Je me réveille à 6 heures du matin, et ma première pensée est mon rendez-vous de midi. C’est impossible de me rendormir. Mon ventre tourne en rond. Malgré le fait que je sois fatiguée après une semaine de travail, et aussi parce que je me suis couchée tard après une soirée au resto, c’est impossible de retrouver le sommeil.
Normalement je suis toujours un peu stressée dans ma vie, et je cours tout le temps, mais là je peux passer toute la matinée à l’hôtel. C’est génial d’avoir beaucoup de temps pour me préparer, pour faire quelques photos dans la chambre, pour petit-déjeuner. ‘Petit-déjeuner’ n’est pas vraiment le bon mot, parce que je n’arrive pas à avaler plus qu’un croissant et un café. Je suis beaucoup trop nerveuse, même si mon ventre ne le refuserait pas, je n’ai pas envie de manger plus. Et ce n’est jamais une bonne idée avant une rencontre, surtout quand il s’agit de quelqu’un comme Attila.
Je décide de ne mettre que des bas sous ma jupe. De tout de façon ça ne sert à rien de faire trop compliqué. Je ne sais pas quoi faire avec mes cheveux, parce que même si je les attache, ma queue de cheval ne résiste jamais à une rencontre intense. Il faudra que je trouve une fois le bon moyen de les dompter, mais pour aujourd’hui je décide de ne rien essayer du tout.
Attila m’averti que Doggydog aura du retard. Cette demi-heure sera la plus longue de ma vie. Je suis trop nerveuse. Enfin ils me donnent le numéro de la chambre d’hôtel, qu’ils ont loué pour l’occasion.
Je me détends enfin quand je me retrouve devant eux, et quand ils commencent à s’occuper de moi. On s’embrasse, se touche, se caresse.
Quand je me penche pour sucer la queue d’Attila, Doggydog me prend la tête pour me presser contre la queue et me forcer à l’avaler en entier. Je me retrouve coincée entre les deux. Ils commencer à me traiter de salope et de chienne. Dès la première minute ils sont sans pitié. Je me fais gifler et bifler (des gifles avec la bite). Je me fais tenir par les cheveux et cracher dessus pendant qu’ils me baisent ma gorge à tour de rôle. C’est incroyable comme sentiment. Je suis tout de suite ailleurs, et ce n’est que le début du délire.
La dernière fois quand j’ai été chez Doggydogg, il s’est amusé à me faire souffrir ma chatte. Il refait ce que j’ai craint. Il pénètre ma chatte serrée avec sa très grosse queue. J’ai l’impression de ne pas pouvoir supporter sa queue, qu’il me déchire ma chatte. Il ignore mon débattement et se force un chemin en moi. Il n’arrête pas de me baiser avec des coups forts et profonds. Automatiquement je sursaute, je fuis, mais il me tient fort et me baise par derrière ma petite chatte. Attila me fait taire avec sa queue dans ma gorge. Doggydogg s’acharne sur moi, et quand enfin il me lâche, Attila fait pareil. A tour de rôle ils ne me baisent que ma chatte. C’est douloureux, parce que je n’ai vraiment pas beaucoup de place, presque pas assez pour de très gros calibres. Pour les queues de taille normale, il n’y a pas de soucis, mais dès que ça dépasse une certaine épaisseur, j’ai du mal.
En même temps, ce traitement impitoyable et ce sentiment de douleurs mélangés avec le plaisir, m’excite à mourir. Ils font ce qu’ils veulent avec mon corps, me tiennent aux poignets, me crachent dessus, me giflent avec les mains et les queues. L’excitation est plus forte que la douleur, ou bien c’est même la douleur elle-même qui m’excite aussi ? Je jouis. Je coule. Je mouille. C’est la pure folie.
Pendant qu’Attila me baise, Doggydogg s’assied sur ma tête, ma poitrine, me fait avaler sa queue. Quand il reste trop longtemps, j’ai l’impression d’étouffer. Je me débats pour prendre mon souffle. Il me tient fortement par les poignets, me crache dessus et étale sa bave sur mon visage. Pendant ce temps, Attila me baise la chatte, et aussi le cul.
Ils changent de place, me baisent à deux. Ils font des doubles dans des positions extraordinaires. Des doubles classiques, une double anale. Ils essaient même une double vaginale, mais sans succès bien sûr. Ils sont fous. Je n’arrive même pas à voir exactement comment ils font, parce qu’ils me pressent la tête en bas, et j’ai mes cheveux devant le visage, ou une main, un pied, une queue dans ma bouche. Je suis maltraitée mais j’adore ça.
Ils me bandent les yeux. Ce qui me fait un effet fou. Dans le noir, on perd complètement l’orientation et les sensations deviennent encore plus intenses. En plus ils commencent à m’immobiliser avec du ruban adhesive. Ils m’attachent les poignets, et aussi les jambes. C’est un grand fantasme de moi de me retrouver immobilisée ainsi, et je n’en peux plus tellement ils m’excitent.
Je me fais démonter ainsi. La vue coupée et privée de mes mains, et de mes mouvements libres. Je suis complètement délivrée. Ils me baisent à nouveau en doubles et à tour de rôle les deux trous, mais surtout beaucoup ma chatte. Ils n’arrêtent pas de s’acharner sur ma chatte qui encaisse comme jamais. Ils le remarquent très bien que je sursaute presque à chaque fois, mais cela semble les encourager encore et encore, et moi je suis une seule flaque, tellement je mouille. Je me fais baiser le cul avec la main jusqu’à ce que je coule. Ils s’amusent à écrire des dédicaces sur mon corps.
Attila essaie de me faire vomir avec sa queue, et si j’avais mangé ce matin, il aurait réussi. Ainsi je bave juste tout le liquide blanchâtre de mon estomac sur sa queue. Il essaie de rester le plus longtemps possible dans ma gorge, et parfois je n’arrive pas très longtemps, parce que le sentiment de m’étouffer me fait retirer ma tête. J’aimerais montrer que je suis capable de plus, que je suis une grosse salope qui arrive à avaler les queues comme il le faut. Mais ce n’est pas évident. Les coups et les insultes pleuvent. C’est très très excitant et très fort comme sensation. Je suis sur une autre planète.
Quand ils m’enlèvent le bandeau, je vois juste la surprise de laquelle Vincent m’a épargné. Des orties. Vincent me connait par cœur et a stoppé Attila à temps car je ne supporte absolument pas les orties. La dernière fois que quelqu’un s’est amusé à me frapper avec des orties, je n’ai pas réussi à dormir pendant une semaine, tellement j’ai souffert. Merci Vincent ;-)
Après deux heures de baise non-stop, les deux mecs se branlent sur mon visage et me jouissent sur la langue, puis Attila me remplit la chatte avec son urine, et Doggydogg se vide dans ma bouche. Je ne suis qu’une vide-couille et bonne à se faire remplir par tout ce qu’ils ont envie de me donner. Je me retrouve dans un état pitoyable. J’ai des bleus, la chatte brûlante, et je suis mouillée de la tête aux pieds avec toutes sortes de liquides.
Après une bonne douche, je ressemble toujours à rien, mais cela ne m’empêche pas d’aller faire mes courses chez Leclerc. C’est tellement drôle comme sensation de me retrouver là-bas, à peine une demi-heure après une aventure folle dans une chambre d’hôtel glauque. J’adore.
Je suis très très heureuse et comblée par cette rencontre. Merci Attila, merci Doggydogg, vous êtes les meilleurs.