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J’ai un petit vibro qui fait des merveilles sur la pointe de mon clitoris (le Zumio Caress). Alors comme œil pour œil, gland pour gland, parfois je joue à le placer sur le frein du pénis de mes partenaires, et aussi en tenant mes doigts en cercle autours de la couronne afin que les vibrations…
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« Bonjour à toutes. Moi c’est Alice. J’ai vécu une expérience étonnante avec un garçon rencontré en boîte de nuit. Il avait tout du super macho et j’avais envie d’une relation dans ce genre (c’était les vacances). Arrivés au moment important, je voyais bien qu’il était encore mou. Il m’a suggéré de lui mettre un doigt dans l’anus et là, miracle, il est devenu dur. Est-ce que j’ai fait l’amour avec un homo refoulé ? »
La réponse de notre sexologue :Le corps possède ce que l’on appelle des zones érogènes, c’est-à-dire des points de sensibilité plus intense et ayant une connotation sexuelle. Si l’on peut dire que la cartographie de ces zones est assez standardisée d’un individu à l’autre, tout en tenant compte des différences entre hommes et femmes, il n’en existe pas moins des différences notables d’une personne à l’autre.
Certes, les zones érogènes sont essentiellement centrées sur la région génitale, mais il ne faut pas oublier les nombreuses autres zones à sensibilité accrue parmi lesquelles on peut citer les mamelons, y compris chez l’homme, la bouche, le lobe des oreilles, et, comme vous l’avez constaté lors de cette relation, la région anorectale. Le fait pour un homme de ressentir de l’excitation sexuelle lors de la stimulation de l’Lire la suite sur Union
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Deux guides indispensables pour réduire les risques en santé sexuelle
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« Bonjour cher Docteur, moi c’est Yoann, 33 ans, je suis de Libourne. Je suis plutôt beau gosse, les filles me kiffent et j’avoue que c’est assez facile pour moi. C’est certainement pour cela qu’elles acceptent souvent mon fantasme qui est de leur éjaculer sur le visage. La dernière fois, la fille m’a dit ok, mais tu me fais jouir d’abord avec ta bouche. J’ai accepté et elle m’a pissé sur la figure. J’en avais partout, j’étais furieux. Elle m’a raconté qu’elle avait joui et que ce n’était pas de l’urine. Je n’ai jamais entendu qu’une fille pouvait éjaculer. Est-ce possible ? »
Apparemment cela ne vous était jamais arrivé jusque-là et vous n’étiez même pas au courant de l’existence de ce que l’on a coutume de dénommer femme fontaine ! Dommage que vous l’ayez mal pris, mais il est vrai que cela peut surprendre quelqu’un de non averti de la chose. Chez certaines
femmes il se produit parfois, au moment de la jouissance, un phénomène assez particulier qui consiste en l’émission d’un liquide très fluide et très clair, parfois en très grande quantité, dont l’origine n’est pas complètement élucidée. On ne peut pas à proprement parler d’éjaculation féminine, car ce n’est en rien comparable au sperme lequel est bien plus épais et contient les cellules mâles de la reproduction. Pour votre gouverne, sachez que ce n’est pas non plus de l’Lire la suite sur Union
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Tou.tes ensemble le 20 août 2022, célébrons le Centenaire des Premiers Jeux Mondiaux Féminins, organisés par Alice Milliat pour revendiquer le droit des femmes à participer aux Jeux Olympiques. 2022 est l’occasion de fêter les 100 ans des premiers Jeux Mondiaux qui se sont déroulés le 20 août 1922 au Stade Pershing à Paris. Cet […]
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« Bonjour Union, moi c’est Patrick, 52 ans. J’aimerais beaucoup avoir votre point de vue et vos conseils sur les aphrodisiaques dits « naturels ». On évoque le bois bandé aux Antilles, mais également les huîtres, les plats épicés, etc. J’atteins un âge où cette question me préoccupe (mes érections ne sont plus aussi vaillantes), mais je ne me sens pas mûr pour les pilules bleues. »
La réponse de notre sexologue :Les aphrodisiaques non médicamenteux ont fait couler beaucoup d’encre, et ce depuis la nuit des temps, croyez-moi. Les hommes ont fait preuve d’une grande capacité d’imagination dans ce domaine et essayé d’innombrables substances d’origine végétale ou animale pour renforcer leur virilité. En règle générale, les produits considérés comme stimulant le désir ou l’érection proviennent de plantes ou de parties animales ayant une symbolique phallique.
C’est ainsi que de nombreux animaux ont été pourchassés pour leur réputation de puissance et de force, tels que le rhinocéros, le tigre, le taureau, le gorille, le lion pour ne citer qu’eux, animaux dont certaines parties étaient particulièrement valorisées, par exemple la corne de rhinocéros ou les dents de tigre. Mais de nombreuses autres espèces étaient chassées pour leur pénis ou leurs Lire la suite sur Union
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Cet article Route du Rock : retour au bercail pour les 30 ans provient de Manifesto XXI.
La Route du Rock investit Saint-Malo depuis trente ans maintenant. Après une année annulée et une édition éparpillée dans la région, c’est sur le mythique site du Fort Saint-Père que le festival rock remuera les foules cet été. Un retour au bercail pour une édition anniversaire. Avant d’aller souffler les bougies du 17 au 20 août, on a discuté avec Alban Coutoux, programmateur du festival.Connu pour sa capacité à assortir têtes d’affiches et joyaux de l’émergence, ce rendez-vous immanquable de l’été a traversé les années avec brio grâce à sa programmation toujours pointue et authentique. Cette année, on retrouvera entre autres Aldous Harding, Baxter Dury, Fontaines D.C. et Working Men’s Club (qui étaient dans notre top 2020), Ty Segall , les Liminanas, Beak>, ou encore Yard Act, Tess Parks, Wet Leg… (programmation complète ici). Une belle affiche pour cet épisode que François Floret, directeur du festival, imagine comme « une Route du Rock pur jus » et dont Alban a accepté de nous parler.
Comment est pensée la programmation de la Route du Rock ?
Alban : La particularité de ce festival, c’est sa personnalité un peu forte. Son esthétique, c’est le rock indépendant au sens large. Préparer cette programmation est un travail qui se fait toute l’année, en découvrant de nouveaux disques et de nouveaux labels, en discutant avec des managers, ou des programmateurs, ce sont des échanges constants avec le milieu de la musique. Et comme nous sommes très attachés à l’actualité musicale, il s’agit aussi de choisir le bon moment. Il arrive que l’on aime beaucoup un ou une artiste mais que l’on se dise « l’album sort l’année prochaine, ce sera plus pertinent de le.la programmer à ce moment-là ».
Ensuite, il faut élaborer le programme des trois jours. On est sur trois lieux très différents. La Nouvelle Vague, la salle de concert qui accueille la soirée d’ouverture, offre un cadre plus intimiste. Cette année, c’est Aldous Harding et King Hannah qui y joueront. Ce sont des univers assez calmes qui nécessitent une certaine proximité avec le public. Il était plus intéressant pour les artistes et les festivalier.ères de vivre ce moment en salle.
Il y a la plage Arte Concert (La plage du Bon-Secours à Saint Malo, où les concerts sont gratuits, nldr). Les concerts sont l’après-midi, en extérieur. Là aussi il faut choisir des artistes adaptés à l’endroit, à l’ambiance.
Et enfin le fort Saint-Père. C’est un très beau lieu, qui peut accueillir beaucoup de monde. Là, ce n’est pas seulement la notoriété mais aussi l’esthétique de l’artiste qui doit être prise en compte. Le programme doit être évolutif, monter en puissance tout au long de la soirée. Et puis il faut jouer avec les plannings, dealer avec les horaires des artistes, jongler avec toutes ces contraintes pour que la programmation puisse tenir.
Une programmation se fait donc sur toute l’année.
Alban : Oui, on est constamment à l’affût de tout ce qu’il se passe. Et il y a aussi les artistes qu’on met plusieurs années à inviter. Patti Smith, par exemple. Cela faisait très longtemps qu’on voulait l’accueillir, mais les calendriers ne correspondaient pas. Il y a ces artistes mythiques, et ceux qu’on découvre en restant connecté à l’actualité. En 2020, quand on a été contraint d’annuler le festival, on a évoqué la possibilité de faire un report. Mais il nous a paru évident que cela n’aurait eu aucun sens. Proposer la même programmation un an après serait revenu à dire qu’il ne s’était rien passé pendant un an, ce qui n’était pas vrai !
Nous, ce qu’on aime, c’est les correspondances entre les artistes mythiques et ceux qui sont tout nouveaux. Quand on pense aux artistes qu’on a reçu, comme Patti Smith mais aussi Nick Cave, Sonic Youth ou encore My Bloody Valentine, on constate que leur musique inspire encore les groupes aujourd’hui. On souhaite montrer que cet ensemble est cohérent et que tout ça s’inscrit dans une histoire commune de la musique.
Vous aviez un objectif en particulier avec cette édition ?
Alban : Non, mais il y avait beaucoup d’envie. Le premier groupe à avoir été confirmé, ce sont les King Gizzard, têtes d’affiche du samedi soir (depuis, le concert a été annulé pour des raisons de santé d’un des membres du groupe, et remplacé par Fat White Family, ndlr). On essaye de les recevoir depuis quelques années et les contraintes de tournée et de calendrier avaient toujours empêché ça. Donc on est vraiment ravis. C’est un des groupes les plus emblématiques de cette scène psyché-garage, avec Ty Segall également, c’est très important pour nous de les avoir. C’est la journée la plus sonique et bruyante. C’est une esthétique très post-punk ce soir là.
Une révélation cette année ?
Alban : C’est toujours très difficile de choisir parmi la trentaine de groupes à l’affiche, mais je dirais peut-être Wet Leg, qui a été une réelle révélation. L’album est sorti à l’automne et a explosé depuis. On avait prévu de les faire jouer sur la deuxième scène mais il y a eu un tel engouement autour de ce groupe qu’on a décidé qu’elles seraient sur la grande scène. Elles joueront juste avant Fontaines D.C. le 18 août, ce sera un beau moment du festival.
Après ces deux années au ralenti, les festivals ont repris de plus belle ?
Alban : Oui, mais la situation est tout de même contrastée. Certains festivals marchent très bien, d’autres un peu moins. Ce n’est pas non plus l’euphorie partout. Il faut rester assez prudent, les comportements du public ont beaucoup changé en deux ans. Depuis que les restrictions sanitaires sont tombées, il se passe beaucoup de choses d’un coup. Il y a beaucoup de monde sur les routes et c’est normal, personne n’a tourné pendant deux ans. Ça fait qu’il y a une très forte concurrence.
Hormis les Limiñanas, il n’y a pas de groupes français cette année…
Alban : Oui mais ce n’est pas un choix assumé. Sur l’édition capsule de l’été dernier, la programmation était 100% française ! La nationalité n’est pas du tout un critère de programmation pour nous. C’est aussi que les artistes français tournent beaucoup en France, et on est assez attaché à l’idée de programmer des groupes qu’on ne voit pas trop ailleurs.
Ce n’est pas symptomatique d’un manque d’effervescence sur la scène rock française ?
Alban : Non, je ne pense pas, il s’y passe beaucoup de choses. C’est une scène très riche et très intéressante.
En revanche, il y a beaucoup d’artistes de Londres. C’est une scène qui vous intéresse particulièrement ?
Alban : Oui, on trouve là-bas une réelle effervescence. La scène anglaise est très excitante et produit beaucoup de nouveaux groupes qui portent cette esthétique post-punk qui nous tient à cœur. Depuis cinq ou six ans, avec Idles par exemple, on retrouve beaucoup chez les groupes anglais un côté très punk et revendicatif, qui correspondait à une situation sociale et économique tendue en Angleterre. Cette année par exemple, Yard Act (qui jouera le jeudi 18 août, ndlr) en est un bel exemple. Le chanteur décrit avec humour et une certaine méchanceté ses compatriotes, avec ce cynisme très anglais, très pince- sans-rire.
Avez-vous la sensation que le punk et le post-punk ont pris beaucoup de place dans la scène rock actuelle ?
Alban : Oui peut-être, mais la grande famille indé reste assez variée. On le voit sur des choses beaucoup plus calmes, on va par exemple accueillir Tess Park sur la plage (le samedi 20 août ndlr). C’est plus psyché, plus calme. La Route du Rock n’a pas vocation à ne représenter qu’un seul style de musique. Nous programmons ce qu’on écoute, ce serait vraiment triste de n’écouter qu’un seul genre. On essaie de montrer la scène indépendante dans toute sa diversité.
Les petits plus de la Route du Rock :
-En plus de ses lieux de concerts divers, la Route du Rock organise chaque année des expositions photographiques gratuites à la Tour Bidouane de Saint-Malo, dans les remparts. Cette année, la ville fortifiée reçoit le portraitiste Richard Dumas, passionné de musique à l’origine d’un certain nombre de pochettes de disque (Bashung, Daho, Miossec, Dominique A…).
Exposition RICHARD DUMAS 36 SHOTS, du 23 juillet au 21 août à la Tour Bidouane, passage de la Poudrière 35400 Saint-Malo. Entrée libre chaque jour de 10h à 12h et de 14h à 18h.
-Chaque année, le festival ajoute à sa programmation la mythique chenille. Moment qui consiste à tenter de battre le record du monde de la plus longue chenille. Cette année ce sera le samedi 20 août, juste après Ty Segall & Freedom Band.
– Les galettes saucisses.
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« Bonjour moi c’est Sylvie, 60 ans. Je viens de basculer chez les sexagénaires et contre toute attente, j’ai une libido qui redouble. Je précise que je suis mariée, que l’on s’accorde à me trouver toujours très désirable et que mon mari a beaucoup de mal à me suivre sur ce terrain. Je me surprends, ces derniers temps, à lorgner des hommes beaucoup plus jeunes que moi et plus ça va, plus j’ai envie de passer le pas. Est-ce une période transitoire, ou bien ces pulsions sont-elles là pour être suivies d’effets ? »
La réponse de notre sexologue :Contrairement à une opinion largement répandue, la libido féminine continue à exister bien au delà de la soixantaine. De fait, votre cas est loin d’être aussi rare qu’on pourrait le croire. Certes, pour être tout à fait honnête, je dirais que ce n’est pas la situation la plus fréquente et ajouterais que dans l’ensemble les femmes se plaignent des répercussions de la ménopause sur leur vie sexuelle.
La chute des hormones liée à l’arrêt de production ovarienne aboutit souvent à une baisse de désir sexuel et à une moins bonne lubrification vaginale pouvant provoquer une gêne ou des douleurs au moment du coït. Apparemment, ce n’est pas votre cas et vous pouvez vous en réjouir. Toutefois, cela vous confronte à une difficulté d’un autre ordre dans la mesure où vos besoins sont supérieurs à ceux de votre...Lire la suite sur Union
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La reconnaissance des Talibans = la Non-Reconnaissance des droits des Femmes, des droits Humains, du droit à la Liberté, du droit à la Parole … – 15 août 2021, les talibans soutenus par le Pakistan entrent dans Kaboul.– 31 août, les État-Unis quittent l’Afghanistan. Des milliers d’afghan.es menacé.es fuient leurpays.– Aucun pays n’a reconnu depuis […]
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Cela fait tout juste un an que Richie Nath, jeune peintre-illustrateur birman, est arrivé à Paris. Accueilli par l’Atelier des Artistes en Exil, il poursuit sa carrière artistique et se fait à sa nouvelle vie parisienne.
L’article Richie Nath: «Exprimer cette partie de moi que j’ai longtemps dû dissimuler» est apparu en premier sur 360°.
« Bonjour à tous moi c’est Lucas. Tout le monde me dit que c’est possible, mais moi, ça me dégoûte. Lorsque ma copine a ses règles je ne peux pas lui faire l’amour (même avec un préservatif). Ma réaction est-elle « normale » ou bien dois-je vraiment me forcer ? »
La réponse de notre sexologue :Je ne sais pas à qui vous faites référence quand vous parlez de « tout le monde » ? J’imagine qu’il s’agit l’opinion de votre copine, laquelle essaie de vous convaincre que votre réaction est anormale. En réalité, même si la présence de sang menstruel ne pose aucun problème à certains hommes, nombreux sont ceux que cela rebute plus ou moins.
Il faut dire que bien souvent c’est la femme elle-même qui refuse de faire l’amour dans cette période là, surtout si ses règles sont très abondantes, auquel cas la question ne se pose même pas. Ce n’est apparemment pas le cas de votre amie chez qui la période de menstruation n’est pas synonyme de manque de désir. Pour autant, il me semble difficile de vous conseiller de vous forcer car elle s’en rendra forcément compte et cela risque de ne pas lui convenir.
