte s’il a toujours le temps. Et oui, il a bien le temps et surtout l’envie de me rencontrer. Je me dépêche de me préparer, et en 45 minutes je suis fin prête pour sortir. C’est une opération super spontanée. Je crois que je n’ai encore jamais été si rapidement prête pour un rendez-vous.
Arrivée à Fribourg, c’est le bordel. Il y a un match de hockey sur glace, et comme mon hôte habite dans le quartier à côté du stade, j’ai vraiment de la peine à trouver une place pour me garer. Au moment où je me décide de me garer « illégalement » comme pleins d’autres voitures au bord d’une rue, il y a deux policiers qui viennent faire un contrôle. Avec mon plus beau sourire je leur demande comment faire pour me garer, avec l’espoir qu’ils m’accordent la petite place libre au bord de la route. Rien n’a faire ! ils sont insensibles à mon sourire et m’envoient me garer à 15 minutes à pied de l’adresse du rendez-vous. Ce n’est pas grave, mais bon …je porte des talons aiguilles et ce n’est pas très pratique pour cette petite marche.
Arrivée à l’adresse de mon hôte, je monte les escaliers de l’immeuble, je sonne, et … je tombe presque à l’envers quand un très grand et beau black m’ouvre la porte. Il doit mesurer environ deux mètres. En tout cas il dépasse Vincent et son 1m 90. Je suis très surprise. En fait, c’est Vincent qui a trouvé ce beau gosse, et avec les deux derniers jours chargés au travail et avec un fiston malade, j’ai complètement oublié de lui demander des détails sur le rendez-vous de ce soir. Du coup, je ne me suis pas posée de questions. Je m’attendais à un fribourgeois « normal », blanc et de taille moyenne. Imagine-toi ma surprise, hihihi.
Je cache bien ma réaction et j’adopte vite la situation. J’adore ! Un black c’est superbe, et en plus un mec si grand, je suis fan. Souvent, avec mon 1m70, quand je porte des talons hauts de 10 cm ou plus, je dépasse les mecs. J’adore me sentir toute petite pour une fois. Mon hôte m’accueille dans un tout petit studio, mais il s’est vraiment donné de la peine en préparant un apéro, en mettant des bougies partout, avec une jolie musique d’ambiance. Je suis touchée.
Après un petit verre et quelques mots échangés, je commence à l’approcher et l’embrasser. Je sens tout de suite qu’il est plutôt du genre timide et tendre. Il dégage une grande sensualité et avec ses attouchements, il me fait frissonner. Je le suce et m’occupe de lui, mais il a vite envie de me donner du plaisir à sa façon. Il me demande de lui offrir ma chatte, se penche sur moi et commence à me lécher avec sa langue. Je me laisse emporter par la situation. Je ferme les yeux et me laisse complètement aller. Normalement ce n’est pas trop mon truc, mais la journée était stressante au travail, et l’ambiance, la lumière tamisée, la musique et les bougies font le reste. Je ne bouge pas un doigt et je le laisse faire. Je vide ma tête. J’oublie tout. J’oublie où je suis. Le plaisir monte entre mes cuisses. Je sens comme je mouille et comme la jouissance monte encore et encore, pour finalement exploser entre mes jambes. C’est très intense et je sens l‘orgasme jusqu’aux bouts des orteils.
Je me laisse un peu de temps pour reprendre mes esprits, mais ensuite je m’occupe de nouveau de lui. Je le suce pour qu’il bande, et une fois sa queue bien grande et dure, il me fait sentir sa belle queue. Je suis tellement mouillée et sensible. J’adore. Il me baise dans tous les sens, et surtout ma chatte, enflée par la jouissance précédente. Quand il jouit la première fois dans ma chatte, je lui retire ensuite le préservatif pour le vider sur ma langue. Mmmh, j’adore le déguster.
Il ne débande pas et on continue nos ébats. Je le suce à nouveau, et il continue à me baiser la chatte et le cul. Je suis tellement chaude et excitée entre mes cuisses. J’adore. Là, il me demande qu’on s’amuse un peu en 69. Je le laisse me faire du bien pendant que je lui lèche et suce ses couilles et sa queue. Il se place ensuite à nouveau entre mes cuisses et continue à me lécher mon clito. Je le laisse faire et lui tiens la tête. Je ferme les yeux et ne pense à plus rien. L’explosion est incroyable, encore plus forte que la première fois.
Vincent avait arrêté de filmer pendant ce deuxième cuni, et quand je me relève, je remarque qu’il nous observe sans caméra à la main, et qu’il m’approche pour me toucher. Je ne suis même pas trop surprise, parce que c’est une situation qui se prête à ce qu’il se mêle aux jeux. Mon hôte fait une petite pause cigarette. C’est tranquille et il n’y a rien à filmer. Avec un énorme plaisir je commence donc à m’occuper de Vincent, qui est déjà en grande érection, excité par le spectacle. Mmmh, j’aime trop le déguster. Je me tourne pour écarter mes cuisses et lui offrir ma chatte et mon cul mouillés par le plaisir. Pendant qu’il me baise les deux trous à tour de rôle avec des coups bien fort, je suce à nouveau mon hôte, qui recommence à bander.
Je ne sais plus comment ça arrive, mais en rigolant sur les pratiques sexuelles « à l’ancienne », on éteint les lumières pour continuer à s’amuser dans le noir. C’est très sensuel et érotique. Vincent fini par jouir dans ma chatte. Il me la remplit avec son sperme abondant. Mon hôte suit avec une éjaculation sur ma langue. Vincent a juste le temps de rallumer la lumière et de prendre sa caméra pour filmer ce deuxième final jouissif. Mmmh, je lèche toutes les gouttes et je me nettoie encore les doigts.
C’était une belle soirée remplie de sensualité et de jouissance. C’est assez tard, et je ne fais plus très long. On discute encore en buvant un dernier verre de rouge, avant que je quitte mon hôte pour retourner chez moi. J’ai comme toujours après des rencontres réussies un sentiment de satisfaction absolue et un grand sourire intérieur.