I- De l’épineux problème des toxiques « libérateurs » ….
Pas de fête, même entre féministes politisées, sans alcool. Une de nos amies, parmi les plus radicales, a publié un livre dénonçant la persécution liberticide des fumeurs de tabac. La marijuana est presque un emblème militant … bref, les neurotoxiques sont à la fête.
Mais prenons un exemple, l’alcool.
Il fait partie de la stratégie du violeur dans de très nombreux types de viols (étudiant, inconnu et conjugal).
De plus, les industries elles-mêmes sont des bras armés de la clique virile qui depuis des millénaires noues persécute sexuellement. L’alcool a été historiquement créé pour détruire les subalternes (populations colonisées, femmes, enfants) et pour hiérarchiser les dominants (entre ceux qui « ne tiennent pas » et ceux qui « tiennent l’alcool »), c’est à dire déterminer ceux qui sont capables d’assez s’anesthésier à la dissociation pour être de vrais carnassiers.
Il n’y a pas de liberté dans ce que produisent en masse les geôliers.
Les femmes devraient rejeter en bloc les toxiques que créent les pouvoirs (aujourd’hui capitalistes, mais les toxiques dissociants sont aussi vieux que le patriarcat), car c’est un opium infiniment puissant. Instantanément, ils modifient la conscience et à long terme, ils détruisent son substrat neurologique.
Comme le dit l’auteure du blog Je putréfie la patriarcat, ces produits font partie de l’arsenal toxique produit par le patriarcat : médicaments toxiques, pesticides, ondes toxiques, drogues, pollution industrielle dans l’atmosphère et la nature, les machines partout, le bruit, les lumières artificielles.
II – Un cancer bien connu.
Autre constat alarmant. Les hommes sont la première cause de mortalité des femmes au plan mondial. De 14 à 44 ans, ils noues tuent le plus souvent à coups de poings, de barres de fer, en noues étranglant, etc., à la maison. Le reste du temps, ils noues tuent surtout durant des guerres officielles (avec des armes, de colonisation territoriale). Plus insidieusement, ils noues tuent avec leur culture toxique, qui détruit nos organes ou notre esprit, ce qui provoque suicide et maladies chroniques mortelles (auto-immunes, cardiaques, respiratoires, etc. Lire là-dessus Dr Muriel Salmona, 2013).
Ainsi, les hommes sont la première cause de mortalité des femmes au plan mondial, avant les accidents de la route et le cancer.
Principe de précaution oblige : les femmes devraient prendre envers les hommes, de toute identité auto-proclamée, de tout niveau social, de toute couleur, les mesures qu’elles prennent face au cancer :
- non exposition aux sources de risque (contamination virale ou irradiation par surexposition à la culture patriarcale et à la mixité ou séquelle traumatique par collision à haute altitude avec un illusionniste dresseur de tapis volants)
- détection des premiers signes
- mesures immédiates et radicales en cas d’attaque
- prévention de la récidive (élimination de tous les métastases : « amis », « frères », « collègues » des sources de risque)
- et en dernier recours, préférer l’amputation à la colonisation tumorale.
…. simple principe de précaution.