Il serait donc préférable de lui faire comprendre que le sang provoque chez vous une réaction très négative, ce qui est très banal. Il y en a même des hommes...Lire la suite sur Union
Cet article Le sexe lors des règles ne m’attire pas, est-ce une réaction anormale ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour moi c’est Pierrick. Pour mes 18 ans, mes copains m’ont offert deux heures avec une fillesublime. J’avais l’impression d’être dans un film. Elle était magnifique. Il y avait la lingerie, les parfums… Mais de mon côté rien. Je n’ai pas pu la pénétrer. Je bandais, mais au moment d’entrer je devenais tout mou. Je n’ai rien dit à personne, mais cela ne cesse de me travailler au point que je n’ose pas aborder une fille de peur que cela ne se reproduise… Que me conseillez-vous ? »
Les conseils de notre sexologue :En vous faisant ce cadeau tout à fait sympathique au demeurant, vos copains n’ont pas pris en compte l’un des aspects importants de la sexualité masculine, aspect dont ils n’étaient sans doute absolument pas conscients eux-mêmes. En voulant vous faire cette surprise ils vous ont mis dans une situation moins facile qu’il n’y paraît. En effet, en vous retrouvant auprès de cette femme vous avez ressenti une obligation d’assurer comme on dit couramment, et cela vous a déstabilisé.
C’est ça qui a provoqué la panne d’érection au moment de la pénétrer. Tout était parfait, la femme était une créature de rêve, à la fois par sa beauté, mais aussi par l’environnement, et justement c’était peut-être trop parfait ! Et dans ce cas la pression est bien plus forte que dans une situation plus banale. La peur de ne pas être à la hauteur de ce que l’on attend de...Lire la suite sur Union
Cet article Je ne parviens pas à maintenir mon érection face à une belle femme que faire ? est apparu en premier sur Union.
Si vous n’avez pas suivi les actus queer du mois dernier, 360° vous propose un rattrapage en quelques lignes. Au programme, un été caniculaire marqué par la pandémie de monkeypox et rafraîchi par quelques bonne séries queer.
L’article La récap actu de l’été est apparu en premier sur 360°.
J’ai chaud… Je suis rouge et moite. Je transpire… Hélas, ce n’est pas à cause du cul mais de la canicule ! C’est l’occasion de vous donner quelques tips pornos pour du plaisir chill. Niquer sans péné, tranquilles. Entre deux boissons rafraichissantes, frottons-nous… Effleurements, caresses, massages, papouilles, léchouilles, bisous et branlettes… Plaisirs liquides. Il existe une infinité de nuances dans le toucher sexuel. Voici donc une exploration porno des tendances fantasmatiques sans pénétrations.
Se frotter : la tendance du « dry humping »Qui s’y frotte s’y plaît ! Prendre du plaisir par frottement, avec une chose ou une personne, existe (probablement) depuis toujours. Mais la pratique (pourtant découverte dès l’enfance) restait plutôt discrète, voire taboue… Jusqu’à sa récente tendance porno ! Depuis quelques années, de très nombreuses vidéos et plusieurs articles mainstream sont consacrés au « dry humping » ! Autrement dit : « frotti-frotta » ou frottement sans lubrifiant. La représentation dominante de la culture hétéronormative impose une sexualité avec pénétration. Le « humping » a donc longtemps été considéré comme immoral ou immature… Bien que des milliards de personnes l’expérimentent régulièrement ! Souvent étiqueté comme « préliminaire », le frottement sexuel peut, pourtant, nous apporter des orgasmes, peu importe notre genre. Sans même se déshabiller ! Cependant, pour des stimulations fluides, il s’agit de choisir des habits adéquats : tissu léger, soyeux et glissant.
Seul·e ou à plusieurs, suivant une infinité de positions, le « humping » est de plus en plus mis en avant sur Pornhub. Voici quelques pépites synthétisant la tendance. Parmi les vidéos solos, il y a clairement une formule phare : une meuf se frottant contre un coussin ! Cette pratique hyper répandue est celle qu’on voit le plus et qui a le plus de succès. Les premières à avoir buzzer grâce au « humping pillow » sont Hidden XXX Amateur et Anna Nasty. Si la première préfère chevaucher son coussin à poil (sans visage, image très amateur), Anna garde souvent son bas de pyjama ! Depuis 2020, cette dernière perce régulièrement à plusieurs millions de vues… Comme dans cette fameuse vidéo où elle passe rapidement d’un réveil tranquille à une frénésie sexuelle spectaculaire ! Son coussin semble la posséder jusqu’à l’orgasme, interrompu par… On la retrouve ici, en culotte dans son petit lit, sous un autre angle. Orgasme toujours aussi sublime. Chose rare pour Pornhub : ces deux vidéos sont (presque) SFW (on ne voit que ses seins).
La plupart des vidéos de « humping » sont brèves (moins de dix minutes) et brutes (montage minimaliste ou inexistant). Une partie de plaisir solitaire, rapide et efficace ! Parfaite alternative écolo aux sex-toys… Le plus souvent, la meuf se frotte en culotte. Comme Little Laine, dans un superbe ensemble orange, se balançant sur un coussin papillons… Ses seins rebondissent et sa jouissance, surpuissante, arrive vite ! Nerdy Faery préfère enlever sa culotte afin de mieux inonder le coussin (et la cam) de son plaisir liquide ! Autre squirteuse, Agatha Dolly, star mexicaine spécialiste du porn en abyme, se frotte sur son nounours avant de l’arroser. Pionnière du « humping porn », Marie Jayne préfère, très souvent, l’accoudoir d’un vieux canapé. Katie Adams, quant à elle, nous rappelle qu’un coin de meuble peut aussi faire l’affaire ! D’ailleurs, si vous poursuivez vos recherches, vous trouverez des vidéos avec n’importe quel meuble de la maison… Enfin, chez les mecs solos, seul Fap2it s’est vraiment démarqué en se frottant la bite contre le lit. Sa signature est d’ailleurs l’éjac sans les mains !
Parmi les couples hétéros, certains se sont spécialisés dans les frottements sexuels. Ces couples optent presque toujours pour des habits moulants. La fibre préférée des humpers est le « Spandex » (lycra ou élasthanne) : douce et élastique. Sous-vêtements, leggings et sportswear sont omniprésents. Ainsi, Sweet Bunny se frotte à la bite de son mec en « yoga pants » : c’est un roleplay de coach à domicile qui dérape en frottements sexuels… Ici, le « humping » devient du « work out » et elle le chevauche comme un coussin. Elle finit avec la position préférée des « humpers » : en reverse cowgirl ! Wet Kelly choisit de rester debout pour simplement frotter son cul contre la queue de son partenaire. Elle porte, elle aussi, un legging moulant et fait des va-et-vient avec ses fesses… Bite sur la raie puis entre les cuisses ! le couple canadien Beauty and the Beast privilégie les sous-vêtements pour se frotter languissamment. Un reverse cowgirl voluptueux qui finit par inonder le shorty… Mais les experts en la matière sont le College Couple. Le couple brésilien a publié plus de 100 vidéos de « clothed porn » ! Presque SFW (jamais complètement nus), ils ont testé à peu près toutes les positions et de nombreux habits (jeans compris). Un bon aperçu de leur œuvre est disponible dans leur « cumpilation » habillée !
Massages érotiques, caresses & happy endingsÀ l’inverse du « dry humping », les massages impliquent beaucoup de lubrifications ! Il faut que ça glisse ! Huiles, lubes et salives prennent ici la place du tissu. On habille les peaux de liquides permettant d’amples mouvements. Effleurer, caresser, appuyer, tapoter, manipuler, tâter, lécher, embrasser, branler, etc. Toute la palette du toucher peut y passer ! L’idée est de détendre le corps et d’attiser le désir. Faire durer le plaisir… Bref, les massages érotiques ont une place centrale dans nos fantasmes et ne sont pas forcément cantonnés aux rôles préliminaires. Dans les tendances pornos, les massages comportent souvent un happy ending. C’est le schéma fantasmatique le plus commun : détente – tension érotique – orgasme. En voici quelques exemples spectaculaires.
Veronika Charm s’est faite connaître sur Pornhub par ses talents de masseuse. Avant de devenir la reine des branlettes en public (et des fellations en gros plan), ce sont ses mises en scènes érotiques qui ont percé. Pas très fan de lube, elle préfère huiler la bite de son mec ou… transformer un massage intégral en plaisir buccal ! Première partie classique avec massage des épaules, du dos puis des fesses. Mais, lorsqu’il se retourne, elle se dirige cash vers son érection. Les mains puis la bouche. Avant de choisir le 69 pour faire monter le happy ending. Autre chaîne pleine de massages finissant bien, pour lui comme pour elle, Jizzy Jobs. Shreya est la star de la chaîne tant par ses mains expertes qu’en tant que massée (avec happy ending pour elle). Ambiance zen et huiles de massage pour la détente ; tension érotique montant lentement ; finition en body body, à califourchon, fesses vers lui ! Position qu’on retrouve à la fin de ce massage très progressif mais cette fois-ci tourné vers lui et filmé en POV (par swmsk). Mentions spéciales pour : Ourdirtylittlesecret grâce à la qualité du cadrage, de la mise en scène, de l’ambiance joueuse et de la langue caressante (un buzz mérité) ; Lucky Fucker POV grâce aux regards caméras torrides de la masseuse et sa maestria à faire monter le plaisir… Enfin, pour les fans de happy ending féminin, mentionnons aussi ce magnifique massage philippin !
La diversité des caresses sexuelles non pénétrantes est infinie. Bite dans une main, entre des seins, entre des fesses, des cuisses, des aisselles, des pieds, etc. Langues baladeuses, explorant les peaux et les pores, les plis et les lèvres… Les mains, évidemment, qui tâtonnent et cherchent à étendre nos zones érogènes… Mais les tendances mainstream restent assez classiques. Parmi les touchers sexuels les plus en vogue, on trouve toujours la fameuse « branlette espagnole » (« titfuck ») et, plus récemment, la pratique de l’« edging » (branlette qu’on fait durer). Si certaines masseuses mentionnées plus haut le maîtrise, cette caresse incarne souvent le fantasme entièrement. Chechu, la star argentine des vidéos pornos éducatives, y a même consacré un brillant tutoriel (doublé d’un JOI). Parfois, l’edging vise délibérément à multiplier la puissance de l’éjaculation, comme pour cette fabuleuse faciale !
Pour se rafraîchir, rien de mieux que de s’éclabousser ! Les corps sont magiques et produisent de nombreux fluides pour mieux s’hydrater. Finissons donc par une petite sélection liquide dégoulinant de foutre, de squirt et de pisse. Dans la catégorie « douche de foutre », je pense, encore et toujours, à The Start of Us (je sais, c’est une vidéo avec péné mais…) : pour une fois, ça commence par un cuni du King (et ça finit comme un bukkake) ! Dans la catégorie « fontaine », je vous ai déjà beaucoup parlé de Martina Smith alors j’aimerais ici m’arrêter sur sa compatriote la plus célèbre : Mariana Martix. Comme vous savez, les Colombiennes semblent adorer gicler en public ! Ici, Mariana repousse les limites de l’originalité comme de la gravité… Je suis prêt à parier qu’elle sera la 1ère à squirter dans l’espace ! Dans la catégorie « golden shower », abreuvons-nous à la meilleure des sources canadiennes, Bruce and Morgan. Ces artistes de la pisse, génies de l’urine et poètes de l’envie pressante ne sont jamais avares de concepts rafraichissants ! Par exemple : incarner les toilettes pendant 24h, rien ne se perd, tout se transforme… Autre fan de l’adage « jeux de pisse, jeux complices », la brésilienne a soif, très soif !
Bon, j’avoue : la canicule n’était qu’un prétexte. Pour vous rappeler que la pénétration n’est qu’une pratique sexuelle parmi d’autres. Un mode tactile majeur du porno mainstream mais moins dominant qu’on pourrait le croire… Que vous préfériez des caresses et frottements à sec, humides ou dégoulinants, peu importe, tant que le corps se détend et que le plaisir monte… Au fond, la météo des fantasmes mériterait des bulletins quotidiens : massages sur la plage, humping anticyclonique et dégradations pissorageuses à prévoir dès ce soir.
Demain, retour d’un temps plus pénétrant avec dilatation de l’anus solaire.
J’ai chaud… Je suis rouge et moite. Je transpire… Hélas, ce n’est pas à cause du cul mais de la canicule ! C’est l’occasion de vous donner quelques tips pornos pour du plaisir chill. Niquer sans péné, tranquilles. Entre deux boissons rafraichissantes, frottons-nous… Effleurements, caresses, massages, papouilles, léchouilles, bisous et branlettes… Plaisirs liquides. Il existe une infinité de nuances dans le toucher sexuel. Voici donc une exploration porno des tendances fantasmatiques sans pénétrations.
Se frotter : la tendance du « dry humping »Qui s’y frotte s’y plaît ! Prendre du plaisir par frottement, avec une chose ou une personne, existe (probablement) depuis toujours. Mais la pratique (pourtant découverte dès l’enfance) restait plutôt discrète, voire taboue… Jusqu’à sa récente tendance porno ! Depuis quelques années, de très nombreuses vidéos et plusieurs articles mainstream sont consacrés au « dry humping » ! Autrement dit : « frotti-frotta » ou frottement sans lubrifiant. La représentation dominante de la culture hétéronormative impose une sexualité avec pénétration. Le « humping » a donc longtemps été considéré comme immoral ou immature… Bien que des milliards de personnes l’expérimentent régulièrement ! Souvent étiqueté comme « préliminaire », le frottement sexuel peut, pourtant, nous apporter des orgasmes, peu importe notre genre. Sans même se déshabiller ! Cependant, pour des stimulations fluides, il s’agit de choisir des habits adéquats : tissu léger, soyeux et glissant.
Seul·e ou à plusieurs, suivant une infinité de positions, le « humping » est de plus en plus mis en avant sur Pornhub. Voici quelques pépites synthétisant la tendance. Parmi les vidéos solos, il y a clairement une formule phare : une meuf se frottant contre un coussin ! Cette pratique hyper répandue est celle qu’on voit le plus et qui a le plus de succès. Les premières à avoir buzzer grâce au « humping pillow » sont Hidden XXX Amateur et Anna Nasty. Si la première préfère chevaucher son coussin à poil (sans visage, image très amateur), Anna garde souvent son bas de pyjama ! Depuis 2020, cette dernière perce régulièrement à plusieurs millions de vues… Comme dans cette fameuse vidéo où elle passe rapidement d’un réveil tranquille à une frénésie sexuelle spectaculaire ! Son coussin semble la posséder jusqu’à l’orgasme, interrompu par… On la retrouve ici, en culotte dans son petit lit, sous un autre angle. Orgasme toujours aussi sublime. Chose rare pour Pornhub : ces deux vidéos sont (presque) SFW (on ne voit que ses seins).
La plupart des vidéos de « humping » sont brèves (moins de dix minutes) et brutes (montage minimaliste ou inexistant). Une partie de plaisir solitaire, rapide et efficace ! Parfaite alternative écolo aux sex-toys… Le plus souvent, la meuf se frotte en culotte. Comme Little Laine, dans un superbe ensemble orange, se balançant sur un coussin papillons… Ses seins rebondissent et sa jouissance, surpuissante, arrive vite ! Nerdy Faery préfère enlever sa culotte afin de mieux inonder le coussin (et la cam) de son plaisir liquide ! Autre squirteuse, Agatha Dolly, star mexicaine spécialiste du porn en abyme, se frotte sur son nounours avant de l’arroser. Pionnière du « humping porn », Marie Jayne préfère, très souvent, l’accoudoir d’un vieux canapé. Katie Adams, quant à elle, nous rappelle qu’un coin de meuble peut aussi faire l’affaire ! D’ailleurs, si vous poursuivez vos recherches, vous trouverez des vidéos avec n’importe quel meuble de la maison… Enfin, chez les mecs solos, seul Fap2it s’est vraiment démarqué en se frottant la bite contre le lit. Sa signature est d’ailleurs l’éjac sans les mains !
