Rocco Siffredi et sa femme Rosa Caracciolo – flickr/ducati999
Lors de mon enquête sur le handicap du pénis imposant, j’ai mis en relation Charles, trop bien doté, et Jeanne, aventurière du sexe. Extrait de leurs échanges.
Charles : De par ton expérience et les discussions que tu as pu avoir avec tes copines, les femmes qui se réjouiraient d’avoir affaire avec un sexe « impressionnant » (pour reprendre tes mots) comme le mien sont vraisemblablement rares (<5%) ou très rares (<1%) ?
Jeanne : Pas si rares, je dirai un tiers de mes copines libertines qui seraient plutôt favorables et 5% pour celles pour qui ce serait un atout décisif. Tu aurais plus de chances dans ce milieu.
C. : Pourquoi ?
J. : Les filles sont plus gourmandes. Mais tu pourrais aussi tenter des pratiques non pénétratives.
C. : As-tu des conseils que je pourrais donner à ma chère et tendre pour qu’elle peine moins pour la fellation ?
J : Qu’elle essayer plutôt de lécher/caresser, et moins de prendre en bouche.
Les positions, c’est une question de forme
C. : Pour le moment, c’est missionnaire et rien d’autre. Penses-tu qu’il soit possible que je puisse moi aussi goûter aux plaisirs des levrettes endiablées (la sodomie, je n’en parle même pas)?
J. : Endiablées non, encore que je ne sais pas. Mais levrette oui. Là ça dépend plus de ta courbure et comment est faite ta copine à l’intérieur. Il n’y a pas que la morphologie du pénis qui compte, c’est comme deux pièces de lego, il faut qu’elles puissent s’emboîter.
J’ai des copains avec qui ce n’est que missionnaire et d’autres avec qui ce n’est que levrette mais c’est une question de forme en ce qui me concerne.
C. : Je peux faire jouir mon amie avec des caresses mais pas en faisant l’amour. As-tu pris du plaisir par la pénétration avec tes amants trop bien montés ou est-ce que l’inconfort/ la gêne/ la douleur l’emportait même si « ça passait » ou que tu avais du plaisir autrement ?
J. : Si j’ai déjà pris du plaisir mais ça dépend plus de la forme. Mon amant Léonard avait un sexe énorme mais dont la forme me stimulait pile où il fallait. Mais c’est vrai qu’on ne variait pas beaucoup les positions.