Solène habite un studio coquet de la rue Neuve-Popincourt, à deux pas de la station de métro Parmentier, à Paris, dans le XIe arrondissement. Un quartier “bobo chic, mais tellement vivant et sympa que je ne le quitterais pour rien au monde”, avoue-t-elle, entre deux gorgées de thé chaud. À 30 ans, cette jolie jeune femme aux traits fins confesse “traverser une période noire”. Et d’expliquer en soupirant : “J’ai perdu mon boulot d’assistante dans un cabinet d’architecte et mon mec m’a quittée l’année dernière.” Malgré ses airs BCBG, Solène, en voie de paupérisation accrue, a dû apprendre à vivre avec les 1 200 euros mensuels de son chômage. Alors elle se débrouille et, pour éviter de régler quelques factures un peu trop lourdes, elle “trouve toujours un moyen de s’arranger”. Yeux baissés, elle précise, d’une voix plus discrète : “Il y a six mois, une fuite d’eau a endommagé mon studio. Paniquée, j’ai aussitôt appelé un plombier. Il a détecté une tuyauterie poreuse et, après une soudure, m’a demandé 500 euros !” Face au montant stratosphérique de la note, Solène fond en larmes. Gêné, le plombier lui propose d’oublier la TVA… Mais la malheureuse jeune femme, propriétaire qui peine à rembourser son emprunt, n’a pas les moyens de débourser une telle somme. Solène poursuit : “Il était pas mal, brun, la trentaine, avec de beaux yeux noirs. Je sentais qu’il n’était pas insensible à mon charme. En l’implorant, je lui ai alors pris la main en ouvrant mon corsage, explique-t-elle, un brin gênée. Je me suis mise nue et je l’ai caressé jusqu’à ce qu’il jouisse sur mes seins… Il n’avait même pas l’air surpris. En partant, il m’a raconté...Lire la suite sur Union Cet article Les nouveaux visages du troc sexuel est apparu en premier sur Union.