Parmi les couples hétéros, certains se sont spécialisés dans les frottements sexuels. Ces couples optent presque toujours pour des habits moulants. La fibre préférée des humpers est le « Spandex » (lycra ou élasthanne) : douce et élastique. Sous-vêtements, leggings et sportswear sont omniprésents. Ainsi, Sweet Bunny se frotte à la bite de son mec en « yoga pants » : c’est un roleplay de coach à domicile qui dérape en frottements sexuels… Ici, le « humping » devient du « work out » et elle le chevauche comme un coussin. Elle finit avec la position préférée des « humpers » : en reverse cowgirl ! Wet Kelly choisit de rester debout pour simplement frotter son cul contre la queue de son partenaire. Elle porte, elle aussi, un legging moulant et fait des va-et-vient avec ses fesses… Bite sur la raie puis entre les cuisses ! le couple canadien Beauty and the Beast privilégie les sous-vêtements pour se frotter languissamment. Un reverse cowgirl voluptueux qui finit par inonder le shorty… Mais les experts en la matière sont le College Couple. Le couple brésilien a publié plus de 100 vidéos de « clothed porn » ! Presque SFW (jamais complètement nus), ils ont testé à peu près toutes les positions et de nombreux habits (jeans compris). Un bon aperçu de leur œuvre est disponible dans leur « cumpilation » habillée !
Massages érotiques, caresses & happy endingsÀ l’inverse du « dry humping », les massages impliquent beaucoup de lubrifications ! Il faut que ça glisse ! Huiles, lubes et salives prennent ici la place du tissu. On habille les peaux de liquides permettant d’amples mouvements. Effleurer, caresser, appuyer, tapoter, manipuler, tâter, lécher, embrasser, branler, etc. Toute la palette du toucher peut y passer ! L’idée est de détendre le corps et d’attiser le désir. Faire durer le plaisir… Bref, les massages érotiques ont une place centrale dans nos fantasmes et ne sont pas forcément cantonnés aux rôles préliminaires. Dans les tendances pornos, les massages comportent souvent un happy ending. C’est le schéma fantasmatique le plus commun : détente – tension érotique – orgasme. En voici quelques exemples spectaculaires.
Veronika Charm s’est faite connaître sur Pornhub par ses talents de masseuse. Avant de devenir la reine des branlettes en public (et des fellations en gros plan), ce sont ses mises en scènes érotiques qui ont percé. Pas très fan de lube, elle préfère huiler la bite de son mec ou… transformer un massage intégral en plaisir buccal ! Première partie classique avec massage des épaules, du dos puis des fesses. Mais, lorsqu’il se retourne, elle se dirige cash vers son érection. Les mains puis la bouche. Avant de choisir le 69 pour faire monter le happy ending. Autre chaîne pleine de massages finissant bien, pour lui comme pour elle, Jizzy Jobs. Shreya est la star de la chaîne tant par ses mains expertes qu’en tant que massée (avec happy ending pour elle). Ambiance zen et huiles de massage pour la détente ; tension érotique montant lentement ; finition en body body, à califourchon, fesses vers lui ! Position qu’on retrouve à la fin de ce massage très progressif mais cette fois-ci tourné vers lui et filmé en POV (par swmsk). Mentions spéciales pour : Ourdirtylittlesecret grâce à la qualité du cadrage, de la mise en scène, de l’ambiance joueuse et de la langue caressante (un buzz mérité) ; Lucky Fucker POV grâce aux regards caméras torrides de la masseuse et sa maestria à faire monter le plaisir… Enfin, pour les fans de happy ending féminin, mentionnons aussi ce magnifique massage philippin !
La diversité des caresses sexuelles non pénétrantes est infinie. Bite dans une main, entre des seins, entre des fesses, des cuisses, des aisselles, des pieds, etc. Langues baladeuses, explorant les peaux et les pores, les plis et les lèvres… Les mains, évidemment, qui tâtonnent et cherchent à étendre nos zones érogènes… Mais les tendances mainstream restent assez classiques. Parmi les touchers sexuels les plus en vogue, on trouve toujours la fameuse « branlette espagnole » (« titfuck ») et, plus récemment, la pratique de l’« edging » (branlette qu’on fait durer). Si certaines masseuses mentionnées plus haut le maîtrise, cette caresse incarne souvent le fantasme entièrement. Chechu, la star argentine des vidéos pornos éducatives, y a même consacré un brillant tutoriel (doublé d’un JOI). Parfois, l’edging vise délibérément à multiplier la puissance de l’éjaculation, comme pour cette fabuleuse faciale !
Pour se rafraîchir, rien de mieux que de s’éclabousser ! Les corps sont magiques et produisent de nombreux fluides pour mieux s’hydrater. Finissons donc par une petite sélection liquide dégoulinant de foutre, de squirt et de pisse. Dans la catégorie « douche de foutre », je pense, encore et toujours, à The Start of Us (je sais, c’est une vidéo avec péné mais…) : pour une fois, ça commence par un cuni du King (et ça finit comme un bukkake) ! Dans la catégorie « fontaine », je vous ai déjà beaucoup parlé de Martina Smith alors j’aimerais ici m’arrêter sur sa compatriote la plus célèbre : Mariana Martix. Comme vous savez, les Colombiennes semblent adorer gicler en public ! Ici, Mariana repousse les limites de l’originalité comme de la gravité… Je suis prêt à parier qu’elle sera la 1ère à squirter dans l’espace ! Dans la catégorie « golden shower », abreuvons-nous à la meilleure des sources canadiennes, Bruce and Morgan. Ces artistes de la pisse, génies de l’urine et poètes de l’envie pressante ne sont jamais avares de concepts rafraichissants ! Par exemple : incarner les toilettes pendant 24h, rien ne se perd, tout se transforme… Autre fan de l’adage « jeux de pisse, jeux complices », la brésilienne a soif, très soif !
Bon, j’avoue : la canicule n’était qu’un prétexte. Pour vous rappeler que la pénétration n’est qu’une pratique sexuelle parmi d’autres. Un mode tactile majeur du porno mainstream mais moins dominant qu’on pourrait le croire… Que vous préfériez des caresses et frottements à sec, humides ou dégoulinants, peu importe, tant que le corps se détend et que le plaisir monte… Au fond, la météo des fantasmes mériterait des bulletins quotidiens : massages sur la plage, humping anticyclonique et dégradations pissorageuses à prévoir dès ce soir.
Demain, retour d’un temps plus pénétrant avec dilatation de l’anus solaire.
Suite aux dernières délibérations au sujet de la loi sur le développement solidaire et la lutte contre les inégalités mondiales et quelques jours après le Forum Génération Égalité co présidé par la France, les ONG membres de Coordination SUD mobilisées sur l’égalité de genre et l’engagement des jeunesses dans la solidarité internationale appellent le gouvernement […]
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« Bonjour, moi c’est Claire Voilà déjà 7 mois que je suis parfaitement heureuse avec mon petit copain. Le problème, c’est qu’il est Antillais et que ma famille est ouvertement raciste. Je suis partagée entre la provocation de le présenter à mes parents et d’aller au clash, ou de continuer à leur mentir (en ne leur disant rien), mais je risque de perdre Marc… Dans tous les cas, ne suis-je pas la perdante de l’équation ? »
La réponse de notre sexologue :C’est effectivement une situation bien difficile, qui confronte à l’injustice de juger des êtres uniquement sur la couleur de leur peau. Ce n’est pas votre cas et vous vous êtes montrée capable de remettre en question les principes de vos parents, ce dont je vous félicite. En même temps, il va vous falloir vous aussi savoir faire preuve de tolérance et apprendre à ne pas juger trop sévèrement vos parents.
Ils ne sont pas de la même génération, n’ont pas vécu les mêmes choses que vous et au lieu de provoquer un clash avec eux au sujet de votre copain, il va falloir trouver un moyen de sortir de cette impasse.
Au lieu de leur imposer votre ami de façon brutale et sans les prévenir à l’avance, mieux vaut leur raconter que vous avez rencontré quelqu’un de bien et que vous êtes Lire la suite sur Union
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« Bonjour Mon très cher Union, moi c’est Capucine. Que dois-je penser de mon petit ami qui souhaite avoir des rapports sexuels tous les jours, alors que de mon côté, je n’en ressens vraiment l’envie qu’une fois par semaine en moyenne ? »
La réponse de notre sexologue :Si je comprends bien vous avez accepté de tenter l’expérience pour lui faire plaisir, mais vous avez constaté que vous n’aviez pas réussi à aller jusqu’au bout.
Vous avez parfaitement raison de dire que la raison pour laquelle cela n’a pas marché c’est que vous restiez trop contractée. Il faut comprendre que l’anus est en réalité un muscle annulaire assez puissant dont la position normale est fermée.
Dans la vie courante, cet anneau s’ouvre seulement au moment d’aller à la selle et il se referme ensuite spontanément, ce que nous avons appris à faire depuis la petite enfance. Lors de la sodomie il faut donc chercher à ouvrir ce muscle pour faciliter la pénétration et pour cela il faut pousser, ce qui n’est pas naturel et peut faire craindre de lâcher des gaz ou même d’avoir des fuites de matière fécale.
En dehors de cela, la sodomie ne présente pas de risque particulier, à condition bien sûr que le partenaire ne force pas le passage ce qui pourrait provoquer...Lire la suite sur Union
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Aujourd’hui, je vais vous raconter une expérience vraiment spéciale et assez extraordinaire que j’ai vécu avec ma muse. Elle m’a proposé de me momifier avec du film alimentaire (ou film cellophane). Une idée vraiment bizarre s’il en est, n’est-ce pas ? Cette activité s’appelle le Plastic Wrap en Anglais, ou Wrapping. C’est, évidemment, une pratique…
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Le 29 juin 2021, le projet de la loi trans* était approuvé en conseil des ministres. Considérée comme une avancée majeure pour les personnes transgenres, la loi tarde cependant à être appliquée et suit un long parcours législatif.
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« Bonjour à tous, bonjour docteur, moi c’est Cyril. Je lis un peu tout et n’importe quoi actuellement sur le temps moyen d’un rapport sexuel. Pour ce qui est de mon cas et concernant la pénétration elle-même (après les préliminaires, etc.), je tiens autour de 2 minutes avant d’éjaculer. J’ai toujours le sentiment d’être parti trop tôt (j’ignore si je suis le seul dans mon cas mais). Suis-je un éjaculateur précoce ou suis-je dans la moyenne ? J’attends votre réponse avec impatience. »
La réponse de notre sexologue :La bonne réponse est doublement positive ! En éjaculant environ deux minutes après la pénétration, vous êtes effectivement dans la moyenne par rapport à la fonction sexuelle d’un homme normal. Mais en même temps, si vous n’êtes pas capable de tenir plus longtemps, c’est que vous faites partie des éjaculateurs précoces.(Généralement cela est causé par l’anxiété, d’autres facteurs psychologiques ou un pénis hypersensi. On a tendance à confondre deux termes non superposables.
Ejaculer rapidement est inscrit dans la programmation génétique de l’homme pour assurer la reproduction. La notion d’éjaculation précoce fait appel à un autre registre, celui d’une sexualité partagée où l’homme se préoccupe d’attendre que sa partenaire ait joui pour se...Lire la suite sur Union
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J’ai tellement aimé, je veux lui faire (voir cet article). Il aime le bondage, il a une collection d’objets farfelus qui m’excitent. Le plaisir qu’il a à prévoir toutes les exubérances qu’il va me faire subir, et le ton qu’il emploie pour me parler de ses fantasmes m’excitent encore plus. Nous sommes switch, je lui…
L’article Bondage au cellophane. Première partie : l’expérience de l’attacheuse est apparu en premier sur NouveauxPlaisirs.fr.
« Bonjour à tous. Côté galipettes je suis très routinière. Nous avons mon mari et moi un rituel immuable et cela convient très bien. Il commence par me faire un cuni. Quand j’ai joui, il remonte. Je le caresse jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Il me prend en levrette jusqu’à éjaculation…
Parfois nous jouissons même ensemble. Cela fait des années que nous pratiquons de la sorte. Mais je me dis parfois qu’il pourrait être tenté de changer ou pire d’aller voir ailleurs. Pensez-vous que dans ce domaine du sexe, il y ait un risque de ras-le-bol ? »
La réponse de notre sexologue :La seule question à se poser, ce serait à votre mari qu’il faudrait s’adresser. Vous dites vous-même que cela vous convient parfaitement et on peut comprendre pourquoi.
En effet, il semblerait bien, d’après votre description que vous ayez des rapports réguliers et, surtout, que ceux-ci donnent lieu à orgasme chaque fois, pour vous comme pour lui, voire même à deux orgasmes en ce qui vous concerne, l’un par stimulation clitoridienne et l’autre par stimulation vaginale.
Et de surcroît, vous faites partie de ces couples, bien plus rares qu’on ne le pense, qui arrivent à jouir au même moment tellement ils sont bien en phase l’un avec l’autre et tellement ils se connaissent bien....Lire la suite sur Union
Cet article La routine sexuelle peut-elle briser mon couple ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour, moi c’est Katia. Mon compagnon m’a offert un œuf vibrant pour la Saint-Valentin. Un œuf qu’il pilote à distance, ce qui nous permet de jouer partout. J’adore ce sex-toys, je lui demande de l’utiliser de plus en plus en plus souvent. Ma jouissance est décuplée lorsque je suis en public : restaurant, transport en commun. Au début il y prenait du plaisir, mais il voit bien que l’œuf le remplace petit à petit. Peut-on devenir accro, je n’ose pas dire amoureuse, d’un sex-toy ? »
La réponse de notre sexologue :Si je comprends bien, cela signifie que les vibrations de ce nouveau jouet vous font plus jouir que la pénétration au cours d’un rapport sexuel avec votre compagnon. C’est tout à fait possible, essentiellement pour deux raisons. Tout d’abord, cela veut dire que vous faites partie des femmes dont le point G s’avèrent particulièrement sensible. Or, l’œuf vibrant stimule justement cette zone-là de votre vagin, ce que ne peut pas faire le pénis de l’homme pendant le coït.
Ensuite, que vous avez des tendances exhibitionnistes et que le fait de pouvoir ainsi être stimulée en public représente une sorte de passage à l’acte qui vous convient parfaitement.
Grâce à ce nouveau sex toy, vous...Lire la suite sur Union
Cet article Suis-je tombée amoureuse de mon sextoy ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour moi c’est Mathéo, 33 ans. Je suis en couple et heureux avec ma copine. Pourtant je viens de craquer sur ma collègue de travail, qui me fait des avances depuis déjà longtemps. Nous avons sauté le pas (et pas que) et c’était top. Je ne sais pas encore vraiment si je suis amoureux, mais je pense à elle sans cesse. De son côté elle sait que je suis déjà en couple et me promet que cela ne la dérange pas. Elle se dit même prête à vivre avec ma copine et moi. À trois ! Je ne sais ni quoi penser, et surtout je ne sais plus quoi faire. Dois-je en parler à ma copine actuelle ? »
La réponse de notre sexologue :Avant de vous précipiter à en parler à votre compagne, je vous conseille vivement de bien y réfléchir. Pour le moment vous êtes tout feu, tout flamme, sous le choc d’une aventure récente qui vous fait sortir des sentiers battus et qui réveille en vous le goût de la conquête et de la nouveauté.
Et puis il y aussi ce zeste d’interdit, de secret, à la fois vis à vis de votre environnement professionnel, et également de votre environnement personnel. Tout cela contribue à faire paraître l’amante bien plus intéressante que la femme que l’on côtoie au quotidien et qui nous semble déjà acquise.
Envisager illico de parler de votre Lire la suite sur Union
Cet article Une collègue me fait des avances, dois-je le dire à ma copine ? est apparu en premier sur Union.
Six hommes, de 17 à 27 ans, soupçonnés d’avoir agressé en juillet dernier 4 personnes, piégées via l'application de rencontres Grindr, ont été interpellés et placés en garde à vue.
L’article Nice : Six suspects en garde à vue après une série de guet-apens homophobes est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
« Bonjour Union et à tous ses lecteurs, moi c’est Florian. Certains d’entre vous se reconnaitront peut-être. J’habite en province (je préfère ne pas dire où) et depuis peu, un institut de massages chinois vient d’ouvrir dans une rue fréquentée de la ville. Je m’y suis rendu après mon travail, pour tester et me détendre. Sur place, surpris, pas de table de massage, mais un matelas par terre et une masseuse très court vêtue, qui me proposait une vue directe sur son string. Ses caresses m’ont rapidement mis en érection.
