Le site Vulvae, créé pour lutter contre le manque d’information, voire l’absence de diagnostic relatif aux maux de la vulve, fête sa première année d’existence. L’occasion de faire le point sur trois maladies typiquement féminines.
1) L’épilation intégraleElle augmenterait de 74% les risques de développer des douleurs (Journal of Lower Genital Tract Disease). La pratique engendrerait une dermo-abrasion responsable du développement de douleurs vulvaires. La présence de poils permet au contraire de faire barrière aux agents infectieux et préserve l’équilibre de la flore vaginale.
Pour les inconditionnelles, privilégier une épilation partielle et/ou une coupe des poils aux ciseaux : la conservation de quelques poils permet de limiter l’inflammation et protège des infections ! Choisir l’épilation plutôt que le rasoir. L’épilation est un peu plus douloureuse, mais permet d’éviter le développement de poils incarnés et de microcoupures qui pourraient s’infecter. Et toujours appliquer un hydratant et/ou une huile végétale pour calmer l’irritation.
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