Vincent me propose de réaliser quelques photos dans le genre porno chic comme je l’ai souhaité depuis longtemps. J’ai très envie de faire des photos glamour mais un peu plus chaudes que d’habitude, avec des godes et des gros plans intimes.
Je me prépare et j’installe le fond et les lumières dans notre studio photo que l’on a au sous-sol de notre maison. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus utilisé, mais souvent les week-ends il nous manque le temps et pendant la semaine il manque l’énergie après une longue journée au travail. Je me réjouis, et je me sens comme avant un rendez-vous coquin, et même un peu nerveuse. Je suis incorrigible concernant ce sujet.
Je commence à poser devant l’appareil photo de Vincent. Comme je sais exactement ce que je veux, les poses sont très vite osées. Je prends d’abord un petit gode en verre transparent, et je joue avec lui pour poser. C’est très agréable de sentir le verre frais et lisse sur ma peau, et quand je pénètre ma chatte, je sens que je deviens un peu humide par la stimulation. Je dois quand même me concentrer sur les poses afin de bien montrer ma chatte et le gode à la caméra, et en même temps de garder une jolie posture. Ce n’est pas évident de ne pas me laisser aller, hihihi. Je change de tenue et de gode. J’utilise mon grand double gode rouge. Il est un peu large pour ma chatte, mais il va bien donner sur les photos avec sa taille et sa couleur vive. Comme je peux l’introduire à ma façon et à mon rythme, il entre sans problème, même si je sens très bien comme il me dilate ma chatte serrée. Je vais tout doucement et je ne bouge pas trop brusquement. Quel sentiment excitant. Encore une fois, je m’amuse tout en posant, et je suis presque déçue quand Vincent me propose de faire encore une série de photos sans accessoire.
Pour les dernières photos, je rigole et je m’approche toujours plus de Vincent. Je fais semblant de vouloir attaquer son pantalon. Du coup, je trouve ça une bonne idée, et j’ai envie qu’il s’occupe de moi. Je suis encore toute chaude par les poses et les jeux avec les godes.
Mais avant que je puisse prendre l’initiative, c’est Vincent qui part chercher quelque chose. Il me dit d’attendre. Je me demande ce qu’il pourrait bien aller chercher, mais je le saurai tout de suite. Il a été chercher des attaches pour mes poignets. Le coquin. Et avant que je puisse vraiment réaliser ce qui se passe, je me retrouve les mains attachées dans le dos, penchée sur le canapé. Sans les mains, je m’appuie avec les épaules et la tête, et je me sens tout de suite livrée et inoffensive.
Vincent me fait écarter les cuisses pour bien me baiser et sans détours la chatte, avec des coups forts et profonds. Je suis plus qu’excitée. Il me tient les hanches, me tire les cheveux, et me baise longtemps et intensivement debout.
Il me fait mettre sur les genoux et me baise maintenant ma chatte avec le gode en verre. Celui est long et assez fin, légèrement courbé et avec une boule au bout. Vincent me l’introduit plus profondément que je l’ai fait pour les photos, et je sens la boule du gode me presser sur le point qui me fait gicler normalement. Mais je ne me lâche pas encore, c’est plus compliqué pour moi par la chatte. Je sais que Vincent ne veut pas toucher mon cul à cause de ma blessure que je me suis fait il y a dix jours, car on préfère encore attendre quelques jours avant de retoucher cette partie.
Il continue donc à me travailler la chatte, à me baiser avec des coups toujours plus vite et plus fort. J’ai toujours les mains attachées, et je suis à sa merci. Je me tords sous ses mains et je n’arrive plus à retenir mes cris. Je n’en peux plus, et enfin je me lâche. Je sens comme j’explose et je sens du liquide chaude s’étaler entre mes cuisses. Je sens que même mon cul coule. Je mouille de partout, de devant, de derrière et je jouis intensivement dans une explosion chaude et humide qui traverse tout mon corps. Je finis complètement épuisée, mais Vincent n’a pas fini avec moi. Il me fait me relever sur mes jambes et continue à me baiser la chatte. Il se vide dans moi et me remplit de son sperme chaud.
Quand il me détache, je rigole de mon état, de mon sentiment de satisfaction, mais aussi de la situation. C’est une sorte de situation comique du photographe pervers qui abuse de son modèle, hihihi. C’était trop bien. Merci chouchou ;-)