J’avais un peu honte, et je ne pouvais pas le dissimuler. Là, autre surprise, ma masseuse m’a empoigné le sexe et m’a proposé de faire « la finition » moyennant un petit supplément. Dans mon état je n’ai pas réfléchi, j’ai accepté et elle m’a masturbé. Puis essuyé avec du Sopalin, comme si tout cela était naturel. Evidemment, je n’ai rien dit à ma femme en rentrant, mais pourtant j’ai terriblement envie d’y retourner. Les hommes dans mon cas sont-ils infidèles, sachant qu’il n’y a pas eu de pénétration ? »
La réponse de notre sexologue :S’agit t’il d’infidélité quand il n’y a pas de pénétration, mais qu’il y a seulement un orgasme provoqué par des caresses appropriées faites par une...Lire la suite sur Union
Cet article Pas de pénétration, pas d’infidélité ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour Union Je m’appelle Kelly. Je vis en couple depuis bientôt un an. Nous sommes encore jeunes, 26 ans pour moi et 28 pour lui. Nous faisons régulièrement l’amour et tout se passe très bien, pourtant, depuis un petit moment, il insiste pour expérimenter la sodomie. Je n’ai rien contre, mais, sachant que ce n’est pas une voie naturelle, je n’arrive pas à me lâcher. J’ai le sentiment qu’il y a de nombreux risques. Que dois-je craindre de la sodomie ? »
La réponse de notre sexologue :Si je comprends bien vous avez accepté de tenter l’expérience pour lui faire plaisir, mais vous avez constaté que vous n’aviez pas réussi à aller jusqu’au bout. Vous avez parfaitement raison de dire que la raison pour laquelle cela n’a pas marché c’est que vous restiez trop contractée. Il faut comprendre que l’anus est en réalité un muscle annulaire assez puissant dont la position normale est fermée.
Dans la vie courante, cet anneau s’ouvre seulement au moment d’aller à la selle et il se referme ensuite spontanément, ce que nous avons appris à faire depuis la petite enfance. Lors de la sodomie il faut donc chercher à ouvrir ce muscle pour faciliter la pénétration et pour cela il faut pousser, ce qui n’est pas naturel et peut faire craindre de lâcher des gaz ou même d’avoir des fuites de matière fécale.
En dehors de...Lire la suite sur Union
Cet article Dois-je craindre la sodomie ? est apparu en premier sur Union.
Galvanisante et rassembleuse, l’émission présentée par Nicky Doll porte en elle des prémices de révolution.
L’article Pourquoi j’ai adoré suivre la première saison de Drag Race France est apparu en premier sur 360°.
Que serait le NIFFF en 2022 sans sa nouveau rendez-vous SCREAM QUEER? Samedi 2 juillet, la nuit a été mémorable à la Case à Chocs.
L’article Yougo Girl nous gratifie de sa playlist est apparu en premier sur 360°.
« Bonjour moi c’est Emma. Lorsque je fais l’amour avec mon compagnon, je n’arrive à jouir que si je m’imagine au milieu d’un groupe d’hommes qui se masturbent et giclent sur moi. Parfois, mon rêve se passe dans une cave où plusieurs hommes me prennent tour à tour. Je n’ose pas en parler à mon mari, même si j’en ai très envie, notamment après un orgasme. Que dois-je faire ? »
La réponse de notre sexologue :Une chose est sûre, c’est que vous avez en tête un scénario bien précis, même s’il comporte quelques variantes, et que celui-ci vous est nécessaire pour atteindre la jouissance. Si vous avez envie d’en faire part à votre ami, il va falloir le faire en douceur et trouver le moyen d’aborder avec lui le sujet des fantasmes érotiques. En effet, si tout le monde a des fantasmes, certaines personnes n’ont pas envie de les raconter, y compris à la personne avec qui elles vivent et font l’amour. Les raisons en sont diverses et peuvent correspondre à de la timidité, à des tabous personnels, à un sentiment de gêne vis-à-vis de certaines images, ou, tout simplement, à un besoin de garder son jardin secret pour soi-même.
Si votre ami fait partie de cette catégorie d’individus, il n’aura pas forcément envie de savoir quels sont vos Lire la suite sur Union
Cet article Je souhaite faire l’amour avec mon mari entourée d’hommes qui se masturbent, comment lui dire ? est apparu en premier sur Union.
« Hello docteur, hello tout le monde moi c’est Anne, 22 ans. Mon copain m’incite toujours à lui faire des fellations. Il adore que je le suce pour débuter nos jeux. Moi j’hésite beaucoup, car je ne sais pas comment faire. Au bout d’un moment, il m’arrête et passe à autre chose. J’ai pourtant regardé des films spécialisés et j’essaie de faire la même chose… Ma question est simple, comment fait-on une fellation ? »
La réponse de notre sexologue :Je vais moi aussi vous poser une question toute simple, en réponse à la votre, à savoir êtes-vous sûre que votre copain vous arrête parce qu’il estime que vous ne savez pas faire ? S’il continue à vous demander de lui faire une fellation au début de vos ébats c’est sans doute qu’il y prend plaisir et que votre technique n’est pas si mauvaise que vous semblez le croire. Par ailleurs, pourquoi ne pas lui demander de vous guider pour que vous compreniez encore mieux comment vous y prendre.
C’est de loin, le meilleur moyen d’apprendre à satisfaire son ou sa partenaire. Pour cela, il faut lui demander de vous donner des indications pour que vous sachiez si c’est bien, ou moins bien, s’il faut faire plus fort, ou plus doucement, s’il faut aller plus vite, ou plus lentement… Il peut aussi vous guider avec sa main, pour vous faire sentir ce qu’il attend. Cette méthode de guidage permet de bien mieux se connaître à deux et elle est valable pour...Lire la suite sur Union
Cet article Comment faire une bonne fellation ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour moi c’est Olsen, Jeune norvégien de 19 ans, j’ai découvert récemment sur internet des photos de filles dont la poitrine avait une forme spéciale. Les Anglais nomment cela « puffy tits » [N.D.L.R. : tétons gonflés]. Je vous joins d’ailleurs deux photographies illustrant ce type de poitrine. Pouvez-vous m’expliquer ce phénomène. Par ailleurs, je souhaiterais savoir si le préservatif féminin est fiable pour la prévention des MST, et en tant que moyen de contraception. Je vous en remercie d’avance, et je vous félicite pour votre magazine que je lis toujours avec beaucoup de plaisir.
La réponse de notre sexologue :Mon cher Enaar, vous savez certainement, malgré votre jeune âge, qu’aucune femme n’est constituée exactement de la même façon qu’une autre. Il n’existe pas de modèle standard de seins, pas plus qu’il n’y en a d’yeux, de fesses, de vulve, ou de pénis pour les hommes. À la puberté, les jeunes filles voient leur poitrine se développer.
Leurs aréoles seront plus ou moins larges ou menues, plus ou moins pigmentées, les mamelons prendront une couleur sombre ou claire, et seront parfois « gonflés ». C’est la nature qui en décide, tout simplement.En ce qui concerne le préservatif féminin, nous allons bientôt lui consacrer une fiche médicale détaillée, avant la fin de l’année.
...Lire la suite sur UnionCet article Pourquoi certaines femmes ont-elles les tétons si gonflés ? est apparu en premier sur Union.
Chaque mois, notre correspondante à Berlin Annabelle Georgen nous envoie des nouvelles fraîches et acidulées de la capitale queer européenne. Sans traces de rouge à lèvres.
L’article La carte postale d’Annabelle Georgen: Bons baisers de Berlin est apparu en premier sur 360°.
« Bonjour docteur, je m’appelle Géraldine, j’ai 26 ans et je suis de Paris. C’est plus fort que moi tous les ans je profite des vacances pour enchaîner les relations sexuelles, hommes et femmes confondus. Cet été j’ai fait l’amour (parfois juste baisé) avec 7 garçons et 4 filles. Qu’est-ce qui me pousse à me comporter ainsi, alors que durant l’année je suis sage, je peux même rester 3 mois sans petit(e) ami(e) ? »
La réponse de notre sexologue :Pour vous, clairement, les vacances sont synonymes non seulement de liberté, mais d’absence totale de réfrènement. La façon dont vous en parlez me fait penser à un bateau dont on larguerait les amarres en le laissant partir au gré du vent et des courants, sans avoir aucun contrôle sur sa direction, au risque de ne pas vraiment profiter de la navigation.
D’ailleurs, vous dites vous-même que c’est plus fort que vous, comme si vous n’étiez pas totalement à l’aise avec l’idée de mener une vie sexuelle aussi débridée pendant les vacances. Un grand écart entre comportement au quotidien et comportement vacancier signifie le plus souvent qu’en dehors de cette petite fenêtre de liberté que représente la période des vacances, on s’oblige à...Lire la suite sur Union
Cet article J’enchaîne les relations sexuelles pendant les vacances, comment l’expliquer ? est apparu en premier sur Union.
Eulalie a (encore) décidé de faire encore exploser le thermomètre en ces jours de canicules en enregistrant pour vous un nouveau texte érotique dans l’esprit de Clayton Cubitt et de ses vidéos Hysterical Literature. Qu’est-ce un texte érotique dans le style de Clayton Cubitt ? C’est un texte écrit et lu par Eulalie pendant qu’une…
L’article Lecture érotique par Eulalie : “Oiseau” est apparu en premier sur NouveauxPlaisirs.fr.
Après des signalements de médecins se targuant de pouvoir « guérir » l’homosexualité, le ministère vietnamien de la Santé a diffusé une directive rappelant au personnel soignant que l'orientation sexuelle ou de genre des patients LGBT n'est « pas une maladie ».
L’article Quand le Vietnam rappelle à ses médecins que l’homosexualité n’est « pas une maladie » est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
« Bonjour à toutes, moi c’estSonia, 19 ans. Peut-être certaines d’entre vous avez les mêmes attirances que moi pour les “vieux”. Je me suis fait dépuceler par un homme de 42 ans. Ce fut un moment merveilleux, malheureusement nous n’avons pas pu rester ensemble. Depuis je ne baise qu’avec des plus de 40 ans. L’attirance pour les hommes plus âgés est-elle une perversion, comme le disent mes amies ? »
La réponse de notre sexologue :Tout de suite des grands mots ! Parler de perversion est très exagéré, d’autant plus que le terme est carrément passé à la trappe dans le monde des médecins et des psy. Il faut reconnaître que la plupart des jeunes femmes de votre âge ont tendance à aller vers des garçons de leur génération, mais il peut arriver d’être attirée par une figure paternelle. Vous ne dites pas quel âge vous aviez lors de votre première expérience, mais il est évident qu’à 42 ans son âge correspondait à celui d’un parent. Nul besoin d’une quelconque ressemblance physique avec le vrai père, c’est le côté homme adulte qui rassure et met en confiance. D’ailleurs vous dites quelque chose de très important, vous dites
que vous profitez de votre côté de leur expérience et savoir-faire, alors qu’un garçon de votre âge aurait tendance à se précipiter, sans prendre le temps de vous donner du plaisir. Il...Lire la suite sur Union
Cet article L’attirance pour les hommes plus âgés est-elle une perversion ? est apparu en premier sur Union.
Faire de son corps une marchandise, un objet à consommer dans le seul but d’assouvir les pulsions des consommateurs, qui, répétons le, décident de faire vivre ou non ce « commerce » (esclavagisme et/ou sexclavagisme) en étant sa « chose ». Une « désinhumanisation » ! Alors, esclave ou libre. Il faut pouvoir choisir et ne pas se mentir. En étant […]
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Bonjour cher Docteur, je me nomme Aymeric, j’ai 36 ans et je suis irrésistiblement attiré par les pieds de femmes chaussés de hauts talons. Je suis fou des stylettos et j’avoue que les chaussures à semelles rouges me font tourner la tête. Il m’arrive de suivre des femmes dans la rue en fixant leurs chaussures, sans savoir à quoi elles ressemblent physiquement. Plus ça va, plus je m’enfonce dans ce fantasme, où je ferais l’amour en me frottant sur les pieds chaussés d’une femme sans m’occuper du reste. J’ai conscience que plus ça va, moins ça va, mais je n’arrive pas à décrocher. Comment pourrais-je me soigner ?
La réponse de notre sexologue :Avoir des fantasmes n’est pas une maladie ! Et s’il ne s’agit que de cela il n’y a aucune raison de se soigner. Les raisons qui justifieraient d’entreprendre une démarche thérapeutique sont de deux ordres. Il peut arriver que le fantasme devienne obligatoire, c’est-à-dire qu’il ne soit pas possible d’avoir une relation sexuelle en dehors, ou bien que le fantasme vous pousse à des actions répréhensibles exposant à des poursuites judiciaires.
D’après ce que vous décrivez il semblerait que vous arriviez à suivre les femmes portant le style de...Lire la suite sur Union
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« Bonjour docteur, moi c’est Zoé, 24 ans. Je suis en couple, même si nous ne vivons pas ensemble. Mais j’estime que les vacances sont faites pour faire des rencontres et s’éclater sexuellement. Depuis que j’ai 18 ans je pars seule pour en profiter. Est-ce que cela fait, pour autant, de moi une femme infidèle à mon compagnon ? »
La réponse de notre sexologue :C’est un problème délicat. Vous considérez que vous formez un couple, mais ne vivez pas ensemble et, si je comprends bien, n’êtes ni mariés, ni pacsés. Dans ce cas, la notion de fidélité au sein du couple repose uniquement sur des valeurs morales et relationnelles. La bonne question à vous poser pour savoir si vous êtes infidèle à votre compagnon c’est de vous demander ce qu’il en penserait, au cas où il viendrait à découvrir ce que vous faites pendant vos vacances. Pensez-vous qu’il considère que vous avez toute liberté pendant
ces périodes-là ? Je n’en suis pas sûre, et d’ailleurs je pense que c’est un sujet dont vous vous gardez bien de parler avec lui. Sur le plan moral, la notion de tromperie intervient à partir du moment où ce que l’on fait doit se faire en cachette de l’autre pour ne pas le blesser ou le décevoir. Certains couples admettent la liberté sexuelle...Lire la suite sur Union
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Les œuvres incomprises des artistes que j’aime, celles qui sont injustement résumées comme étant des échecs commerciaux sont souvent mes préférées. Je ne choisis pas. Quand Madonna sort Erotica en […]
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En mémoire à Emmanuelle Badibanga, décédée le 27 avril 2021 aux Seychelles, Nassima Reutlinger réalisera une performance lors de son exposition. La gérante de l’espace culturel, La Passerelle, à Nice était pour Nassima Reutlinger un exemple de combativité et de joie. Partageant toutes deux une même passion pour l’art et le dessin d’après modèle, elle […]
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Le proposition de loi constitutionnelle, suggérée par la NUPES puis déposée par la majorité parlementaire, souhaite inscrire dans la Constitution l’impossibilité de priver une personne du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Cette proposition avait déjà été faite en 2018 par La France Insoumise puis en 2019 par le PS, sans succès, les autres membres de l’Assemblée nationale l’estimant inutile en l’état de notre droit.
Or, au regard de la décision américaine, mais également des résultats des législatives, cette proposition revient aujourd’hui sur le devant de la scène.
Il est évident que le fait que le Rassemblement National ait atteint le score historique de 89 député·es ne peut qu’inquiéter. Et ce d’autant plus quand on sait que Marine Le Pen proposait il y a quelques années de dérembourser l’IVG pour éviter ce qu’elle appelait les « avortements de confort », ou quand l’année dernière les députés RN au Parlement européen ont voté contre une résolution visant à « garantir l’accès universel à un avortement sûr et légal ». Constitutionnaliser le droit à l’IVG permettrait donc en effet de le sécuriser, en évitant qu’il soit touché un jour par un Parlement à majorité ultra-conservatrice.
Un effet d’annonce ?
Néanmoins, la constitutionnalisation de ce droit ne sera jamais une totale protection puisque, même s’il n’était pas possible de le supprimer, il serait toujours possible de modifier la loi Veil et de réduire, par exemple, le délai légal à une ou deux semaines de grossesse, et ce sans que cela ne soit anticonstitutionnel, puisque le droit à l’avortement serait maintenu bien que vidé de sa substance.
Ainsi, cette proposition que la majorité s’est empressée de déposer a un mauvais goût d’effet d’annonce, au détriment des actions de terrain. On rappellera à ce titre que le Planning Familial dénonce régulièrement la baisse de ses subventions. On déplorera également que toutes les formes de contraception ne soient pas remboursées : aujourd’hui, seules certaines d’entre elles sont prises en charge et uniquement pour les femmes de moins de 26 ans. Aucune contraception masculine n’est remboursée, ce qui est tout bonnement aberrant et rend les femmes seules responsables de la contraception, alors même qu’un homme est fertile 365 jours par an quand une femme l’est 40 à 80…
Nous en concluons que la constitutionnalisation du droit à l’avortement, c’est bien, mais que mettre des moyens financiers et médicaux pour garantir au quotidien les droits des femmes à disposer de leur corps, c’est mieux !
