Interroger le langage, ce qu’il contient d’assignations et de limites : voilà l’un des fils rouges du travail de Maral Bolouri. Rencontrée à l’Atelier des artistes en exil, celle qui est née en Iran raconte l’injonction violente à « assumer une identité », dans son parcours artistique comme migratoire. Face à cela, elle explore de nouvelles voies, artistiques et émancipatrices, pour affirmer les existences queer.