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« Bonjour à toutes, je m’appelle Mina, 24 ans. Je crois que je suis tombé sur un fou. J’ai rencontré Adrien via une appli. J’ai bien vu qu’il était attiré par mes chaussures, j’avais mis des 12 pour ce premier rendez-vous. A peine arrivé dans son appart, il m’a montré des vidéos de filles qui donnent de grands coups de pieds dans les couilles du mec. Et il m’a demandé si je voulais essayer. Je ne savais pas que ce genre de folie existait. C’est dommage parce que sinon, il était super beau… Connaissez-vous ces pratiques et surtout, ai-je bien fait de partir tout de suite ? »
La réponse de notre sexologue :En toute sincérité, je dois le dire, je n’avais encore jamais entendu parler de cette variante particulière de fétichisme du pied. Certes, il est assez courant de rencontrer des hommes qui demandent à leurs partenaires de mettre des talons hauts et de garder leurs chaussures pendant l’amour.
Il existe également ceux qui veulent leur lécher les pieds ou se faire caresser les couilles par des pieds chaussés de “stilettos” et autres variantes…
Vous aviez bien deviné que ce garçon avait un faible pour les chaussures, et il faut dire que vous aviez fait fort avec vos 12 cm, mais je confirme que vous avez eu raison de partir sans attendre car il s’agit là de pratiques SM qui sont présentées sans ambages, ce qui n’était apparemment pas évoqué lors de vos échanges par Internet.
Mieux vaut ne pas insister dans ces cas-là et ne pas prendre de risques supplémentaires. Une...Lire la suite sur Union
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« Bonjour Docteur, moi c’est Jérémy, 36 ans, je suis de Montpellier. On entend souvent parler des bienfaits de certains aliments sur la libido (huîtres, ginseng, etc.). Mais existe-t-il, a contrario, des aliments qui font baisser cette même libido ? »
La réponse de notre sexologue :Vous me posez là une question intéressante et tout à fait inhabituelle ! En effet, je peux dire que c’est bien la première fois que l’on me demande des conseils alimentaires pour calmer la libido, et non pour la favoriser. Vous pouvez déjà commencer par diminuer votre consommation de viande rouge, laquelle est considérée comme donnant plus d’énergie et augmentant l’agressivité.
Par ailleurs, vous pouvez utiliser les bienfaits de la phytothérapie, sous forme de gélules ou d’extraits, que vous trouverez en pharmacie ou en magasins bio. Sont réputées anti-aphrodisiaques la marjolaine, le nénuphar, la coriandre, la myrrhe, l’écorce de saule et le houblon. Ces aliments ont tendance à diminuer le taux de testostérone, aussi bien présente chez la femme que chez l’homme. Cette homme est d’ailleurs à l’origine du désir sexuel.
Bien sûr, certains médicaments comme les antidépresseurs et les anxiolytiques le sont...Lire la suite sur Union
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Dans la continuité de l’expérience scientifique inédite ce que j’avais fait pour enregistrer un orgasme masculin, je vais aujourd’hui présenter les résultats de l’expérience qu’une amie, Sophie, a réalisée sur elle même pour enregistrer le processus physique de contraction des muscles activés durant l’orgasme féminin . Voici les graphiques inédits de ses orgasmes et comment…
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Neuf ans après l'adoption de la loi mariage pour toutes et tous, les formulaires administratifs, qui permettent de demander une carte d’identité ou un passeport, ont enfin actualisés pour intégrer toutes les familles.
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« Bonjour Moi c’est Mélusine. J’ai découvert les plaisirs des lavements après une opération qui m’empêchait d’aller à la selle normalement. Ma mère m’a alors administré un lavement pour faciliter mon transit. Non seulement cela a parfaitement fonctionné, mais j’y ai pris beaucoup de plaisir. Depuis je joue avec la poire dès que j’en ai l’occasion. J’y mets de l’eau tiède, du lait, et j’aimerais expérimenter d’autres substances comme de l’huile ou du gel douche, mais j’ai peur des possibles irritations. Que me conseillez-vous ? »
La réponse de notre sexologue :Vous avez parfaitement raison de poser la question. En effet, si l’utilisation d’huile ne devrait pas poser de problèmes, à condition toutefois qu’il s’agisse d’huiles naturelles et non additionnées de produits chimiques ou de parfums, l’utilisation de savons, gels douche, shampooings ou autres produits anioniques est à proscrire. En réalité, le produit le mieux adapté serait du sérum physiologique, qui est en fait une eau stérile légèrement salée. Tout autre liquide peut provoquer une irritation de la muqueuse ou introduire des microorganismes dont la présence n’est pas souhaitable.
Il faut comprendre que les aliments ou boissons que vous ingérez par la bouche subissent une transformation radicale à l’intérieur de votre Lire la suite sur Union
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« Bonjour. La période où nous étions obligés d’être ensemble tous les jours, toute la journée, et la nuit ! Sans même avoir le droit de sortir m’a ouvert les yeux sur tous les défauts de mon mec, au point qu’il ne m’attirait plus… J’étais persuadée (j’espérais) que tout redevienne normal après ce confinement, mais en fait ses défauts m’obsèdent encore, à tel point que je lui ai carrément dit que je n’avais plus envie de lui. Je lis dans son jeu sexuel, il utilise toujours les mêmes techniques et cela m’est devenu insupportable. J’en suis à vouloir le quitter… Que me conseillez-vous ? »
Les conseils de notre sexologue :Vous venez de traverser une expérience de vie tout à fait différente de ce que vous connaissiez. J’imagine qu’à part les périodes de vacances, vous n’aviez jamais eu l’occasion de vous retrouver enfermés à deux et, de surcroît, dans un appartement pas très grand, avec impossibilité de “soupape” extérieure.
Peut-être que votre ami a énormément de défauts et que vous ne les aviez jamais remarqués, mais je n’y crois pas trop. Je pense plutôt que vous avez très mal supporté le confinement et, avec lui, tout ce qui en découlait. C’est-à-dire les interdictions, les contrôles policiers, le manque d’activité et de vie sociale, etc.
Et c’est pour cela que tous les petits travers de votre jules se sont mis à prendre de plus en plus d’importance à vos yeux, jusqu’à en devenir intolérables. A défaut de pouvoir s’aérer à l’extérieur, toute votre attention s’est...Lire la suite sur Union
Cet article Je n’ai plus aucune attirance pour mon mec après la covid est apparu en premier sur Union.
« Bonjour moi c’est Benjamin. Lors d’une soirée entre amis, nous avons terminé par un jeu un peu chaud, le fameux cap ou pas cap. Je ne sais pas si l’alcool m’a poussé à sortir cette question, mais j’ai demandé à un copain, que je sais être homo, s’il était cap (ou pas) de me caresser le sexe. Il l’a fait et le pire c’est que j’ai bandé, ce dont tout le monde s’est aperçu. Pensez-vous que je sois homosexuel, sachant que je n’ai jamais eu d’expérience de cette nature ? »
La réponse de notre sexologue :La seule chose que l’on peut affirmer, d’après l’expérience vécue ce soir-là, c’est que certains de vos fantasmes érotiques sont liés à l’homosexualité entre hommes. C’est pourquoi, sous l’effet désinhibiteur de l’alcool, il vous est venu l’idée de demander à ce copain homo de vous caresser alors que vous auriez sûrement pu avoir une autre envie.
Pour autant, bien que vous ayez répondu de façon positive à cette stimulation directe, on ne peut pas savoir si cela signifie que vous êtes vous-même homosexuel.
L’ambiance générale de la soirée, à la fois permissive et inhabituelle, suffit à expliquer que vous ayez eu une érection quand votre ami vous a touché. D’autant qu’il y avait également d’autres fantasmes en jeu à ce moment-là, avec une touche d’Lire la suite sur Union
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« Bonjour docteur et très chers lecteurs, je m’appelle Jérôme, j’ai 34 ans et je suis de Aurillac. Peut-être certains se reconnaîtront-ils dans mes pratiques, j’aime me masturber en m’enfonçant différents aliments dans l’anus. Des carottes et des bananes bien sûr, mais aussi des courgettes, aubergines et même des clémentines, que je recrache ensuite. Ma question est simple, y a-t-il des risques hygiéniques, sachant que je lave toujours parfaitement ces fruits et légumes ? »
La réponse de notre sexologue :La façon habituelle de laver des légumes avant de les consommer est plutôt un rinçage, puisqu’il s’agit le plus souvent de les passer seulement sous l’eau. Pour votre usage personnel un peu différent, cela ne suffit pas ; car je vous rappelle que l’agriculture utilise de nombreux produits chimiques dont l’effet sur les muqueuses intestinales n’est certainement pas bénéfique. Rincer les aliments que vous utiliserai ne suffit donc pas, il faut procéder à un vrai lavage, c’est à dire les brosser avec de l’eau et du savon.
Par ailleurs, il est déconseillé de faire pénétrer complètement par l’anus des objets, en l’occurrence des légumes ou des fruits, que l’on ne peut plus tenir par l’une des extrémités. En effet, le risque que les objets...Lire la suite sur Union
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Récemment, plusieurs expositions et travaux de critiques d’art ont remis au premier plan les œuvres de femmes peintres que la scène artistique avait injustement ignorées ou sous-estimées, donnant plus volontiers la vedette à leurs contemporains masculins. Dans le prolongement de ces redécouvertes, la galériste Françoise Livinec expose, du 3 août au 28 août, à l’Ecole […]
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« Bonjour docteur, moi c’est Lola, j’ai 19 ans et je suis de Boulogne-Billancourt. je m’aperçois que je ne supporte pas le goût du sperme. J’ai voulu faire plaisir à mon petit copain en allant jusqu’au bout lors d’une fellation et je suis allée vomir immédiatement. J’avais des frissons tellement je ne me sentais pas bien… Pensez-vous que je sois allergique ? »
La réponse de notre sexologue :Vous n’êtes sûrement pas allergique au sens médical du terme, c’est à dire qu’il y aurait dans le sperme une ou plusieurs substances capables de déclencher une perturbation physiologique dans votre organisme. La réaction que vous décrivez est liée au dégoût que vous avez éprouvé à l’idée d’avoir avalé du sperme.
Ce n’est donc pas une allergie véritable, mais une allergie psychologique. Cela n’a rien d’exceptionnel, c’est même assez fréquent, quand on le fait pour la première fois et qu’on le fait pour faire plaisir à l’homme plutôt que par désir personnel. Il y a plusieurs causes à cette réaction négative, sans que cela ne soit définitif. Tout d’abord, c’est un goût tout à fait inconnu, mais surtout c’est un liquide qui provient du même organe que l’urine et qui est donc associé à...Lire la suite sur Union
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« Mike :J’ai un petit souci : depuis quelques semaines, des boutons ont poussé sur mon pubis (mais pas sur ma verge). Ils sont rouges et de petite taille. Ils ne me piquent pas du tout et n’évoluent guère. Ils ressemblent à des boutons d’allergie ou d’acné (j’ai 28 ans…). Pour information, je me suis épilé plusieurs fois mais je n’ai pas recommencé depuis plusieurs mois. La dernière fois que je me suis épilé le pubis, les boutons étaient déjà présents en petit nombre. Je pensais que le fait de m’épiler allait les faire disparaître… Mais la repousse des poils en a fait réapparaître. Dois-je m’en inquiéter ‘ Connaitriez-vous une pommade qui pourrait les faire disparaître. »
La réponse de notre sexologue :La réaction que vous décrivez est vraisemblablement directement liée à l’épilation que vous pratiquez. Chez certaines personnes en effet, la repousse des poils épilés provoque une irritation locale au niveau des orifices pilaires, qui se manifeste en général uniquement par des rougeurs, mais qui peut parfois se compliquer d’une surinfection, auquel cas les boutons présentent une pointe blanche, signalant la présence de pus. Cela n’a rien à voir avec une allergie, sauf si vous avez utilisé une crème dépilatoire (certaines personnes ne supportent pas).
Par contre, cela ressemble un peu à de l’acné, dans la mesure où l’apparition des boutons est liée au fait que les pores sont bouchés. Chez ceux qui réagissent...Lire la suite sur Union
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Cet ambassadeur « coordonnera l’action du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères pour la protection contre les discriminations et la promotion des droits LGBT+ et portera la voix de la France ».
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Bonjour ! Moi c’est Melvin, j’ai 22 ans et j’habite à Strasbourg. Je fréquente depuis quelques mois une MILF (38 ans) que je kiffe à fond. Comme elle est jalouse, elle me demande de porter une cage de chasteté pendant la journée. Je me suis renseigné, c’est tout de même une drôle d’affaire. Je lui ai dit que j’allais réfléchir et en même temps j’adore notre relation… Pouvez-vous me dire ce que je risque à porter un tel engin ?
La réponse de notre sexologue :Si l’objet qu’elle vous demande de porter (ou que peut-être elle vous fournit ?) est bien adapté à votre morphologie vous ne risquez rien en obéissant à sa demande. Evidemment, il faut que cette cage, ou ceinture, de chasteté ne puisse pas vous blesser en vous irritant ou en vous serrant trop. Par ailleurs, et cela paraît évident, il faut impérativement que cela vous permette d’aller aisément aux toilettes, que ce soit pour uriner ou le reste.
Décider d’obtempérer n’a donc rien à voir avec une question de sécurité, mais avec un choix de votre part de vous prêter au jeu que votre partenaire attend de vous, ou de le refuser. Peut-être faut-il juste ne pas accepter qu’elle en ait la clé et pas vous, au cas où il vous arriverait quelque chose et qu’il faille vous soigner ou vous hospitaliser. De la même...Lire la suite sur Union
Cet article Est-ce risqué de porter une ceinture de chasteté ? est apparu en premier sur Union.
80 ans, jour pour jour, après l’entrée en vigueur « des dispositions vichystes venant réprimer l’homosexualité », le sénateur PS Hussein Bourgi déposera ce 6 août 2022 une proposition de loi portant réparation des personnes condamnées pour homosexualité entre 1942 et 1982.
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Il y a 40 ans, le 4 août 1982, sous l’impulsion de Robert Badinter et Gisèle Halimi, la France « dépénalisait » l’homosexualité, en abrogeant une loi instaurée par le régime de Vichy qui définissant une majorité sexuelle différente entre les personnes homosexuelles et hétérosexuelles. La suppression de ce texte était une promesse de campagne …
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Bonjour docteur, Moi c’est Jérémy, j’ai 24 ans et je suis de Nancy. Lors d’une conversation entre potes, l’un d’entre eux a évoqué le point P. Jusqu’à maintenant, pour moi il s’agissait d’un magasin de bricolage. Je me suis renseigné sur le net, pour ne pas mourir idiot. Ils avaient tous l’air emballé, mais moi j’ai des doutes. Je précise que je n’ai aucun penchant homo. Pouvez-vous m’éclairer sur cette pratique ?
Les conseils de notre sexologueAprès le très connu point G chez la femme, on parle du point P chez l’homme.Derrière ce P se cache un possible plaisir sexuel très puissant. Cette pratique consiste à stimuler la prostate dans le but de provoquer des sensations de plaisir sexuel différentes et considérées par certains comme plus profondes, plus diffuses et plus relaxantes. Souvent comparée au point G chez la femme, le point P n’est en fait pas du tout comparable car il ne provoque ni orgasme, ni éjaculation. La stimulation de la prostate se fait par pressions à travers la paroi rectale après avoir introduit un doigt, de préférence l’index, ou un sex toy adapté. Il existe le sextoy pénétrant masculin qui n’est pas forcément destiné aux populations homosexuelles.
Les adeptes de cette pratique considèrent en général qu’il vaut mieux commencer par s’y essayer tout seul, en position dite chien de fusil, ou allongé sur le...Lire la suite sur Union
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C’est quoi la règle
Bonjour cher docteur, je m’appelle Fatoumata. J’ai 20 ans et je suis de Nevers. je suis réglée depuis l’âge de 12 ans et j’ai des rapports depuis mes 14 ans. Jusqu’à maintenant je ne faisais pas l’amour durant mes règles, mais mes amies me disent qu’il n’y a aucun risque… Dois-je les croire ?
Je ne sais pas du tout ce que pensiez encourir comme risques en ayant des rapports pendant vos règles, mais il est vrai que cela est traditionnellement considéré comme non souhaitable, ceci pour des raisons religieuses parfois, mais surtout culturelles. En effet, on retrouve très souvent la notion d’impureté féminine lors des menstruations, sans doute du fait qu’il s’agit d’un sang très foncé et contenant des débris en provenance de l’utérus.
Il faut dire que ces notions relèvent d’époques lointaines où l’on ne savait rien de la physiologie génitale féminine. A notre époque, à part les inconvénients liés à l’écoulement sanguin, la plupart des femmes considèrent normal d’avoir des rapports sexuels pendant la période des règles. Nombreuses sont celles, en outre, qui disent ressentir des orgasmes plus fort à cette période du cycle, en particulier juste avant ou juste au début des règles.
Vous pouvez donc sans crainte faire confiance à vos copines sur ce...Lire la suite sur Union
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Étant sexuellement active, notre communauté est toujours plus sujette à certains risques liées à des maladies transmissibles par contact. Voici un point de situation sur les connaissances actuelles sur la variole du singe (basé sur les informations de Santé Publique France) et mon avis (humble et de non spécialiste) sur ce que cela implique dans…
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Le 27 juillet dernier, le ministère de l’Egalité espagnol a lancé une campagne publique pour soutenir le mouvement du body positive. Ce mouvement aux nobles intentions promeut la diversité des corps : gros ou fin, épilé ou touffu, tatoué ou non, grand ou petit, à la peau claire ou foncée… En bref, il veut combattre […]
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« Bonjour. Moi c’est Zoé 23 ans. Mon copain a des penchants violents. Il ne prend son pied que lorsqu’il me fait mal. Au début il me tenait par les cheveux, puis il m’a claqué les fesses durant l’acte. Mais il va de plus en plus loin. Je lui en ai parlé mais il m’affirme que c’est normal. Que dois-je faire ? »
Les conseils de notre sexologue :La réponse est simple, soit vous avez des penchants maso et vous aimez associer plaisir et douleur, soit vous ne les avez pas et auquel cas il ne faut pas accepter ce genre de comportement de la part d’un partenaire. Car, non, il n’est pas normal qu’il ait besoin de vous faire mal pour prendre son pied.
Si vous laissez faire, il aura l’impression qu’il n’y a pas de limites et cela ne peut que l’entraîner à en faire plus au fil du temps. D’ailleurs, vous l’avez vous-même constaté, il a commencé par vous tirer les cheveux puis par vous frapper en même temps.
Il faut absolument que vous lui fassiez comprendre que ce n’est pas votre truc et qu’il cesse de se comporter de la sorte. Peut-être est-il sincèrement convaincu que cela est normal, en particulier s’il a fait son éducation sexuelle via des sites internet porno où la violence est monnaie courante, mais il lui faut modifier ses habitudes.
Si vous...Lire la suite sur Union
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« Bonjour docteur et bonjour à toutes. Je m’appelle Noëlle, 30 ans et je suis de Nice. Je sais bien que je ne suis pas la seule dans mon cas à atteindre 30 ans sans avoir jamais connu d’orgasme. Mais là j’en ai vraiment marre et je voudrais connaître enfin ce plaisir. Je suis hétéro, toute seule je n’y arrive pas… S’il le faut je suis prête à le faire avec une fille… En fait je suis prête à tout. Que dois-je faire pour jouir durant l’acte sexuel ? »
Les conseils de notre sexologue :L’incapacité à atteindre l’orgasme touche en effet un certain nombre de femmes, vous avez raison de le dire et je peux en effet vous donner quelques conseils pour y remédier. Une remarque importante, je ne considère pas que l’on puisse parler d’anorgasmie (absence d’orgasme) quand il y a orgasme clitoridien lors de la masturbation ou des caresses manuelles ou buccales.
En effet, la distinction souvent pratiquée entre orgasme clitoridien, orgasme vaginal n’a pas de sens. Il s’agit exactement du même phénomène physique, seul le mode de stimulation en est différent. Il est important de préciser que l’anorgasmie n’a pas de cause physiologique et qu’elle ne peut donc pas être soignée par des médicaments ou opérations...Lire la suite sur Union
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Mon coup de cœur avignonnais, cette année, s’intitule Seuil. C’est un texte de Marilyn Mattei, qui a de surcroît été publié. Programmée dans le Off au théâtre du Train Bleu, la pièce était jouée hors les murs. Une petite marche jusqu’aux remparts, puis une excursion en autocar nous conduit jusqu’aux locaux de la MAIF, où […]
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« Bonjour à toutes et à tous, bonjour docteur, je m’appelle Lydie et j’ai 33 ans. Il y a quelque chose qui m’a toujours compliqué l’existence, et j’aimerais faire quelque chose pour que ça s’arrête (j’en ai marre) : j’ai des poils sur les fesses et sur les seins. Quelle est la bonne technique pour s’en débarrasser ? »
Les conseils de notre sexologue :La seule et unique méthode pour vous débarrasser de vos poils disgracieux, c’est l’épilation définitive ou épilation électrique. Toutes les autres méthodes d’épilation laissent en place la racine du poil et n’empêchent donc pas la repousse. On commence le plus souvent par le rasage ou les crèmes dépilatoires, mais les poils repoussent très vite et piquent quand ils sont très courts, ce qui n’est pas terrible il faut bien le reconnaître.
Si l’épilation à la pince à épiler ou à la cire ralentit la repousse, elle fortifie les poils qui deviennent plus gros, ou même plus nombreux, en particulier chez les femmes dont la pilosité est importante – ce qui est votre cas si vous avez des poils sur les seins et les fesses. L’épilation électrique permet de détruire la...Lire la suite sur Union
Cet article j’ai des poils sur les fesses et sur les seins, comment m’en débarrasser ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour moi c’est Philippe. J’ai 67 ans et après une vie de coquineries, je suis à présent engagé avec une femme de mon âge. Ça me fait presque bizarre à vrai dire ! Elle a eu un mari qui est mort dément et elle ne faisait plus l’amour depuis longtemps. Elle a donc de gros besoins de tendresse ! Mais voilà, moi, j’ai moins la forme qu’avant avec mes traitements pour la tension et j’ai peur de ne pas lui en donner assez ! Je voudrais que nous testions des stratégies sexuelles plus douces, mais je crois qu’elle n’a aucun goût pour le New Age, le tantra et tout le tintouin… Comment lui présenter la chose finement ? Merci de vos excellents conseils, comme toujours ! »
Les conseils de notre sexologue :Cher monsieur, j’ai envie de vous bousculer un peu et de vous dire : vous croyez ? Ou vous êtes sûr ? Et si vous lui posiez la question, tout simplement ? Je pense que sa réponse est presque acquise. Avec ce qu’elle a traversé avant de vous rencontrer, je suis convaincue que le plus important pour elle, c’est d’avoir la chance d’être avec vous.
Qu’elle ait envie de faire l’amour, même souvent, c’est super chouette, cela prouve que vous lui avez redonné le goût de vivre, mais elle n’attend sûrement pas de vous une prestation au-delà de vos possibilités. La pénétration n’est pas le seul moyen de donner du plaisir à une femme, vous le savez bien. Et sans passer par le Lire la suite sur Union
Cet article Quelles sont les stratégies sexuelles pour prendre du plaisir sans efforts à 67 ans est apparu en premier sur Union.
Tous les enfants se masturbent. C’est naturel. C’est le travail de développement de l’enfant que d’explorer son corps et l’environnement. Et quand à un âge plus ou moins précoce la main rencontre le sexe, les deux s’entendent par évidence. Le pénis est plus facile à trouver que le clitoris, et les petits garçons qui se…
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Najat Vallaud-Belkacem fut ministre des Droits des Femmes de 2012 à 2014. Aujourd’hui elle est directrice pour la France de l’ONG ONE, une ONG co-fondée par le chanteur Bono, qui lutte contre l’extrême pauvreté et les maladies évitables. Pour Najat Vallaud-Belkacem, la pauvreté touche majoritairement les femmes de tous les continents, la pauvreté est sexiste […]
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« Bonjour moi c’est Rebecca. Ma mère et moi, on n’est pas très grandes, alors dans les supermarchés, on a souvent recours à des gens plus grands pour attraper des articles en hauteur. L’autre jour, elle a demandé à un type de nous aider. Le monsieur, gentil, s’exécute. On le remercie bien cordialement toutes les deux et la scène était pratiquement terminée, quand soudain, une dame plus âgée qui avait assisté à la scène déclare solennellement :
« – Aaaah ces hommes, ils ont tout. »
Ma mère lui répond, amusée : « – Ah non Madame, les hommes n’ont pas tout. Ils n’ont pas de clitoris. »
La dame la regarde, prend un air incrédule, limite outré et lance :
« – On aura tout entendu ! » Ma mère ne se laisse pas démonter :
« – Pourquoi Madame, vous n’en avez pas ? Moi, j’en ai un et il me semble que nous en avons un toutes les deux. » On est reparties, hilares. Je l’adore ma mère !
Mais ça me fait me demander aussi : pourquoi toute une partie de notre population féminine a-t-elle si honte d’avoir un appareil génital fonctionnel et un organe dédié au plaisir ? C’est triste non ? Merci de votre réponse. »
La réponse de notre sexologueVous avez parfaitement raison de penser que c’est triste. Et encore, cela a bien changé au cours des 20 ou 30 dernières années. Maintenant, on ose parler du plaisir féminin, même si le mot Lire la suite sur Union
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Questions sexo pour les personnes à vulve
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Derrière le vernis, le sexe est-il pour toi une odyssée des sens et des sensations? 360° a demandé à ses expert·e·x·s de se pencher sur les manières dont chacun·e·x d’entre nous vivons la sexualité
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Bonjour docteur, bonjour à toutes. Je m’appelle Léa, j’ai 46 ans et je vis à Toulon. Je n’éprouve plus d’envie pour mon mari depuis plusieurs mois (je précise que je ne suis pas ménopausée) d’où cela peut-il bien venir, sachant que j’ai toujours été considérée comme une fille « chaude » ?
Les explications de notre sexologue :Chère Madame, je ne vais sûrement pas vous apprendre que le désir féminin est plein de complexité et que l’âge est loin d’être le seul élément à prendre en compte, surtout quand on est encore loin de cette période de baisse hormonale qui s’appelle la ménopause. Chez une femme qui se définit elle-même comme ayant une libido active une panne de désir envers le conjoint ne saurait être expliquée sans connaître le contexte marital. Et il faut bien dire que vous donnez bien peu de détails pour m’aider à vous répondre. La cause la plus fréquente de baisse de désir féminin dans un couple est en général directement lié à la stabilité de la relation !
comme s’il fallait plus de fantaisie et d’imprévus pour que le désir féminin puisse se maintenir. Mais dans votre cas, puisque vous dites que vous êtes d’un naturel « chaud » et que cela est tout récent, j’aurais plutôt tendance à croire que vous...Lire la suite sur Union
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Hier je me suis touchée… Bien installée, au calme. Seule. Allongée sur le dos, les talons ramené vers mes fesses, cuisses ouvertes, je frotte la pointe de mon gode en verre, bien dur et froid, sur la pointe de mon clitoris. Je ne vois pas mon sexe, j’observe mon pubis et sa pilosité douce. Je…
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Parce qu’une plus grande inclusivité passe par un peu de pédagogie, Hétéroclite apporte régulièrement un éclairage sur une forme de discrimination. Ce bimestre, l’âgisme, c’est quoi ?
Où sont les personnes LGBT+ âgées ? C’est une question importante. Elles ne sont pas au cinéma, où elles sont sous-représentées au point d’être quasi inexistantes : sur 11 films qui ont remporté la Queer Palm, avec 27 personnages LGBT+ centraux, seuls deux ont plus de 60 ans. Et ce sont, dans les deux cas, des personnages historiques. Dans les fictions, les personnes LGBT+ de plus de 60 ans sont donc littéralement absentes. Ce n’est qu’un exemple basé sur un petit échantillon : mais c’est la norme, au cinéma comme ailleurs.
60 ans, c’est l’âge à partir duquel l’OMS définit une personne dite “âgée”. Et, avec la perception d’une personne comme âgée, intervient une oppression très fréquente mais peu nommée, l’âgisme. Le terme, créé en 1969 par le gérontologue Robert Butler, désigne l’ensemble des préjugés et discriminations ciblant une personne sur la base de son âge – dont l’âgisme qui vise les personnes âgées, ou gérontophobie.
Faire de la place aux personnes LGBT+ âgéesL’âgisme gérontophobe est au fondement, entre autres, d’une large industrie cosmétique, chirurgicale et marketing de “rajeunissement”, de licenciements abusifs et de discriminations à l’emploi, d’une ségrégation spatiale des personnes âgées en établissements spécialisés, de refus d’accès aux soins ou de négligences médicales graves. L’avancée en âge est décrite comme une perte progressive de compétences physiques et intellectuelles, de capacités d’évolution et d’adaptation, de beauté (en particulier pour les femmes) et comme un problème social et individuel, qu’il s’agirait de traiter. Les personnes âgées sont essentialisées en étant diabolisées, infantilisées ou idéalisées.
L’âgisme repose souvent sur un même principe : la vie des personnes âgées aurait moins de valeur que celle des personnes plus jeunes, parce qu’elle est perçue comme finissante et comme n’étant plus productrice de valeur économique, voire comme étant un coût. Il agit comme condamnation sociale des personnes âgées, avec pour conséquences de dévaluer leur existence même mais aussi de négliger leur taux de suicide, le plus élevé de la population (30 à 45% du total des suicides).
La vieillesse, dans ce système de représentations et de valeurs, devient ainsi une tare, une pathologie à cacher. C’est un phénomène biologique inévitable, mais l’injonction à ne pas vieillir et la sur-valorisation de la jeunesse sont permanentes, transformant le vieillissement en angoisse collective. Nos espaces LGBT+ en sont aussi le reflet, dans l’absence souvent criante des plus de 60 ans. Les personnes LGBT+ âgées sont bien là, faisons-leur de la place.
Pour aller plus loin
“L’âgisme. Une forme de discrimination qui porte préjudice aux personnes âgées et prépare le terrain de la négligence” de Lucio Bizzini dans la revue Gérontologie et société disponible sur www.cairn.info.
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« Bonjour docteur. je m’appelle Cindy, j’ai 35 ans et je vis à Besançon. Je n’ai pas eu de rapport sexuel depuis bientôt 2 ans et je suis très inquiète à l’idée de me retrouver au lit avec un homme. Mes amies m’ont parlé de la sophrologie pour me « détendre », pensez-vous que cette discipline puisse m’être utile ? »
La réponse de notre sexologue :Ce n’est certainement pas moi, depuis de longues années adepte de sophrologie et de relaxation, qui vous dirait le contraire ! Je pense même que toute personne, quel que soit son âge ou son sexe, devrait pratiquer ce type de discipline, ou un équivalent comme la méditation ou le yoga, pour être au mieux de sa forme à la fois physique et mentale. C’est une grande source d’équilibre pour le corps et pour l’esprit et le meilleur moyen de profiter au mieux de ce que la vie peut nous apporter.
Ce n’est d’ailleurs pas réservé au bien-être sexuel, mais en l’occurrence c’est un excellent moyen de lutter contre le stress et l’angoisse. Et si, en effet, vous vous sentez inquiète à l’idée de vous retrouver au lit avec un homme vos amies ont parfaitement raison de vous pousser à pratiquer sophrologie ou relaxation. Cela vous permettra à la fois de vous déstresser et vous aidera à vivre vos sensations plus pleinement en...Lire la suite sur Union
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« Bonjour, moi c’est Lucas. C’était ma première vraie expérience sexuelle ce week-end. Les deux premières filles avec qui j’ai essayé, cela n’avait pas bien marché et je n’avais pas réussi à jouir (ni les filles d’ailleurs). Cette fois, ça s’est mieux passé, mais ce n’était pas encore… top. La peau de mon prépuce me tirait très fort (on n’avait pas mis de préservatif) et la fille ne mouillait pas trop. La pénétration a été difficile. J’ai remarqué que c’était plus simple en missionnaire qu’en levrette, ce qui me déçoit un peu, franchement, parce que je fantasmais vraiment sur cette position. On n’a pas essayé le sexe oral, cela aurait peut-être mieux lubrifié comme ça non ? Merci de votre aide. »
La réponse de notre sexologue :Ce n’est pas la première fois que je le dis, en amour comme en tout il faut un apprentissage. Mais de nos jours, trop de personnes s’imaginent que savoir faire l’amour est inné et qu’il suffit d’essayer pour que ça marche. Or, ce n’est pas vrai, surtout si les deux partenaires sont aussi inexpérimentés l’un que l’autre, ce qui semble avoir été le cas à chacune de vos tentatives.
La tradition qui consistait à faire ses premières armes avec une professionnelle est passée de mode maintenant que les jeunes filles n’ont plus de raisons de rester vierge...Lire la suite sur Union
Cet article Ma première expérience sexuelle est un échec, que faire ? est apparu en premier sur Union.
« Salut, moi c’est Loïc. Je suis le mec lambda, discret. Je n’ai pas trop d’amis, juste quelques copains, copines… En ce moment, je ressens assez fortement ma solitude. Je me sens vide, rien ne me fait envie. Une petite masturbation sur vos pages de temps à autre et puis voilà… Rien de dingue. Cet état m’amène à me questionner sur mes propres préférences sexuelles. Je n’ai jamais essayé les hommes, mais je me sens un peu bi. J’imagine que cela devrait me rendre heureux, mais même pas :
je ne ressens presque plus rien, je crois. Je me sens insensibilisé au désir. Les hommes de mon âge, je les trouve un peu benêts à vrai dire, ils parlent trop, rient trop fort. Les filles sont plus douces, mais leurs corps… Je ne sais pas, parfois, j’ai l’impression qu’il leur manque quelque chose, une virilité. J’aime les deux genres je crois, mais je n’ai pas envie de rencontrer les gens, d’écouter leurs idioties. Vous me comprenez ? J’ai l’impression d’être totalement dépressif. Comment me sortir de cet enfer ? Merci de votre aide et merci pour vos pages, malgré mon humeur ! »
Les conseils de notre sexologue :Je ne sais pas si vous êtes bi ou pas, cela ne me semble pas le plus important dans ce que vous décrivez. Mais je suis sûre d’une chose, c’est que vous êtes en pleine déprime et qu’il faut vous en occuper sans attendre. Des phrases comme celles que vous employez, « je me sens vide, rien ne me fait envie » et cette insensibilité au désir dont vous faites acte sont les signes incontestables d’une Lire la suite sur Union
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Si la Suisse dénombre au 29 juillet 264 cas déclarés de monkeypox, le silence et l’inaction des pouvoirs publics face au virus est assourdissant.
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En matière de séduction, être le plus beau ou le plus charmant des hommes est parfois insuffisant. Pour plaire à une femme il faut parfois « un petit plus ».
Jouer d’un instrument de musique pourrait être ce qui fera basculer la balance de votre côté…
Voici donc les trois meilleurs instruments de musique pour être irrésistible aux yeux des femmes.
Une étude scientifique réalisée en 2017 par le journal Plos one révèle que la musique affecterait l’attractivité des femmes hétérosexuelles pour les hommes. Cette étude a été menée sur un groupe de femmes et d’hommes qui ont jugé l’attractivité de plusieurs visages après avoir écouté de la musique. Cela à été comparé par la suite aux résultats d’un autre groupe qui a jugé à son tour l’attractivité des visages sans musique.
Le résultat est sans appel : la musique rendrait le visage masculin plus attrayant. Et seules les femmes seraient influencées (étude relayée par Le Figaro santé).
La guitare, une arme de séduction massiveQue se soit à la plage, au camping ou même dans la rue, les guitaristes sont capables de se produire n’importe où et d’attirer l’attention des femmes. Une enquête menée par le Pscychology of Music vient confirmer le sex-appeal de ces derniers.
Pour mener à bien cette enquête,...Lire la suite sur Union
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TheCollectors.Art est une galerie d’art originale car numérique. Elle a pour objectif de proposer des œuvres d’art aux petites et moyennes entreprises afin de favoriser les échanges entre les salarié·es. La grande majorité des artistes sont des femmes. Chamaï Winograd qui vient d’un milieu d’artiste en est le fondateur. Comment vous est venue l’idée de […]
L’article Chamaï Winograd: « sur la galerie, on est aujourd’hui à 90 % de présence féminine » est apparu en premier sur 50 - 50 Magazine.
Julien Burri signe Parades, un recueil de poèmes en prose chez Paulette Éditrice. Rencontre avec l’écrivain suisse de 42 ans qui conte avec délicatesse une expérience intime de la drague.
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Cet article Écrire à l’encre violette, une belle histoire de la littérature lesbienne provient de Manifesto XXI.
Que sont les littératures lesbiennes et quelles batailles ont été menées pour qu’elles existent ? Écrire à l’encre violette est une plongée essentielle au cœur des livres qui pensent et disent l’homosexualité féminine depuis le siècle dernier. L’ouvrage rappelle les stratégies menées pour les publier et incite à découvrir des œuvres méconnues.Très souvent, l’écriture d’un livre naît d’un manque à combler. L’ouvrage vient remplir un vide, mettre des mots sur ce qui, pour autant qu’il existe, reste encore inexprimé, permet de se connaître ou de se reconnaître, de s’identifier. Écrire à l’encre violette, premier panorama des littératures lesbiennes françaises (écrites en France et en français) du début du XXe siècle à nos jours, remplit d’abord ce blanc. Si elles ne s’étaient trouvées jusqu’à ce jour que peu répertoriées, ce n’est pas en raison de défauts de quantité, ou de qualité, préjugés grossiers dont l’ouvrage ne fait qu’une bouchée. Plus encore, ses auteur·ices évitent les pièges dans lesquels pourrait tomber le projet : Écrire à l’encre violette ne vise aucunement à répertorier l’ensemble de ces publications courant sur plus d’un siècle, ni à enfermer dans une catégorie telle ou telle œuvre dites lesbienne. Car quelles sont-elles exactement ?
L’introduction montre qu’en tentant de définir ces œuvres, on se retrouve avec davantage de nouvelles interrogations qu’avec des critères qui en bornent de manière fixe et définitive les contours. D’abord, cantonner les littératures lesbiennes à des livres qui mentionnent l’amour entre femmes intègrerait des textes misogynes, des situations fantasmées dans la tête d’auteurs masculins, Baudelaire en chef de file. Pourrait-on parler alors d’œuvres écrites par des lesbiennes ? Les auteur·ices restent souvent au placard, à cause du stigmate que cela signifie dans une société fondée sur l’hétérosexualité, ou bien parce qu’elles ne veulent pas être réduites à leur genre, elles et ce qu’elles écrivent. Une œuvre réceptionnée par un public lesbien ? Ce serait réduire des goûts vastes et hétéroclites et possiblement essentialiser une lecture par le genre.
Écrire à l’encre violette, gardant à l’esprit ces risques de simplification ou d’erreur, a donc cette belle formule pour annoncer son corpus, réunissant des écrivain.es qui « ont valorisé cette attirance pour des femmes, parfois transformée en véritables éthique et esthétique amoureuses, dans des œuvres qui entrent en dialogue étroit avec une vaste culture lesbienne, souvent féministe. Iels la nomment, en réactivent la mémoire et les noms, proposent quantité de réponses, littéraires ou amoureuses, à des questions communes. »
Découpé de manière chronologique avec un chapitre transversal qui se concentre sur les ouvrages de science-fiction, fantastiques et de fantasy (les mondes de l’imaginaire et de l’utopie se prêtant tout particulièrement à des vécus empêchés dans la réalité), Écrire à l’encre violette montre qu’embrasser l’histoire de ces textes implique de remonter aux mécanismes de pensée et de l’écriture même, que celle-ci se déploie dans un cadre privé (correspondances, journaux intimes) ou se projette dans la fiction, aux étapes consécutives de l’édition, de la publication, de leur circulation et de leur réception.
Le début du XXe siècle marque l’apparition de la lesbienne en tant que motif littéraire autonome et décisif pour l’avenir. « Natalie Barney et Renée Vivien font non seulement entendre un désir de femme pour les femmes, mais tracent les prémices d’une identité politique, notamment en utilisant dans un sens moderne et sans connotation péjorative le terme de lesbienne », relate Camille Islert, docteure en littérature et l’une des contributeur.ices de l’ouvrage.
C’est dans le chapitre consacré aux années post-68 jusqu’au milieu des années 80 que l’on découvre comment cette identité est proclamée par une nouvelle génération d’autrices. Monique Wittig, la plus connue (« “Lesbien”, avec Wittig, signifie la revendication d’un nouveau type de rapport au monde et d’un nouveau vocabulaire pour l’exprimer, à la fois poétique et politique ») y côtoie d’autres écrivaines, telles Michèle Causse et Maryvonne Lapouge-Pettorelli, dont le nom gagne à être moins confidentiel.
C’est au cours de ces années que des revues lesbiennes comme Lesbia et Vlasta voient le jour en France et que les contacts s’intensifient à l’international. Ces nouvelles possibilités d’expression permises par l’obtention de nouveaux espaces artistiques et militants conduisent à se situer dans un avant et un après, à s’interroger sur les enjeux de l’héritage et de la mémoire. Catherine Gonnard (qui co-signe la postface de l’ouvrage avec Élisabeth Lebovici), est ici citée dans Vlasta : « N’oublions pas que la destruction des œuvres est la meilleure façon de nous faire disparaître. » C’est dans la dernière décennie du siècle que le travail d’archives culmine en même temps qu’apparaissent les premières maisons d’édition spécialisées.
La répression permanente menée contre ces œuvres, que la censure illustre allègrement dans les années post-seconde guerre mondiale et au-delà, les condamne aussi bien avant leur naissance, rend leur réalisation même impossible. Écrire à l’encre violette insiste sur le fait que cette production littéraire a longtemps été l’apanage d’auteur.ices issu.es de milieux aisés. Du « temple de l’amitié », salon fondé par Natalie Barney dans les années 20, ou de l’« Odéonie », lieu de la rive gauche qui regroupe au même moment librairies et maisons d’édition lesbiennes (même non-revendiquées), il faut souligner en grande partie le caractère bourgeois et élitiste.
L’ouvrage n’ignore pas non plus les difficultés supplémentaires qu’impliquent la race ou la religion dans l’éventail des littératures lesbiennes. Avec des revendications qui se joignent d’emblée à celles des féministes, la pensée littéraire et politique lesbienne a intégré comment les identités en tant que constructions sociales s’additionnent au sein d’une même personne (femme et homosexuelle) et, progressivement, a pris en compte les difficultés à faire entendre d’autres récits pour des personnes encore davantage marginalisées. L’ultime chapitre, qui constate l’explosion des littératures lesbiennes au tournant du XXIe siècle, se focalise notamment sur les écrits de lesbiennes juives et arabes.
L’importance de faire connaître des ouvrages, de les nommer et de les partager comme autant d’expériences de lecture se trouve ici concentrée dans une démarche académique et militante inédite, précise et indispensable. « Parler des livres était, et est toujours je crois, lever un pan de l’intimité », confie Suzette Robichon, éditrice et activiste au travail incontournable pour cette mémoire en préface d’Écrire à l’encre violette. C’est un livre qui appelle à lire, à découvrir des récits exhumés de l’oubli dans lequel les a placés l’histoire littéraire canonique. C’est aussi un appel à poursuivre l’écriture, celle de la recherche qui, à l’aide de passionné.es et militant.es qui ont accumulé des archives, tissé des réseaux, permet de rappeler l’histoire de ces récits, faite d’entraves, avant de s’y plonger.
Écrire à l’encre violette : littératures lesbiennes en France de 1900 à nos jours, Aurore Turbiau, Margot Lachkar, Camille Islert, Manon Berthier, Alexandre Antolin, Le Cavalier Bleu, 296p., 21€
Mise à jour le 8 août, transparence : l’autrice de cet article est membre du collectif féministe Les Jaseuses comme plusieurs autrices du livre.
Image à la Une : Screen du documentaire Violette Leduc, la chasse à l’amour d’Esther Hoffenberg
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Près d’un an après le retour au pouvoir des talibans en Afghanistan, où en sont les droits des femmes dans le pays ? Nos chercheurs ont mené l’enquête. Et le bilan est sombre. La vie des femmes et des filles d’Afghanistan est ravagée par une campagne répressive contre leurs droits fondamentaux. A retenir : Des […]
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Un homme a été victime d’une agression homophobe, dans la nuit du samedi au dimanche 24 juillet, pris pour cible par une dizaine d’individus, qui l'ont roué de coups après l'avoir insulté.
L’article Enquête ouverte après une agression homophobe à Beauvais est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Alors que l'épidémie de monkeypox continue de se propager en Suisse comme dans le reste de l’Europe au sein de la communauté des hommes gais, bi et pan, nous faisons le point avec la Dre Vanessa Christinet du Checkpoint Vaud.
L’article Monkeypox (variole du singe) en Suisse: 3 questions à la Dre Vanessa Christinet est apparu en premier sur 360°.
Dans cette chronique, je continue ma discussion avec Julien. Un homme cisgenre, hétéro, avec qui je partage certaines de mes pensées. Il est fictif, sans être irréel. Julien ça pourrait être toi, moi et/ou nous.
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Cet article Babouchka Babouche, la drag queen qu’on veut élire Présidente en 2027 provient de Manifesto XXI.
Candidate malheureuse de l’élection 2022, Babouchka Babouche est déjà dans la course pour la prochaine élection présidentielle. En plus de ses shows, elle met en scène ses combats dans une série de six épisodes.Elle va vous en mettre plein la vue promet une affiche de campagne. C’est peu dire. Celle qui se présente comme drag queen, femme politique et mannequin, détonne dans le paysage politique et culturel français. Bouche rouge XXL, mèche platine et verbe haut, Babouchka Babouche est résolument « politcheap ». Depuis quatre ans, elle agite la scène drag, avec notamment les soirées qu’elle a cofondé, Ze nice show, La Nanarchie et Screen Queens. Si elle n’a pas réussi à réunir les 500 parrainages nécessaires à la validation de sa candidature cette année, Babouche a tout de même su se faire remarquer par Ouest France et Konbini qui lui ont accordé une interview. Femme de réseaux (sociaux), fine communicante, Babouche a même crée une websérie sur ses aventures, Babouche Présidente ! Comme elle l’affirme dans le premier épisode, « la qualité numéro un d’une femme politique, c’est l’audace. » Dans le climat politique moribond, cet activisme qui se moque des codes (très à droite) de la politique française est plus que bienvenu. Derrière la queen, il y a Samy André Ali, 25 ans, étudiant scénariste à La Fémis. A travers son art il donne un sens bien réel au terme de « communauté ». Portrait.
La présidence, ambition intime d’une jeune drag queen« J’ai toujours voulu raconter des histoires, ça a toujours été ma passion. Que ce soit en faisant des films, ou en faisant mon personnage drag. » Son nom fait sourire et évoque une multitude de références. C’est d’abord un hommage à la babouche et au Maroc, mais aussi à Chérifa Babouche, « le vrai nom de Sheryfa Luna qui est devenue une star alors qu’elle a grandi avec ce nom à Evreux ». Babouche/Samy a pour sa part grandi à Puteaux, comme le duo de Tout ce qui brille. Viennent ensuite les iconiques initiales BB, « que je tiens à reprendre à l’extrême droite », Brigitte Bardot ayant viré réac. Il évoque aussi Kate Bush mais précise que « c’est elle qui m’a plagié, même si je n’ai pas de moyen de le prouver ». Le tout « reste bien en bouche », sans sous-entendu sexuel s’il vous plaît. Avec l’humour en étendard, les queens Divine et Alaska comme Saintes Patronnes, Samy revendique : « J’aime bien faire des bêtises. Babouche n’assume pas, mais moi en tant que scénariste derrière je pense que c’est marrant. Elle est un clown pour adulte. »
Photo : Jean RanobracAvant de débarquer à La Fémis, le jeune homme est passé par Sciences Po, pour un master en affaires publiques culturelles qu’il a quitté au bout de… 2 semaines. Explication ? « C’était vraiment nul. » Qu’à cela ne tienne, la politique se fera sur scène et en talons. Sa toute première performance a eu lieu au son de « J’aime mon pays » de Sexy Sushi, avec un look « Brigitte Macron si elle avait vécu à la ZAD ». Dès ses débuts, Babouchka Babouche est candidate à la Présidentielle : « Les drag queens qui veulent être mannequin ou star de la chanson, il y en a déjà beaucoup » explique Samy. Plus qu’un choix stratégique pour se distinguer sur la scène drag, ce choix de carrière est bien un parti pris révélateur : « Une grande partie des productions audio visuelles qui sont faites sur le drag m’ennuient. La dimension du drag comme moyen d’explorer son genre et découvrir une partie de soi, sa vérité… ça ne m’intéresse pas du tout. » expose le scénariste. Il ajoute : « Jean-Luc Godard a dit que tout est politique mais je ne sais pas si faire un lip-synch de Beyoncé est nécessairement politique. Tout est politique mais tout ne peut pas être un statement. »
A l’heure où le drag connaît une forme de reconnaissance grand public et de standardisation, Samy assume très bien d’avoir développé son personnage par le DIY : « Je ne suis pas très scolaire. J’aime bien faire. Ce qui fait que parfois je ne suis pas super organisé. Je préfère faire, quitte à mal faire. » Sans renier la période punk de ses débuts, l’artiste a tout de même fini par apprendre l’art du maquillage pour donner du corps au personnage de Babouche : « La parodie a besoin d’un peu de vraisemblance. »
Côté look, Babouchka Babouche navigue naturellement entre un panel de tenues bleu-blanc-rouge, qui, le hasard fait bien les choses, est avant tout l’association de couleurs préférée de Samy. Son caractère bravache, Babouche le doit sans équivoque aux femmes politiques françaises : « Depuis tout petit, je regarde beaucoup la télé parce que mes parents travaillaient tard. J’ai été vraiment élevé par la télé et j’ai toujours été très intéressé par les interviews, la mise en scène… tout ce côté purement camp de la politique française. » Fan des séries Baron Noir et Mrs. America, Samy poursuit : « J’adore les gens qui en font des caisses. La vision très personnelle qu’ont les personnages politiques de la sincérité m’intéresse. Ils s’en servent comme d’une arme. » C’est dans cette lignée que le projet de “mockumentary”, Babouche Présidente ! se situe. Les aventures de la drag queen font ressortir le grotesque des rituels de la vie politique, comme son premier meeting raté sur un marché parisien.
Photo : Charlotte & Mila OlivierEntre Roselyne Bachelot et Anne Hidalgo, Rachida Dati occupe une place de choix au panthéon des femmes politiques « problematic fav » et role models pour Babouchka Babouche. Celle qui excelle dans l’art de la pique sur les plateaux télé représente quelque chose de particulier aux yeux de Samy : « Pour moi, quand Rachida Dati pense à ses intérêts, elle pense à ceux de sa famille, ceux de sa communauté… Elle ne pense pas qu’à elle-même, mais aussi à son cercle proche. » Il poursuit : « Ce qui me touche chez elle, c’est ça : cette femme d’origine algérienne, aurait-elle pu réussir comme ça à gauche à l’époque ? Je ne pense sincèrement pas. » Néanmoins, il tient à préciser que son admiration pour l’ancienne garde des Sceaux encartée chez LR garde un sens bien spécifique : « comme Margaret Thatcher ou encore Dark Vador avant elle, ces personnalités controversées sont fascinantes, iconiques mais également dangereuses en cela qu’elles ne peuvent s’empêcher de piétiner nos droits et les luttes sociales pour lesquelles nous combattons. Je conclurais en m’adressant à la première concernée: Rachida, je peux te sauver. »
Pouvoir aux communautésC’est que le cœur de Babouchka Babouche bat fermement à gauche. Elle se prononce en faveur de la VIème République « comme certains candidats » et annonce « un gros déblayage à faire » en cas d’élection, avec pour première mesure phare, « augmenter les salaires ». Le programme de Babouchka repose sur 3 grands axes : la justice sociale, l’écologie et « Rendez l’argent ». Sur ce point, tous les riches sont concernés, sans distinction : « En ce moment on parle beaucoup de McKinsey, les cabinets de consulting… Tout ça, ben ça dégage. Je connais des gens qui ont travaillé dans ce genre de boîtes et même eux savent que leur travail ne sert à rien. » explique Samy, qui se dit globalement assez aligné avec les idées de son personnage. « La priorité c’est que les gens arrêtent de dormir à la rue et de mourir. »
Photo : Jean RanobracLa vision critique de Samy concernant les productions drag se retrouve dans sa vision de l’actualité des luttes LGBTQIA+ et l’importance accordée à la visibilité ces dernières années : « Au final qu’est-ce que la représentation face aux droits sociaux ? » Il détaille : « Je suis persuadée que les problématiques LGBT n’ont de sens que s’il y a du social, de l’éducation, de la santé mentale, sexuelle avec… Le social c’est le nerf de la guerre. Le gay du FN te dirait qu’il faut mettre les noirs et les arabes dehors et tout serait résolu » Il poursuit : « Ce à quoi je crois c’est de permettre à chacun de vivre sa vie dans le respect et la liberté, sans verser dans le libéralisme.» C’est à cette condition que l’union fait la force, et aussi grâce à l’animation de communautés dynamiques : « Ce qui est le plus important c’est de réussir à tisser des liens communautaires – mot interdit dans ce pays –, que ce soit la communauté LGBT, ton quartier, les assos… Les gens les plus heureux de mon entourage sont ceux qui appartiennent le plus à différents groupes. Y a pas de meilleur moyen de tomber en dépression que d’être seul chez soi à faire des trucs nuls… et je crois que c’est le projet de la Macronie. »
C’est dans cette ambition de réunir et mélanger les publics que repose sans doute le secret de l’énergie de Babouche, son arme politique secrète. Son amour du jeu, qui va jusqu’à créer le malaise parfois, exprime une ambition, celle de lutter contre l’entre-soi à l’échelle du grand tout social comme de la scène drag : « Ce n’est pas marrant de faire le même numéros devant les 3 mêmes personnes qui sortent à Paris. C’est élargir ce qu’on fait qui est marrant, c’est rencontrer des gens. » Bien qu’« attristée d’avoir à subir la moumoute de notre président 5 ans de plus », Babouche promet de ne pas abandonner son rêve. Avec 89 députés RN rentrés à l’Assemblée Nationale aux dernières législatives, Babouche le dit haut et fort: « Je vais rester bruyante, encourager les jeunes, les LGBTQI et la fRance à voter pour sauver le monde et bien sûr : rendre la fRance moins rance. »
Deux épisodes de Babouche Présidente ! sont déjà sortis, les 4 prochains arrivent à la rentrée !
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Retrouvez le teaser du festival FEMINISTA 3J qui aura lieu du 29 au 31 juillet à Châlons-en-Champagne ! FEMINISTA 3J – 3 jours au féminin au Grand Jard à Châlons-en-Champagne, en accès libre. Un festival engagé qui promeut dans la joie la création féminine, la culture de l’égalité et lutte contre les violences sexuelles et […]
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Dans cet épisode du podcast Camille, le médecin militant et auteur Baptiste Beaulieu met en évidence les difficultés que peuvent rencontrer les personnes de la communauté LGBTQIA+ lorsqu’elles ont besoin de soins. Les médecins et professionnel·les de santé ne sont généralement pas formé·es à la prise en charge de ces personnes et il n’est pas […]
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Pour sa 6e édition, le festival MIA3J devient FEMINISTA 3J Concerts, expositions, ateliers, animations, débats, projections, rencontres d’artistes… Pour affirmer davantage son projet : être en région un support naturel de promotion de la création et du talent au féminin, et un lieu d’échange, de rencontres et de débat sur la place de la femme […]
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Joy Fleutot vend des jouets, des habits et des livres pour tous les âges et surtout, pour toutes/tous, sans se soucier du genre. Anti-stéréotype, la boutique encourage toutes/tous les enfants à choisir leurs activités et à poursuivre leurs passions sans le diktat des rôles sexistes, trop souvent imposés aux enfants dès leur plus jeune âge. […]
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En octobre dernier, Eric Zemmour, alors candidat qui présentait son programme pour la présidentielle à Pleurtuit, a notamment déclaré, évoquant les personnes LGBTQ+, « Nous devons virer ces gens là de notre école ». « Laisser entrer le lobby LGBT avec cette idéologie transgenre, je trouve ça criminel ».
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Cet article On n’a pas fini de danser sur des musiques traditionnelles au festival Oh Plateau ! provient de Manifesto XXI.
Pour sa quatrième édition, le line-up du festival ardéchois Oh Plateau ! offre une place de choix aux musiques inspirées de traditions sonores régionales. On a voulu comprendre la place de ces sonorités dans nos scènes actuelles en discutant avec un des artistes du festival, Vincent Privat.Du 29 au 31 juillet se tiendra Oh Plateau !, un festival perdu entre les montagnes ardéchoises. Pour cette quatrième édition, le festival se déploie dans des lieux hors normes du territoire, comme un château néogothique ou une grange tri-centenaire, pour y installer une diversité de projets souvent émergents, toujours qualitatifs. On retrouve l’emo-pop de Godzilla Overkill, le marseillais Antonin Appaix ou encore l’australienne Annie Burnell, mais aussi une ribambelle de DJ, et notamment Lugal Lambada, Léa Baldazza ou Mila Necchella.
On note que certaines soirées du festival sont gratuites ou à prix libre, et qu’outre leur audace en termes de lieux, c’est la carte blanche donnée à Dizonord qui a retenu notre attention. Dizonord, c’est un disquaire nord-parisien récemment installé à Marseille, connu pour son kink pour le digging sous toutes ses formes : on vous parlait l’été dernier de leur exposition de flyer de raves. Déjà présent sur la dernière édition du festival, on retrouve cette année son co-fondateur avec un set de musiques d’inspiration traditionnelles dont il a le secret.
Car la vibe musique trad’ est bien présente sur cette édition du festival : Oh Plateau ! reçoit pour une semaine de résidence le trio polyphonique Jardino, qui pioche dans des répertoires de chants anciens. Alors non, on n’a pas fini de danser sur les musiques traditionnelles régionales de France : loin d’être confinée aux bals d’antan, la musique néo-trad fait partie de nos scènes actuelles. Il y a quelques années, le festival Visions accueillait sous son dôme des membres du collectif La Nòvia et du label Standard In-Fi, qui expérimentent et renouvellent le genre. Dans un autre registre, le morceau La Teknoz de De Grandi a déjà commencé à dégommer les dancefloors estivaux à grands coups de cornemuse et de biniou breton. On a donc voulu comprendre d’où venait le côté hypnotique de ces beats anciens, et interroger la place de ces sonorités dans nos scènes actuelles en discutant avec Vincent Privat.
Manifesto XXI – Que nous proposes-tu pour pour cette nouvelle édition de Oh Plateau ?
Vincent Privat : C’est ce que je compte faire pour Oh Plateau !, mais c’est ma pratique, je propose des sets vinyles uniquement, festifs et dansants, autour de musiques traditionnelles et anciennes françaises. Je joue essentiellement des musiques issues de ce qu’on appelle le revival trad des années 70. Les protagonistes de ce mouvement avaient un regard sur leur propre culture et questionnaient leur identité, souvent dans un esprit contestataire. Revenait souvent la question d’une France globalisée face à la mondialisation, et l’envie de comprendre ses racines. Ils utilisaient ce patrimoine avec un message d’ouverture. Beaucoup de groupes faisaient d’ailleurs intervenir des percussionnistes d’autres pays, mais la volonté était de comprendre qui on est, d’où on vient et pourquoi notre culture a été mise de côté.
Le folklore ne devrait pas être quelque chose de péjoratif, même si aujourd’hui c’est une expression qui est souvent dénigrante. La question, c’est plutôt pourquoi on dénigre des cultures traditionnelles.
Vincent Privat
C’est important pour toi de parler de musique traditionnelle plutôt que de musique folklorique ?
C’est un sujet épineux. Premièrement, ce ne sont pas des musiques traditionnelles que je joue, mais des musiques d’inspiration traditionnelle : on a que très peu d’enregistrements de musiques traditionnelles, en contexte traditionnel. Les rythmes et chansons qu’on connaît aujourd’hui sont issus des recherches de musiciens qui rejouent un patrimoine commun. Pour ma part, je ne parle pas de musique folklorique, mais le terme ne me dérange pas. Le folklore ne devrait pas être quelque chose de péjoratif, même si aujourd’hui c’est une expression qui est souvent dénigrante. La question, c’est plutôt pourquoi on dénigre des cultures traditionnelles.
C’était justement ma question suivante…
Ces musiques, et ce qui les entoure, sont dénigrées depuis longtemps, au même titre que les dialectes et langues traditionnel·les, comme le breton, l’occitan, ou le flamand, qu’on a voulu effacer pour imposer le français. Cette diversité de cultures qui représentait la France a été asphyxiée. En musique, dans les années 70, on s’est réapproprié ce patrimoine avec une approche contestataire — mais pas uniquement. A cette époque, certain·es se sont inspirés de musiques traditionnelles ou anciennes, comme celles du Moyen Âge ou de la Renaissance, en créant des groupes plutôt pop-rock. Elles et eux participaient aussi à diffuser des sonorités traditionnelles, et donc à la conservation de ce patrimoine.
Je considère que c’est un patrimoine important, et que ces musiques méritent leur place sur le dancefloor.
Vincent Privat
Quelle est ta volonté proposant ces sets ?
Je trouve ça intéressant de remettre ces musiques dans un contexte de danse : à la base, elles sont vouées à être dansées. Je considère que c’est un patrimoine important, et que ces musiques méritent leur place sur le dancefloor. C’est un point de vue plutôt social. Il y a aussi une envie de conserver ce patrimoine-là, c’est ma manière de le transmettre: je suis né dans le sud de la France et je suis très attaché à la culture occitane. Ça permet également de faire une proposition très différente, d’offrir une variété sonore à des line-up de festival. Et je pense que c’est assez ludique pour les gens, ça reste dans la tête, c’est entraînant et ça fait écho à plein de choses qu’on a oublié.
L’anthropologue Jérémie Piot réfléchit à cette question de disparition des cultures populaires : il part du constat que le monde occidental a abandonné ces pratiques populaires afin d’occuper une position dominante sur d’autres pays et d’autres cultures. En abolissant ces cultures populaires, il explique qu’on a aussi perdu notre rapport au sacré, à la magie, à la spiritualité et fait le choix d’une à une société très rationnelle… Qu’en penses-tu ?
Je ne suis pas contre cette approche, mais je ne suis pas spécialiste de la question au sens ethnographique ou sociologique. Mon approche est patrimoniale, je souhaite transmettre et conserver quelque chose d’une manière différente, festive et artistique. D’ailleurs, je propose une forme de vulgarisation : je mélange des musiques bretonnes et occitanes, des musiques d’inspiration médiévales à d’autres époques. Ce n’est pas une approche historique de la question, même si dans les années 70 on mélangeait parfois les répertoires. Je me suis beaucoup documenté sur ces questions, mais ma place est celle d’un DJ et non d’un chercheur.
Tu précises que ton approche est festive : faire un set de deux heures de musiques d’inspiration traditionnelles, c’est aussi une façon d’interroger de notre rapport à la fête ?
Ça n’est pas vraiment formulé, mais ça soulève plein de questions oui. Des DJ sont parfois surpris·es que je fasse danser les gens avec mes sets : ça questionne la pratique du djing et de la fête. On propose à des jeunes gens de 20 à 30 ans de faire la fête sur des musiques qui ont été créées il y a très longtemps, basées sur des éléments centenaires. Ça pose la question très large de la transe dans les musiques traditionnelles, quelque chose qui existait et qu’on a totalement perdu.
Ce sont des morceaux avec énormément de basses, qui prennent aux tripes, certaines personnes sont étonnées qu’il y ait ce genre de sonorités dans les musiques traditionnelles, et on me demande régulièrement si je retravaille les morceaux — pas du tout. Les morceaux avec le plus de basses ont souvent été réalisés uniquement avec des instruments traditionnels, sans batterie moderne. Les rythmes de percussions des musiques traditionnelles sont très différents de ceux des musiques occidentales, et sont particulièrement immergeant.
© Andréa CourtialMais je souhaite que ma pratique reste festive, sans trop la politiser. Bien sûr, ça pose des questions sur la globalisation, sur la centralisation… Ces questions reviennent souvent, dans le revival trad’ des années 70 par exemple, il y a eu tout un mouvement qui s’appelait Volèm viure al país, c’est de l’occitan et ça signifie « on veut vivre au pays ». Les gens voulaient pouvoir vivre, travailler et manger chez eux, sans que leurs enfants soient obligés de faire des études à Paris, ou de travailler dans les administrations de grandes villes. C’était au centre des revendications, et bien sûr que ces musiques questionnent tout ça indirectement. Mais le public est libre de l’interpréter comme il le souhaite, c’est un patrimoine qui nous appartient à tous·tes, chacun·e est libre d’y voir ce qu’il ou elle veut. En revanche, il ne faut surtout pas le lier quelque chose d’identitaire : ça n’est pas parce qu’on a une identité forte et qu’on la défend qu’on est fermé aux autres. Il y a très peu de fachos dans les milieux traditionnels, au contraire ces musiques étaient produites par des gens très impliqués et ouverts d’esprits, qui sont les premiers défenseurs de notre culture, parce que ce sont eux qui la pratiquent.
La programmation et la billetterie de Oh Plateau ! se trouve ici.
Image à la une : © Léa Djeziri
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Littérature lesbienne: notre petite sélection estivale de bouquins à dévorer à la plage, sous un arbre ou au bord de la piscine, entre nouveautés, perles des années passées et grands classiques.
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Lili_bertine n’est pas une camgirl de CAM4 comme les autres ! Cette femme libertine aux cheveux longs et vert a le don de transposer ses formes dans tous les fantasmes de ses abonnés. Grâce à ses performances « hots », elle assouvit en toute simplicité les désirs et pulsions de sa communauté.
La MILF de 37 ans adore faire monter la température lors de ses shows grâce à ses prestations endiablées. Amoureuse des sensations fortes, elle ne recule devant aucune pratique. Kymii propose des shows privés allant de 10 à 60 minutes selon les tokens choisis (monnaie utilisée par Cam4). Au programme de ses lives ; exhibition, contrôle des sextoys (entre 3 à 10 min selon les tokens), des actions fétichiste, double pénétration, etc.Cet article Lili_bertine, la cam girl cochonne et exhibitionniste de Cam4 est apparu en premier sur Union.